Paroles : J’me rappelle avec mon frère on se disait comment faire Coincé dans un cauchemar où on rêvait d’être légendaires J’ai ouvert les yeux dans un endroit proche des enfers C’est pas un ange du paradis qui viendra m’la mettre à l’envers Mes rêves sont infinis, un million c’est symbolique Et si j’devais me définir j’suis l’exemple même de c’qui est impossible J’parle au ciel comme un livre ouvert parce que j’ai trop souffert Mon portefeuille est ouvert, mes sentiments indisponibles Comment ça va ? J’sais pas j’suis pas content J’ai pas ton temps j’ai pas mon temps Si tu touches à ma dignité : minimum j’déplace [?] J’ai un coeur de brute, j’suis comme mes frères et mes tontons Mais au réveil de mon accident j’ai rêvé que j’avais trois enfants J’sais pas si ma chance m’est fidèle J’fais parti des maudits qui détestent les héros [?] m’a dit qu’la vie est si belle C’est vrai mais parfois j’aimerai r’partir de zéro J’étais p’tit j’avais d’la morve au nez mais j’savais mailler Et les poèmes de rue que j’écrivais remplissaient mes cahiers Même si quand j’dors j’fais d’l’oseille j’ai pas le droit de baîller Coincé dans une danse frénétique à la « nu ma nu ma iei » J’regrette tellement l’époque où j’tais naïf J’regrette tellement l’époque où j’tais naïf Face au coucher de soleil j’suis ébahi parce que, Parce qu’il a la même couleur que tes ch’veux La même chaleur qu’ton sourire La même couleur qu’mon album La même couleur que tes yeux J’ai rarement le teint radieux, tout le temps le ton sérieux J’ai pas eu le coeur de dire « je t’aime », pas eu le temps de dire « adieu » Ma tête est cramée, ma chérie passe la pommade Vivons caché comme Houdini et Peau d’Âne J’étais un talent gaché, j’peux pas en dire davantage Solsad c’est pas qu’un album, c’est un fragment d’âme C’est un fragment d’âme…
Paroles :
J’me rappelle avec mon frère on se disait comment faire
Coincé dans un cauchemar où on rêvait d’être légendaires
J’ai ouvert les yeux dans un endroit proche des enfers
C’est pas un ange du paradis qui viendra m’la mettre à l’envers
Mes rêves sont infinis, un million c’est symbolique
Et si j’devais me définir j’suis l’exemple même de c’qui est impossible
J’parle au ciel comme un livre ouvert parce que j’ai trop souffert
Mon portefeuille est ouvert, mes sentiments indisponibles
Comment ça va ? J’sais pas j’suis pas content
J’ai pas ton temps j’ai pas mon temps
Si tu touches à ma dignité : minimum j’déplace [?]
J’ai un coeur de brute, j’suis comme mes frères et mes tontons
Mais au réveil de mon accident j’ai rêvé que j’avais trois enfants
J’sais pas si ma chance m’est fidèle
J’fais parti des maudits qui détestent les héros
[?] m’a dit qu’la vie est si belle
C’est vrai mais parfois j’aimerai r’partir de zéro
J’étais p’tit j’avais d’la morve au nez mais j’savais mailler
Et les poèmes de rue que j’écrivais remplissaient mes cahiers
Même si quand j’dors j’fais d’l’oseille j’ai pas le droit de baîller
Coincé dans une danse frénétique à la « nu ma nu ma iei »
J’regrette tellement l’époque où j’tais naïf
J’regrette tellement l’époque où j’tais naïf
Face au coucher de soleil j’suis ébahi parce que,
Parce qu’il a la même couleur que tes ch’veux
La même chaleur qu’ton sourire
La même couleur qu’mon album
La même couleur que tes yeux
J’ai rarement le teint radieux, tout le temps le ton sérieux
J’ai pas eu le coeur de dire « je t’aime », pas eu le temps de dire « adieu »
Ma tête est cramée, ma chérie passe la pommade
Vivons caché comme Houdini et Peau d’Âne
J’étais un talent gaché, j’peux pas en dire davantage
Solsad c’est pas qu’un album, c’est un fragment d’âme
C’est un fragment d’âme…
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Bien vue d’avoir couper l’outro et faire en sorte que l’instru continue ils on tout gâcher a réactiver leurs micro à la fin