Laurent, photographe de lynx au cœur de la Suisse

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  • เผยแพร่เมื่อ 22 มี.ค. 2015
  • Grâce aux photos d’animaux, Laurent Geslin est devenu une des références internationales. Sa marque de fabrique ? Le grand angle et photographier de très près. Après des études en histoire de l’art, puis guide naturaliste en France, en Afrique du Sud et en Namibie, il s’installe à Londres où il devient photographe professionnel. C’est là qu’il entame son projet de photographier la faune des villes. Durant 5 ans, il shoote les animaux présents dans les villes… comme le renard qui fait la couverture de son ouvrage « Safari Urbain » sorti en 2010. Un monde où les animaux se sont adaptés à la proximité de l'homme sans que celui-ci ne s'en aperçoive vraiment. En traversant des villes comme Londres, Rome, Barcelone ou Paris, ce livre nous révèle la biodiversité insoupçonnée de nos mégapoles et les moyens ingénieux que les animaux ont élaborés pour s'y installer. Ce livre va changer sa vie et lui apporte une reconnaissance importante ! Puis, il collabore régulièrement avec les plus grands magazines spécialisés dans la protection de l’environnement. Il a participé au projet européen Wild Wonders of Europe et a exposé dans de nombreuses villes en France et à l’étranger y compris à Genève à l’Organisation des Nations Unies. Originaire de Bretagne, Laurent a posé il y a 8 ans ses valises dans un petit village du Jura, et depuis 5 ans il photographie ce qu’il qualifie de « graal » selon lui : le lynx. Il s’est pris de passion pour le plus grand félin d’Europe, le lynx boréal et le suis depuis de nombreuses années. A l’image de son tout dernier livre « LYNX, regards croisés » paru tout récemment, il lève pour nous le voile sur sa manière de travailler et nous emmène à Vuitboeuf en Suisse où nous allons vivre à l’affût avec lui dans l’espoir de croiser un lynx… Car la patience est légion dans son métier ! Pour une photo de lynx réussie, il faut parfois attendre jusqu’à 8 mois ! Ainsi, Laurent n’a pas volé son succès qu’il mesure chaque jour via son engagement auprès de scientifiques et qui lui offre la liberté d’être au contact d’animaux sauvages… de jour comme de nuit.

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