Tout à fait! On peut aussi y rajouter le fait que l'USAP considérait l'accès à la finale comme une fin en soi alors que les joueurs du Stade Français, qui avaient soif de revanche sur le destin, ne juraient que par le titre et s'en sont donné les moyens...
On avait pas les mêmes joueurs que les parisiens non plus. Paris a dominé le.championnat les années suivantes donc on perd contre beaucoup plus fort que nous
@@fouq662Il nous aimait pas et nous non plus. Thierry Lacroix nous disait ne pas le supporter quand il allait commenter avec lui le tournoi. Il se foutait de sa gueule à un point avec nous quand on attendait les joueurs à la fin du match
C'est après ce match que les clubs de D1 française ont pris conscience qu'il fallait professionnaliser. Les Perpignanais qui s'étaient déjà défaits difficilement de Colomiers en demi, sont quasiment ridicules durant cette finale. Il faut aussi avouer que ça changeait agréablement de la précédente, un Bourgoin Jallieu-Toulouse cadenassé et emmerdant.
Cadenassée certes...mais on avait eu une vraie finale, entre deux équipes qui se sont données à fond pour gagner (même si le CSBJ avait clairement manqué d'intelligence en refusant obstinément d'ouvrir le jeu)... Ici on n'a même pas l'impression qu'il s'agit d'une finale: au bout de dix minutes de jeu, pour peu qu'on s'y connaisse un minimum en rugby, on savait qui allait l'emporter... Et, en revoyant ce match, je n'ai même pas l'impression que les parisiens ont forcé: s'ils l'avaient fait, le score eût été beaucoup plus lourd, je pense...
Cette finale a opposé un club totalement professionnalisé à un club qui ne l'était pas encore, ce qui explique l'écart au score.
Tout à fait! On peut aussi y rajouter le fait que l'USAP considérait l'accès à la finale comme une fin en soi alors que les joueurs du Stade Français, qui avaient soif de revanche sur le destin, ne juraient que par le titre et s'en sont donné les moyens...
On avait pas les mêmes joueurs que les parisiens non plus. Paris a dominé le.championnat les années suivantes donc on perd contre beaucoup plus fort que nous
la première ligne du stade français c'est pas Gimbert, Moscato et Simon ou je me trmpoe quelque part
Le public siffle la tentative de pénalité pour paris et l autre faux jeton il dit c est bon enfant que hypocrite
c'est clair alors que d'habitude il criait contre
Ils auraient du prévenir salviac qu il s agissait d un match de rugby pas d une émission sur le pays catalan
Surtout que Salviac n'y connait rien et qu'il balance des stupidités. Il dit l'ESAP sur toute la 1ere MT, un gros niveau d'incompétence...
@@fouq662Il nous aimait pas et nous non plus. Thierry Lacroix nous disait ne pas le supporter quand il allait commenter avec lui le tournoi. Il se foutait de sa gueule à un point avec nous quand on attendait les joueurs à la fin du match
C'est après ce match que les clubs de D1 française ont pris conscience qu'il fallait professionnaliser. Les Perpignanais qui s'étaient déjà défaits difficilement de Colomiers en demi, sont quasiment ridicules durant cette finale. Il faut aussi avouer que ça changeait agréablement de la précédente, un Bourgoin Jallieu-Toulouse cadenassé et emmerdant.
Cadenassée certes...mais on avait eu une vraie finale, entre deux équipes qui se sont données à fond pour gagner (même si le CSBJ avait clairement manqué d'intelligence en refusant obstinément d'ouvrir le jeu)... Ici on n'a même pas l'impression qu'il s'agit d'une finale: au bout de dix minutes de jeu, pour peu qu'on s'y connaisse un minimum en rugby, on savait qui allait l'emporter... Et, en revoyant ce match, je n'ai même pas l'impression que les parisiens ont forcé: s'ils l'avaient fait, le score eût été beaucoup plus lourd, je pense...
les commentaires de beauf de Salviac (les changements, c'est nul, la publicite, c'est nul!)...
Bolo Bolo dans la case! Lol