Ça pourrait être super intéréssant une vidéo sur le LSD et ses effets sur la dépression. Surtout pour le microdosing qui revient pas mal en ce moment. Sinon super vidéo, j'ai pas vraiment de problèmes psychique mais j'adore votre chaîne !
Je ne peux que vous apportez mon témoignage personnel, qui vaut ce qu'il vaut : 1/J'ai 78 ans, heureux retraité, peut-être un peu sociophobe par manque de motivation à sortir de mon cocon douillet et intellectuellement stimulé (lecture, visionnement de TH-cam de votre qualité, etc.). 2/Je ne consomme plus de cannabis depuis 40 ans, sauf à titre convivial. C'est que l'effet subjectif est nul. Sauf que devenant plus bavard, mes amis qui me filent un pétard le font pour "allumer la bête". 3/ Il y a 50 ans, j'étais un partisan enthousiaste de "l'herbe". Réalisateur radiophonique, je percevais les effets du THC comme positifs, en terme d'élargissement du champ de perception, d'acuité sensitive et empathique améliorée, d'élévation intellectuelle, d'une résonnance émotive améliorée. 4/ Par contre à ne jamais utiliser dans un travail analytique (rédaction, évaluation, étude systématique, etc.) ! Avant, après, oui, pendant, non. 5/ Cette consommation quotidienne fut marquée à la fois par un cheminement philosophique (philo, c'est ma formation) constant et rétrospectivement très fructueux, accompagné d'un lâcher prise de mon travail, que j'ai alors abandonné. 6 / Il s'en est suivi 4 années d'errance, de reprise en main, avant un retour au travail (d'où mon heureuse retraite !). 7/ Le cannabis m'a été d'un grand secours pendant cette période, m'évitant - je le pense - les affres d'une dépression. 8/ C'était il y a 40 ans. J'ai toujours gardé en réserve un peu d'herbe au cas ou le goût s'en ferait sentir. Elle est bien sèche maintenant mais je lui garde une bonne amitié. Comme à tous ces amis que je n'ai pas revus, solitaire paisible que je suis. - Alors, docteur, qu'en pensez-vous ? (Si vous en pensez quelque chose, un témoignage isolé frisant l'insignifiance).
Vos comparaison du cannabis avec l'alcool est un peu fourbe à mon sens. Vous dite que le cannabis est une drogue au même titre que "la consommation pathologique d'alcool." On voit bien que vous minimisez au fond de vous le produit qu'est l'alcool, juste avec cette nuance. Pour vous le cannabis n'est pas égale à l'alcool mais a la consommation pathologique d'alcool. Vous communiquez le fait suivant: consommer du cannabis, même de façon non excessive, c'est se droguer, par contre, consommer de l’alcool de façon non excessive, ce n'est pas se droguer (le terme non excessif ne veut rien dire en plus. Ca dépend de tellement de facteurs selon les individu). Ca en dit long sur la façon dont des autorités tel que vous ressentent l'alcool dans la société Française.
Je me suis fait exactement la même réaction quant à cette information. L'alcool est un psychotrope dangereux avec une toxicité générale et une neurotoxicité très dangereuses, comparé au cannabis qui se trouve avec un des scores les plus bas quant aux potentiels préjudices causés d'un point de vue individuel ou sociétal. De plus, l'usage du terme "toxicomanie/toxicomane" n'est plus utilisé dans le DSM-V car jugé trop péjoratif (ce qui est le cas), on parle de trouble de l'usage avec ou sans substance avec trois degrés de sévérité : faible, modéré et sévère. Et il ose parler de jugement, alors que le terme même de toxicomanie a été supprimé comme je l'ai énoncé. Au psychiatre de la vidéo, vous faites de la désinformation qui sera intégrée facilement dans la refléxion des gens qui vous regardent, n'ayant pas fait d'étude de psychopathologie ou de psychiatrie. N'usez pas votre statut de psychiatre pour essayer de légitimer de telles absurdités scientifiques. Une étude pour parler d'un problème, ce n'est pas être objectif ! Nous attendons plus de rigueur de votre part notamment en présentant à la place des méta-analyses ou des revues systématiques pour parler des effets du cannabis dans certaines pathologies psychiques.
@@nihilistblues6522 je suis tout à fait d'accord. Je serao pas non plus aussi sévère. Il fait pas mal avancer les choses ce monsieur, même si il est quand même un peu bourrin à mon gout.
Les chercheurs libéraux nous disent que nous fabriquons tous du cannabinol avec les graisses alimentaires. Le cannabis n'est pas anodin, ce qui est anodin c'est de ne pas dire que nos neurones ont besoin d'acides gras et aminés comme on ne nous le dit pas, on utilise la drogue pour donner de la dopamine aux neurones au lieu de les nourrir. Dès que nous nourrissons nos neurones, notre cerveau nous fabrique du cannabinol et nous n'avons plus besoin du tetra hydro cannabinol du cannabis. L'ignorance du phénomène fait vivre tant de gens que rien ne change.Troubles de l'humeur ? Tu m'étonnes, tes neurones se transforment en gilets jaunes, tu leur donne pas à manger.Ce sont tes neurones qui font tes pensées, on te laisse croire que seul, le cannabis va te soulager, non, c'est ton cannabinol que tu vas te fabriquer avec les omégas3, la mélatonine, le magneb6.Le scandale ? nous faire croire que notre cerveau n'a pas de besoins alimentaires. Quant au cannabis médical, il est dangereux pour le cancer. Le THC dérègle aussi les cellules cancéreuses, elles deviennent incapables de cracher leur somnifere sur nos globules blancs aptes a les détruire. Ceux qui comptent, ceux qu'on soigne, ce sont les actionnaires de la chimiotherapie, ils financent la FDA qui impose les traitements. Glyphosate cancérogène obligatoire, cannabis interdit, Chloroquine, interdite. Avec la Covid, on voit que c'est encore les actionnaires qui ont décidé du vaccin. En matière de drogue, pas un mot sur le système nerveux, en matière de virus, pas un mot sur le système immunitaire...
0:55, qu'en est-il du facteur de stress dû à la persécution/diabolisation de la substance? D'expérience, je pense qu'il est non-négligeable dans la genèse des émotions negatives et la détérioration l'estime de soi
Bonjour, j’aimerais amener une preciser a propos de ce que vous dites a 2:18 . Les gens n’ont pas pour projet de devenir toxicomane si on parle de cannabis, mais personnellement ma vie allait très bien, ou en tout cas c’est ce que je pensais et quand j’ai gouté pour la première fois a cette drogue seule, le soir dans ma chambre, je n’ai pas pu m’arrêter. Je n’etais pas en dépression, bien au contraire. J’ai adoré ça et j’ai donc continué
Malgré l'article scientifique que l'on ne peut ignorer bien évidemment. Toutes personnes ne jurant "que" par les sciences, les cartésiens (dont je fais partie) ne peut pas en tout cas. Cependant, lorsque que vous digressez de l'article scientifique (pour expliquer plus en détail, vulgariser et autres), on peut malheureusement constater un parti pris, ce qui est bien dommage. Dans toutes études quelles qu'elle soient, lorsque l'on essaie de la rendre plus accessible car très souvent en anglais, des maux et termes médicaux non compris de tout‧e‧s, etc. On DEVRAIT partir d'un avis totalement neutre. Ce qui n'est malheureusement pas votre cas. - Bien cordialement, une étudiante en 6ème année de médecine pour devenir endocrinologue.
La psychiatrie n'étant pas ma spécialité, je ne saurais le conseiller ou le déconseiller à mes futur patient‧e‧s. Et je ne consommes du THC qu'une fois dans le mois, je n'ai aucun droit à dire cela ira mieux avec ça ou sans ça. En revanche, vous non plus, n'avait pas le droit de me dire d'arrêter le THC ;) Vous savez, on signe un certain Serment d'Hippocrate, qui dit : "J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences." "Je n’entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés." Bien cordialement.
@@PsyCoaching Assez déçu par cette réponse car la personne vous a fait un retour constructif en aillant un certain recul et votre réponse n'est pas constructive, elle est d'ailleurs jugeante, réprimandante et moralisatrice. Maintenant lorsque j'écouterai vos videos je serai plus attentive à votre posture et à la perception personnelle de vos propos. Effectivement, à travers votre posture vous intégrez des messages dans la tête des gens qui sont peuvent être subjective. Attention à cela, je préférai que vous présentiez les choses de manière objective, en citant vos sources, l'objectif de l'étude, par qui elle a été financé, dans quel cadre, pourquoi et présenter d'autres études sur le sujet pour avoir une meilleure vision d'ensemble et que les gens puissent se faire un avis par eux même.
Un article ecrit par le professeur Calvino sur l’utilisation du cannabis comme antidouleur du futur tempère quelque peu de vos propos. Le THC semblant être de plus la molécule la plus utile en thérapie. L’article a été publié dans le magazine Cerveauetpsycho de janvier 2021.
Bonjour Docteur A quand un sujet sur la cyclothymie et ses traitements svp ? Je n 'ai pas encore vu ce sujet traité sur votre chaine. Si vous avez deja abordé ce sujet, merci de m'indiquer le lien vers la video. Merci d'avance pour votre reponse.
Eh bien je serai très heureux de débattre avec vous ouvertement au sujet du cannabis, je ne suis pas un fumeur, même si j'en ai déjà consommé à maintes reprises par le passé. Ce qui m'a paru frappant, évident, primordial, c'est que les études scientifiques restent théoriques car stériles, déconnectées du terrain. En fait il est évident que le cannabis aide les dépressifs, mais le milieu socio-affectif dans lequel nous baignons habituellement fausse la qualité de rémission. Car même si le cannabis agit comme une soupape de sécurité au niveau mental, émotionnel, la proximité des relations communes, passées, proches, rend la "redescente " difficile. Et il faut avoir été dépressif pour le comprendre. Il faut en plus s'abstraire de manière temporaire ( au cours d'un voyage de quelques mois par exemple) du milieu ( je dirais même le marasme habituel) et consommer, se détendre, descendre en soi, s'initier à la plongée dans ses sensations, dans un environnement calme et favorable, en pleine nature avec des amis sincères, plonger dans ses sensations, sentir qu'on fait partie de l'univers, qu'on y est relié, sentir que notre corps est notre trésor, que nous devons le chérir, être pris de visions pourquoi pas, et revenir à soi, pour apprendre à sortir définitivement de la dépression, Qui est une façon de s'échapper de soi même, de fuir son corps et son soi, un soi qui souffre d'être trop soumis de la surabondance de jugement extérieurs, d'injonction, de connections affectives energivores, ne laissant peu de place pour être connecté au soi pur, normal on nous apprend tout l'inverse dès l'école . J'espère me faire bien comprendre... J'ai fait moi même une maladie auto immune, et depuis cela mon rapport à ce produit 'a complètement changé, ce qui m'a grandement étonné, avant j' étais peu affirmé et craintif psychiquement, et l'effet du cannabis me faisait peu "planer", ça m'alourdissait et me rendait débile normal car j'étais trop nerveux, alors qu'après le burn out et la maladie auto immune au contraire j'ai vraiment commencé de prendre du plaisir à juste être avec ce produit en moi, il decuplait alors ma sensation de bien être. Et je devenais bien plus léger, conscient, et mon imaginaire devenait plus créatif, Toutefois j'ai arrêté de fumer car je préfère m'entraîner à des exercices de respiration type pranayama pour bien sentir mon Corps, pour moi le cannabis est un tremplin de retour au soi d'âmes en souffrance que cette société française névrosé produit à tour de bras... Avez vous vous même déjà été dépressif mon cher Dr ? En fait cannabis associé à un environnement stressant, clivant, jugeant, qui met la pression, ne reconnaît l'origine des souffrances exactes des gens, génère des gens mous du bulbe comme vous dites, parce qu'evidemment, la société actuelle est bien trop flippée, est par trop créatrice de pathologies neuro dégénératives, allez fumer du cannabis en inde dans les Himalayas et vous allez comprendre... Bon c'est vrai que là ils ont le meilleur cannabis au monde. Tout est une question de milieu. Enlevez moi tout ce stress franco français et prenez une bonne bouffée d'air pur, et vous verrez que les gens deviendront plus relax, le cannabis est un substitut seulement efficace en contexte favorable...
Sauf que les réalités du terrain (comme vous dîtes) sont plus celle du stress (qui n'est pas seulement franco-français d'ailleurs, mais très présent dans notre monde Occidental en général) que de l'Himalaya. A ce compte, les études scientifiques m'ont l'air moins déconnectées du terrain que votre témoignage, qui reste une expérience personnelle qui ne fait pas généralité, quant bien même elle soit juste et véridique (d'ailleurs je n'en doute pas). :)
@@lenyvacques6610 merci pour votre témoignage, je ne suis bien sûr pas un défenseur du cannabis au contraire, toutefois c'est en se desenclavant de l'ambiance française qu'on peut comprendre et voir où sont les nombreux facteurs de stress... Générant une demande en stupefiants importante...
Merci pour cette review très bien construite et intéressante ! J' ai arrêté d' en consommer depuis plusieurs années car des effets devenus délétères (troubles anxieux). Mais j' en connais dans mon environnement qui devrait en tenir de la graine vu dale déni dans lequel ils et elles se situent !
Le cannabis non, le cbd ouiiiiii, mieux qu'un anxyolitique chimique et mieux que les anti depresseurs sans les effets secondaires , le cbd c'est le top 😍
Au début mon médecin m'avait prescrit uniquementdu xanax, suite à ca j'ai augmenté beaucoup ma consommation de MDMA (1 fois toute les semaines) , le cannabis a augmenté aussi , et j'ai très vite abusé du xanax Depuis que mon médecin m'a prescrit des antidépresseur, j'ai moins souvent envie de me défoncer. Je consomme du cannabis presque uniquement en soirée avec des amis (beaucoup plus rarement seul) et en moins grosse quantité. La MD me manque pas En plus de réduire mon anxiété, les antidépresseurs sont en train de régler mes problèmes de toxicomanie (que j'ai depuis mes 16ans, quand on m'a prescrit de la codéine sans me dire que c'était très addictif J'ai 19 ans maintenant) Le cannabis m'a permis de ne plus consommer de codéine Mais c'est remplacer une addiction par une autre, mais au moins je n'avais plus de risque d'overdose -j'ai fais 5 overdoses avec la codéine- Je compte pas arrêter totalement pour l'instant, mais je pense que mes antidepresseurs vont m'apprendre à gérer ma conso
Bonjour j'ai une petite question à vous poser, sur quoi vous vous basez pour affirmer que les hommes sont plus touchés que les femmes? Je veux dire par là que j'ai une expérience dans le monde de la dépendance en temps que patient (abstinent à l'heure d’aujourd'hui) j'ai fréquenté 1 ans un centre résidentiel spécialisé en alcoologie; les professionnels de santé disaient qu'il était très difficile de faire un pourcentage d'alcoolique féminin, car les femmes se cachent par rapport en homme, dans notre société une femme qui boit n'est beaucoup plus juger qu’un homme. Est-ce propre à l'alcool ou est-ce pour toutes les dépendances? je fais des études d'éducateur et j'attends la réponse avec impatience :)
Vaut-il mieux fumer du cannabis avec un contrôle de la concentration en thc ou un cannabis issu du marché noir avec un dosage de plus en plus important et de plus en plus dangereux ? En sachant que de tout façon les gens fumeront, la prohibition en France le montre bien . Autrement dit, après avoir peser les pour et les contre, quel est votre point de vu sur la legalisation ?
Le cannabis est dangereux , beaucoup de gens autour de moi ont eu des problèmes psychologiques du à leurs consommation de cannabis , c'est une drogue qui agit énormément sur le psyché , les bads trips sont pléthore avec cette drogue mais on ne souhaite pas en parler en France, car c'est malheureusement le premier pays consommateur de cannabis en Europe et c'est devenir presque culturel de consommer du cannabis dans ce pays .
Est-ce que le fait de se baser sur un seul article scientifique sans le comparer avec d'autres (ou toute la littérature scientifique en relation avec le sujet) est une approche scientifique pour tirer des conclusions ? Et quelles sont les limites à respecter quand on analyse des données de corrélation ? Oui le cannabis peur être dangereux comme toute autre substance chimique, mais il reste toujours moins dangereux que l'alcool ou d'autres composants chimiques utilisé comme médicament. Le fait que le cannabis soit dangereux pour des gens ou dangereux en cas d'excès, n'est jamais une excuse pou arrêter de voir s'il y a une façon d'en tirer des bonnes choses. En plus, le THC n'est pas une molécule que "toxique" comme vous avez dit et pas mal d'articles scientifiques montre que cette molécule peut avoir des effets thérapeutiques. Personnellement, je pense qu'il faut laisser la science bien examiner le cannabis et je suis sûr que la science finira par nous fournir une réponse concluante et convaincante pour tous dans les prochaines années.
haha ;-) je souris Doc, car l'une de mes marottes est "moins on comprend, plus on juge" ta formule "renversée" est vach'ment mieux : beaucoup plus positive y'a un copyright dessus ? ;-) des bises, merci
Je trouve vos vidéos très intéressantes, je dirai néanmoins qu'il est très tôt pour injecter une foi aveugle dans les études proposées qui se contredisent encore bien trop souvent. (Sur le cannabis) Je dirai que votre seul défaut est un manque d'ouverture d'esprit, que j'étiquetterai comme une carence souvent associée au monde médical. Nous pouvons, par exemple, commencer une drogue par simple curiosité, désir de nouveauté, d'expérience, ou plus négativement d'appartenance au groupe... Il en tient à la volonté et la part addictive biologique de chacun, sans compter l'environnement, de s'y soustraire ou non. Sinon bravo
il existe des études récente sur la consommation de THC et CBD. Il y parait que le THC à faible dose serait anxiolytique et le THC à dose plus forte serait anxiogène. L'imagine négative du mou du bulbe vient évidemment de l'abus de THC. Mais il est dommage de renforcer le rejet totale de cette molécule alors qu'elle pourrait aider dans la lutte anti angoisse, il suffit juste de bien l'utilisé à bonne dose.
@@PsyCoaching Merci pour votre réponse. Pour être sur de comprendre, vous dites que les comportements addictifs sont la conséquence d'une maladie psychiatrique. Ainsi, traiter l'addiction sans chercher à savoir s'il y a une cause psychiatrique réduit la probabilité d’améliorer l'état de santé de la personne. Avez-vous connaissance d'une étude qui établie une corrélation entre les différentes types d'addictions avec des pathologies psychiatriques?
La question ne m'est pas adressée mais je me permets une réponse. Il y a pleins de formes de l'addiction, l'objet peut évoluer au cours de la vie. Je suis pas certain que l'addiction "pure" existe. Il y a des associations à d'autres pathologies: troubles anxieux, TDAH, troubles de l'humeur, troubles psychotiques, troubles de la personnalité, maladies somatiques. C'est toujours très utile de prendre en charge l'addiction (améliorer la qualité de vie, la santé et éviter que la situation se dégrade encore), mais sur certaines pathologies ce n'est pas suffisant.
@@bettdithyram1400 Merci de pour votre réponse. Par exemple, l'addiction au sexe est-ce que c'est une addiction qui a une association à une pathologies en particuliers?
L'étude a était faite sur des jeunes mais pour les adultes de plus de trente ans? Moi poly toxicomane (33ans) fumer un peu le soir seulement (10 grammes par mois) m'aider a dormir et manger ! Sinon je fais des insomnies puis je déprime vois tous en noir et mange pas. Oui le cannabis pour les moins de 20 ans est dangereux mais une fois adulte? Moi je fumais pas de cannabis avant mes 21 ans. Qu'en pensais vous honnêtement?
Je ne vous remercierai jamais assez pour vos conseils en tant de psychiatre, je me suis fait diagnostiquer officiellement Tdah grâce à vos vidéos, au final je me retrouve d’une façon encore plus importe dans le syndrome d’asperger Continuez vos vidéos sont intelligentes
Pour ma part j’ai des douleurs post zostériennes suite à un zona facial qui a touché V3. Lyrica Neurontin Rivotril Tegretol Trileptal Laroxyl... tous un échec. MERCI le CBD sans thc! La seule molécule qui me soulage réellement sans la tonne d’effets secondaire qu’apportent les médicaments cités au dessus. Et merci pour cette vidéo très instructive!
Quand on voit ce que certains médicaments font sur le corps (prise de poids +++), à mon avis les gens peuvent être tentés d'aller chercher un "réconfort " dans des substances qui n'ont pas cet effet là (mais les autres effets cités ). Ce serait bien de trouver des médocs psychiatriques qui n'aient pas ce genre d'effet peu acceptable sur l'image de soi... entre des joints et un médoc qui fait prendre parfois des dizaines de kg à long terme. ..
Bonjour, Je suis étudiante en psychologie en dernière année. Votre vidéo est très intéressante, mais je vous trouve sans aucune nuance concernant un usage récréatif (ou en tout cas le sujet n'est même pas abordé). Vous en parlez en comparaison à d'autres drogues, comme l'alcool, mais je doute fortement que vous ne vous autoriseriez pas un verre d'alcool pour un usage récréatif. Autrement dit pour des contextes particuliers et/ou exceptionnels. Une substance consommée avec modération peut s'avérer tout à fait saine pour l'usager en fonction de sa relation avec la substance. Bien sur, certaines drogues ont des effets plus addictifs (nicotine > cocaïne > LSD ; p.ex.) et s'avèrent donc plus dangereuses dans des cadres même récréatifs car ceux ci peuvent plus rapidement déborder. C'est bien de remettre toutes les substances sur un même pieds d'égalité pour séparer "légalité" et "dangerosité", ce qui n'est pas la même chose, en effet. Par contre, cela n'enlève pas les différences existantes en matière de dangers (ou l'alcool est en tête de liste, d'ailleurs) entre toutes - du moins celles qui ont pu être étudiées dans la littérature. Ensuite, la légalisation d'une substance (et son contrôle !) ont toujours montré des effets plus positifs sur le nombre de consommateurs (les pays où il est légalisé montrent justement un taux de consommateurs moins élevé) et les excès que l'inverse (si vous souhaitez regarder différents modèles à l'étranger je vous y inviter vivement). La prohibition de l'alcool fût un véritable fiasco aux USA justement... Et si on suit ce raisonnement - qui du coup pénalise et marginalise le consommateur, alors que la substance circulera toujours, donc cela ne règlera absolument pas le problème de consommation - l'alcool devrait également être interdit en vue de ses effets délétères qui sont très largement décrits dans la littérature scientifique. Les effets du binge drinking par exemple sont particulièrement inquiétants, et pourtant c'est bien un mode de consommation légal. Autrement dit, faire intervenir un cadre légal pour pénaliser le consommateur contribue à son isolement, sa marginalisation et son mal être. Or, avec un système tel que celui là, la prévention est bien plus facile à mettre en place. D'ailleurs, je vous invite à consulter les indices socios économiques des abus de substances pour le cannabis et l'ensemble des substances, cela pourrait également vous aider à vous faire une idée de tout cela. Enfin, bien que la vidéo ait un objectif de prévention, en discuter de façon trop moralisatrice n'aura aucun effet sur les consommateurs (et c'est prouvé scientifiquement également !). Du coup je trouve la fin de vidéo très mal avisée et maladroite alors qu'elle se voudrait préventive. Au contraire, c'est culpabilisateur. Le ton est vraiment à retravailler car le non jugement n'y est pas du tout, attention à ne pas devenir paternaliste dans votre attitude ! Bien à vous, PS : vous pourrez trouver toutes les informations que je vous dit ici dans la littérature si vous le souhaitez :) Jodie
Personnellement j'ai était gros consommateur de cannabis sa me permettait de m'assommer et oubliée mon mal être mais le problème c'est que certes j'oubliée mais problème mais sa man a créer ou du moin amplifier d'autre, anxiété tristesse même des fois impression d'être "mort" sans plus aucun ressentie ce qui ma décidé a arrêter, l'arrêt a était dur mais problèmes se sont amplifier puis estomper au fur et a mesure du sevrage. C'est une substances avec des effets variable en fonction des personne mais qui reste très diminuante cognitivement. Le CBD ma était aussi utile lors du sevrage je dirait même que sa ma permis d'arrêter.
Je comprendrais jamais pk les gens ils fument et là je ne parle pas de cannabis. Non mais c'est tellement mauvais pour la santé 🤔 Par contre j'essayerais peut être un jour l'ayahuasca par curiosité 🙂
Mouais, m'enfin là le risque psychique il est ++++ Pour le coup, ça le retourne sévère le cerveau, avec des risques d'expérience traumatisante élevés, d'autant que le contrôle sur la structure autour, le "sitter" etc, est vraiment très limité.
@@meloworld9289 C'est pas stupide du tout! Ca a été et c'est peut-être encore un truc à la mode, avec de la pub autour. Logique qu'on puisse avoir envie d'en expérimenter les bienfaits lorsqu'on en entend des retours ultra-positifs. Bon après, dans ce registre, je pense que le microdosage de psilocybine est quant à lui safe, et plutôt prometteur... Le "macrodosage" aussi, mais se pose à nouveau, outre évidemment la question légale depuis le début, celle du "set and setting": le contexte (dans quel état d'esprit, où, quand, avec qui), ça pèse lourdement voire essentiellement sur la qualité des expériences apparemment.
Souffrant de trouble bipolaire, je suis passé a l adolescence et jusqu a mes 25 ans par la polydependance (alcool,tabac et canabis), apres un passage en hp, j ai continuer le tabac et le canabis jusqu a 35 ans, la j ai continué avec le tabac, et il y a 2 ans, (j ai 45 ans) quand j ai voulu reconsomer du canabis, j ai decouvert la cbd legale (en suisse), ce qui m as permis de ne pas replonger dans les psychotropes... et j espere reussir a sortir du tabac et de la cbd maintenant, mais c est un long combat contre mes demons...
Bon courage🙏je souffre egalement du même trouble avec à peu près l même parcour..du coup j commence a test la cbd pour gerer l arrêt brutal du reste..vous êtes de type 2 vous aussi?
Je suis d'accord sur tout et je trouve ça très clair , Ceci dit, est-ce qui si on remplaçait cannabis par alcool , ce serait pas un peu les mêmes résultats ? (Quelqu'un qui consomme régulièrement de l'alcool , seul etc a au final un problème similaire à celui qui consomme du cannabis) , quelles seraient les différences majeures entre les deux?
en vrai c des connerie tu peut etre toxico pour surconsommation des réseaux sociaux , video ,sport ,livre ,jeux video ,sexe, boulot donc le problème n'est pas que les toxico te rende triste met que tu a un problème avec la drogue mais a se compte la la dopamine que tu produit en mangeant est une drogue car t'en a besoin pour etre heureux donc au finale tu vaut pas mieux
@@nonooklm7650🤨 oui enfin manger reste un acte vital. Ce qui est drôle c'est que tu arrives à écrire le mot ayant le même sens "mais" de 2 façons différentes en 2 lignes...et l'orthographe correct est effectivement "mais" et non pas "met" qui est du verbe "mettre". Et je ne corrigerai pas les autres fautes 😉
Ça pourrait être super intéréssant une vidéo sur le LSD et ses effets sur la dépression. Surtout pour le microdosing qui revient pas mal en ce moment. Sinon super vidéo, j'ai pas vraiment de problèmes psychique mais j'adore votre chaîne !
Je ne peux que vous apportez mon témoignage personnel, qui vaut ce qu'il vaut : 1/J'ai 78 ans, heureux retraité, peut-être un peu sociophobe par manque de motivation à sortir de mon cocon douillet et intellectuellement stimulé (lecture, visionnement de TH-cam de votre qualité, etc.). 2/Je ne consomme plus de cannabis depuis 40 ans, sauf à titre convivial. C'est que l'effet subjectif est nul. Sauf que devenant plus bavard, mes amis qui me filent un pétard le font pour "allumer la bête". 3/ Il y a 50 ans, j'étais un partisan enthousiaste de "l'herbe". Réalisateur radiophonique, je percevais les effets du THC comme positifs, en terme d'élargissement du champ de perception, d'acuité sensitive et empathique améliorée, d'élévation intellectuelle, d'une résonnance émotive améliorée. 4/ Par contre à ne jamais utiliser dans un travail analytique (rédaction, évaluation, étude systématique, etc.) ! Avant, après, oui, pendant, non. 5/ Cette consommation quotidienne fut marquée à la fois par un cheminement philosophique (philo, c'est ma formation) constant et rétrospectivement très fructueux, accompagné d'un lâcher prise de mon travail, que j'ai alors abandonné. 6 / Il s'en est suivi 4 années d'errance, de reprise en main, avant un retour au travail (d'où mon heureuse retraite !). 7/ Le cannabis m'a été d'un grand secours pendant cette période, m'évitant - je le pense - les affres d'une dépression. 8/ C'était il y a 40 ans. J'ai toujours gardé en réserve un peu d'herbe au cas ou le goût s'en ferait sentir. Elle est bien sèche maintenant mais je lui garde une bonne amitié. Comme à tous ces amis que je n'ai pas revus, solitaire paisible que je suis. - Alors, docteur, qu'en pensez-vous ? (Si vous en pensez quelque chose, un témoignage isolé frisant l'insignifiance).
Vos comparaison du cannabis avec l'alcool est un peu fourbe à mon sens. Vous dite que le cannabis est une drogue au même titre que "la consommation pathologique d'alcool."
On voit bien que vous minimisez au fond de vous le produit qu'est l'alcool, juste avec cette nuance. Pour vous le cannabis n'est pas égale à l'alcool mais a la consommation pathologique d'alcool. Vous communiquez le fait suivant: consommer du cannabis, même de façon non excessive, c'est se droguer, par contre, consommer de l’alcool de façon non excessive, ce n'est pas se droguer (le terme non excessif ne veut rien dire en plus. Ca dépend de tellement de facteurs selon les individu).
Ca en dit long sur la façon dont des autorités tel que vous ressentent l'alcool dans la société Française.
Je me suis fait exactement la même réaction quant à cette information. L'alcool est un psychotrope dangereux avec une toxicité générale et une neurotoxicité très dangereuses, comparé au cannabis qui se trouve avec un des scores les plus bas quant aux potentiels préjudices causés d'un point de vue individuel ou sociétal. De plus, l'usage du terme "toxicomanie/toxicomane" n'est plus utilisé dans le DSM-V car jugé trop péjoratif (ce qui est le cas), on parle de trouble de l'usage avec ou sans substance avec trois degrés de sévérité : faible, modéré et sévère. Et il ose parler de jugement, alors que le terme même de toxicomanie a été supprimé comme je l'ai énoncé. Au psychiatre de la vidéo, vous faites de la désinformation qui sera intégrée facilement dans la refléxion des gens qui vous regardent, n'ayant pas fait d'étude de psychopathologie ou de psychiatrie. N'usez pas votre statut de psychiatre pour essayer de légitimer de telles absurdités scientifiques. Une étude pour parler d'un problème, ce n'est pas être objectif ! Nous attendons plus de rigueur de votre part notamment en présentant à la place des méta-analyses ou des revues systématiques pour parler des effets du cannabis dans certaines pathologies psychiques.
@@nihilistblues6522 je suis tout à fait d'accord. Je serao pas non plus aussi sévère. Il fait pas mal avancer les choses ce monsieur, même si il est quand même un peu bourrin à mon gout.
L'alcool est la drogue la plus dangereuse qui existe... voir les alcooliques anonymes
Les chercheurs libéraux nous disent que nous fabriquons tous du cannabinol avec les graisses alimentaires. Le cannabis n'est pas anodin, ce qui est anodin c'est de ne pas dire que nos neurones ont besoin d'acides gras et aminés comme on ne nous le dit pas, on utilise la drogue pour donner de la dopamine aux neurones au lieu de les nourrir. Dès que nous nourrissons nos neurones, notre cerveau nous fabrique du cannabinol et nous n'avons plus besoin du tetra hydro cannabinol du cannabis. L'ignorance du phénomène fait vivre tant de gens que rien ne change.Troubles de l'humeur ? Tu m'étonnes, tes neurones se transforment en gilets jaunes, tu leur donne pas à manger.Ce sont tes neurones qui font tes pensées, on te laisse croire que seul, le cannabis va te soulager, non, c'est ton cannabinol que tu vas te fabriquer avec les omégas3, la mélatonine, le magneb6.Le scandale ? nous faire croire que notre cerveau n'a pas de besoins alimentaires. Quant au cannabis médical, il est dangereux pour le cancer. Le THC dérègle aussi les cellules cancéreuses, elles deviennent incapables de cracher leur somnifere sur nos globules blancs aptes a les détruire. Ceux qui comptent, ceux qu'on soigne, ce sont les actionnaires de la chimiotherapie, ils financent la FDA qui impose les traitements. Glyphosate cancérogène obligatoire, cannabis interdit, Chloroquine, interdite. Avec la Covid, on voit que c'est encore les actionnaires qui ont décidé du vaccin. En matière de drogue, pas un mot sur le système nerveux, en matière de virus, pas un mot sur le système immunitaire...
0:55, qu'en est-il du facteur de stress dû à la persécution/diabolisation de la substance? D'expérience, je pense qu'il est non-négligeable dans la genèse des émotions negatives et la détérioration l'estime de soi
Angle de vue différent et intéressant. Mixé à l'anxiété sociale x un faux self cela jour vraiment.
Bonjour, j’aimerais amener une preciser a propos de ce que vous dites a 2:18 . Les gens n’ont pas pour projet de devenir toxicomane si on parle de cannabis, mais personnellement ma vie allait très bien, ou en tout cas c’est ce que je pensais et quand j’ai gouté pour la première fois a cette drogue seule, le soir dans ma chambre, je n’ai pas pu m’arrêter. Je n’etais pas en dépression, bien au contraire. J’ai adoré ça et j’ai donc continué
Cette vidéo, comme toutes vos autres, est très intéressante. Merci de nous partager votre savoir et de donner de votre personne ! :)
Malgré l'article scientifique que l'on ne peut ignorer bien évidemment. Toutes personnes ne jurant "que" par les sciences, les cartésiens (dont je fais partie) ne peut pas en tout cas.
Cependant, lorsque que vous digressez de l'article scientifique (pour expliquer plus en détail, vulgariser et autres), on peut malheureusement constater un parti pris, ce qui est bien dommage.
Dans toutes études quelles qu'elle soient, lorsque l'on essaie de la rendre plus accessible car très souvent en anglais, des maux et termes médicaux non compris de tout‧e‧s, etc.
On DEVRAIT partir d'un avis totalement neutre. Ce qui n'est malheureusement pas votre cas.
- Bien cordialement, une étudiante en 6ème année de médecine pour devenir endocrinologue.
Je vous conseil d’arrêter le THC. Je vous conseil de faire ce que vous conseillerez à vos patients.
La psychiatrie n'étant pas ma spécialité, je ne saurais le conseiller ou le déconseiller à mes futur patient‧e‧s.
Et je ne consommes du THC qu'une fois dans le mois, je n'ai aucun droit à dire cela ira mieux avec ça ou sans ça.
En revanche, vous non plus, n'avait pas le droit de me dire d'arrêter le THC ;)
Vous savez, on signe un certain Serment d'Hippocrate, qui dit :
"J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences."
"Je n’entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés."
Bien cordialement.
@@PsyCoaching Assez déçu par cette réponse car la personne vous a fait un retour constructif en aillant un certain recul et votre réponse n'est pas constructive, elle est d'ailleurs jugeante, réprimandante et moralisatrice. Maintenant lorsque j'écouterai vos videos je serai plus attentive à votre posture et à la perception personnelle de vos propos.
Effectivement, à travers votre posture vous intégrez des messages dans la tête des gens qui sont peuvent être subjective. Attention à cela, je préférai que vous présentiez les choses de manière objective, en citant vos sources, l'objectif de l'étude, par qui elle a été financé, dans quel cadre, pourquoi et présenter d'autres études sur le sujet pour avoir une meilleure vision d'ensemble et que les gens puissent se faire un avis par eux même.
Un article ecrit par le professeur Calvino sur l’utilisation du cannabis comme antidouleur du futur tempère quelque peu de vos propos. Le THC semblant être de plus la molécule la plus utile en thérapie. L’article a été publié dans le magazine Cerveauetpsycho de janvier 2021.
Bonjour Docteur
A quand un sujet sur la cyclothymie et ses traitements svp ?
Je n 'ai pas encore vu ce sujet traité sur votre chaine. Si vous avez deja abordé ce sujet, merci de m'indiquer le lien vers la video.
Merci d'avance pour votre reponse.
Eh bien je serai très heureux de débattre avec vous ouvertement au sujet du cannabis, je ne suis pas un fumeur, même si j'en ai déjà consommé à maintes reprises par le passé. Ce qui m'a paru frappant, évident, primordial, c'est que les études scientifiques restent théoriques car stériles, déconnectées du terrain. En fait il est évident que le cannabis aide les dépressifs, mais le milieu socio-affectif dans lequel nous baignons habituellement fausse la qualité de rémission. Car même si le cannabis agit comme une soupape de sécurité au niveau mental, émotionnel, la proximité des relations communes, passées, proches, rend la "redescente " difficile. Et il faut avoir été dépressif pour le comprendre. Il faut en plus s'abstraire de manière temporaire ( au cours d'un voyage de quelques mois par exemple) du milieu ( je dirais même le marasme habituel) et consommer, se détendre, descendre en soi, s'initier à la plongée dans ses sensations, dans un environnement calme et favorable, en pleine nature avec des amis sincères, plonger dans ses sensations, sentir qu'on fait partie de l'univers, qu'on y est relié, sentir que notre corps est notre trésor, que nous devons le chérir, être pris de visions pourquoi pas, et revenir à soi, pour apprendre à sortir définitivement de la dépression, Qui est une façon de s'échapper de soi même, de fuir son corps et son soi, un soi qui souffre d'être trop soumis de la surabondance de jugement extérieurs, d'injonction, de connections affectives energivores, ne laissant peu de place pour être connecté au soi pur, normal on nous apprend tout l'inverse dès l'école . J'espère me faire bien comprendre... J'ai fait moi même une maladie auto immune, et depuis cela mon rapport à ce produit 'a complètement changé, ce qui m'a grandement étonné, avant j' étais peu affirmé et craintif psychiquement, et l'effet du cannabis me faisait peu "planer", ça m'alourdissait et me rendait débile normal car j'étais trop nerveux, alors qu'après le burn out et la maladie auto immune au contraire j'ai vraiment commencé de prendre du plaisir à juste être avec ce produit en moi, il decuplait alors ma sensation de bien être. Et je devenais bien plus léger, conscient, et mon imaginaire devenait plus créatif, Toutefois j'ai arrêté de fumer car je préfère m'entraîner à des exercices de respiration type pranayama pour bien sentir mon Corps, pour moi le cannabis est un tremplin de retour au soi d'âmes en souffrance que cette société française névrosé produit à tour de bras... Avez vous vous même déjà été dépressif mon cher Dr ? En fait cannabis associé à un environnement stressant, clivant, jugeant, qui met la pression, ne reconnaît l'origine des souffrances exactes des gens, génère des gens mous du bulbe comme vous dites, parce qu'evidemment, la société actuelle est bien trop flippée, est par trop créatrice de pathologies neuro dégénératives, allez fumer du cannabis en inde dans les Himalayas et vous allez comprendre... Bon c'est vrai que là ils ont le meilleur cannabis au monde. Tout est une question de milieu. Enlevez moi tout ce stress franco français et prenez une bonne bouffée d'air pur, et vous verrez que les gens deviendront plus relax, le cannabis est un substitut seulement efficace en contexte favorable...
Sauf que les réalités du terrain (comme vous dîtes) sont plus celle du stress (qui n'est pas seulement franco-français d'ailleurs, mais très présent dans notre monde Occidental en général) que de l'Himalaya. A ce compte, les études scientifiques m'ont l'air moins déconnectées du terrain que votre témoignage, qui reste une expérience personnelle qui ne fait pas généralité, quant bien même elle soit juste et véridique (d'ailleurs je n'en doute pas). :)
@@lenyvacques6610 merci pour votre témoignage, je ne suis bien sûr pas un défenseur du cannabis au contraire, toutefois c'est en se desenclavant de l'ambiance française qu'on peut comprendre et voir où sont les nombreux facteurs de stress... Générant une demande en stupefiants importante...
J'ai une question, est ce que le thc est aussi nocif que le cannabis ?
Le thc est une partie intégrante du cannabis c'est comme l'ethanol pour l'alcool a boire si tu veux...
@@Laurelhardy3420 oui effectivement, n'importe quoi 🙄je me suis trompée. Pffff. Mais merci qd même de votre réponse 🙃
@@marylinepoittevin9365
Il n'y a pas de honte à poser une simple question !
Merci pour cette review très bien construite et intéressante ! J' ai arrêté d' en consommer depuis plusieurs années car des effets devenus délétères (troubles anxieux). Mais j' en connais dans mon environnement qui devrait en tenir de la graine vu dale déni dans lequel ils et elles se situent !
Le cannabis non, le cbd ouiiiiii, mieux qu'un anxyolitique chimique et mieux que les anti depresseurs sans les effets secondaires , le cbd c'est le top 😍
Bonjour, pourriez-vous parler prochainement du MCDD (multiple complex developmental disorder) ? Merci.
Au début mon médecin m'avait prescrit uniquementdu xanax, suite à ca j'ai augmenté beaucoup ma consommation de MDMA (1 fois toute les semaines) , le cannabis a augmenté aussi , et j'ai très vite abusé du xanax
Depuis que mon médecin m'a prescrit des antidépresseur, j'ai moins souvent envie de me défoncer. Je consomme du cannabis presque uniquement en soirée avec des amis (beaucoup plus rarement seul) et en moins grosse quantité. La MD me manque pas
En plus de réduire mon anxiété, les antidépresseurs sont en train de régler mes problèmes de toxicomanie (que j'ai depuis mes 16ans, quand on m'a prescrit de la codéine sans me dire que c'était très addictif J'ai 19 ans maintenant)
Le cannabis m'a permis de ne plus consommer de codéine Mais c'est remplacer une addiction par une autre, mais au moins je n'avais plus de risque d'overdose -j'ai fais 5 overdoses avec la codéine- Je compte pas arrêter totalement pour l'instant, mais je pense que mes antidepresseurs vont m'apprendre à gérer ma conso
Bonjour j'ai une petite question à vous poser, sur quoi vous vous basez pour affirmer que les hommes sont plus touchés que les femmes? Je veux dire par là que j'ai une expérience dans le monde de la dépendance en temps que patient (abstinent à l'heure d’aujourd'hui) j'ai fréquenté 1 ans un centre résidentiel spécialisé en alcoologie; les professionnels de santé disaient qu'il était très difficile de faire un pourcentage d'alcoolique féminin, car les femmes se cachent par rapport en homme, dans notre société une femme qui boit n'est beaucoup plus juger qu’un homme. Est-ce propre à l'alcool ou est-ce pour toutes les dépendances? je fais des études d'éducateur et j'attends la réponse avec impatience :)
Vaut-il mieux fumer du cannabis avec un contrôle de la concentration en thc ou un cannabis issu du marché noir avec un dosage de plus en plus important et de plus en plus dangereux ? En sachant que de tout façon les gens fumeront, la prohibition en France le montre bien . Autrement dit, après avoir peser les pour et les contre, quel est votre point de vu sur la legalisation ?
Le cannabis est dangereux , beaucoup de gens autour de moi ont eu des problèmes psychologiques du à leurs consommation de cannabis , c'est une drogue qui agit énormément sur le psyché , les bads trips sont pléthore avec cette drogue mais on ne souhaite pas en parler en France, car c'est malheureusement le premier pays consommateur de cannabis en Europe et c'est devenir presque culturel de consommer du cannabis dans ce pays .
Bonjour, et le CBD dans le cadre d'une dépression?
Est-ce que le fait de se baser sur un seul article scientifique sans le comparer avec d'autres (ou toute la littérature scientifique en relation avec le sujet) est une approche scientifique pour tirer des conclusions ? Et quelles sont les limites à respecter quand on analyse des données de corrélation ?
Oui le cannabis peur être dangereux comme toute autre substance chimique, mais il reste toujours moins dangereux que l'alcool ou d'autres composants chimiques utilisé comme médicament. Le fait que le cannabis soit dangereux pour des gens ou dangereux en cas d'excès, n'est jamais une excuse pou arrêter de voir s'il y a une façon d'en tirer des bonnes choses. En plus, le THC n'est pas une molécule que "toxique" comme vous avez dit et pas mal d'articles scientifiques montre que cette molécule peut avoir des effets thérapeutiques.
Personnellement, je pense qu'il faut laisser la science bien examiner le cannabis et je suis sûr que la science finira par nous fournir une réponse concluante et convaincante pour tous dans les prochaines années.
haha ;-) je souris Doc, car l'une de mes marottes est "moins on comprend, plus on juge"
ta formule "renversée" est vach'ment mieux : beaucoup plus positive
y'a un copyright dessus ? ;-)
des bises, merci
Je trouve vos vidéos très intéressantes, je dirai néanmoins qu'il est très tôt pour injecter une foi aveugle dans les études proposées qui se contredisent encore bien trop souvent. (Sur le cannabis)
Je dirai que votre seul défaut est un manque d'ouverture d'esprit, que j'étiquetterai comme une carence souvent associée au monde médical.
Nous pouvons, par exemple, commencer une drogue par simple curiosité, désir de nouveauté, d'expérience, ou plus négativement d'appartenance au groupe...
Il en tient à la volonté et la part addictive biologique de chacun, sans compter l'environnement, de s'y soustraire ou non.
Sinon bravo
Serait-il possible de faire le même genre de vidéo sur les effets des champignons psilocybes et les cactus à la mescaline svp ?
Votre accent anglais me fait plus halluciner qu'un joint de Jack Herer, cher docteur.
Best comment !
Pourquoi dit on que c'est une drogue douce ?
il existe des études récente sur la consommation de THC et CBD. Il y parait que le THC à faible dose serait anxiolytique et le THC à dose plus forte serait anxiogène. L'imagine négative du mou du bulbe vient évidemment de l'abus de THC. Mais il est dommage de renforcer le rejet totale de cette molécule alors qu'elle pourrait aider dans la lutte anti angoisse, il suffit juste de bien l'utilisé à bonne dose.
Est-ce que votre propos sur l'addiction (addiction rime avec psychiatrie) peut concerner les addictions aux sexes ou aux jeux d'argent?
Oui
@@PsyCoaching Merci pour votre réponse. Pour être sur de comprendre, vous dites que les comportements addictifs sont la conséquence d'une maladie psychiatrique. Ainsi, traiter l'addiction sans chercher à savoir s'il y a une cause psychiatrique réduit la probabilité d’améliorer l'état de santé de la personne. Avez-vous connaissance d'une étude qui établie une corrélation entre les différentes types d'addictions avec des pathologies psychiatriques?
La question ne m'est pas adressée mais je me permets une réponse.
Il y a pleins de formes de l'addiction, l'objet peut évoluer au cours de la vie. Je suis pas certain que l'addiction "pure" existe. Il y a des associations à d'autres pathologies: troubles anxieux, TDAH, troubles de l'humeur, troubles psychotiques, troubles de la personnalité, maladies somatiques.
C'est toujours très utile de prendre en charge l'addiction (améliorer la qualité de vie, la santé et éviter que la situation se dégrade encore), mais sur certaines pathologies ce n'est pas suffisant.
@@bettdithyram1400 Merci de pour votre réponse. Par exemple, l'addiction au sexe est-ce que c'est une addiction qui a une association à une pathologies en particuliers?
Je ne sais pas. Désolé.
Très intéressant. Mais qu'en est-il de la prise de cannabis occasionnelle ? Parce que c'est quand même super agréable cette merde.
L'étude a était faite sur des jeunes mais pour les adultes de plus de trente ans? Moi poly toxicomane (33ans) fumer un peu le soir seulement (10 grammes par mois) m'aider a dormir et manger !
Sinon je fais des insomnies puis je déprime vois tous en noir et mange pas.
Oui le cannabis pour les moins de 20 ans est dangereux mais une fois adulte? Moi je fumais pas de cannabis avant mes 21 ans. Qu'en pensais vous honnêtement?
Je ne vous remercierai jamais assez pour vos conseils en tant de psychiatre, je me suis fait diagnostiquer officiellement Tdah grâce à vos vidéos, au final je me retrouve d’une façon encore plus importe dans le syndrome d’asperger
Continuez vos vidéos sont intelligentes
Pardon, erreur de ma part, le cbd est il aussi toxique que le cannabis ?
Heureusement non. D ailleurs il y a une vidéo sur cette chaîne a propos des effets positifs du cbd.
Il l'explique dans la vidéo hein
Le cbd n est pas psychoactif, le thc oui. En clair on ne se defonce pas au cbd.
@@gerardmanvussa5725 merci. Effectivement, il en parle à la fin de sa vidéo. J'ai été trop rapide pour poser ma question. J'aurai du attendre la fin 😕
Pour ma part j’ai des douleurs post zostériennes suite à un zona facial qui a touché V3. Lyrica Neurontin Rivotril Tegretol Trileptal Laroxyl... tous un échec.
MERCI le CBD sans thc! La seule molécule qui me soulage réellement sans la tonne d’effets secondaire qu’apportent les médicaments cités au dessus.
Et merci pour cette vidéo très instructive!
Quand on voit ce que certains médicaments font sur le corps (prise de poids +++), à mon avis les gens peuvent être tentés d'aller chercher un "réconfort " dans des substances qui n'ont pas cet effet là (mais les autres effets cités ). Ce serait bien de trouver des médocs psychiatriques qui n'aient pas ce genre d'effet peu acceptable sur l'image de soi... entre des joints et un médoc qui fait prendre parfois des dizaines de kg à long terme. ..
Et l'alcool ?
Puisque de temps en temps j'ai la coudée franche
@Stephane Lemorvant ok merci
Esque ça se guéri ??🥺🥺
Bonjour,
Je suis étudiante en psychologie en dernière année.
Votre vidéo est très intéressante, mais je vous trouve sans aucune nuance concernant un usage récréatif (ou en tout cas le sujet n'est même pas abordé). Vous en parlez en comparaison à d'autres drogues, comme l'alcool, mais je doute fortement que vous ne vous autoriseriez pas un verre d'alcool pour un usage récréatif. Autrement dit pour des contextes particuliers et/ou exceptionnels. Une substance consommée avec modération peut s'avérer tout à fait saine pour l'usager en fonction de sa relation avec la substance. Bien sur, certaines drogues ont des effets plus addictifs (nicotine > cocaïne > LSD ; p.ex.) et s'avèrent donc plus dangereuses dans des cadres même récréatifs car ceux ci peuvent plus rapidement déborder. C'est bien de remettre toutes les substances sur un même pieds d'égalité pour séparer "légalité" et "dangerosité", ce qui n'est pas la même chose, en effet. Par contre, cela n'enlève pas les différences existantes en matière de dangers (ou l'alcool est en tête de liste, d'ailleurs) entre toutes - du moins celles qui ont pu être étudiées dans la littérature.
Ensuite, la légalisation d'une substance (et son contrôle !) ont toujours montré des effets plus positifs sur le nombre de consommateurs (les pays où il est légalisé montrent justement un taux de consommateurs moins élevé) et les excès que l'inverse (si vous souhaitez regarder différents modèles à l'étranger je vous y inviter vivement). La prohibition de l'alcool fût un véritable fiasco aux USA justement... Et si on suit ce raisonnement - qui du coup pénalise et marginalise le consommateur, alors que la substance circulera toujours, donc cela ne règlera absolument pas le problème de consommation - l'alcool devrait également être interdit en vue de ses effets délétères qui sont très largement décrits dans la littérature scientifique. Les effets du binge drinking par exemple sont particulièrement inquiétants, et pourtant c'est bien un mode de consommation légal. Autrement dit, faire intervenir un cadre légal pour pénaliser le consommateur contribue à son isolement, sa marginalisation et son mal être. Or, avec un système tel que celui là, la prévention est bien plus facile à mettre en place. D'ailleurs, je vous invite à consulter les indices socios économiques des abus de substances pour le cannabis et l'ensemble des substances, cela pourrait également vous aider à vous faire une idée de tout cela.
Enfin, bien que la vidéo ait un objectif de prévention, en discuter de façon trop moralisatrice n'aura aucun effet sur les consommateurs (et c'est prouvé scientifiquement également !). Du coup je trouve la fin de vidéo très mal avisée et maladroite alors qu'elle se voudrait préventive. Au contraire, c'est culpabilisateur.
Le ton est vraiment à retravailler car le non jugement n'y est pas du tout, attention à ne pas devenir paternaliste dans votre attitude !
Bien à vous,
PS : vous pourrez trouver toutes les informations que je vous dit ici dans la littérature si vous le souhaitez :)
Jodie
Merci pour ce commentaire plein de bon sens !
Personnellement j'ai était gros consommateur de cannabis sa me permettait de m'assommer et oubliée mon mal être mais le problème c'est que certes j'oubliée mais problème mais sa man a créer ou du moin amplifier d'autre, anxiété tristesse même des fois impression d'être "mort" sans plus aucun ressentie ce qui ma décidé a arrêter, l'arrêt a était dur mais problèmes se sont amplifier puis estomper au fur et a mesure du sevrage. C'est une substances avec des effets variable en fonction des personne mais qui reste très diminuante cognitivement. Le CBD ma était aussi utile lors du sevrage je dirait même que sa ma permis d'arrêter.
Très éclairant. Merci.
Merci pour cette vidéo
Et merci pour vos vidéos, elles sont très intéressantes et instructives
Les statistiques font froid dans le dos.
Heureusement, vous nous faites sourire quand vous évoquez les possibilités d'expériences non éthiques.
Je comprendrais jamais pk les gens ils fument et là je ne parle pas de cannabis.
Non mais c'est tellement mauvais pour la santé 🤔
Par contre j'essayerais peut être un jour l'ayahuasca par curiosité 🙂
🙃
Mouais, m'enfin là le risque psychique il est ++++
Pour le coup, ça le retourne sévère le cerveau, avec des risques d'expérience traumatisante élevés, d'autant que le contrôle sur la structure autour, le "sitter" etc, est vraiment très limité.
@@francoisleroy9799 ouai c'était une idée stupide j"avoue 😬
@@meloworld9289 C'est pas stupide du tout!
Ca a été et c'est peut-être encore un truc à la mode, avec de la pub autour.
Logique qu'on puisse avoir envie d'en expérimenter les bienfaits lorsqu'on en entend des retours ultra-positifs.
Bon après, dans ce registre, je pense que le microdosage de psilocybine est quant à lui safe, et plutôt prometteur...
Le "macrodosage" aussi, mais se pose à nouveau, outre évidemment la question légale depuis le début, celle du "set and setting": le contexte (dans quel état d'esprit, où, quand, avec qui), ça pèse lourdement voire essentiellement sur la qualité des expériences apparemment.
Déjà très malade, on rajoute des stups, de futurs zombies, super l'idée, on a pas de pétrole mais beaucoup d'idées...
Ahahah, on veut un RCT sur le cannabis, l'héroïne et l'amiante. 😂
Mdr !
Souffrant de trouble bipolaire, je suis passé a l adolescence et jusqu a mes 25 ans par la polydependance (alcool,tabac et canabis), apres un passage en hp, j ai continuer le tabac et le canabis jusqu a 35 ans, la j ai continué avec le tabac, et il y a 2 ans, (j ai 45 ans) quand j ai voulu reconsomer du canabis, j ai decouvert la cbd legale (en suisse), ce qui m as permis de ne pas replonger dans les psychotropes... et j espere reussir a sortir du tabac et de la cbd maintenant, mais c est un long combat contre mes demons...
T
Bon courage🙏je souffre egalement du même trouble avec à peu près l même parcour..du coup j commence a test la cbd pour gerer l arrêt brutal du reste..vous êtes de type 2 vous aussi?
@@lifethug9283 du type 2?
@@zenka1976 trouble bipolaire type 2
@@zenka1976 c est quand on a plus de phases depressives que de phases up pour faire court..
Les personnes qui fument sont en décalage total avec ce discours ils prendront ce discours pour un bobo qui n’a rien compris..
Le Syndrome de Don Quichotte
Autant ne pas citer l'article si c'est pour écorcher ainsi la langue de Shakespeare xP
C'est pas éthique de donner de la drogue à des gens qui n'ont rien demandé? OH! déception...
(mais très élégant nœud' pap)
Heuuuuuu
Je suis d'accord sur tout et je trouve ça très clair ,
Ceci dit, est-ce qui si on remplaçait cannabis par alcool , ce serait pas un peu les mêmes résultats ? (Quelqu'un qui consomme régulièrement de l'alcool , seul etc a au final un problème similaire à celui qui consomme du cannabis) , quelles seraient les différences majeures entre les deux?
(Et je ne suis pas consommateur, j'y vois bcp du mal , c'est surtout une questionnement sans sous texte)
heuuuuuu
Je trouve ça super triste pour les personnes toxico😞
en vrai c des connerie tu peut etre toxico pour surconsommation des réseaux sociaux , video ,sport ,livre ,jeux video ,sexe, boulot
donc le problème n'est pas que les toxico te rende triste met que tu a un problème avec la drogue mais a se compte la la dopamine que tu produit en mangeant est une drogue car t'en a besoin pour etre heureux donc au finale tu vaut pas mieux
@@nonooklm7650🤨 oui enfin manger reste un acte vital. Ce qui est drôle c'est que tu arrives à écrire le mot ayant le même sens "mais" de 2 façons différentes en 2 lignes...et l'orthographe correct est effectivement "mais" et non pas "met" qui est du verbe "mettre". Et je ne corrigerai pas les autres fautes 😉
Heuuuuuu