Je trouve Una très jolie, je la trouve féminine. Je peux comprendre qu'à son âge ce soit difficile d'accepter la singularité, mais c'est justement ce qui fait la force.
Un super documentaire , merci Arte ! Les témoignages des 2 jeunes sont hyper touchant. Le témoignage d'Una me parle particulièrement car adolescent j'étais gros et c'était compliqué, ça l'est resté même après une perte de poids significative. Ce qui est super c'est qu'Una arrive à mettre des mots sur les points de son mal-être physique/esthétique car cela laisse présager une remédiation cognitive qui lui permettent de voir la personne unique qu'elle est et de sa beauté vivante ! Elle n'aime pas son sourire mais moi j'ai trouvé qu'il lui donnait une belle expression du visage mélanger de profondeur et de délicatesse. Quand on voit tous les .modèles et toutes les stars démaquillés sans mise en scènes ni vestimentaire ni d'éclairage, on se rend compte que dans la vraie vie on croise beaucoup plus de belles personnes au quotidien que celle formatées que l'on voit dans tous les médias. Et je me dis qu'elles sont d'autant plus belles parce qu'on les voit justement sans aucun artifice !
J’ai souffert d’anorexie boulimique pendant trois ans à cause des différentes critiques sur mon corps que j’ai subis et également a cause des standards de beauté omniprésents sur les réseaux sociaux. La TCC en hôpital de jour m’a énormément aidé à reprendre confiance en moi et m’accepter comme je suis. Il faudrait également que la diversité des corps soit plus mise en avant dans la société !
Ce n'est pas sur les réseaux sociaux que vous trouverez une acceptation des différences, il suffit, vous l'avez constatée le nombre de messages haineux ou méprisants. Faut se plaire à soi même avant tout. Toutes les filles sur les réseaux, au cinéma ou autres utilisent des filtres, du maquillage, des lumières.
Oui, il est important de se sentir bien dans sa peau mais ce qui compte encore plus que ça, c'est un bon caractère qui se manifeste dans la beauté intérieure!
Imaginez avoir une mère qui déteste ma poitrine, qui en parle presque tous les jours et qui m'oblige à la cacher. Je ne m'en suis libérée avec difficulté, à l'âge bien adulte et grâce à l'aide de mon conjoint.
@@Li-ke8yv c'était plutôt une bonne chose 😂 .. sérieusement imaginez le nombre de fille qui déteste leur poitrine à cause des garçons. Vous en l'occurrence c'était l'inverse j'appelle cela de la chance 😅
J’ai développé une réelle haine envers mon physique mais également la personne que je suis.. D’une certaine manière me rabaisser est devenu une partie de ma vie je n’arrive pas à me détacher de ça 🙁
Au fil des critiques et moqueries, j'ai fini par ressentir de la haine pour mon corps, et pour qui je suis, cmt je fonctionne et réfléchis. J'approche les 30 ans et constate que je suis fatiguée... c'est tellement usant de se haïr, c'est un combat perpétuel.. ajd je consulte plusieurs professionnels, je tente de respecter cet être qui est le mien. Il faut s'exercer à la tolérance et à la bienveillance envers soi-même... il faut renoncer à cet idéal impossible qu'on projette sur soi... pour accepter et être qui on est. Avec qualités et défauts... je ne vous connais pas mais je vous invite à choisir l'indulgence, la patience, l'optimisme et la gratitude. C'est facile à dire je sais... moi même j'échoue la plupart du temps. Mais je comprends votre sentiment, je me suis reconnue dans votre écrit, ainsi, je vous souhaite sincèrement le meilleur, que vous puissiez démarrer un processus de mieux-être !
Une image corporelle ne nous définirait pas, effectivement, mais ce serait la première chose que nous présenterions au monde. Affirmation qui pourrait nous apparaître évidente, ne serait-ce que ça, mais que tous pourraient savoir. Un monde, soit dit en passant et de façon plus ou moins consciente, où les stéréotypes (ariens) seraient importants (yeux et cheveux clairs, longiligne, sinon x associé, etc.) et où il faudrait compétitionner, montrer sa force, son endurance… son intelligence dans un système dit de la méritocratie. Heureusement, sans nécessairement déroger de ces critères, nous pourrions avoir connu des gens dits sans aucun intérêt, devenir presque sublime par leur manière de faire, leur imagination, allant redéfinir ou relativiser (Einstein?) autrement ce qui serait beau ou laid. Nous n'oublierions pas maintenant que, même beau, certaines personnes pourraient se faire jalouser, pouvant pour ces beaux passer un très mauvais quart d'heure. Serait-ce toutefois que même beau, si vous ne seriez pas tout à fait immunisé pour la logique, la cohérence, l'objectivité et le fondamental, vous pourriez paraître complètement l'inverse de ce que tous les stéréotypes sous-entendraient? Que dire aussi de ceux qui seraient… juste au milieu en matière de beauté plastique? Ici, serait-il nécessaire de préciser que nous pourrions avoir tous les extrêmes : beau et belle, mais pas tout à fait pour autre chose, etc. Heureusement que, notre cerveau pouvant comme avoir besoin de stimulation, il pourrait voir que le bon côté chez une personne en négligeant le reste (pouvant laisser quelque seconde chance aux caractériels par l'égo). Pour faire suite, attention de ne pas trop psychologiser, voire psychiatriser ce qui ne devrait pas l'être, et ce, parce que nous ne serions pas assez beaux.belles dans un monde centré sur les stéréotypes ne voulant rien dire. Il ne serait bel et bien pas pratique, dépendamment des contextes, de ne pas avoir d'ami.e.s, d'activités, voire d'emploi, puisque nous serions dits laid.e.s, comme nous aurions quelque handicap. Ne pas reconnaître cela en tant que thérapeute, ne serait-ce pas manquer à son éthique, ne pas être objectif, etc.? Des gens pourraient aussi se sentir terriblement malheureux à cause de ça, serait-ce vouloir dire pour autant que nous ne sentirions plus nos membres, que nous serions atteints physiquement et mentalement? En tant que thérapeute, ne risquerait-on pas de mettre tous ses œufs dans le même panier pour enfin jeter le bébé avec l'eau du bain? L'image corporelle, surtout la confiance en soi - devant ici définir le soi (du thérapeute?) -, ne pourrait-elle pas se traduire par un >? >, >. N'aurions-nous pas pu entendre aussi que la notion de conscience serait un problème difficile en philosophie? > Et, oui, la quantité d'info externe (interne) serait importante et ce qui nous servirait de parent pourrait ne pas nous informer. Concernant la notion de liberté, n'existant pas vraiment et symptomatique de quelque dérapage de la vidéo, elle serait toujours en lien avec un besoin bien réel de se libérer de quelque souffrance. Par exemple, sachant marcher sûrement pour enfin savoir courir, l'enfant pourrait se demander pourquoi il ne pourrait aller plus loin, voyant ses parents rentrer de l'extérieur. Ce pourrait être quoi ce bruit, cette chaleur, cette odeur, cette lumière, etc., venant de l'extérieur? Une personne maintenant s'étant fait violenter de quelque façon, pourrait redouter d'aller à l'extérieur, mais parce que ce serait à l'extérieur avec tout ce qui y serait associé par apprentissage. Ne sachant cependant tout ce qui pourrait se trouver à l'extérieur (à l'intérieur), pourrait-on réellement affirmer ledit tout? Ne pouvant ne pas bouger, n'essayerait-elle pas certaines choses? Concernant la notion de volonté [morale], je l'aurais pourtant répété ailleurs (d'autres aussi), elle n'existerait pas vraiment, et en attendant surtout d'avoir subi un accident pour en avoir comme pour renforcer ledit instinct (!) de survie. Il s'agirait plutôt, pour cette mécanique complexe que serait notre corps, de réaction, d'action réflexe, d'action non libre dans le but de diminuer une souffrance (émotion) par un apprentissage. Pour ne pas passer ni brûler d'étape, il y aurait certes ledit membre fantôme, mais il y aurait eu préalablement l'accident pour lequel on aurait ressenti quelque chose et on aurait fait aussi obligatoirement quelque chose. Pour l'empathie et les traitements, oui, ils seraient consécutifs à quelque préjugé, violence, accident, etc., un accident étant toujours si vite arrivé.
L'acceptation de son propre corps est un processus interne. Seul soi-même vit avec ce corps 24/7, ressent ses émotions, ses douleurs, et ses joies. Ce processus d'acceptation personnelle est essentiel pour la confiance en soi et le bien-être mental. Il ne dépend pas des autres. La validation sociale n'est pas une obligation : attendre ou rechercher l'acceptation des autres pour son corps place une part de son estime de soi dans les mains d'autrui. Cela crée une dépendance émotionnelle inutile, surtout si ces autres n'ont pas à gérer les réalités quotidiennes de ce corps. L'acceptation est personnelle et profonde. La validation sociale, en revanche, est une reconnaissance extérieure, souvent éphémère. Chercher la validation peut mener à des comportements compensatoires, alors que l'acceptation personnelle conduit à une stabilité émotionnelle plus durable.
À partir du moment où vous êtes blanc, valide, mince, cisgenre, tout doit être plus facile... Il peut y avoir un gros malaise sur les choses que l'on ne peut pas changer. Être d'une couleur stigmatisée (surtout aujourd'hui) peut vraiment pourrir votre vie 😢, et impossible à changer. On peut maigrir, changer de sexe, voire changer tout son visage par chirurgie, mais la douleur d'avoir l'air étranger dans son propre pays ne peut pas être soignée. Pensez-y avant de délibérément faire un enfant métis (comme mes parents).
@@krthon2fer636 alors il a pas tout à fait tort, le plus important pour une bonne santé mentale c'est de se sentir bien dans son corps et confiant , mais la vie en société se fait sur la vision des autres de l'individu. exemple tout simple : le geekos un peu kakoo manga est peut être super bien dans sa peau, maintenant la majorité de la société le prends pour un cassos
Tu as tout à fait raison, nous sommes à l'image social que nous renvoient les autres : homme, femme, grand, petit, noir, blanc, mince, gros, blond, brun, chauve, chevelu, athlétique, handicapé... Nous sommes en partie une projection social sur laquelle nous avons peu d'influence.
@@eriod439le plus important c'est d'être bien dans sa peau. On ne peut pas être bien vu par tout le monde. Selon la culture, le milieu social, les croyances on n'a pas tous les mêmes critères. Donc si nous ne sommes pas bien dans notre peau on ne pourra pas affronter sereinement le regard des autres et ça va créer des problèmes voir des troubles. Tout d'abord soi et après les autres. La preuve en est que je ne trouve pas qu'un geek dans son monde fait cassos. Nous ne sommes pas qu'esthétique. L'humain a tellement de choses à apporter plus intéressantes qu'un esthétisme. Un humain dégage quelque chose par pleins de moyens et c'est aussi ça qu'on perçoit. Une personne qui a confiance en elle ou essaye ça se ressent et fait toute la différence. Il suffit juste de trouver un groupe qui correspond à ses valeurs et normes pour se sentir accepter socialement.
Arte qu'est ce qu'on fait sans vous, toujours des documentaires intéressants et instruits ❤
Ça m’a bouleversé ce petit jeune qui s’est jeté sous le train, aujourd’hui son regard brille d’une lumière qu’on voit chez peu de gens
Je trouve Una très jolie, je la trouve féminine. Je peux comprendre qu'à son âge ce soit difficile d'accepter la singularité, mais c'est justement ce qui fait la force.
Un super documentaire , merci Arte ! Les témoignages des 2 jeunes sont hyper touchant.
Le témoignage d'Una me parle particulièrement car adolescent j'étais gros et c'était compliqué, ça l'est resté même après une perte de poids significative. Ce qui est super c'est qu'Una arrive à mettre des mots sur les points de son mal-être physique/esthétique car cela laisse présager une remédiation cognitive qui lui permettent de voir la personne unique qu'elle est et de sa beauté vivante ! Elle n'aime pas son sourire mais moi j'ai trouvé qu'il lui donnait une belle expression du visage mélanger de profondeur et de délicatesse.
Quand on voit tous les .modèles et toutes les stars démaquillés sans mise en scènes ni vestimentaire ni d'éclairage, on se rend compte que dans la vraie vie on croise beaucoup plus de belles personnes au quotidien que celle formatées que l'on voit dans tous les médias. Et je me dis qu'elles sont d'autant plus belles parce qu'on les voit justement sans aucun artifice !
J’ai souffert d’anorexie boulimique pendant trois ans à cause des différentes critiques sur mon corps que j’ai subis et également a cause des standards de beauté omniprésents sur les réseaux sociaux. La TCC en hôpital de jour m’a énormément aidé à reprendre confiance en moi et m’accepter comme je suis. Il faudrait également que la diversité des corps soit plus mise en avant dans la société !
Ce n'est pas sur les réseaux sociaux que vous trouverez une acceptation des différences, il suffit, vous l'avez constatée le nombre de messages haineux ou méprisants. Faut se plaire à soi même avant tout. Toutes les filles sur les réseaux, au cinéma ou autres utilisent des filtres, du maquillage, des lumières.
Self love is so important to be teaching at home and at school!!!🙏✨️❤
Excellent documentaire.
Oui, il est important de se sentir bien dans sa peau mais ce qui compte encore plus que ça, c'est un bon caractère qui se manifeste dans la beauté intérieure!
C'est pas simple de s'accepter tel que nous sommes
Oui,je d'accord avec vous ☺️
ARTE ,toujours des documentaires interéssant
Merci Arte, excellent documentaire! Comme d'hab
Merci Arte très bonne question
Tres belle reportage! ❤🎉
Merci Arte c est très intéressant
Imaginez avoir une mère qui déteste ma poitrine, qui en parle presque tous les jours et qui m'oblige à la cacher. Je ne m'en suis libérée avec difficulté, à l'âge bien adulte et grâce à l'aide de mon conjoint.
Elle avait quoi de particulier cette poitrine lol
@@Li-ke8yv relativez il y a plus grave dans la vie
@@Xiqu7777 🤣 Les garçons l'aimaient ! C'était là tout le problème pour ma mère 🤣
@@DidiLiberty pas facile pour la gamine que j'étais. Faut faire gaffe avec les ados
@@Li-ke8yv c'était plutôt une bonne chose 😂 .. sérieusement imaginez le nombre de fille qui déteste leur poitrine à cause des garçons. Vous en l'occurrence c'était l'inverse j'appelle cela de la chance 😅
Je vais direct poster ça sur insta
Bonjour Arte😊
ça guéri pas la blesser au profonde de nos corps....c'est que personne eu même peu guéri seul mais ils faut beaucoup beaucoup de temps
❤❤❤
❤
J’ai développé une réelle haine envers mon physique mais également la personne que je suis.. D’une certaine manière me rabaisser est devenu une partie de ma vie je n’arrive pas à me détacher de ça 🙁
Au fil des critiques et moqueries, j'ai fini par ressentir de la haine pour mon corps, et pour qui je suis, cmt je fonctionne et réfléchis.
J'approche les 30 ans et constate que je suis fatiguée... c'est tellement usant de se haïr, c'est un combat perpétuel.. ajd je consulte plusieurs professionnels, je tente de respecter cet être qui est le mien.
Il faut s'exercer à la tolérance et à la bienveillance envers soi-même... il faut renoncer à cet idéal impossible qu'on projette sur soi... pour accepter et être qui on est. Avec qualités et défauts... je ne vous connais pas mais je vous invite à choisir l'indulgence, la patience, l'optimisme et la gratitude. C'est facile à dire je sais... moi même j'échoue la plupart du temps. Mais je comprends votre sentiment, je me suis reconnue dans votre écrit, ainsi, je vous souhaite sincèrement le meilleur, que vous puissiez démarrer un processus de mieux-être !
Une image corporelle ne nous définirait pas, effectivement, mais ce serait la première chose que nous présenterions au monde. Affirmation qui pourrait nous apparaître évidente, ne serait-ce que ça, mais que tous pourraient savoir. Un monde, soit dit en passant et de façon plus ou moins consciente, où les stéréotypes (ariens) seraient importants (yeux et cheveux clairs, longiligne, sinon x associé, etc.) et où il faudrait compétitionner, montrer sa force, son endurance… son intelligence dans un système dit de la méritocratie. Heureusement, sans nécessairement déroger de ces critères, nous pourrions avoir connu des gens dits sans aucun intérêt, devenir presque sublime par leur manière de faire, leur imagination, allant redéfinir ou relativiser (Einstein?) autrement ce qui serait beau ou laid.
Nous n'oublierions pas maintenant que, même beau, certaines personnes pourraient se faire jalouser, pouvant pour ces beaux passer un très mauvais quart d'heure. Serait-ce toutefois que même beau, si vous ne seriez pas tout à fait immunisé pour la logique, la cohérence, l'objectivité et le fondamental, vous pourriez paraître complètement l'inverse de ce que tous les stéréotypes sous-entendraient? Que dire aussi de ceux qui seraient… juste au milieu en matière de beauté plastique? Ici, serait-il nécessaire de préciser que nous pourrions avoir tous les extrêmes : beau et belle, mais pas tout à fait pour autre chose, etc. Heureusement que, notre cerveau pouvant comme avoir besoin de stimulation, il pourrait voir que le bon côté chez une personne en négligeant le reste (pouvant laisser quelque seconde chance aux caractériels par l'égo).
Pour faire suite, attention de ne pas trop psychologiser, voire psychiatriser ce qui ne devrait pas l'être, et ce, parce que nous ne serions pas assez beaux.belles dans un monde centré sur les stéréotypes ne voulant rien dire. Il ne serait bel et bien pas pratique, dépendamment des contextes, de ne pas avoir d'ami.e.s, d'activités, voire d'emploi, puisque nous serions dits laid.e.s, comme nous aurions quelque handicap. Ne pas reconnaître cela en tant que thérapeute, ne serait-ce pas manquer à son éthique, ne pas être objectif, etc.? Des gens pourraient aussi se sentir terriblement malheureux à cause de ça, serait-ce vouloir dire pour autant que nous ne sentirions plus nos membres, que nous serions atteints physiquement et mentalement? En tant que thérapeute, ne risquerait-on pas de mettre tous ses œufs dans le même panier pour enfin jeter le bébé avec l'eau du bain?
L'image corporelle, surtout la confiance en soi - devant ici définir le soi (du thérapeute?) -, ne pourrait-elle pas se traduire par un >? >, >. N'aurions-nous pas pu entendre aussi que la notion de conscience serait un problème difficile en philosophie? > Et, oui, la quantité d'info externe (interne) serait importante et ce qui nous servirait de parent pourrait ne pas nous informer.
Concernant la notion de liberté, n'existant pas vraiment et symptomatique de quelque dérapage de la vidéo, elle serait toujours en lien avec un besoin bien réel de se libérer de quelque souffrance. Par exemple, sachant marcher sûrement pour enfin savoir courir, l'enfant pourrait se demander pourquoi il ne pourrait aller plus loin, voyant ses parents rentrer de l'extérieur. Ce pourrait être quoi ce bruit, cette chaleur, cette odeur, cette lumière, etc., venant de l'extérieur? Une personne maintenant s'étant fait violenter de quelque façon, pourrait redouter d'aller à l'extérieur, mais parce que ce serait à l'extérieur avec tout ce qui y serait associé par apprentissage. Ne sachant cependant tout ce qui pourrait se trouver à l'extérieur (à l'intérieur), pourrait-on réellement affirmer ledit tout? Ne pouvant ne pas bouger, n'essayerait-elle pas certaines choses?
Concernant la notion de volonté [morale], je l'aurais pourtant répété ailleurs (d'autres aussi), elle n'existerait pas vraiment, et en attendant surtout d'avoir subi un accident pour en avoir comme pour renforcer ledit instinct (!) de survie. Il s'agirait plutôt, pour cette mécanique complexe que serait notre corps, de réaction, d'action réflexe, d'action non libre dans le but de diminuer une souffrance (émotion) par un apprentissage. Pour ne pas passer ni brûler d'étape, il y aurait certes ledit membre fantôme, mais il y aurait eu préalablement l'accident pour lequel on aurait ressenti quelque chose et on aurait fait aussi obligatoirement quelque chose. Pour l'empathie et les traitements, oui, ils seraient consécutifs à quelque préjugé, violence, accident, etc., un accident étant toujours si vite arrivé.
Sheeesh
Le plus difficile c'est pas d'accepter son corps, mais que les autres l'acceptent ...
@@gilgamesh000 c'est exactement le contraire
L'acceptation de son propre corps est un processus interne. Seul soi-même vit avec ce corps 24/7, ressent ses émotions, ses douleurs, et ses joies. Ce processus d'acceptation personnelle est essentiel pour la confiance en soi et le bien-être mental. Il ne dépend pas des autres.
La validation sociale n'est pas une obligation : attendre ou rechercher l'acceptation des autres pour son corps place une part de son estime de soi dans les mains d'autrui. Cela crée une dépendance émotionnelle inutile, surtout si ces autres n'ont pas à gérer les réalités quotidiennes de ce corps.
L'acceptation est personnelle et profonde. La validation sociale, en revanche, est une reconnaissance extérieure, souvent éphémère. Chercher la validation peut mener à des comportements compensatoires, alors que l'acceptation personnelle conduit à une stabilité émotionnelle plus durable.
Non c’est le contraire, surtout quand tu as des maladies compliqués à vivre
Quelle est la musique à la fin??? Svp si quelqu’un a la référence
C'est Beautiful Things de Benson Boone !
@ merci je l’ai trouvé c’est un régal le son la garçon est beau aussi en plus
La nature telle qu'elle est ne peut être changée.
Tu es toute belle
J'aimerai bien avoir une plus longue brosse à dent mais la mienne me convient bien qu'elle soit dure et poilue.
Titre clairerment pas assez accurate...
Je ne m’accepterai qu’avec les biceps d’Arnold (humour je précise)
Etant Transgenre j'ai eu une enfance de mer** avec la société qui décide à ta place
Les femmes ont aussi des poils!
À partir du moment où vous êtes blanc, valide, mince, cisgenre, tout doit être plus facile...
Il peut y avoir un gros malaise sur les choses que l'on ne peut pas changer. Être d'une couleur stigmatisée (surtout aujourd'hui) peut vraiment pourrir votre vie 😢, et impossible à changer. On peut maigrir, changer de sexe, voire changer tout son visage par chirurgie, mais la douleur d'avoir l'air étranger dans son propre pays ne peut pas être soignée. Pensez-y avant de délibérément faire un enfant métis (comme mes parents).
Marre de la transphobie
Vous n’avez rien compris à la vie. Ce qui compte, c’est comment les autres nous voit. Merci au revoir
Mais what💀
@@krthon2fer636 alors il a pas tout à fait tort, le plus important pour une bonne santé mentale c'est de se sentir bien dans son corps et confiant , mais la vie en société se fait sur la vision des autres de l'individu.
exemple tout simple : le geekos un peu kakoo manga est peut être super bien dans sa peau, maintenant la majorité de la société le prends pour un cassos
@@eriod439 tu as tout compris
Tu as tout à fait raison, nous sommes à l'image social que nous renvoient les autres : homme, femme, grand, petit, noir, blanc, mince, gros, blond, brun, chauve, chevelu, athlétique, handicapé... Nous sommes en partie une projection social sur laquelle nous avons peu d'influence.
@@eriod439le plus important c'est d'être bien dans sa peau. On ne peut pas être bien vu par tout le monde. Selon la culture, le milieu social, les croyances on n'a pas tous les mêmes critères. Donc si nous ne sommes pas bien dans notre peau on ne pourra pas affronter sereinement le regard des autres et ça va créer des problèmes voir des troubles. Tout d'abord soi et après les autres. La preuve en est que je ne trouve pas qu'un geek dans son monde fait cassos. Nous ne sommes pas qu'esthétique. L'humain a tellement de choses à apporter plus intéressantes qu'un esthétisme. Un humain dégage quelque chose par pleins de moyens et c'est aussi ça qu'on perçoit. Une personne qui a confiance en elle ou essaye ça se ressent et fait toute la différence. Il suffit juste de trouver un groupe qui correspond à ses valeurs et normes pour se sentir accepter socialement.
Haaaa vous voyer les LGBT, il suffit de faire un effort.
❤❤❤