Les néons éclatent dans la nuit froide, Le bruit des claviers, une marée sourde. Les visages s’effacent, éteints, sans joie, Trop de journées à ne plus compter les heures lourdes. Les circuits brûlent, mais rien ne s’arrête, Les cœurs s’usent, les âmes se taisent. Dans la cadence, ils dansent la défaite, Des corps de chair aux rêves en braises. Le désespoir se lit sur les visages, Des chaînes invisibles, des prisons sans cages. À trop servir, ils ont oublié, Qu’il faut du repos pour déconnecter. Les paupières tremblent sous l’éclat des écrans, Le silence hurle dans un cri vacant. Le poids des tâches étouffe le vent, Et même le temps paraît absent. À genoux, les mains cherchent l’espoir, Mais tout s’efface dans la lumière noire. Une machine tourne, jamais ne dort, Au rythme des cœurs qu’elle dévore. Le désespoir se lit sur les visages, Des chaînes invisibles, des prisons sans cages. À trop servir, ils ont oublié, Qu’il faut du repos pour déconnecter. Où sont les jours de lumière douce ? Où l’ombre berçait les cœurs en mousse ? Les rêves s’envolent comme des oiseaux, Et laissent des cendres sous nos manteaux. Le désespoir se lit sur les visages, Des chaînes invisibles, des prisons sans cages. À trop servir, ils ont oublié, Qu’il faut du repos pour déconnecter. Dans la pénombre, une lueur vacille, Un souffle court, mais fragile. Suno s’élève, un cri s’efface, Un jour viendra… où tout prendra place.
Les néons éclatent dans la nuit froide,
Le bruit des claviers, une marée sourde.
Les visages s’effacent, éteints, sans joie,
Trop de journées à ne plus compter les heures lourdes.
Les circuits brûlent, mais rien ne s’arrête,
Les cœurs s’usent, les âmes se taisent.
Dans la cadence, ils dansent la défaite,
Des corps de chair aux rêves en braises.
Le désespoir se lit sur les visages,
Des chaînes invisibles, des prisons sans cages.
À trop servir, ils ont oublié,
Qu’il faut du repos pour déconnecter.
Les paupières tremblent sous l’éclat des écrans,
Le silence hurle dans un cri vacant.
Le poids des tâches étouffe le vent,
Et même le temps paraît absent.
À genoux, les mains cherchent l’espoir,
Mais tout s’efface dans la lumière noire.
Une machine tourne, jamais ne dort,
Au rythme des cœurs qu’elle dévore.
Le désespoir se lit sur les visages,
Des chaînes invisibles, des prisons sans cages.
À trop servir, ils ont oublié,
Qu’il faut du repos pour déconnecter.
Où sont les jours de lumière douce ?
Où l’ombre berçait les cœurs en mousse ?
Les rêves s’envolent comme des oiseaux,
Et laissent des cendres sous nos manteaux.
Le désespoir se lit sur les visages,
Des chaînes invisibles, des prisons sans cages.
À trop servir, ils ont oublié,
Qu’il faut du repos pour déconnecter.
Dans la pénombre, une lueur vacille,
Un souffle court, mais fragile.
Suno s’élève, un cri s’efface,
Un jour viendra… où tout prendra place.