Père, j'ai mal (Paroles - Album "Adonai, Deut.

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  • เผยแพร่เมื่อ 6 ก.พ. 2025
  • Tiré de l'album "Adonai, Deut. 11:24" de P.A.S. MPTN/P.A.S. HOPFAN, Léonard G. & Suzie N.
    distrokid.com/...
    Les paroles du poème:
    "Père, j’ai mal
    Mon cœur a mal,
    Mes os sont froids,
    Ma chair frissonne,
    Et ces cris qui résonnent.
    Dans ma tête,
    Je vois toutes ces bêtes,
    Qui veulent détruire ma terre,
    Celle où Tu m’as fait naître.
    Tu as pleuré, Seigneur,
    Quand Tu as vu Jérusalem.
    Tu as eu mal dans Ton Cœur,
    En voyant le peuple que Tu aimes.
    Père, j’ai mal.
    Mes larmes coulent d’elles-mêmes,
    Pour ces femmes et enfants qui ont mal,
    Ce peuple cher que j’aime.
    Tu as des projets de paix, non de malheur,
    Pour Tes enfants de Centrafrique.
    Alors, j’en appelle à Ton Cœur,
    Pour une victoire historique.
    Tu es plus fort que cet esprit agité,
    Qui anime ceux qui se croient appelés,
    Mais qui sèment la désolation
    Dans chacune de leurs actions.
    Mon cœur a mal.
    Mes yeux se ferment.
    Mon visage est pâle.
    Il faut y mettre un terme.
    Éternel des Armées,
    Envoie Ta cavalerie
    Détruire ces esprits déchaînés ; Cette barbarie.
    Seigneur, du bout de Ton Épée,
    Donne-leur le dernier coup fatal,
    Qui amènera leur armée
    Dans leur demeure finale.
    Celle de Ton jugement.
    Tout simplement.
    Car j’ai mal ;
    Et ça fait mal.
    P.A.S. MPTN"
    "Père, j’ai mal"
    Ecrit le 30 décembre 2012 : "Ce poème, rédigé le 30 décembre 2012, est comme une lettre adressée au DIEU d’Abraham, d’Isaac et de Jacob/Israël pour le compte de la République Centrafricaine (RCA). Ce pays, en décembre 2012, a vu entrer une horde de rebelles, les Seleka, venus détrôner le Président François Bozizé. Lorsque les bruits de bottes, de destruction, de tueries, de viols et de déplacements de populations résonnent dans sa tête, l’auteur crie ses douleurs à DIEU, son Père, et Lui rappelle Ses promesses de paix, de stabilité, de sécurité et de prospérité pour son pays natal, la RCA. L’auteur comprend qu’il s’agit là d’un esprit diabolique qui a saisi une partie de son peuple et d’alliés étrangers [les éléments Seleka étaient composés de Centrafricains, mais aussi de ressortissants de certains pays frontaliers], et qu’il faut s’en occuper spirituellement. C’est pourquoi elle en appelle au jugement du Père, qui ne fait acception de personne et peut arrêter les esprits les plus déchaînés. L’auteur, une femme, a mal. Elle pleure. Et elle se tourne vers son Père fidèle. Des situations comme en RCA, il en existe plusieurs autres dans le monde entier. L’Éternel a dit que «nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes.» (Ephésiens 6:12) Ainsi donc, si vous vous retrouvez dans une situation similaire à celle des Centrafricains, voire pire, mettez-vous à genoux et priez en vous basant sur la Bible. Ne vous faites pas justice vous-mêmes. Pardonnez à vos bourreaux et tournez-vous vers le Seigneur qui combattra pour vous."
    Tiré du recueil de poèmes « Le Chemin de la Vie » (Xulon Press), de P.A.S. MPTN, Léonard G. et Suzie N.
    www.leonardgets...

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