C’est chez CAMUS l’ANTI TERRORISME ,l’anti fanatisme ...on aime l’humanité MALGRES ses défauts qui sont l’humain aussi et en tout un chacun AUSSI ...très chretien en fait ne l’oublions , la grandeur du christianisme
Pourtant Camus le dit, « Tout ou rien ». Pas de compromis. La lecture de Camus dans l’art est d’ailleurs à mes yeux la plus proche et la plus convenable à la réalité.
Même si l'on ne peut totalement suivre les idées de Camus, tant elles se tendent vers cet horizon encore inexploré de la conscience intellectuelle, et dont il était le seul habitant de ce même horizon de son époque et peut-être aujourd'hui encore, et de par son vocabulaire propre à sa pensée complexée par les mots qui lui semblent jamais assez variés, il est agréable de voir un vrai homme, humble de son oeuvre et de ceux qui la soutiennent, et admirent donc sa révolte, jamais dans la violence, mais dans son écho se renvoyant à ces contemporains de son temps ; ultime barrage à la mondanité des pensées hâtives, rendant à l'intellect sa lettre de grandeur.
Jamais de ma vie je n'avais lu un texte aussi compliqué à comprendre que l'"Introduction" de l'Homme Révolté de Camus. Mais je crois avoir progressé...
6:33 dans l'oeuvre de Camus, on n'abandonne pas ses marchepieds une fois qu'une étape est conquise. On ne sort pas de l'absurde par la revolte mais on approfondit l'absurde par la révolte. Camus ne fait pas une dissertation avec thèse, antithèse et synthèse; il creuse suffisamment un angle du sujet pour justifier l'ouverture d'un autre angle.
8:20 primauté de l'amour chez Camus, l'absurde commande une décision absurde qui est d'aimer un monde qui n'est pas aimable. L'amour donne d'emblée des limites à la révolte d'où son intransigeance dans/avec la mesure.
14:49 Le culte, l'idolâtrie de l'histoire chez Camus (qu'il met contre la nature) c'est à dire au sentiment qu'on peut ordonner l'histoire ou qu'elle l'est à notre insu.
27:43 Orphée ne suffisant plus laisse la place à Prométhée (passage du "nous sommes" au "je me révolte"; l'équivalent collectif des leçons d'Orphée), fort du souvenir de notre enfance qu'il faut garder vivace. Cette puissance native de l'individu qui est fécondé par Prométhée et pour prendre la forme d'une décision collective et qui repose sur une morale à deux piliers : Persévérance et Compréhension.
37:54 le refus Dostoïevskien d'accepter la souffrance d'un enfant, présente, au nom d'un mieux-être plus tard (qui serait la condition). Ivan porte parole de ceux qui refusent de diluer le présent dans le grand fleuve de l'histoire.
On comprend pourquoi ce livre qui démonte entre autres le communisme ait pu déplaire autant à Sartre qui décidément n'a rien vu venir des crimes de Staline.
Paix à son âme, mais Sartre s'en foutait. Il ne pouvait pas ne pas savoir. Autant j'apprécie, je respecte énormément la justesse de pensée, pleine d'humanité et d'humilité de Camus, que je continue d'apprendre parce qu'il donne à réfléchir toujours. Autant Sartre me donne la nausée.
J'ai lu "L'homme révolté" il y a fort longtemps, je devais avoir 18 ou 19 ans. J'en garde l'impression d'un livre brillant par son style, mais faible en ce qui regarde les idées. Camus me semble en rester à la "révolte", justement : quelque chose d'épidermique ; et il ne propose rien qui la dépasse, sauf des pensées convenues sur l'altruisme comme dépassement de l'individualisme, une sorte de charité sans dieu. C'est mince. Mais il faudrait sans doute que je le relise.
Non non, c'est mince sur le fond, et est portée aux nues en ce qu'il délégitimise par cette "oeuvre" la révolution que pourrait souhaiter le prolétariat poussé par et à la révolte.
J’apprécie grandement écouter Raphaël Enthoven mais je trouve assez paternaliste sa relation au sein de l’emission avec Paola Reman... je le déplore, un échange des deux serait peut être plus intéressant.
Ce sont les hommes qui font du mal Dieu leur a donné le libre arbitre pour un temps fou pour toujours qu'est-ce qu'ils en font quand on voit le mal on leur reproche à Dieu mais est-ce qu'on veut ne plus avoir de libre arbitre ?
Je doute à ce jour qu il y est encore des gens en capacité de lire et de comprendre la pensée de Camus ...dans l homme révolté...tant l écriture est complexe....et demande une attention..libre de tout pixels 🙏👣🐾
En effet le darwinisme social ayant été incarné par l'idéologie nazi on évite de se permettre de penser légitime à des réflexions aussi vulgaires et pathétiques, merci internet haha
en tous les cas ce gars n’était pas très révolté du sort des (indigènes )algériens!!! dans son bouquin la peste sur les algériens pas un mot l'etranger idem il n ya aucun algerien... donc pour moi bofff mon préférer pour cette periode c'est l'illustre franz fanon ...salutation
C'est bien de critiquer, c'est mieux de connaître ce qu'on critique... Albert Camus n'est pas qu'un écrivain, mais également un journaliste qui s'est battu corps et âme pour l'algérie. Pas un mot sur les indigènes ? Une série de documentaire sur la condition des khabyles qui lui valurent son exclusion du parti communiste, son combat corps et âme contre la misère, les préjugés sociaux... Décidemment, ce serait bien que tu te renseignes parce que c'est dur de dire une plus grande bêtise sur Camus
Merci mon Dieu, de nous avoir donné Mon Grand Albert Camus. J'adore cet homme, ces pensées m'ont beaucoup aidé.
ses pensées
C’est chez CAMUS l’ANTI TERRORISME ,l’anti fanatisme ...on aime l’humanité MALGRES ses défauts qui sont l’humain aussi et en tout un chacun AUSSI ...très chretien en fait ne l’oublions , la grandeur du christianisme
Plutôt ironique comme commentaire
@@gypsiedeck8156il vous faut lire l'Antéchrist de Nietzsche 😊
Antinomiques. Camus est justement de constructeur de la religion
Pourtant Camus le dit, « Tout ou rien ».
Pas de compromis. La lecture de Camus dans l’art est d’ailleurs à mes yeux la plus proche et la plus convenable à la réalité.
Même si l'on ne peut totalement suivre les idées de Camus, tant elles se tendent vers cet horizon encore inexploré de la conscience intellectuelle, et dont il était le seul habitant de ce même horizon de son époque et peut-être aujourd'hui encore, et de par son vocabulaire propre à sa pensée complexée par les mots qui lui semblent jamais assez variés, il est agréable de voir un vrai homme, humble de son oeuvre et de ceux qui la soutiennent, et admirent donc sa révolte, jamais dans la violence, mais dans son écho se renvoyant à ces contemporains de son temps ; ultime barrage à la mondanité des pensées hâtives, rendant à l'intellect sa lettre de grandeur.
waa t chaud. elle est longue ta phrase. Comme ma b....* :)
👏👏👏👏👏👏Merci infiniment pour la vidéo !!! 👍👍👍👍👍👍
Première fois de ma vie que j'apprécie écouter Enthoven ...
je suis d'accord!
Je suis heureux d'avoir Camus et Sartre dialoguer
Un grand humaniste
Jamais de ma vie je n'avais lu un texte aussi compliqué à comprendre que l'"Introduction" de l'Homme Révolté de Camus. Mais je crois avoir progressé...
Merci.👒👒👒
6:33 dans l'oeuvre de Camus, on n'abandonne pas ses marchepieds une fois qu'une étape est conquise. On ne sort pas de l'absurde par la revolte mais on approfondit l'absurde par la révolte. Camus ne fait pas une dissertation avec thèse, antithèse et synthèse; il creuse suffisamment un angle du sujet pour justifier l'ouverture d'un autre angle.
8:20 primauté de l'amour chez Camus, l'absurde commande une décision absurde qui est d'aimer un monde qui n'est pas aimable. L'amour donne d'emblée des limites à la révolte d'où son intransigeance dans/avec la mesure.
14:49 Le culte, l'idolâtrie de l'histoire chez Camus (qu'il met contre la nature) c'est à dire au sentiment qu'on peut ordonner l'histoire ou qu'elle l'est à notre insu.
23:09 Introduction du collectif dans l'ordre du singulier
27:43 Orphée ne suffisant plus laisse la place à Prométhée (passage du "nous sommes" au "je me révolte"; l'équivalent collectif des leçons d'Orphée), fort du souvenir de notre enfance qu'il faut garder vivace. Cette puissance native de l'individu qui est fécondé par Prométhée et pour prendre la forme d'une décision collective et qui repose sur une morale à deux piliers : Persévérance et Compréhension.
37:54 le refus Dostoïevskien d'accepter la souffrance d'un enfant, présente, au nom d'un mieux-être plus tard (qui serait la condition). Ivan porte parole de ceux qui refusent de diluer le présent dans le grand fleuve de l'histoire.
heeeeeee svp remmettez l'étranger de albert camus
Que j' aimerais que Albert Camus vous entende,Abdul Malick!
On comprend pourquoi ce livre qui démonte entre autres le communisme ait pu déplaire autant à Sartre qui décidément n'a rien vu venir des crimes de Staline.
Paix à son âme, mais Sartre s'en foutait.
Il ne pouvait pas ne pas savoir.
Autant j'apprécie, je respecte énormément la justesse de pensée, pleine d'humanité et d'humilité de Camus, que je continue d'apprendre parce qu'il donne à réfléchir toujours.
Autant Sartre me donne la nausée.
J'ai lu "L'homme révolté" il y a fort longtemps, je devais avoir 18 ou 19 ans. J'en garde l'impression d'un livre brillant par son style, mais faible en ce qui regarde les idées. Camus me semble en rester à la "révolte", justement : quelque chose d'épidermique ; et il ne propose rien qui la dépasse, sauf des pensées convenues sur l'altruisme comme dépassement de l'individualisme, une sorte de charité sans dieu. C'est mince. Mais il faudrait sans doute que je le relise.
Non non, c'est mince sur le fond, et est portée aux nues en ce qu'il délégitimise par cette "oeuvre" la révolution que pourrait souhaiter le prolétariat poussé par et à la révolte.
La révolte avant de la faire dans la rue, il faut la faire dans la tête 😊 celà passe par des lectures philosophiques.
J’apprécie grandement écouter Raphaël Enthoven mais je trouve assez paternaliste sa relation au sein de l’emission avec Paola Reman... je le déplore, un échange des deux serait peut être plus intéressant.
Oui la nature s' ordonne elle même
L'émission est bien mais cette musique de dégénèré au début la ...
Ce sont les hommes qui font du mal Dieu leur a donné le libre arbitre pour un temps fou pour toujours qu'est-ce qu'ils en font quand on voit le mal on leur reproche à Dieu mais est-ce qu'on veut ne plus avoir de libre arbitre ?
En quoi le libre-arbitre de l'homme serait-il responsable de la maladie d'un enfant ?
Camus est Français. Mais Camus c'est l'Algerois aussi
"La campagne est noire de soleil"... comme "La place est noire de monde" ?
Je doute à ce jour qu il y est encore des gens en capacité de lire et de comprendre la pensée de Camus ...dans l homme révolté...tant l écriture est complexe....et demande une attention..libre de tout pixels 🙏👣🐾
Dans toutes ces analyses il n' est fait à aucun moment référence au darwinisme. Est ce déjà une idéologie dévouée au dieu science? Ah ben zut alors!
En effet le darwinisme social ayant été incarné par l'idéologie nazi on évite de se permettre de penser légitime à des réflexions aussi vulgaires et pathétiques, merci internet haha
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en tous les cas ce gars n’était pas très révolté du sort des (indigènes )algériens!!! dans son bouquin la peste sur les algériens pas un mot l'etranger idem il n ya aucun algerien... donc pour moi bofff mon préférer pour cette periode c'est l'illustre franz fanon ...salutation
C'est bien de critiquer, c'est mieux de connaître ce qu'on critique... Albert Camus n'est pas qu'un écrivain, mais également un journaliste qui s'est battu corps et âme pour l'algérie. Pas un mot sur les indigènes ? Une série de documentaire sur la condition des khabyles qui lui valurent son exclusion du parti communiste, son combat corps et âme contre la misère, les préjugés sociaux... Décidemment, ce serait bien que tu te renseignes parce que c'est dur de dire une plus grande bêtise sur Camus
30:00 la peste
Tous les raisonnements sont bons quand il s'agit d'accuser Dieu alors que l'homme a un libre arbitre
Albert camue. Née en Algérie.
Malheureusement sa philosophie est interdite en Algérie Malheureusement. Ils ont intalie l'arabe et l'islamisme
non c'est pas pour ça t'as rien compris de suite l'islamisme il n'aimait pas les algeriens t'as qu a lire mon commentaire
@@mathieumathieu8113 Le silence est d'or quand on ne connaît pas de quoi on parle...