Dans certaines vidéos présentant ce genre de solutions on a toujours l'impression que la science trouve la solution in fine et résolut presque tous nos problèmes. A quel prix ! Je ne suis pas scientifique et j'admire le travail passionnant des chercheurs, mais pourtant je ne peux m'empêcher de penser qu'on est encore dans le toujours plus de solutions pour combler nos besoins grandissants, de plus en plus complexes et nécessitant de la transformation en permanence. Quand bien même c'est à priori écologique, c'est hallucinant de voir tous ces appareils et techniques utilisés par les chercheurs, les matériaux utilisés, cet course effrénée à la recherche de solutions via des ressources à exploiter. À la source de ces problématiques, le mieux ne serait il pas de cesser notre expansion prédation, rééduquer notre cerveau à être heureux en se contentant de l'essentiel.
A savoir, sortir du capitalisme. Chaque source énergétique nouvelle, solaire éolien etc ne remplace pas le pétrole, le nucléaire et le charbon mais s'y ajoute. Chaque année le PIB mondial grimpe, cela signifie que plus de "richesses" ont été produites que l'année précédente, exception faite de l'année 2020. Cela signifie que plus d'énergie a été dépensé aue l'année précédente. De plus, jamais la production de GES n'a été aussi importante que ces dix dernières années. Le changementclimatique et l'effondrement de la biodiversité sont là et au lieu de tout arrêter les capitalistes appuient sur l'accélérateur. Je ne crois nullement au fait de sortir de cette impasse par la science mais par le rapport de force politique.
Il faut moins produire et surtout produire mieux. C'est aussi le sens de ce genre de recherche. Un futur sans électricité ou énergie c'est un désastre et des millions de morts de faim (pas d'agriculture mécanisée) ou de maladies (pas de recherche médicale, de produits médicaux, de respirateurs etc). Et puis tout processus industriel est infiniment complexe. Pas de complexité, pas de solution.
Cher CNRS, vous décrivez, au tout début de la vidéo, dans son intitulé, et encore à 1:12 que l'hydrogène serait une source d'énergie... presque inépuisable par ailleurs! Je n'ai certes pas la crédibilité d'un chercheur du CNRS, mais après plus de 30 ans de carrière en tant qu'ingénieur chimiste, dans des domaines variés, mais y compris dans l'amélioration de procédés de production d'hydrogène par électrolyse , j'ai la prétention de dire que vous trompez, là, votre auditoire. L'hydrogène n'est en aucune manière une source d'énergie... sauf si vous avez découvert une importante source naturelle de dihydrogène natif... mais uniquement un vecteur, ou une capacité de stockage (fort peu efficiente d'ailleurs) d'une AUTRE énergie! D'ailleurs, l'eau ADORE tellement ses deux atomes d'hydrogène qu'Il faut donc investir BEAUCOUP d'énergie pour la convaincre de les relâcher (enthalpie de dissociation)! Tellement d'énergie d'ailleurs, pour un rendement médiocre au mieux, qu'il vaut mieux réserver l'hydrogène dit "vert" pour remplacer dans l'industrie les quantités faramineuses d'hydrogène "noir" qui y sont utilisées! Il n'y aura pas assez d'hydrogène "vert" pour l'utiliser comme vecteur d'énergie... sauf quelques exceptions de niche:
C'est trompeur il est vrai mais un vecteur reste source d'énergie, tout comme la nappe phréatique est source d'eau tout comme l'univers est source d'hydrogène. Finalement source ne serait pas stockage ?
@@marchapar4859 Non, je ne vous suis pas! si un vecteur est source d'énergie, alors une batterie EST source d'énergie. Mais nous serons sûrement tous les deux d'accord que ça n'a pas de sens. Ce qui est sources d'énergie dépend du référentiel dans lequel on se place. A l'échelle de l'univers, il n'y en a qu'une, l'hydrogène et la fusion, pour simplifier... c'est un peu plus compliquer que ça. Pour notre planète, il n'y en a trois: le solei (évident, je pense)l, la désintégation radio-active (chaleur du noyau de la Terre, et donc volcanisme, dérive des continents, tremblements de terre, ..,.), et l'action des forces de gravité (marées, par exemple, mais aussi chaleur du noyau de la Terre pour une moindre part). Pour nous humains, on peut en compter plus, sans perdre de vue que les énergies fossiles ne sont que de l'énergie solaire stockée. On bascule presque dans la philosophie... Mais, sauf très rares exceptions, il n'existe pas d'hydrogène natif sur Terre! Donc, l'hydrogène, sur Terre, pour ce qui concerne l'humanité, au 21e siècle, n'est PAS source d'énergie! Il faut bien au contraire investir beaucoup d'énergie pour produire du di-hydrogène. On est d'accord, ou je me suis (encore) mal exprimé?
@@st-ex8506 Techniquement à cause de l'enthalpie, TOUT dans l'Univers est une batterie, et TOUT est un vecteur. Le Soleil par exemple est une batterie qui va exploser dans 5 milliards d'années, puis devenir une naine blanche pour petit à petit perdre toute luminosité. Donc dans votre logique, est ce que le Soleil n'est PAS une source d'énergie?
@@texanplayer7651 Non, le soleil n'est pas une batterie, mais un réacteur à fusion. Oui, oui, j'entends déjà l'objection... Mais on rentre là dan la philosophie plutôt que la technique! Mais je suis d'accord sur le principe, les choses changent avec le référentiel duquel elles sont observées!
C'est inquiétant que le CNRS produise un documentaire aussi partial. Pas un mot sur les défauts du dihydrogène "vert", notamment le très mauvais rendement de l'électrolyse, qui rend sa production extrêmement énergivore, ce qui rendra impossible son déploiement dans le domaine des transports dans un contexte d'économie d'énergie.
En tout cas Altsom a réussi pour le train... PL'Allemagne lance une flotte de trains 100% à hydrogène, une première mondiale Par Yan Bernard-Guilbaud et AFP agence Publié le 24/08/2022 à 11:49 , mis à jour le 25/08/2022 à 16:15 Copier le lien Lien copié Le train à hydrogène est-il l'avenir du rail ? La flotte de 14 trains, fournis par le groupe français Alstom à la région de Basse-Saxe, circule désormais sur une centaine de kilomètres. Le train à hydrogène est-il l'avenir du rail ? La flotte de 14 trains, fournis par le groupe français Alstom à la région de Basse-Saxe, circule désormais sur une centaine de kilomètres. PATRIK STOLLARZ / AFP Finies les locomotives diesel, l'Allemagne a inauguré mercredi la première ligne ferroviaire au monde fonctionnant entièrement à l'hydrogène. Une avancée majeure pour la décarbonation du rail. C'est une grande première. Une flotte de quatorze trains à hydrogène, fournis par le groupe français Alstom à la région de Basse-Saxe (Nord), circule désormais sur la centaine de kilomètres de la ligne reliant les villes de Cuxhaven, Bremerhaven, Bremervörde et Buxtehude, non loin de Hambourg. «Nous sommes très fiers de pouvoir porter cette technologie sur une exploitation commerciale, dans le cadre d'une première mondiale», s'est félicité mercredi le PDG d'Alstom, Henri Poupart-Lafarge
@cquiquiditlevrailefo769 Ceci est une question de bon sans uniquement. On ne peut pas rejeté tout sur une cause... Le caténaire train, fonctionne économiquement, très bien. Mais découvrir une alternative pour comprendre une technologie nouvelle, c'est aussi avoir plus de connaissances et qui dit plus de connaissances dit plus de maîtrise... C'est pas parceque des trains hydrogène, coûte plus cher, qu'il non pas d'utilité. Si après utilisation ont découvre des solutions pour les voitures ou autre et qu'on n'a, d'autres solutions pour fabriquer l'électricité... C'est quand même cohérent de marcher sur deux pieds au lieu d'un ou en canard. Pour moi j'aimerais voir, une améliorations, sur les voitures thermiques, grâce à un retrofi hydrogène. Et surtout qu'ont arrête de prendre les gens pour des cons. Depuis âpres guerres, pour les centrales électrique, ont n'a supprimer conbien de petites centrales hydrauliques privées et plus ?. Le nucléaire uranium, a des problème de stockage ( radioactif ) technologies basé sur les bombe nucléaire armée. Certain parle a cette époque déjà de Thorium sans risque de pollution, pourtant cela reste non médiatisé. Pour revenir a l'hydrogène, cela reste propre, comme tout ce qui est dit en ce moment, par tous. Ont peut produire sans aller, détruire des sites, régions dans le monde. Et exploiter par la même des enfants, pour creuser. Pour aller chercher des matières au voitures électriques, et recyclage ?. Donc pour moi l'équilibre énergétique, passe aussi par l'hydrogène.
@@andrejob122 Je vous rappelle que, contrairement à ce que le CNRS prétend dans cette pitoyable vidéo, l'hydrogène n'est PAS une source d'énergie, mais guère plus qu'un vecteur, par ailleurs fort inefficient, d'une autre énergie! SI vous voulez que le plein de votre voiture vous coûte 5x celui d'un plein d'essence ou de gazole équivalent, et 25x le prix de la recharge d'un VE, alors rétrofittez votre voiture à l'hydrogène! L'hydrogène "vert" a son utilité pour remplacer l'hydrogène "noir" (produit à partir de gaz fossil)e utilisé massivement par l'industrie, mais autrement, c'est une supercherie... le chant du cygne de l'industrie pétrolière.
@@st-ex8506 Quel est le prix d'une voiture à hydrogène ? Modèles, coûts Article Transition énergétique Mis à jour le 16-01-2023 Les voitures électriques ne sont pas les seuls véhicules zéro-émission, il existe aussi les modèles fonctionnant à l’hydrogène. Moins connus, ils demeurent encore relativement rares, et sont proposés à des tarifs prohibitifs. Le prix moyen des véhicules commercialisés en France s’élève à 75 950 €. Quant à l’hydrogène, le prix du plein est similaire à celui des voitures thermiques "L'hydrogène c'est un peu la source de la vie, c'est a dire l'eau. Donc message, j'ai le grand plaisir de vous dire, que l'humain n'a peut-être pas inventé les signes, les tombe ect. il est possible qu'il ne soit qu'une copie de l'évolution... Découverte des premières tombes de la préhistoire 06/06/2023 14:36 La nouvelle secouerait les fondamentaux sur l'évolution de l'homme. Le paléontologue de renommée mondiale Lee Berger a annoncé lundi 5 juin la découverte en Afrique du Sud des tombes les plus anciennes de la préhistoire, repoussant d'au moins 100.000 ans les premières traces de pratiques mortuaires. >> L'Homme a de nouveau son musée à Paris, repensé pour le XXIe siècle >> Une forte migration s'est bien produite dans la préhistoire de l'Irlande >> La grotte Cosquer, une plongée dans la préhistoire Le paléoanthropologue Lee Berger dans le système de grottes Rising Star du "Berceau de l'humanité", au nord-ouest de Johannesburg, le 11 mai. Photo : AFP/VNA/CVN En position fœtale et recroquevillés dans des alcôves enfouies au bout d'un réseau d'étroites galeries, à une trentaine de mètres sous terre, de lointains cousins de l'homme à l'état de fossiles ont été retrouvés dans des sépultures lors de fouilles entamées en 2018. Les explorateurs ont constaté que les tombes avaient été rebouchées avec la terre creusée au départ pour former les trous, preuve selon eux que les corps de ces pré-humains ont été volontairement enterrés. "Il s'agit des inhumations les plus anciennes jamais enregistrées chez les hominidés, antérieures d'au moins 100.000 ans aux inhumations d'Homo sapiens", affirment-ils dans une série d'articles en pre-print, qui doivent encore être revus par des pairs avant publication dans le journal scientifique eLife. Les fouilles ont eu lieu sur le site paléontologique du "Berceau de l'humanité", classé au patrimoine mondial de l'Unesco et situé au nord-ouest de Johannesburg. Les tombes les plus anciennes découvertes jusqu'ici, notamment au Proche-Orient et au Kenya, datent d'environ 100.000 ans avant notre ère et abritent des restes d'Homo sapiens. Les sépultures sud-africaines datent de -200.000 à -300.000 ans. Elles contiennent des ossements d'Homo naledi (étoile en langue locale), petit hominidé d'environ 1,50 m de haut et au cerveau de la taille d'une orange. L'espèce, dont la découverte en 2013 par le paléoanthropologue américain Lee Berger avait déjà remis en cause les lectures linéaires de l'évolution de l'Humanité, reste encore un mystère pour les scientifiques. Doté à la fois de caractéristiques de créatures vieilles de plusieurs millions d'années, comme une dentition primitive et des jambes de grimpeurs, Homo naledi est aussi doté de pieds semblables aux nôtres et de mains capables de manier des outils. Petit cerveau "Ces découvertes montrent que les pratiques mortuaires n'étaient pas limitées à l'Homo sapiens ou à d'autres hominidés dotés d'un cerveau de grande taille", affirment les scientifiques. Cette théorie, qui va à l'encontre de l'idée communément acceptée que la conscience de la mort et les pratiques liées font l'humain, avait déjà été évoquée par Lee Berger lorsqu'il avait présenté Homo naledi au monde en 2015. Le paléoanthropologue Lee Berger devant la principale entrée du système de grottes Rising Star du "Berceau de l'humanité", au nord-ouest de Johannesburg. Photo : AFP/VNA/CVN L'hypothèse avait alors créé un tollé et de nombreux spécialistes avaient mis en doute la rigueur scientifique de l'Américain médiatique, soutenu par National Geographic. "C'était trop pour les scientifiques à l'époque", commente Lee Berger, lors d'un entretien à l'AFP. Ils restent "convaincus que tout cela est lié à notre gros cerveau et que cela s'est produit très récemment, il y a moins de 100.000 ans", explique-t-il. "Nous sommes sur le point de dire au monde que ce n'est pas vrai", triomphe l'explorateur de 57 ans, qui va encore plus loin. Des symboles géométriques, soigneusement tracés à l'aide d'un outil pointu ou tranchant, ont été retrouvés sur les parois des tombes. Carrés, triangles et croix ont été, selon lui, intentionnellement laissés sur des surfaces lissées, probablement pour les rendre plus lisibles. "Cela signifierait que non seulement les humains ne sont pas les seuls à avoir développé des pratiques symboliques, mais qu'ils n'ont peut-être même pas inventé de tels comportements", avance Lee Berger. Carol Ward, anthropologue à l'université du Missouri, estime que "ces résultats, s'ils étaient confirmés, auraient une importance potentielle considérable". "J'ai hâte d'apprendre comment la disposition des restes exclut d'autres explications possibles que l'enterrement intentionnel, et de voir les résultats une fois qu'ils auront été examinés par des pairs", a-t-elle déclaré. Des analyses plus approfondies doivent encore être menées. Mais déjà, l'équipe de Berger annonce qu'il va falloir "repenser toute une série d'hypothèses sur les hominidés et l'évolution humaine". Depuis longtemps, les chercheurs ont associé la capacité à maîtriser le feu, la gravure ou encore la peinture, à la puissance cérébrale de l'homme moderne, comme typiquement chez l'homme de Cro-Magnon. "L'enterrement, la création de sens et même l'art pourraient avoir une origine bien plus compliquée et non humaine que nous ne le pensions", présage Agustín Fuentes, anthropologue à l'université de Princeton et co-auteur des découvertes
@@st-ex8506 C'est pourquoi il ne faut pas prendre a la lettre toutes informations. Le sujet principal ici c'est l'hydrogène vert, les détails scientifiques CNRS ou pas, ingénieur ou inventeur, reste hors sujet, si on n'a des preuve du prix d'achat, de consommation... Donc l'hydrogène vert, sert a crée de l'énergie, au prix équivalent d'un litre d'essence. Celon les données publiques. Mais dans le cas d'une utilisation, complémentaire, a une voiture essence thermique. C'est encore autre chose. Cela réduit la consommation d'essence. C'est ce qui est dit, donc en même temps ont diminue la pollution.nPour l'instant personne ne dit le contraire, puisque qu'ont n'achète pas d'hydrogène. Ce qui résulte de l'hydrogène vert, a partir de la vidéo, c'est justement de remplacer, ce qui pollue. L'hydrogène noir, C'est comme les centrales a charbon électrique, ont n'en trouve en mer Allemagne en linite, très sale. C'est ainsi qu'il faut soutenir l'hydrogène vert. Bon suis juste un peu intéressé par le sujet, car trouve nul, les voitures électriques pour tous. H2H24 : Toute l'actualité de l'hydrogène Les 7 couleurs de l’hydrogène Si on parle beaucoup d’hydrogène vert, il existe en fait plusieurs nuances y compris dans le gris (pas 50 mais quand même). Voici notre guide. Aujourd’hui, 95 % de l’hydrogène produit dans le monde est gris. Cet hydrogène est produit par vaporéformage du méthane. Les molécules CH4 du gaz naturel sont cassées avec de la vapeur d’eau pour produire du dihydrogène. L’hydrogène bleu est produit par vaporéformage du méthane, comme pour le gris, mais avec en plus du captage et un stockage du CO2. Il existe une variante de ce bleu, avec l’hydrogène turquoise, qui est lui aussi produit à partir de méthane fossile mais par pyrolyse et avec un système de captage de CO2 solide. Sinon, il existe aussi l’hydrogène brun, produit par gazéification de lignite. C’est une variété de charbon qui contient un pourcentage d’oxygène et d’hydrogène considérablement plus élevé que le charbon noir. Ce traitement thermique sous pression crée un gaz de synthèse (syngas), qui est un mélange de monoxyde de carbone, d’hydrogène, de vapeur d’eau et de dioxyde de carbone. Par vaporéformage, ou vapocraquage, on extrait du dihydrogène de ce syngas. L’hydrogène noir est produit de la même façon, mais à partir de charbon. Toutes ces formes émettent des gaz à effet de serre et sont issues d’énergies fossiles. L’hydrogène vert est produit par électrolyse de l’eau, l’électricité utilisée étant issue d’énergie renouvelables (d’origine hydraulique, éolienne, photovoltaïque, ou autre). Le processus ne rejette que de l’oxygène dans l’atmosphère. Quant à l’hydrogène jaune, il désigne une électrolyse de l’eau mais à partir d’électricité nucléaire. Rappelons, à toutes fins utiles, que l’hydrogène n’a ni couleur ni odeur. (Sources : Usine Nouvelle, La tribune) PARTAGER CET ARTICLE AU travers de cette nouvelle filière pour contribuer à un monde plus durable. Cette transition bas carbone passe par la diffusion d’information, des échanges et des rencontres. C’est ainsi qu’est créé « H2H24 », un blog et une web TV de l’actualité du développement de l’hydrogène.
Je suis extrêment déçu (voire furieux) de la manière dont les énergies renouvelables sont comparées au nucléaire en précisant que ce dernier est peu carbonée, alors qu'on sous-entend que les énergies renouvelables ne sont pas carbonée en ne mentionnant pas que leur fabrication et leur installation induit également des émissions carbonée. On pourrait même contester l'utilisation du vocable "renouvelable" pour les éoliennes et panneaux photovoltaïques. En effet, rapporté au kWh d'électricité produit, ces dispositifs de collecte d'énergie éolienne et solaire qui sont très diffuses, nécessitent beaucoup plus de matériaux non renouvelables (y compris du pétrole pour l'extraction des métaux, le transport des différents éléments, etc.) que pour la fabrication d'une centrale nucléaire (au moins un facteur 10 en ordre de grandeur). Ce qui me met encore plus en colère, c'est de voir comment nos impôts sont utilisés à des fins de propagande pour justifier la dépense d'encore plus de nos impôts pour courir après des chimaires alors qu'on aurait mieux fait de dépenser ces milliards pour mettre le paquet sur le nucléaire de 4ème génération (Astrid, ça vous dit qchose?)
Bravo pour votre militantisme, mais en général les militants distinguent mal entre souhaits profonds et réalité. Les RNR sont une illusion y compris ASTRID, ont a cru avec Super Phenix toucher le Graal mais en réalité c'était une épine dans le pied d'EDF. Soyez surtout en colère contre le projet EPR, qui il faut bien en convenir, devient caricaturale. Les RnR s'améliorent années après années et le recyclage des métaux utilisés sera la règle.
Sur le coup la vidéo m a impressionnée. J ai une formation ingénieur et j ai travaillé dans l aviation , puis en lisant les commentaires je réalise que ce documentaire est très bien produit et étrangement dangereux . En effet on glisse dans une pensée dangereuse qui nous endors en rêvant , la technologie va nous sauver enfin. Il manque quand même beaucoup d élément de contexte qui permettraient alors d apprécier à leur juste mesures le travail de tous ces chercheurs passionnés et de ce qui est fait avec l argent du contribuable (partiellement) La vision macro du problème est simple et c est celle du giec et aurait dû être rappelé à minima Le français moyen émet en gros 12 a 14 tonnes de co2 par an. Le giec nous rappelle que pour « nous en sortir « collectivement il faudrait passer à 2 tonnes . CNRS ou pas la messe est dite !! Le français moyen étant un personnage intéressant car il cache le fait que certains (csp+) par le mode de vie de leur groupe social et leur comportement individuel sont plutôt à 30 tonnes et la majorité des français (80%) doivent être en dessous des 12 tonnes. Plutôt que de pousser les 80% à consommer mieux et polluer moins (de peu) mieux vaudrait contraindre et limiter par des lois la consommation de biens et services des deux déciles les plus riches qui eux jouissent sans aucune limites du pouvoir de leur argent (multipropriétés, vols intercontinentaux, voiture hyper lourdes ) Bref un peu de contexte pour faire de l éducation et ne pas faire écran de fumée aurait été le bienvenu Merci en tout cas à tous les chercheurs pour leur efforts
Vous confondez science et mélanchonisme. Ce n'est pas le rôle du CNRS de confirmer vos frustrations politiques. Et relisez vous : votre commentaire pique les yeux, Mr l'ingénieur.
@@alainpannetier2543 vous pensez qu avec une phrase bien sentie comme écrite par un scénariste de plateau tv apporter de l eau au moulin , je note votre contribution comme “intéressante”
Tout a fait d'accord avec vous astorina ! Les plus riches devraient faire le f plus d'effort mais tout le monde devrait être a 2tonnes co2/an. L'hydrogène c'est bien mais il faut 4 fois plus d'énergie pour le produire que l'énergie qu'il va restituer une fois stocker...donc ça a ses limites.
Je m'attendais à plus d'objectivité dans un documentaire produit par le CNRS. Pourquoi présenter l'hydrogène comme l'avenir de la mobilité alors que ce n'est pas du tout certain (et plutôt mal parti à vrai dire) ? L'hydrogène est de toutes façons incontournable pour certaines industries et probablement intéressant pour certaines mobilités lourdes comme les bateaux. C'est déjà suffisant pour justifier ces recherches. Et c'est plus crédible qu'un usage pour les voitures ou les trains (par nature un réseau ça s'électrifie assez facilement). A mon avis ce type d'usage aurait gagné à être présenté comme de potentielles cerises sur le gâteau. Quoiqu'il en soit les recherches sur le stockage dans le matériau sont hyper intéressantes. Si une telle solution s'avère viable (techniquement, environnementalement, économiquement) alors là effectivement il pourrait y avoir une vraie révolution à la clé. Y compris pour des installations de stockage longue durée des surplus d'électricité, élément indispensable au passage aux énergies renouvelables.
ils ont dit que ça concernais surtout l'industrie et probablement pas les particuliers, et je pense que c'est la solution la plus interessante pour les camions ou les bus, le train ça se discute
@@HieuTRAN-de3bo Les bus même pas, car les bus électriques existent, et il existe aussi les trolleybus, et beaucoup de lignes de bus peuvent également être remplacés par des lignes de trams.
@@texanplayer7651 c'est juste une supposition de ma part mais je pense qu'a partir du gabarie d'un bus, la batterie nécessaire doit entrainer des inconvenients comme le surpoid, le temps de charge qui limite le temps ou le bus est disponible et l'empreinte carbonne de la batterie font que l'hydrogène peut etre plus avantageux mais c'est juste une supposition sans données pour l'étayer.
@@HieuTRAN-de3bo Le poids peut poser problème car c'est tout autant de poids mort à transporter qui consomme plus d'énergie. Mais l'hydrogène n'est pas mieux, bien au contraire. Il faut savoir que les réservoirs sont aussi lourds, voir plus lourds que les batteries de véhicules électriques équivalents, c'est à cause des renforcements nécessaires pour éviter des explosions catastrophiques. Le temps de recharge peut être un problème éventuellement, mais pas forcément si la compagnie de bus s'organise bien. Enfin, l'empreinte carbone des véhicules hydrogène est plus élevée que les véhicules électriques. Beaucoup d'anti véhicules électriques bondissent pour dénoncer le minage du lithium et du cobalt, mais oublient bien souvent de préciser comment le minage de platine nécessaire pour les piles à combustibles des voitures à hydrogène impacte le climat. Mais mieux qu'une batterie ou une pile à combustible, c'est les trolleybus et les trams, sans aucun conteste. Le seul inconvénient éventuel que l'on pourrait reprocher c'est les lignes de tension qui peuvent rendre le paysage moins beau, mais alors il faut être ultra privilégié pour se plaindre d'un inconvénient tellement mineur...
@@texanplayer7651 le plus gros de l'empreinte carbone pour un véhicule électrique c'est la batterie alors que pour un véhicule à hydrogène on peut parler de la pile a combustible mais plus le gabarit augmente, plus la proportion que prend la batterie est énorme pas sur que ce soit pareil pour la pile a combustible, pour le tram et trolleybus ou même métro, quand c'est possible c'est mieux mais ce n'est pas possible dans énormément de ville.
@@franckjamesgeorges5668 Faute de logique. On a déjà _trouvé_ que le mouvement "éternel" (tu voulais écrire "perpetuel" ? et "préviens"?) est impossible. Par contre les réponses aux questions de l'OP sont _faciles_ à trouver... Par contre, peu probable qu'elles soient fournies dans un clip de vulgarisation... et encore moins dans la section commentaires d' hanalfabaites youtube.
Et tout ça sans jamais mentionner que l'Hydrogène ne peut être considéré comme une source d'énergie puisqu'on ne le trouve quasiment pas à l'état brut. Donc sans l'industrie actuelle, basée essentiellement sur les énergie fossile, absolument rien ne garantie que l'on puisse produire suffisamment de convertisseurs type éoliennes, panneau solaire ou même centrales nucléaires... En 2009, on a produit 30.8 milliards de barils de pétrole. Convertis en énergie, cela correspond à plus de 6800 centrales nucléaires (440 à ce jour) ou à 17 millions d'éoliennes géantes, ou encore 30 000 kilomètres carrés de panneaux solaires !
😂 La France est en phase de devenir un producteur d'hydrogène naturel, voir en Mosel et peu être les Pyrénées. Les possibilités de recherche grâce à des nouvelles technologies, permettent de chercher plus profond, la ou ont n'imaginait pas qu'ils y avait de l'hydrogène sous nos pieds.
L'hydrogène est le plus léger élément sur terre donc très volatile, est explosif à partir de plus de 8% dans l'air, ensuite pour en avoir une bonne quantité il faut le compresser à 700 bars, ou en le compresser et le refroidissant à -250°C, donc difficile de le conserver à cette température avec une grande evaporation.
Pour faire de l'hydrogène on utilise d'autres énergie mais les pertes sont trop importantes, en l'état sans autre manière de récupérer l'hydrogène ce n'est pas viable car il faudrait beaucoup plus d'électricité pour produire la même capacité énergétique... Sans parler de la pression, du stockage, des pertes mécaniques pour les moteurs sans pile à combustible.
Seul l’hydrogène vert, ou l’hydrogène a partir du nucléaire, sont viables d’un point de vue de réduction de l’effet de serre. On perd un peu d’énergie, et on gagne en stockage!
@@JerryBeeee surtout que ça nous permettrait finalement de faire fonctionner nos centrales nucléaires à plein régime tout le temps sans abîmer le grid. Le gain en rendement est donc important.
@@JerryBeeee Le problème c'est qu'il faudrait produire 3 fois plus d'électricité pour avoir une équivalence du parc de la mobilité du pays. Inconcevable quand on sait que nous passons les pics de production sur toutes les énergies fossiles qui sont à la base de nos investissements actuels. Comme dit Vincent Mignerot, on ne construit pas de centrales nucléaires ou de parc solaire sans énergie fossile...
On n'a déjà pas assez d'électricité décarbonée pour nos usages, et la demande en électricité va exploser du fait de la décarbonation des énergies (transport, industrie, ...). Où trouver l'électricité nécessaire ?
Pour moi, l'hydrogène présente l'intérêt d'être stockable. Donc un complément idéal à la production d'électricité verte non pilotable et très variable. Lors des pics de production, le prix de l'électricité passe parfois sous la barre de zéro. Même si le rendement est mauvais, il vaut mieux produire de l'hydrogène que de mettre les éoliennes à l'arrêt.
Aïe, je m'attendais à plus d'exigence scientifique de la part du CNRS : l'hydrogène, une "source" d'énergie ? Presque inépuisable tant qu'on y est ? Hélas non, simple vecteur ! D'où viendra l'électricité qui permettra de synthétiser cet or vert ? Ne serait-ce que pour remplacer l'hydrogène "gris" consommé en France, il faudrait 7 réacteurs nucléaires ou l'intégralité de la production éolienne française de 2019. Pas de magie hélas sur une planète épuisée !
Vraiment, pas un mot sur le rendement catastrophique de l’hydrogène !!?? Franchement, on s'attend à quelque chose de plus complet et plus neutre de la part d'un organisme publique.
pourquoi la vidéo ne traite pas du sujet fondamental de la conductivité de l'eau ? Le CNRS devrait savoir que pour obtenir une électrolyse, il faut un courant faradique (qui va casser la molécule H2O), et que pour que le courant circule, il faut que l'eau soit conductrice (spoiler, l'eau pure ne permet pas le passage d'un courant), et pour qu'elle soit conductrice, il faut ajouter des minéraux (du sel par exemple). Ce qui implique que toute électrolyse génère des polluants indésirables en corolaire de l’oxygène et de l'hydrogène. On peut citer le chlore ou l'ozone par exemple, rejetés massivement sur une électrolyse NaCl, ou la soude caustique sur des ajouts calcium/magnésium ? l'extraction de l'hydrogène est un fléau total (et je ne parle pas de la source d'énergie). Ensuite, son utilisation dans une pile à combustible pose question : comment réagissent les organismes (plantes et micro-organismes) lorsqu'ils se prennent l'eau pure issue de la recombinaison dans la PAC ?? arrosez vos plantes avec de l'eau déminéralisée pendant 15 jours pour voir la gueule qu'elle vont tirer.
Ca fait des années qu'on a déjà quelques "gisements" de dihydrogène, principalement au Mali. A ce jour ces gisements sont, en volume, anecdotiques. Alain PRINZHOFER est un défenseur du sujet, vous trouverez des conférences sur yt notamment au Festival d'Astronomie de Fleurance (nom de la chaine). L'idée est qu'on ne trouve pas ce qu'on ne cherche pas. Globalement, il semble y avoir une forme de consensus sur la relative rareté de cette source primaire.
@@flexable9256 Oui, j'ai vu sa conférence et le gisement du Mali est bien cité dans cette vidéo. Mais je parlais de la France, puisque dans cette vidéo, il est dit qu'on ne connaît pas de gisement sur notre sol.
@@curedent6086 Ah ok, j'avais loupé la référence dans le reportage, je devais être distrait à ce moment-là. On verra si on peut trouver des gisements "à la pétrole", mais j'ai des doutes tout de même. Va falloir le produire, ce dihydrogène, à mon avis.
@cquiquidit levrailefo Je veux bien le croire, mais pourriez-vous me préciser de quoi vous parlez ? En l'occurrence, je voulais juste savoir quand cette vidéo a été tournée et je n'ai jamais eu l'impression que ce soit le problème principal...
@cquiquidit levrailefo D'accord, mais ma question ne portait ps là-dessus, comme vous pourrez le constater si vous prenez le temps de lire. Par ailleurs, on ne sait pas à quel point c'est anecdotique puisqu'on ne connaît pas les gisements. Ou peut-être avez-vous des informations qui ont échappé à tout le monde jusqu'à ce jour ?
qu en est il de la déperdition énergétique entre la production d hydrogene ET la production ensuite d electricité a partir d hydrogene ? Qu en est il du cout energétique pour comprimer le gaz en kydroegene liquide ?
Je vois l'hydrogène plus comme une manière infinie de stoquer l'électricité et puis aussi de stabiliser la consommation électrique et la production électrique. C'est l'avenir
Reportage à décharge On oublie de dire que pour sortir 1kwh d’une PAC il en faut 4 pour produire l’H2 Dans monde qui devra être sobre en énergie et augmenter la production électrique ça interroge je trouve
L'impasse que constitue le H2 esr maintenant bien documentée et connue ,et même Toyota ou d'autres , qui ont dépensé des milliards pour explorer cette voie de ka mobilité ont jeté l'éponge ! Renseignez vous un peu bon sang . et j'espère que vous ne comptez plus dans kes geands choix stratégiques de ka France ...faites nous plutot un ooibt sur kes batteries
Mais qu'est-ce qu'il s'est passé pendant la réalisation du reportage ? On nous endort H24 avec un soi-disant hydrogène vert, je pensais qu'en regardant une vidéo du CNRS, on aurait un point de vue plus scientifique et objectif. Mais non, on passe à côté de tous les limites de l'hydrogène vert, on parle d'utiliser l'hydrogène pour la mobilité, et encore pire pour l'industrie automobile. Chapeau la France, on va "à fond" dans une technologie qui nous mène droit dans le mur, en tous cas pour les utilisations qu'on souhaite lui attribuer. Et après on s'étonne du retard technologique de l'Europe sur les autres puissances mondiales. Posons nous les bonnes questions avant de faire n'importe quoi. L'hydrogène vert pour l'automobile, c'est vraiment n'importe quoi.
La membrane d'une pile à combustible utilise du platine, ce qui pose problème car le platine est rare er cher. Ceci n'est jamais évoqué directement dans cette publicité de 25 minutes du CNRS pour la filière hydrogène. Le problème est suggéré indirectement puisque le CNRS fait état de travaux pour recycler et ré-utiliser les matériaux de la membrane, et d'autres travaux pour développer des matériaux de synthèses pour remplacer les matériaux actuellement utilisés. Donc le CNRS à parfaitement compris l'impasse des quantités limitées de platine et cherche une solution, soit en recyclant soit en trouvant un matériau de substitution, mais n'évoque jamais directement la problématique. Et pour cause, aucun matériau n'a pour l'instant été trouvé, et vu le prix du platine, cela fait quelques décennies que des recherches doivent être en cours. Cela pose plus fondamentalement la question de savoir si tout cela n'est pas une supercherie. L'hydrogène ''vert'' sera très couteux vu les mauvais rendements, et les problèmes de transport, et ne sera au mieux utilisé que dans les processus industriels qui utilisent le coke aujourd'hui (haut fourneaux, cimenteries il me semble) et les usage industriels de l'hydrogène gris. Sachant que 2/3 de l'électricité mondiale est actuellement produite à partir d'hydrocarbures, la logique voudrait que l'électricité verte se substitue à l'électricité carbonée en priorité plutôt que de servir à produire de l'hydrogène vert pour les transports.
inutile de pérorer sur les bienfaits de l'hydrogène et sur son mode de stockage tant que l'énergie dépensée pour le produire provient de sources inacceptables. Toutes les émissions TV ou autres video sur le sujet "énergies" sont viciées à la base : on y parle le moins possible de la nature de cette énergie qui nous permet de disposer d'énergie. Le bon sens populaire (qui rejoint Héraclite pour le coup) le dit pourtant assez: "on n'a rien sans rien".
Ca fait parti du jeu. Cela dit, rien de scandaleux quand les recherches sont réellement menées, contrairement à la majorité des start-up et les grandes entreprises qui font largement pire en terme de communication pour ramasser du pognon pour des projets non réalisés ou voués à l'échec dès le départ.
J'approuve : stockage problématique, transport très couteux vers les points de distribution (18 fois plus cher que pour l'essence), stations services 10 fois plus chères, et rendement global du cycle déplorable. L'avenir de l'hydrogène n'est probablement pas dans le transport individuel.
vidéo vraiment décevante, mais le titre était évocateur de ma déception.... 95% de l'hydrogène produit est fait à partir surtout à partir de méthane (CH4) me semble t il et quand on produit 1Tonne d'hydrogène avec ce procédé on libère 10 tonnes de CO2. Il faudrait réussir à produire de l hydrogène à 100% par électrolyse avec une énergie verte pour que l'hydrogène soit neutre en CO2... au boulot Mrsdu CNRS... De plus un camion qui transporte 38T d'essence ne pourrait transporter que de 3Tonnes d'hydrogène, ca va être complexe les ravitaillements. Puis il faut le stocker dans le véhicule, dans l'avion et dans le bateau l'hydrogène.... Bref la neutralité carbone passera par l'extinction de l'espèce humaine et son envie démesurée de consommer à outrance et de prélever dans la nature un maximum de ressources et de rejeter un maximum de déchets. Puis les métaux rares ben en France y en a plus donc va falloir les faire venir d'ailleurs, et aller exploiter des mines et donc émettre du CO2. C'est un peu le serpent qui se mord la queue... de meilleure solution il n'y en a pas tellement, c'est juste au goût de chacun.... les pour le solaire, pour les éoliennes, pour le H2, pour la fusion (qui verra certainement le jour mais quand....) pour les réacteurs de 4ieme génération, pour les courants d'eau sous marin..... Ce qui me fait marrer c'est surtout de voir notre cher président, ce pantin, qui est mené à la baguette par des personnes beaucoup plus influentes que lui, qui ont le pouvoir de l'argent et qui lui font faire et dire ce qu'ils veulent. Il n'y a qu'à voir la vidéo avec Mister Elon Musk, s'il avait pu se mettre à genoux, il l'aurait fait et avec le sourire...
Intéressant. Mais on sent que c'est encore peu performant. Ca le deviendra peut être mais c'est justement le "peut être" qui pose problème au vu de l'urgence climatique.
Y en a-t-il vraiment tant que ça ou il s'agit d'effet d'annonce ? Je me souviens d'annonce de découverte d'immenses réserves de pétrole qui au final n'était pas perceptibles dans les fluctuations d'approvisionnement.
Pour le climat, il serait surtout bon de r a l e n t i r nos émissions de GES. Ce n'est pas en trouvant des solutions pour les porte conteneurs que l'on doit trouver. C'est des solutions pour se passer du contenu de ces conteneurs. = Freiner. Mais bravo tout de même aux chercheuses et chercheurs pour leur travail
C'est éminemment respectable si vous avez comme projet de vie de vivre en auto-suffisance dans une ferme, mais c'est totalement illusoire si vous croyez pouvoir amener la planète entière à vous suivre. Nous n'arriverons tout simplement PAS à limiter le dérèglement climatique sans recours aux énergies décarbonées.
Si j’ai bien compris on utilise de l’électricité pour produire de l’hydrogène qui va être utilisé pour produire de l’électricité, en voilà une d’idée qu’elle est géniale. On marche sur la tête.
L'électricité qu'on utilise pour faire de l'H2 est celle des périodes de surplus. Elle est vendue à des prix dérisoires, car la production excède alors la consommation. Par contre si on l'utilise pour faire avancer un bus qui devrait, sinon, embarquer une tonne de batterie, alors là on y gagne. Pourquoi pensez vous que les ingénieurs sont moins capables que vous de faire ce genre de calcul ? Qui est-ce qui n'a compris que 10% du problème ? Eux ou vous ?
On fracasse des atomes, pour faire chauffer de l'eau et utiliser la vapeur pour generer de l'éléctricité... On peu toujours presenter des défis technique et d'ingénieurerie de façon defaitiste ou plancher a résoudre ces problèmes...
La question n'est pas celle de la production d'électricité, mais du stockage de celle-ci. Les technologies actuelles de stockage par batterie sont extrêmement polluante et peu efficace pour des usages lourds (transport, mais aussi industrie). N'oublions pas qu'outre le transport ferroviaire, routier, maritime et aérien, la production de matériel de construction (béton, ciment) représente 15% des émissions de CO2. Or celle-ci pourrait également être décarboné grâce à l'hydrogène.
Sans le CNRS, nous n'aurions sans doute pas découvert récemment un gisement de 46 millions de tonnes d’hydrogène à l'état naturel en Lorraine. Comme disait Churchill : "Les pessimistes voient dans chaque opportunité un obstacle, les optimistes voient dans chaque obstacle une opportunité".
46 millions de tonnes d'hydrogène découvert à l'état naturel dans un gisement à Folschviller en Lorraine. Si l'hydrogène vert est encore un projet à long terme, l'hydrogène blanc ne l'est peut-être pas.
Le train régional va passer à l'hydrogène vert. Cela permet d'utiliser les voies actuelles sans investir lourd dans un câblage électrique qui utilise des métaux qui se raréfient. Pour le rendement de la pile à combustible, la recherche progresse notamment sur les bulles produites qui nuisent à ce rendement. Des projets de production d'hydrogène intégrée dans le mat des éoliennes voient le jour. Cela permet de transformer le surplus de production électrique. Idem pour le surplus solaire ou nucléaire qui est actuellement perdu et produit pour rien.
Pardon, mais c'est malheureux qu'un reportage estampillé "CNRS", véhicule une idée fausse déjà bien ancrée chez nos concitoyens grâce aux approximations médiatiques ! L'hydrogène (hors fusion nucléaire) n'est pas une source d'énergie... C'est un vecteur et un système de stockage qui a bien des avantages, mais ce n'est en aucun cas une "source d'énergie" Le principe d'une batterie, c'est qu'en la soumettant à une énergie (électrique), on crée une réaction chimique en son sein... Réaction qu'il est possible d'inverser pour que celle-ci nous fournisse en retour, l'énergie qu'on lui avait "donnée" (- le rendement) C'est le cas des piles au lithium et c'est le cas d'un moteur ou d'une pile à hydrogène : on donne de l'électricité à de l'eau, H et O se séparent... et quand on refait H2O, ça nous restitue de l'énergie !!! C'est la définition même d'une batterie !!! L'hydrogène "source d'énergie" serait une vérité s'il existait à l'état naturel sur terre (les gisements représentent une quantité ridicule par rapport à nos besoins).... Comme ce n'est pas le cas, l'hydrogène n'est pas une source d'énergie. Les gens sont suffisamment dans le déni des futurs problèmes climatiques et énergétiques qui vont arriver, sans qu'on leur donne les graines d'un illusoire "sauvetage scientifique" C'est navrant quand ça vient du CNRS !°!
Ahah ! Mais c'est vraiment plus le sujet !! Le problème de base c'est que l'hydrogène est inutilisable a grande échelle pour la mobilité de toues les jours ...et nos centrales nucléaires ont vraiment d'autres utilités que balancer de l'énergie par la fenêtre pour faire de l'hydrogène vert hors de prix...et Non ! Pas d'énergie dans l'eau comme dit au début de cette vidéo de propagande d'ultra gauche !
Soyez les bienvenus chez les Bisounours Hydrogène. Je crois que j'ai même aperçu Casimir à la fin. Personne ne le sait mais ils ont tous le ventre gonflé d'hydrogène. Gardez le secret s'il vous plaît.
Très beau documentaire pour l’avenir… lointain. C’est très explicite vers 19 min 45 sec : subvenions long terme permettant d’envisager le travail sur (j’ai compris) 25 ans (il ne prononce pas très bien). Alors je compte : R/D 15 à 20 ans, pénétration du marché et déploiement d’envergure autre 10 à 15 ans, on parle 2050 et après. Avec un tel horizon, je leur pardonne volontiers de ne pas faire état du piètre rendement énergétique actuel. Dans 35 ans, la fission de IVe génération sera déployée avec son TRE incroyable et ITER aura fait du chemin. Belles perspectives d’avenir lointain, on peut rêver. C’est cependant bien avant cet Éden énergétique qu’il faut agir. Et dans l’immédiat, j’aime mieux m’en remettre aux priorités de l’IRENA : chimie, engrais, acier et transport maritime au long cours. Dans l’immédiat, si on me le permet, je jouerai au petit train dans mon sous-sol.
Un train fonctionne déjà à l'hydrogène en Allemagne, avec une technologie Alstom, en Suisse des camions roulent à l'hydrogène. L'obstacle ne serait pas un manque d'ambition plutôt que technique ?
Avenir peut-être moins lointain qu'on le pense depuis que l'on a découvert un gisement de 46 millions de tonnes d'hydrogène à l'état naturel à Folschviller en Lorraine ! La recherche ne peut maintenant aller qu'en s'accélérant.
Documentaire totalement partial. Quand on entend un interviewé que le véhicule électrique à batterie n'est pas adapté pour les longs trajets et doit rester cantonné dans les villes, je m'etrangle. Quelle désinformation ! Il y a 2 ans, 3000km de fait pour les vacances en France. Et cette année, voyage en Slovénie avec mon véhicule électrique. Le temps de trajet est le même qu'avec un véhicule thermique en faisant 2 à 3 pauses. Déçu de la part du CNRS sur ce coup là.
On ne doute pas de la qualité de la recherche. Mais cette séquence contourne les vraies incertitudes : rendement technique, tranportabilite, coût, probabilité de réussite opérationnelle des recherches. On a l'impression d'une vidéo de complaisance pour justifier des subventions par un discours qui fait l'impasse sur l'essentiel en faveur des EnR intermittentes au détriment du nucléaire tout en masquant les conditions eventuelles de la réussite de l'exploitation.. ou de son echec. Avec une restitution d'électricité de l'ordre de 50 % par rapport à celle utilisee, et de 20 % avec des EnR intermittentes, l'avenir est largement différent du discours tenu. Une vidéo finalement "hors sujet" par rapport à son titre.
3 problemes majeur que sont - le stockage : que ce soit de l'hydrogene gaseux jusqu'a 700bar qu'il faut compresse et demande un tank avec niveau de securite eleve, l'hydrogene liquide ou ca semble injouable meme dans le long terme 20/30ans, mais qui marche tres bien les rockets qui ont un besoin bien particulier. et comme c'est plus volatile que le gas, pour gerer etancheite/fuite dans un reseau de distribution ca coute bien plus cher. - le rendement de la pile a combustible ou la performance demande un fonctionnement a haute temperature avec un temps de demarrage au dela de 10min. - le refroidissement du stack de la pile a combustible qui demande un system annex de refroidissement bref les systemes annexes sont complexes, interdependant, et il faut donc considerer un systeme complet dont la pile a combustible est un element parmi d'autre. pas mal d'etude ont montre que le rendement global de la chaine elec -> hydrogene -> elec depasse pas les 30-40%. ya peut etre quelque secteurs industriel comme les haut fourneaux pour la fonte/acier qui pourrait utilise l'hydrogene au lieu du charbon... l'aeronautique comme airbus s'y met, tres recent, mais ils ont une competence dans les exigences de securite qui est inegalee par rapport a d'autre secteur de transport et donc peuvent surmonter des challenges techniques, apres l'approvisionnement semble etre un sacre casse tete. par contre je comprends pas du tout l'interet pour le train....ca a pas de sens.
Ce qu'il manque c'est une question de rendement combien d'électricité pour produire de l'hydrogène et ensuite la convertir en électricité ? Donc un usage limité, transport et stockage de surplus.
@@ami443 Je suis ingénieur en électronique, donc je ne m'y connais pas plus que ça en énergie. Mais la conclusion de la vidéo sous-entend que les piles à hydrogène vont nous sauver du naufrage énergétique, sans diminuer les dépenses énergétiques et le transport mondial. Et la vidéo d'ARTE sur le sujet présente les choses exactement de la même manière. On veut nous donner des espoirs de croire que la science finira par tout résoudre et que les classes moyennes vont pouvoir continuer à circuler en voiture, manger 2kg de viande par semaine, et commander des bidules faits à l'autre bout du monde sur Amazon. J'espère me tromper, mais je n'y crois pas.
@@TheTrueStuartSmith bof, la décroissance c'est du pipo pour ecolo bobo d extreme gauche.... et oui la science va tout résoudre, comme d habitude....c 'est marrant, mais contrairement à toi, je crois en la science... Et la fin de la vidéo n'a jamais dit ce que tu dis là.
Sur les 100 millions de tonnes d'hydrogène produits annuellement avec le gaz naturel, 45 millions servent à la désulfuration des carburants fossiles, carburants dont la combustion produit des milliards de tonnes de CO2 et de polluants divers et ça ne dérange personne. Mais quand il s'agit d'utiliser directement cet hydrogène et ne rejeter que de l'eau alors ça hurle.
La nouveauté, depuis ce reportage, c'est l'hydrogène "blanc", dihydrogène stocké dans les couches géologiques et dont une partie (quelle proportion?)) provient d"'un flux venant du manteau terrestre. Disponible en quantité en France, en Moselle notamment. Par ailleurs le moteur thermique à hydrogène n' a pas l'air si dur que ça à mettre au point.Un prof isolé a réussi à le faire avec un moteur de Simca 1000 dans les années 70. D'ici un an ou deux des voitures à moteur thermique au dihydrogène devraient tourner aux 24 h du Mans. L'hydrogène blanc doit permettre d'éviter la phase relance du nucléaire.
Intéressant ! Apparemment Toyota mise là-dessus. Mais il faudrait une sacrée quantité de cet hydrogène blanc pour faire tourner le parc automobile actuel. Pour les autres usages ça ne changerait rien. Le seul espoir d'arrêter le nucléaire est de diminuer drastiquement la consommation d'énergie globale.
@@TheTrueStuartSmith Peut-être faudrait-il aussi que mr ou me Dupont aillent à pieds chercher leur baguette chez le boulanger à 200m, et que mr Arnault arrête avec sa folie du jet privé...
Il existe des sources d'hydrogène natif un peu partout en france, notamment en Auvergne et dans le nord avec un gisement de 250M de tonnes...c'est dommage de commencer le documentaire sur une affirmation erronée...
Un peu déçu, j'attendais mieux du cms....et les commentaires ci dessous montrent bien que personne nest dupe... l'hydrogène pour la.mobilite urbaine nest qune utopie...et heureusement pas un mot sur la folie de lavion a hydrogene...
il y a des chiffres de rendement ? quantite d electricite necessaire pour l usage cible. on en parle pour voir si ca peut marcher ou on garde la tete dans le sable ? l economie de co2 , equivalent 350000 voiture qualifié de considerable d ici 2030, c est une blague ?
La réduction de CO2 pour l'Europe en supprimant toutes les thermiques et de 0,2'% quasi rien... Sur 100% de la pollution mondiale. parcontre l'électricité EDF est déjà limité, pour fournir l'électricité. Quand sera t'il sans avancée en hydrogène, ont va faire chauffer les centrales nucléaires ?!. Alors pourquoi puisque Alstom Belfort a un savoir faire sur l'hydrogène, ont n, entant presque rien dans les médias ?. Il paraît qu'une des chaîne de constructions des 1er TGV a été vendu et remonter en Corée, ils y a une vingtaine d'années. En sera t'il ainsi avec l'hydrogène ?.
Tout le monde parle de rendement. C'est bien, mais faut savoir raisonner plus loin que ça. L'électricité abondante n'est pas une évidence partout dans le monde, les infrastructures nécessaires pour alimenter les voitures électriques, avoir plein de station de recharge, etc. n'est pas accessible à toute la planète. Sur les 8 milliards d'habitants sur la Terre, ceux qui ont accès aux infrastructures pour la voiture électriques sont... très minoritaires. Pour les autres, il faut une alternative au pétrole. L'hydrogène est un bon candidat à l'échelle de la Terre, une fois qu'on ignore les bobos occidentaux (dont je fais partie :)).
@@flexable9256 Je confirme : pour avoir un peu vécu à Bamako et à Ouagadougou, je confirme que nous avons des projets de pays riche. Quand tu vois de vieilles femmes assises au bord de la route pour tenter de vendre trois ou quatre bouteilles d'essence (bouteilles en verre de 1 litre), tu as du mal à imaginer le passage à l'hydrogène.
@@emilechevets1464 Alors, oui, le passage à l'électrique ou l'hydrogène est plus du long terme, mais dans l'hypothèse de plus de pétrole, c'est l'hydrogène qui permet encore de vendre des bouteilles de 1L de carburant. Et pour la petite histoire, aux débuts de l'automobile (1901 - même si le moteur à explosion apparait vers 1890), on achetait, en France, pays très en avance, l'essence au drugstore, par bidon de 5L (le benzine). Et à l'époque aussi, la voiture électrique concurrençait la voiture thermique, et avait même plein d'avantages. Mais au final, autonomie et faciliter de ravitaillement on imposé le moteur thermique. Pas besoin d'infrastructure complexe pour avoir du ravitaillement.
le truc du stockage de l'hydrogène dans un matériau solide m'intéresse ! reste a voir son meilleurs rendement théorique et sa stabilité (ca libère a partir de combien en température par exemple ou est ce que ca craint les chocs ?) après comme toute prospection, toute n'aboutisse pas. Ca se trouve on fera de la fusion d'hydrogène et on aura des supers batteries rechargeable instantanément
Indiquez les conflits d'intérêt qui peuvent exister chez vos intervenants. Sans cela, c'est comme une thèse sans les références scientifiques : ça vaut rien.
Beaucoup de défis à surmonter avant que l'on puisse monter à bord de train ou d'avion à hydrogène... les obstacles semblent nombreux, production peu ou décarboneés à mettre en place, coût de production, stockage, transport, dangerosité à maîtriser. Qu'il serve à la mobilité des poids lourds ou pour produire de l'acier ou raffiner du pétrole il faudra bien un jour rendre plus propre la production de cet hydrogène
Un train fonctionne déjà à l'hydrogène en Allemagne, avec une technologie Alstom, en Suisse des camions roulent à l'hydrogène. L'obstacle ne serait pas un manque d'ambition plutôt que technique ?
Effectivement avoir une réussite d'Altsom Belfort, avec une vente de 14 trains 100% hydrogène. Et dire au début du commentaire, qu'aujourd'hui la fabrication de l'hydrogène pollue deux fois plus. Cela paraît bizarre, surtout qu'on n'a connaissance d'une source d'électricité sur centrale électrique, a partir des vagues en mer... Il y a donc un manque de coordination, de communication entre technologies actuel, et l'effort de vouloir promouvoir l' hydrogène vert. Sa donne l'impression d'être dans le passé, comme la citation de Jules Verne, qui marque la vidéo.
@@skeeter_henry_21 Personnellement, "Les trois premières phrases", ça me semblait assez précis comme énoncé même si j'aurais limité à deux car la dernière est du blabla neutre. En toutes rigueur, elles ne sont pas fausses car il s'agit d'interrogations, mais ce n'est qu'une figure de style qui suggèrent une réponse affirmative. Par ailleurs, la citation écrite en haut à droite de l'écran avec que ça cause est la même ânerie. C'est une citation dont on aurait pu se passer ou la faire pour la contester. Ce qui est regrettable (voire inacceptable de la part du CNRS), c'est qu'on laisse le spectateur non averti avec cette idée fausse.
Dites-donc, c'est bien de faire de la recherche sur comment utiliser l'hydrogène comme vecteur énergétique. Mais il faudrait dire aussi que pour obtenir 1kJ d'énergie à partir d'une pile à combustible il faut 10kJ de production d'électricité en amont, et ce rendement est essentiellement une contrainte physique (ce n'est pas une question de coût), d'ailleurs vous l'avouez à demi mot, une pile à combustible : ça chauffe ! lol. C'est rédhibitoire, surtout en période de disette énergétique, pour tout transport terrestre y compris les trains courtes jonctions (ça sera moins cher de poser une caténaire). Quant au transport maritime : bon courage, aujourd'hui ça tient avec un fioul à prix canon. Et là, sans énergie abondante, si on veut utiliser l'hydrogène comme vecteur, il faudra arbitrer : est-ce qu'on veut le colifichet venue de Chine, ou le chauffage l'hiver* ? Et donc l'hydrogène à grande échelle il semble que ça soit juste pour les applications où l'on ne peut pas faire autrement (La chimie etc.) La conséquence de ce biais dans votre présentation, c'est que vous ramassez des commentaires du genre : est-ce que c'est techniquement possible d'avoir une tondeuse à gazon à hydrogène ? La réponse est oui. Mais ce n'est absolument pas souhaitable. Et j'ajoute que J-M Jancovici répondrait tout de go : oubliez le gazon, plantez des lentilles, le gazon ça consomme trop d'eau inutilement. C'est bien de se pencher sur les aspects techniques, mais s'agissant du CNRS, ça serait bien aussi de voir plus loin que l'horizon, et mettre sur la table les enjeux globaux réels (Et non rêvés) surtout si vous mettez ça sur la place publique. (*) Avec un transsibérien, on s'en sort en dépensant 10 fois moins d'énergie qu'avec une pile à hydrogène, donc (Il y a moins de frottements sur le rail que dans l'eau et la distance est plus courte).
Disette énergétique entretenue par les pétroliers-gaziers qui ont entravé l'investissement dans les énergies renouvelables... Vous avez bien intégré leur discours. Un train fonctionne déjà à l'hydrogène en Allemagne, avec une technologie Alstom, en Suisse des camions roulent à l'hydrogène. L'obstacle ne serait pas un manque d'ambition plutôt que technique ?
Réponse pas évidente par une recherche rapide, il semble que les carburants fossiles produisent deux fois et demi l'énergie électrique produite (et consommée). A vérifier mais rien d'étonnant. Alors on arrête le chauffage électrique, on mange cru, on se lave froid, on éteint l'informatique on vit dans le noir et on pourra rouler deux fois et demi moins en électrique. Ah non ! En hydrogène c'est vrai, l'électricité doit encore être convertie, rendement à 70% dans nos rêves, et bien moins en fait... Il faut 4 fois le parc nucléaire et les barrages en plus de la production actuelle : faire fois 5. Des investissements qui demandent vingt ans et qu'on ne risque pas de faire en récession. L'essentiel c'est que les camions puissent rouler, les grues les bateaux fonctionnent, que les riches aient des voitures de 2 tonnes, et les pauvres quelques bus et trains métros tramway... Et ils feront du vélo ! Mais ça va être dur en mangeant du pain, car la production agricole va aussi poser problème. Encore un effondro-loque direz-vous !
Le nucléaire est déjà utilisé à fond ou presque. Par ailleurs les centrales ont été construites dans les années 80 pour beaucoup. Dans 10 ans elles fermeront.
résumé : au jour d'aujourd'hui, l'eau renferme une source d'énergie inépuisable qui peut permettre à la France de garder son leadership. C'est un vrai reportage du CNRS, ou il y a eu du retard au montage et cette vidéo devait pas être publiée le 1er avril ?
@@laurentpaillart7622 L' Hydrogène n'est pas une source d'énergie, mais seulement un vecteur! Il faut une autre énergie pour le produire, et malheureusement, le rendement est assez faible .
@@laurentpaillart7622 Je vous invite aussi à vous relire, j'ai les yeux qui saignent en essayant de décrypter ce que vous écrivez. Le sujet ici, c'est le dihydrogène, ce que tout le monde appelle "hydrogène" par facilité (on peut râler sur ce point, mais c'est trop tard, le mal est fait). Vous faites référence à la fusion (de deutérium et de tritium, au passage), mais c'est hors sujet. La question initiale, qui semble assez saugrenue et je vous rejoins là-dessus, faisait référence à l'eau. Et là, on parle bien du dihydrogène.
@@philippechayer8180 Alors, attention, mais il existe des gisements naturels de dihydrogène. Et du coup, ça devient une source primaire d'énergie. Son abondance est discutable, et nous sommes d'accord que principalement, on ne parle que de vecteur d'énergie. Comme l'électricité, par ailleurs. Le rendement dépend du modèle d'utilisation, mais il n'est pas extraordinaire. Toutefois, il ne faut pas s'arrêter à ce point. Le dihydrogène a des applications fondamentales. Si vous ne raisonnez que sur la voiture, vous loupez l'essentiel. Ce reportage aborde des bons sujets d'application. Le principal restant les aciéries et cimenteries.
@@laurentpaillart7622 Alors je connais l'histoire de Franz Ulga et j'ai vu le reportage. Par contre cela ne change en rien le fait que l'hydrogène n'est pas une source d'énergie mais un vecteur. Franz a du générer et stocker son énergie électrique, il n'a pas reçu de l'hydrogène venu de nulle part. Ensuite, les piles à combustible à hydrogène sont l'un des pires moyens de stockage de l'énergie. Ils coûtent chers, sont dangereux, nécessitent beaucoup de maintenance, et ont des pertes énergétiques considérables. Les meilleurs rendement dépassent rarement les 60% d'efficacité, je ne veux pas savoir le rendement encore plus médiocre de la pile à combustible maison non industrielle de Franz. Déjà, l'énergie ce n'est pas que de l'électricité, on peut aussi la stocker sous forme de chaleur. Franz aurait pu investir dans des stockage thermiques, qui non seulement coûtent moins en comparaison, mais en plus ont un rendement qui dépasse facilement les 95%. Et ça tombe bien, 50 à 60% de l'énergie qu'on consomme c'est pour créer de la chaleur (chauffage, eau chaude sanitaire)
Mais qu'est-ce qu'on attend de passer à l'acte pour la fabrication de l'hydrogène et pendant ce temps là les pétroliers augmentent leurs prix et se remplissent les poches.
Désolé de m'inscrire en faux , mais il y a des sources naturelles d'hydrogène en France (Hydrogène blanc), notamment en Loraine et dans les Landes. En outre et cela est notable, ces gisements ont été découverts "par hasard" il serait sans doute de bon augure de commencer à chercher ces gisements de façon plus "efficace" !!
Dites CNRS, on dit "kilomètres par heure" ou "kilomètres à l'heure" et pas "hilomètres heure", venant d'un service scientifique, c'est un peu limite ;o)
Un gros soucis de l'hydrogène c'est la taille de l'atome. Le stockage étanche à 100% n'existe pas. Aucun réservoir de type léger (pour véhicule) n'existe. Le réservoir de votre voiture, plus il est vide, plus il fuit. Et pourtant les molécules des hydrocarbures traditionnelles sont plus grosses que celles du di-hydrogène. Avec la production industrielle de l'hydrogène dans les proportions de la production actuelle du pétrole, je vois très bien le niveau des océans baisser, une partie de l'hydrogène traitée disparaître dans l'atmosphère puis dans l'espace, et l'humanité de continuer de faire comme si... Autre chose, le di-hydrogène nuit à la couche d'ozone.
Depuis longtemps on parle de l'hydrogène sans rien faire, je me rappel, il y a bientôt 20 ans c'était la grande mode de faire des prototype à hydrogène chez les constructeur et puis plus rien. au bout d'un moment il faut avancer
L’utilisation de l’hydrogène dans l’aviation (drones) ou dans le jardinage (motoculteur, débroussailler, tondeuse) serait-elle pertinente ? Je ne parle pas des contraintes liées à la production mais bien à l’utilisation. En terme de poids et de capacité ? Merci
Y'a pas mal d'acteurs dans l'aviation qui travaillent à faire voler des avions grâce à l'hydrogène. Certains gros acteurs semblent y croire, comme Airbus. D'autres non, comme Dassault. Il semble que la majorité soit plutôt du côté des sceptiques. Du moins pour une démocratisation complète. Pour les lignes régionales cela semble plus crédible : rendez-vous dans 5 à 10 ans pour savoir !
L'utilisation et pas la production ? ça tombe bien, pratiquement tous les inconvénients insolubles s'y situent. - C'est volatile - Quand on stock de l'hydrogène, une bonne partie finit par s'échapper du fait des contraintes liées au stockage, devenant un puissant gaz à effet de serre indirect - Il faut aller s'approvisionner à la manière d'un moteur à essence - C'est volumineux, et même si ça ne l'était pas, ce serait honteusement coûteux - C'est lourd, vu que le contenant se doit d'être particulièrement renforcé pour supporter la tendance ultra corrosive de l'hydrogène à bousiller son contenant - C'est non viable, vu que les matériaux comme l'iridium nécessaires aux piles à combustible sont introuvable en grande quantités sur Terre - C'est cher, parce que toutes ces contraintes implique un coût qui explose par rapport à une alternative adaptée Conclusion : C'est complètement inadapté à un usage individuel, quand on peu utiliser une alternative électrique à batterie. La seule chose qui justifie l'emploi d'hydrogène dans ces conditions, c'est la nécessité d'avoir une autonomie complètement démesurée. Autrement dit, faut vraiment le faire pour pas trouver de meilleure alternative, et donc c'est une idée vraiment pas terrible en fin de compte. Et au passage, oui, ce "documentaire" est extrêmement biaisé et se concentre uniquement sur les avantages, en oubliant de préciser qu'il est irresponsable d'envisager les appliquer à autre chose que l'industrie lourde et les cas exceptionnels comme des trains essentiels (faut qu'on en discute de ça mdr) ne pouvant être électriques.
Problème : l'électrolyse demande une source d'électricité stable, ce qui réduit notablement l'usage du vent, sauf puissants STEP ou autres moyens de stabiliser le courant... Reste le solaire thermique en milieu tropical, et des ressources hydrauliques inexploitées... en plus de l'aval du Congo de Kinshasa à Matadi, il y a encore quelques chutes inexploitées ... mais qui ont une valeur considérable pour l'industrie touristique, tout en étant trop saisonnier...et avec un étiage de 5% à 10% ... où le Congo est à 30% . Puis, rien n'empêche d'employer la capacité maximale du Congo par un mix. Mais, justement, il semble bien y exister une barrage d'intérêts capitalistiques à ces solutions-là. ... Cathénaire, pourquoi uniquement des trains? Pourquoi pas des bus, qui peuvent s'écarter du cathénaire, même rouler longtemps en autonomie ou produire de l'électricité par un moteur...thermique... : si le réseau est fortement sollicité, les transports publics y envoient du jus. Si le réseau est peu sollicité , ils roulent avec du jus. Cela rendrait l'équipement de production des centrales beaucoup plus rentable. Et ces moteurs thermiques pourraient être diesel, diester, hydrogène ... L'avantage serait déjà de pouvoir se passer des voitures personnelles, qui consomment énormément de CO² pour être produites... et , dont l'utilisation est au km parcouru évidemment bien plus producteur de CO², y compris si voiture électrique - selon l'origine de ce courant-... Il faudra prohiber de toute façon l'hydrogène par gaz naturel, et se limiter à l'hydraulique, le solaire thermique et le nucléaire comme sources d'énergie pour l'électrolyse. C'est la seule solution à hydrogène acceptable.
L'avancé ce trouve dans l'eau, est le cosmos, qui est illimitée et écologiques et propre... La recherche constante de solutions énergétiques durables, dans un contexte de crise climatique inédite, est un enjeu mondial. Une équipe d’ingénieurs américains a développé Air-gen, une technologie innovante capable de générer de l’électricité à partir de l’humidité de l’air. Cette avancée pourrait bien révolutionner notre façon de produire et de consommer de l’énergie, en offrant une source d’énergie propre, renouvelable et omniprésente. Note perso: " Et il est fort possible vu que l'humidité, l'eau est un élément apprécié de l'hydrogène, que ces batteries nouvelles, pour être plus performante et besoin de plus d'hydrogène, pour plus de volts ?. "
Le nucléaire est déjà utilisé à fond ou presque. Par ailleurs les centrales ont été construites dans les années 80 pour beaucoup. Dans 10 ans elles ferment. Par ailleurs l'hydrogène etant l'élément le plus leger on ne sait pas le transporter, le stocker. J'ai du mal à y croire...
@cquiquidit levrailefo Sans rentrer dans cette fausse polémique, je vous signale qu'une voiture à hydrogène est d'abord une voiture électrique. Et que les matériaux nécessaires à sa fabrication (pile à combustible) sont encore plus rares, plus polluants à extraire et bien plus coûteux que ceux d'une voiture électrique!
@cquiquidit levrailefo Si tu es prêt à perdre ton argent à faire le plein d'essence ou de gazole, alors libre à toi. De mon côté, j'économise €4500 net par année avec mon VE par rapport au thermique qu'il a remplacé! Certes, je roule passablement (environ 32'000 km par année)
@@st-ex8506 A 32000 km par an, j'estimerais les économies à 2500 euros personnellement, en supposant une voiture thermique qui consomme 6 Litres aux 100 à 1,80 euros le litre, et une voiture électrique qui consomme 15 KWh aux 100 à 20 centimes KWh. Après, peut-être que votre ancienne voiture était un SUV et vos calculs sont donc différents. Mais cela reste une belle économie quand même! En revanche, il ne faut jamais oublier la durée de vie de la batterie qui peut fausser certains calculs. Dans le cas de ma Renault Zoe, je pars du principe que je vais rouler 150,000 km avant que la batterie ne rende l'âme (si elle vie plus longtemps, tant mieux), et la batterie m'a coûte 7000 ou 8000 euros (je ne sais plus vraiment😅) cela rajoute un coût de 5 centimes par km parcouru environ à cause de la batterie, soit 5 euros aux 100. Avec 15 KWh aux 100 à 20 centimes le KWh, la voiture me coûte donc 8 euros aux 100. Cela reste moins cher que la thermique, et c'est voué à descendre dans l'avenir avec les progrès technologiques, sans compter les bonus éco qui m'ont aidé, mais il faut quand même prendre ce genre de détail en compte. Mais de toute manière, une voiture de manière générale coûte trop cher, c'est entre 400 et 600 euros par an d'assurance, 500 à 1500 euros par de carburant ou d'électricité, le prix de la voiture lui-même qui peut coûter quelques centaines à milliers d'euros par an (eh oui, une voiture achetée 10,000 euros qui dure 10 ans vous aura coûté 1000 euros par an) sans compter les réparations et le contrôle technique... On tombe sur des coûts par an qui sont astronomiques quand on le compare avec les quelques centaines d'euros que coûte un abonnement annuels avec utilisation illimités des transports publics dans certaines villes (à Toulouse je crois que c'est 550 euros par an). Le mieux, c'est qu'on se focalise plus sur une mobilité de masse accessible à tous à bas prix. La voiture d'une manière générale n'est pas l'avenir, qu'elle soit thermique ou électrique.
@@texanplayer7651 J'ai remplacé une BMW 330i de 2011 par une Tesla Model 3 LR de 2019. Deux voitures parfaitement comparables. La BMW ne consommait pas 6 l au 100km, mais 9.5. La Tesla consomme 17.9 kWh/100km. Je paierais, dans ma région, le litre plutôt €1.89, voire €2 sur autoroutes, soit plus de €5750 pour 32000 km/an. Entre la charge à la maison et les quelques charges en super chargeurs, je suis d'accord avec votre chiffre de 20 centime par kWh, auquel s'ajout 11% de pertes à la charge (vous aviez oublié ce détail), donc un total d'environ €1300. En fait moins, car j'ai des panneaux solaires à la maison, et je bénéficie de charge gratuite sur l'un de mes trois lieux de travail. Mais je ne tiens pas compte nie ces avantages 100% personnels. Donc, en conclusion: €5750 - €1300 = €4450. Qu'avais-je dit? Ah oui! €4500 d'économie nette par an. Auquel s'ajoute une importante économie sur l'entretien (mais que je n'ai pas chiffrée exactement), une économie sur l'amortissement due à la beaucoup plus longue durée de vie d'un EV par rapport à une thermique (le double voire le triple...eh oui! Une batterie Tesla récente, ça dure un million de km. Changer de batterie, c'est du passé, la génération des Nissan leaf et des Renault Clio! Cela dit, je suis d'accord avec vous sur la priorité à donner aux transports publics. AInsi que sur le fait que posséder une voiture n'est pas un droit mais un luxe! D'ailleurs, si je vis en France, je travaille en Suisse, et en Suisse, je ne voyage qu'en train et en bus (j'ai l'abonnement annuel des CFF). Mais en Suisse, les transports publics sont top! En France profonde, où j'habite (autunois), en revanche, ça craint sérieusement... et entre les deux, passé Dijon, c'est la cata... d'où les km que je me vois forcé de conduire chaque année! Toutefois, j'arrive à 65 ans en octobre prochain, âge de la retraite en Suisse, ce qui fait que mon kilométrage sera très inférieur dès l'an prochain.
Vous raisonnez en occidentaux. Avec de larges, grandes et modernes infrastructures à disposition. Sur 8 milliards d'habitants, c'est une exception. Là où il n'y a pas d'électricité abondante, pas d'infrastructures pour les véhicules, la voiture électrique n'a aucun intérêt. Il faut du pétrole. Si vous voulez remplacer le pétrole, l'hydrogène devient la seule solution (à ce jour).
Ça reste un p.... d'explosif... Il faudrait recentrer la recherche sur le moyen d'en produire à la demande sans le stocker (ou en très petites quantités)... Sinon, on va avoir des catastrophes intéressantes (en terme de nombre de victimes instantanées), je ne parle pas que des risques explosifs... Je pense que a seule réserve admissible dans un véhicule de transport utilisant ce gaz, c'est l'eau.
Oh non, ça risque pas. 9 kilos d'eau apportent 1 kilo d'hydrogène. 1 kilo d'hydrogène, c'est 30 kWh d'énergie environ qu'on peut extraire. En supposant 50% de pertes énergétiques, c'est donc 15 kWh par kilo d'hydrogène. En France on consomme 450 TWh d'énergie, si 100% de cette énergie provenait d'hydrogène vert, on devrait brûler plus de 30 million de tonnes d'hydrogène par an, soit 270 million de tonnes d'eau, ou 270 million de m3 en terme de volume. On dirait beaucoup, mais en France on consomme facilement 4 milliard de m3 d'eau par an. Et certes, on a des détresses, mais c'est plus ou moins ce que la France peut apporter sans trop de problèmes. Donc même dans le pire des pires des pires des cas, quand l'absolue totalité de notre énergie provenait de l'hydrogène vert (ce qui n'est pas du tout possible, vu qu'on a le nucléaire, que l'énergie renouvelable peut aussi être consommé directement plutôt que stockée, et surtout il existe plein d'autres alternatives à l’hydrogène qui sont bien plus intéressantes pour le stockage), on n'arriverait même pas à augmenter notre consommation d'eau de 7%.
Très intéressant !! Je cherche un contrat ingénieur en informatique dans le domaine scientifique, sur les nouvelles technologies en faveur de l'environnement. (édité : avec scribens)
l'hydrogene vert me semble plus approprié pour la production d'engrais chimiques et autres process industriels qui utilisent du syngas (CO+H2). A peine fabriquer, passage limité par le transport+ stockage avant conso. donc essentiellement pour remplacer le reformage du methane.
Sauvons la terre, la terre n'est plus capable, de produire seule, depuis longtemps. La terre a atteint un seuil critique de 2 à 3 % de micro organismes, en dessous elle ce transforme en désert. Cela me paraît improbable, vu l'état actuel, de la terre industrielle agricole. Et pourquoi ils ce limiterait à une seule utilisation ?. Qui dit voir seulement l'hydrogène, fabriqué en mer, pour la culture ?. Ou si non c'est qu'elle peu remplacer l'azote ?. Engrais de synthèse: «L'azote est à l'origine de tous les problèmes de ... 25 mars 2022L'utilisation d'azote de synthèse a rendu le monde agricole fortement dépendant du gaz. Et a entraîné une pollution sans commune mesure, explique l'ingénieur agronome Claude Aubert
@@andrejob122 Alors déjà l'azote n'est pas toxique, l'air que tu respire en est composé à plus de 80%, et tu en as respiré pendant des années sans conséquences. Ensuite, il ne faut pas confondre azote et engrais azotés. Les engrais azotés, comme leur nom l'indique, sont composés d'azote, mais pour les synthétiser, il faut d'abord synthétiser de l'ammoniac. Et pour synthétiser de l'ammoniac, il faut de l'hydrogène.
@@texanplayer7651 Tout ceci n'a rien a voir avec l'hydrogène vert, ils faudrait seulement une alimentation saine pour tous, sans détruire la terre, avec des agricultures intensif. La terre ne peu plus produire par elle même, alors Ils faut arrêter les engrais chimiques. Aller voir sauvons la terre, en Europe en Inde ect, la terre , n'a plus que 2ou 3 % de micro organismes, en dessous elle devient un désert. Il faudrait minimum entre 8/9 a 12 % Alors redessiner la nature avec des haies pour retenir l'eau, arrêter de le labourage profond, STOP a tout le chimiques, qui rend la terre dur comme du béton, et empêche l'infiltration de l'eau, dans les nappes phréatiques. Qui ainsi provoque des ruissellement d'eau qui gonfle, pour finir dans les villages, villes, et inondations, avec dégât.. Ont ne peut pas dire, l'hydrogène part tout, comme ont ne pourrait pas dire, qu' un char de guerre, c'est le fuel, qui le rend dangereux, car c'est nle fuel, qui le fait avancée... C'est l'humain le responsable, c'est sa façon de créé a contre sans, et ce qu'il en fait, ont peu faire de l'hydrogène vert, et l'utiliser a bonne essient.
@@andrejob122 Je ne prône pas les engrais synthétiques, et je suis tout pour l'utilisation d'engrais naturels et l'agriculture bio et/ou en bocage, ou l'utilisation de plantes qui captent l'azote naturellement comme le soja ou les lentilles. J'explique simplement pourquoi l'hydrogène est utilisé en agriculture.
@@texanplayer7651 Voila pourquoi suis alimentation saine bio de qualité, base fruito-vegetalien avec suivie diagnostique médecine des plantes, qui fait des diagnostique, pronostic des organes énergétique ect. c'est simple et efficace. Partant de là, l'utilisation hydrogène tout comme toute matières, peu être utilisé en bien ou en mal. C'est pourquoi ils faut voir, le pour et le contre. L'hydrogène vert, porte bien un nom pour l'utilisation écologique. C'est à dire, quel doit répondre, depuis la source d'électricité, a ce qui peu être un le plus écologiques et propre et renouvelable dans le temps. Donc sont but et d'être utilisé pour une production, qui coule de source, vers une utilité verte... Si non c'est que l'humain est devenu fou. Il faudrait aussi ce rendre compte, qu'il y 3 fois plus de surface de cultures, végétal pour nourrir les élevages animaux industriel. Qui eux utilise les engrais chimiques, donc l'hydrogène dans la fabrication de synthèse azote, amoniaque, selon les documents fournis sur internet. Donc le problème n'est pas unique a l'hydrogène, mais a l'humain, dans sont environnement et sa façon de vivre, de s'alimenter.
Dans certaines vidéos présentant ce genre de solutions on a toujours l'impression que la science trouve la solution in fine et résolut presque tous nos problèmes. A quel prix !
Je ne suis pas scientifique et j'admire le travail passionnant des chercheurs, mais pourtant je ne peux m'empêcher de penser qu'on est encore dans le toujours plus de solutions pour combler nos besoins grandissants, de plus en plus complexes et nécessitant de la transformation en permanence. Quand bien même c'est à priori écologique, c'est hallucinant de voir tous ces appareils et techniques utilisés par les chercheurs, les matériaux utilisés, cet course effrénée à la recherche de solutions via des ressources à exploiter. À la source de ces problématiques, le mieux ne serait il pas de cesser notre expansion prédation, rééduquer notre cerveau à être heureux en se contentant de l'essentiel.
Merci, commentaire de haute sagesse et plein de bon sens!
A savoir, sortir du capitalisme. Chaque source énergétique nouvelle, solaire éolien etc ne remplace pas le pétrole, le nucléaire et le charbon mais s'y ajoute. Chaque année le PIB mondial grimpe, cela signifie que plus de "richesses" ont été produites que l'année précédente, exception faite de l'année 2020. Cela signifie que plus d'énergie a été dépensé aue l'année précédente. De plus, jamais la production de GES n'a été aussi importante que ces dix dernières années. Le changementclimatique et l'effondrement de la biodiversité sont là et au lieu de tout arrêter les capitalistes appuient sur l'accélérateur. Je ne crois nullement au fait de sortir de cette impasse par la science mais par le rapport de force politique.
Il faut moins produire et surtout produire mieux. C'est aussi le sens de ce genre de recherche. Un futur sans électricité ou énergie c'est un désastre et des millions de morts de faim (pas d'agriculture mécanisée) ou de maladies (pas de recherche médicale, de produits médicaux, de respirateurs etc).
Et puis tout processus industriel est infiniment complexe. Pas de complexité, pas de solution.
tous a vélo
@@bookerlittle1 pas besoin de sortir du capitalisme pour arrêté de polluer
Cher CNRS, vous décrivez, au tout début de la vidéo, dans son intitulé, et encore à 1:12 que l'hydrogène serait une source d'énergie... presque inépuisable par ailleurs!
Je n'ai certes pas la crédibilité d'un chercheur du CNRS, mais après plus de 30 ans de carrière en tant qu'ingénieur chimiste, dans des domaines variés, mais y compris dans l'amélioration de procédés de production d'hydrogène par électrolyse , j'ai la prétention de dire que vous trompez, là, votre auditoire. L'hydrogène n'est en aucune manière une source d'énergie... sauf si vous avez découvert une importante source naturelle de dihydrogène natif... mais uniquement un vecteur, ou une capacité de stockage (fort peu efficiente d'ailleurs) d'une AUTRE énergie!
D'ailleurs, l'eau ADORE tellement ses deux atomes d'hydrogène qu'Il faut donc investir BEAUCOUP d'énergie pour la convaincre de les relâcher (enthalpie de dissociation)! Tellement d'énergie d'ailleurs, pour un rendement médiocre au mieux, qu'il vaut mieux réserver l'hydrogène dit "vert" pour remplacer dans l'industrie les quantités faramineuses d'hydrogène "noir" qui y sont utilisées! Il n'y aura pas assez d'hydrogène "vert" pour l'utiliser comme vecteur d'énergie... sauf quelques exceptions de niche:
C'est trompeur il est vrai mais un vecteur reste source d'énergie, tout comme la nappe phréatique est source d'eau tout comme l'univers est source d'hydrogène. Finalement source ne serait pas stockage ?
@@marchapar4859 Non, je ne vous suis pas! si un vecteur est source d'énergie, alors une batterie EST source d'énergie. Mais nous serons sûrement tous les deux d'accord que ça n'a pas de sens.
Ce qui est sources d'énergie dépend du référentiel dans lequel on se place. A l'échelle de l'univers, il n'y en a qu'une, l'hydrogène et la fusion, pour simplifier... c'est un peu plus compliquer que ça. Pour notre planète, il n'y en a trois: le solei (évident, je pense)l, la désintégation radio-active (chaleur du noyau de la Terre, et donc volcanisme, dérive des continents, tremblements de terre, ..,.), et l'action des forces de gravité (marées, par exemple, mais aussi chaleur du noyau de la Terre pour une moindre part). Pour nous humains, on peut en compter plus, sans perdre de vue que les énergies fossiles ne sont que de l'énergie solaire stockée.
On bascule presque dans la philosophie...
Mais, sauf très rares exceptions, il n'existe pas d'hydrogène natif sur Terre! Donc, l'hydrogène, sur Terre, pour ce qui concerne l'humanité, au 21e siècle, n'est PAS source d'énergie! Il faut bien au contraire investir beaucoup d'énergie pour produire du di-hydrogène.
On est d'accord, ou je me suis (encore) mal exprimé?
@@st-ex8506 Techniquement à cause de l'enthalpie, TOUT dans l'Univers est une batterie, et TOUT est un vecteur. Le Soleil par exemple est une batterie qui va exploser dans 5 milliards d'années, puis devenir une naine blanche pour petit à petit perdre toute luminosité. Donc dans votre logique, est ce que le Soleil n'est PAS une source d'énergie?
@@texanplayer7651 Non, le soleil n'est pas une batterie, mais un réacteur à fusion. Oui, oui, j'entends déjà l'objection... Mais on rentre là dan la philosophie plutôt que la technique! Mais je suis d'accord sur le principe, les choses changent avec le référentiel duquel elles sont observées!
@@texanplayer7651 Je crois que vous faites référence à l'entropie, plutôt qu'à l'enthalpie, non?
C'est inquiétant que le CNRS produise un documentaire aussi partial. Pas un mot sur les défauts du dihydrogène "vert", notamment le très mauvais rendement de l'électrolyse, qui rend sa production extrêmement énergivore, ce qui rendra impossible son déploiement dans le domaine des transports dans un contexte d'économie d'énergie.
En tout cas Altsom a réussi pour le train... PL'Allemagne lance une flotte de trains 100% à hydrogène, une première mondiale
Par Yan Bernard-Guilbaud et AFP agence
Publié le 24/08/2022 à 11:49 , mis à jour le 25/08/2022 à 16:15
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Le train à hydrogène est-il l'avenir du rail ? La flotte de 14 trains, fournis par le groupe français Alstom à la région de Basse-Saxe, circule désormais sur une centaine de kilomètres.
Le train à hydrogène est-il l'avenir du rail ? La flotte de 14 trains, fournis par le groupe français Alstom à la région de Basse-Saxe, circule désormais sur une centaine de kilomètres. PATRIK STOLLARZ / AFP
Finies les locomotives diesel, l'Allemagne a inauguré mercredi la première ligne ferroviaire au monde fonctionnant entièrement à l'hydrogène. Une avancée majeure pour la décarbonation du rail.
C'est une grande première. Une flotte de quatorze trains à hydrogène, fournis par le groupe français Alstom à la région de Basse-Saxe (Nord), circule désormais sur la centaine de kilomètres de la ligne reliant les villes de Cuxhaven, Bremerhaven, Bremervörde et Buxtehude, non loin de Hambourg. «Nous sommes très fiers de pouvoir porter cette technologie sur une exploitation commerciale, dans le cadre d'une première mondiale», s'est félicité mercredi le PDG d'Alstom, Henri Poupart-Lafarge
@cquiquiditlevrailefo769 Ceci est une question de bon sans uniquement. On ne peut pas rejeté tout sur une cause...
Le caténaire train, fonctionne économiquement, très bien.
Mais découvrir une alternative pour comprendre une technologie nouvelle, c'est aussi avoir plus de connaissances et qui dit plus de connaissances dit plus de maîtrise...
C'est pas parceque des trains hydrogène, coûte plus cher, qu'il non pas d'utilité. Si après utilisation ont découvre des solutions pour les voitures ou autre et qu'on n'a, d'autres solutions pour fabriquer l'électricité...
C'est quand même cohérent de marcher sur deux pieds au lieu d'un ou en canard.
Pour moi j'aimerais voir, une améliorations, sur les voitures thermiques, grâce à un retrofi hydrogène.
Et surtout qu'ont arrête de prendre les gens pour des cons.
Depuis âpres guerres, pour les centrales électrique, ont n'a supprimer conbien de petites centrales hydrauliques privées et plus ?.
Le nucléaire uranium, a des problème de stockage ( radioactif ) technologies basé sur les bombe nucléaire armée.
Certain parle a cette époque déjà de Thorium sans risque de pollution, pourtant cela reste non médiatisé.
Pour revenir a l'hydrogène, cela reste propre, comme tout ce qui est dit en ce moment, par tous.
Ont peut produire sans aller, détruire des sites, régions dans le monde.
Et exploiter par la même des enfants, pour creuser. Pour aller chercher des matières au voitures électriques, et recyclage ?.
Donc pour moi l'équilibre énergétique, passe aussi par l'hydrogène.
@@andrejob122 Je vous rappelle que, contrairement à ce que le CNRS prétend dans cette pitoyable vidéo, l'hydrogène n'est PAS une source d'énergie, mais guère plus qu'un vecteur, par ailleurs fort inefficient, d'une autre énergie!
SI vous voulez que le plein de votre voiture vous coûte 5x celui d'un plein d'essence ou de gazole équivalent, et 25x le prix de la recharge d'un VE, alors rétrofittez votre voiture à l'hydrogène! L'hydrogène "vert" a son utilité pour remplacer l'hydrogène "noir" (produit à partir de gaz fossil)e utilisé massivement par l'industrie, mais autrement, c'est une supercherie... le chant du cygne de l'industrie pétrolière.
@@st-ex8506 Quel est le prix d'une voiture à hydrogène ? Modèles, coûts
Article Transition énergétique
Mis à jour le 16-01-2023
Les voitures électriques ne sont pas les seuls véhicules zéro-émission, il existe aussi les modèles fonctionnant à l’hydrogène. Moins connus, ils demeurent encore relativement rares, et sont proposés à des tarifs prohibitifs. Le prix moyen des véhicules commercialisés en France s’élève à 75 950 €. Quant à l’hydrogène, le prix du plein est similaire à celui des voitures thermiques
"L'hydrogène c'est un peu la source de la vie, c'est a dire l'eau. Donc message, j'ai le grand plaisir de vous dire, que l'humain n'a peut-être pas inventé les signes, les tombe ect. il est possible qu'il ne soit qu'une copie de l'évolution...
Découverte des premières tombes de la préhistoire
06/06/2023 14:36
La nouvelle secouerait les fondamentaux sur l'évolution de l'homme. Le paléontologue de renommée mondiale Lee Berger a annoncé lundi 5 juin la découverte en Afrique du Sud des tombes les plus anciennes de la préhistoire, repoussant d'au moins 100.000 ans les premières traces de pratiques mortuaires.
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Le paléoanthropologue Lee Berger dans le système de grottes Rising Star du "Berceau de l'humanité", au nord-ouest de Johannesburg, le 11 mai.
Photo : AFP/VNA/CVN
En position fœtale et recroquevillés dans des alcôves enfouies au bout d'un réseau d'étroites galeries, à une trentaine de mètres sous terre, de lointains cousins de l'homme à l'état de fossiles ont été retrouvés dans des sépultures lors de fouilles entamées en 2018.
Les explorateurs ont constaté que les tombes avaient été rebouchées avec la terre creusée au départ pour former les trous, preuve selon eux que les corps de ces pré-humains ont été volontairement enterrés.
"Il s'agit des inhumations les plus anciennes jamais enregistrées chez les hominidés, antérieures d'au moins 100.000 ans aux inhumations d'Homo sapiens", affirment-ils dans une série d'articles en pre-print, qui doivent encore être revus par des pairs avant publication dans le journal scientifique eLife.
Les fouilles ont eu lieu sur le site paléontologique du "Berceau de l'humanité", classé au patrimoine mondial de l'Unesco et situé au nord-ouest de Johannesburg.
Les tombes les plus anciennes découvertes jusqu'ici, notamment au Proche-Orient et au Kenya, datent d'environ 100.000 ans avant notre ère et abritent des restes d'Homo sapiens.
Les sépultures sud-africaines datent de -200.000 à -300.000 ans. Elles contiennent des ossements d'Homo naledi (étoile en langue locale), petit hominidé d'environ 1,50 m de haut et au cerveau de la taille d'une orange.
L'espèce, dont la découverte en 2013 par le paléoanthropologue américain Lee Berger avait déjà remis en cause les lectures linéaires de l'évolution de l'Humanité, reste encore un mystère pour les scientifiques.
Doté à la fois de caractéristiques de créatures vieilles de plusieurs millions d'années, comme une dentition primitive et des jambes de grimpeurs, Homo naledi est aussi doté de pieds semblables aux nôtres et de mains capables de manier des outils.
Petit cerveau
"Ces découvertes montrent que les pratiques mortuaires n'étaient pas limitées à l'Homo sapiens ou à d'autres hominidés dotés d'un cerveau de grande taille", affirment les scientifiques.
Cette théorie, qui va à l'encontre de l'idée communément acceptée que la conscience de la mort et les pratiques liées font l'humain, avait déjà été évoquée par Lee Berger lorsqu'il avait présenté Homo naledi au monde en 2015.
Le paléoanthropologue Lee Berger devant la principale entrée du système de grottes Rising Star du "Berceau de l'humanité", au nord-ouest de Johannesburg.
Photo : AFP/VNA/CVN
L'hypothèse avait alors créé un tollé et de nombreux spécialistes avaient mis en doute la rigueur scientifique de l'Américain médiatique, soutenu par National Geographic.
"C'était trop pour les scientifiques à l'époque", commente Lee Berger, lors d'un entretien à l'AFP. Ils restent "convaincus que tout cela est lié à notre gros cerveau et que cela s'est produit très récemment, il y a moins de 100.000 ans", explique-t-il.
"Nous sommes sur le point de dire au monde que ce n'est pas vrai", triomphe l'explorateur de 57 ans, qui va encore plus loin.
Des symboles géométriques, soigneusement tracés à l'aide d'un outil pointu ou tranchant, ont été retrouvés sur les parois des tombes. Carrés, triangles et croix ont été, selon lui, intentionnellement laissés sur des surfaces lissées, probablement pour les rendre plus lisibles.
"Cela signifierait que non seulement les humains ne sont pas les seuls à avoir développé des pratiques symboliques, mais qu'ils n'ont peut-être même pas inventé de tels comportements", avance Lee Berger.
Carol Ward, anthropologue à l'université du Missouri, estime que "ces résultats, s'ils étaient confirmés, auraient une importance potentielle considérable".
"J'ai hâte d'apprendre comment la disposition des restes exclut d'autres explications possibles que l'enterrement intentionnel, et de voir les résultats une fois qu'ils auront été examinés par des pairs", a-t-elle déclaré.
Des analyses plus approfondies doivent encore être menées. Mais déjà, l'équipe de Berger annonce qu'il va falloir "repenser toute une série d'hypothèses sur les hominidés et l'évolution humaine".
Depuis longtemps, les chercheurs ont associé la capacité à maîtriser le feu, la gravure ou encore la peinture, à la puissance cérébrale de l'homme moderne, comme typiquement chez l'homme de Cro-Magnon.
"L'enterrement, la création de sens et même l'art pourraient avoir une origine bien plus compliquée et non humaine que nous ne le pensions", présage Agustín Fuentes, anthropologue à l'université de Princeton et co-auteur des découvertes
@@st-ex8506 C'est pourquoi il ne faut pas prendre a la lettre toutes informations.
Le sujet principal ici c'est l'hydrogène vert, les détails scientifiques CNRS ou pas, ingénieur ou inventeur, reste hors sujet, si on n'a des preuve du prix d'achat, de consommation...
Donc l'hydrogène vert, sert a crée de l'énergie, au prix équivalent d'un litre d'essence. Celon les données publiques.
Mais dans le cas d'une utilisation, complémentaire, a une voiture essence thermique. C'est encore autre chose. Cela réduit la consommation d'essence. C'est ce qui est dit, donc en même temps ont diminue la pollution.nPour l'instant personne ne dit le contraire, puisque qu'ont n'achète pas d'hydrogène.
Ce qui résulte de l'hydrogène vert, a partir de la vidéo, c'est justement de remplacer, ce qui pollue.
L'hydrogène noir, C'est comme les centrales a charbon électrique, ont n'en trouve en mer Allemagne en linite, très sale.
C'est ainsi qu'il faut soutenir l'hydrogène vert.
Bon suis juste un peu intéressé par le sujet, car trouve nul, les voitures électriques pour tous.
H2H24 : Toute l'actualité de l'hydrogène
Les 7 couleurs de l’hydrogène
Si on parle beaucoup d’hydrogène vert, il existe en fait plusieurs nuances y compris dans le gris (pas 50 mais quand même). Voici notre guide.
Aujourd’hui, 95 % de l’hydrogène produit dans le monde est gris. Cet hydrogène est produit par vaporéformage du méthane. Les molécules CH4 du gaz naturel sont cassées avec de la vapeur d’eau pour produire du dihydrogène.
L’hydrogène bleu est produit par vaporéformage du méthane, comme pour le gris, mais avec en plus du captage et un stockage du CO2.
Il existe une variante de ce bleu, avec l’hydrogène turquoise, qui est lui aussi produit à partir de méthane fossile mais par pyrolyse et avec un système de captage de CO2 solide.
Sinon, il existe aussi l’hydrogène brun, produit par gazéification de lignite. C’est une variété de charbon qui contient un pourcentage d’oxygène et d’hydrogène considérablement plus élevé que le charbon noir. Ce traitement thermique sous pression crée un gaz de synthèse (syngas), qui est un mélange de monoxyde de carbone, d’hydrogène, de vapeur d’eau et de dioxyde de carbone. Par vaporéformage, ou vapocraquage, on extrait du dihydrogène de ce syngas.
L’hydrogène noir est produit de la même façon, mais à partir de charbon.
Toutes ces formes émettent des gaz à effet de serre et sont issues d’énergies fossiles.
L’hydrogène vert est produit par électrolyse de l’eau, l’électricité utilisée étant issue d’énergie renouvelables (d’origine hydraulique, éolienne, photovoltaïque, ou autre). Le processus ne rejette que de l’oxygène dans l’atmosphère.
Quant à l’hydrogène jaune, il désigne une électrolyse de l’eau mais à partir d’électricité nucléaire.
Rappelons, à toutes fins utiles, que l’hydrogène n’a ni couleur ni odeur.
(Sources : Usine Nouvelle, La tribune)
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AU travers de cette nouvelle filière pour contribuer à un monde plus durable. Cette transition bas carbone passe par la diffusion d’information, des échanges et des rencontres. C’est ainsi qu’est créé « H2H24 », un blog et une web TV de l’actualité du développement de l’hydrogène.
J’en ai appris bcp plus sur l’hydrogéne dans les commentaires que dans la vidéo du cnrs !
Oui incroyable en effet ...la recherche française serait tombé aussi bas ?? Reste à espérer que cette vidéo soit un Fake du cnrs.. !😅
Je suis extrêment déçu (voire furieux) de la manière dont les énergies renouvelables sont comparées au nucléaire en précisant que ce dernier est peu carbonée, alors qu'on sous-entend que les énergies renouvelables ne sont pas carbonée en ne mentionnant pas que leur fabrication et leur installation induit également des émissions carbonée. On pourrait même contester l'utilisation du vocable "renouvelable" pour les éoliennes et panneaux photovoltaïques. En effet, rapporté au kWh d'électricité produit, ces dispositifs de collecte d'énergie éolienne et solaire qui sont très diffuses, nécessitent beaucoup plus de matériaux non renouvelables (y compris du pétrole pour l'extraction des métaux, le transport des différents éléments, etc.) que pour la fabrication d'une centrale nucléaire (au moins un facteur 10 en ordre de grandeur).
Ce qui me met encore plus en colère, c'est de voir comment nos impôts sont utilisés à des fins de propagande pour justifier la dépense d'encore plus de nos impôts pour courir après des chimaires alors qu'on aurait mieux fait de dépenser ces milliards pour mettre le paquet sur le nucléaire de 4ème génération (Astrid, ça vous dit qchose?)
Bravo pour votre militantisme, mais en général les militants distinguent mal entre souhaits profonds et réalité. Les RNR sont une illusion y compris ASTRID, ont a cru avec Super Phenix toucher le Graal mais en réalité c'était une épine dans le pied d'EDF. Soyez surtout en colère contre le projet EPR, qui il faut bien en convenir, devient caricaturale. Les RnR s'améliorent années après années et le recyclage des métaux utilisés sera la règle.
Sur le coup la vidéo m a impressionnée. J ai une formation ingénieur et j ai travaillé dans l aviation , puis en lisant les commentaires je réalise que ce documentaire est très bien produit et étrangement dangereux . En effet on glisse dans une pensée dangereuse qui nous endors en rêvant , la technologie va nous sauver enfin. Il manque quand même beaucoup d élément de contexte qui permettraient alors d apprécier à leur juste mesures le travail de tous ces chercheurs passionnés et de ce qui est fait avec l argent du contribuable (partiellement)
La vision macro du problème est simple et c est celle du giec et aurait dû être rappelé à minima
Le français moyen émet en gros 12 a 14 tonnes de co2 par an. Le giec nous rappelle que pour « nous en sortir « collectivement il faudrait passer à 2 tonnes . CNRS ou pas la messe est dite !! Le français moyen étant un personnage intéressant car il cache le fait que certains (csp+) par le mode de vie de leur groupe social et leur comportement individuel sont plutôt à 30 tonnes et la majorité des français (80%) doivent être en dessous des 12 tonnes. Plutôt que de pousser les 80% à consommer mieux et polluer moins (de peu) mieux vaudrait contraindre et limiter par des lois la consommation de biens et services des deux déciles les plus riches qui eux jouissent sans aucune limites du pouvoir de leur argent (multipropriétés, vols intercontinentaux, voiture hyper lourdes )
Bref un peu de contexte pour faire de l éducation et ne pas faire écran de fumée aurait été le bienvenu
Merci en tout cas à tous les chercheurs pour leur efforts
Vous confondez science et mélanchonisme. Ce n'est pas le rôle du CNRS de confirmer vos frustrations politiques.
Et relisez vous : votre commentaire pique les yeux, Mr l'ingénieur.
@@alainpannetier2543 vous pensez qu avec une phrase bien sentie comme écrite par un scénariste de plateau tv apporter de l eau au moulin , je note votre contribution comme “intéressante”
@@astorina Vous êtes l'exemple parfait du laissé pour compte de la croissance qui prêche la décroissance par dépit... et médiocrité.
Tout a fait d'accord avec vous astorina ! Les plus riches devraient faire le f plus d'effort mais tout le monde devrait être a 2tonnes co2/an. L'hydrogène c'est bien mais il faut 4 fois plus d'énergie pour le produire que l'énergie qu'il va restituer une fois stocker...donc ça a ses limites.
@@alainpannetier2543 Vous êtes le parfait exemple de la personne incapable de penser puisqu'enfermée dans un dogme...
Surtout continuez ces productions de documentation...
Je m'attendais à plus d'objectivité dans un documentaire produit par le CNRS.
Pourquoi présenter l'hydrogène comme l'avenir de la mobilité alors que ce n'est pas du tout certain (et plutôt mal parti à vrai dire) ?
L'hydrogène est de toutes façons incontournable pour certaines industries et probablement intéressant pour certaines mobilités lourdes comme les bateaux. C'est déjà suffisant pour justifier ces recherches. Et c'est plus crédible qu'un usage pour les voitures ou les trains (par nature un réseau ça s'électrifie assez facilement).
A mon avis ce type d'usage aurait gagné à être présenté comme de potentielles cerises sur le gâteau.
Quoiqu'il en soit les recherches sur le stockage dans le matériau sont hyper intéressantes. Si une telle solution s'avère viable (techniquement, environnementalement, économiquement) alors là effectivement il pourrait y avoir une vraie révolution à la clé. Y compris pour des installations de stockage longue durée des surplus d'électricité, élément indispensable au passage aux énergies renouvelables.
ils ont dit que ça concernais surtout l'industrie et probablement pas les particuliers, et je pense que c'est la solution la plus interessante pour les camions ou les bus, le train ça se discute
@@HieuTRAN-de3bo Les bus même pas, car les bus électriques existent, et il existe aussi les trolleybus, et beaucoup de lignes de bus peuvent également être remplacés par des lignes de trams.
@@texanplayer7651 c'est juste une supposition de ma part mais je pense qu'a partir du gabarie d'un bus, la batterie nécessaire doit entrainer des inconvenients comme le surpoid, le temps de charge qui limite le temps ou le bus est disponible et l'empreinte carbonne de la batterie font que l'hydrogène peut etre plus avantageux mais c'est juste une supposition sans données pour l'étayer.
@@HieuTRAN-de3bo Le poids peut poser problème car c'est tout autant de poids mort à transporter qui consomme plus d'énergie. Mais l'hydrogène n'est pas mieux, bien au contraire. Il faut savoir que les réservoirs sont aussi lourds, voir plus lourds que les batteries de véhicules électriques équivalents, c'est à cause des renforcements nécessaires pour éviter des explosions catastrophiques. Le temps de recharge peut être un problème éventuellement, mais pas forcément si la compagnie de bus s'organise bien.
Enfin, l'empreinte carbone des véhicules hydrogène est plus élevée que les véhicules électriques. Beaucoup d'anti véhicules électriques bondissent pour dénoncer le minage du lithium et du cobalt, mais oublient bien souvent de préciser comment le minage de platine nécessaire pour les piles à combustibles des voitures à hydrogène impacte le climat.
Mais mieux qu'une batterie ou une pile à combustible, c'est les trolleybus et les trams, sans aucun conteste. Le seul inconvénient éventuel que l'on pourrait reprocher c'est les lignes de tension qui peuvent rendre le paysage moins beau, mais alors il faut être ultra privilégié pour se plaindre d'un inconvénient tellement mineur...
@@texanplayer7651 le plus gros de l'empreinte carbone pour un véhicule électrique c'est la batterie alors que pour un véhicule à hydrogène on peut parler de la pile a combustible mais plus le gabarit augmente, plus la proportion que prend la batterie est énorme pas sur que ce soit pareil pour la pile a combustible, pour le tram et trolleybus ou même métro, quand c'est possible c'est mieux mais ce n'est pas possible dans énormément de ville.
Quels scénario d'usage ? Quels rendements ? Quels consommables ? Quelles puissances ? Quels impacts ? Quelle dynamique de déploiement ?
@@franckjamesgeorges5668 Les réponses existent. Il suffit de chercher.
@@franckjamesgeorges5668 Ça dépend si t'abandonne ou pas. Surpris?
@@franckjamesgeorges5668 Faute de logique. On a déjà _trouvé_ que le mouvement "éternel" (tu voulais écrire "perpetuel" ? et "préviens"?) est impossible.
Par contre les réponses aux questions de l'OP sont _faciles_ à trouver...
Par contre, peu probable qu'elles soient fournies dans un clip de vulgarisation... et encore moins dans la section commentaires d' hanalfabaites youtube.
@@alainpannetier2543 non, on n’a jamais trouvé le mouvement perpétuel sur terre, c est impossible.
@@mrock9932 Et dans le reste de l'univers? On a des principes de thermodynamique différentrs sur Terre?
Et tout ça sans jamais mentionner que l'Hydrogène ne peut être considéré comme une source d'énergie puisqu'on ne le trouve quasiment pas à l'état brut. Donc sans l'industrie actuelle, basée essentiellement sur les énergie fossile, absolument rien ne garantie que l'on puisse produire suffisamment de convertisseurs type éoliennes, panneau solaire ou même centrales nucléaires... En 2009, on a produit 30.8 milliards de barils de pétrole. Convertis en énergie, cela correspond à plus de 6800 centrales nucléaires (440 à ce jour) ou à 17 millions d'éoliennes géantes, ou encore 30 000 kilomètres carrés de panneaux solaires !
😂 La France est en phase de devenir un producteur d'hydrogène naturel, voir en Mosel et peu être les Pyrénées. Les possibilités de recherche grâce à des nouvelles technologies, permettent de chercher plus profond, la ou ont n'imaginait pas qu'ils y avait de l'hydrogène sous nos pieds.
L'hydrogène est le plus léger élément sur terre donc très volatile, est explosif à partir de plus de 8% dans l'air, ensuite pour en avoir une bonne quantité il faut le compresser à 700 bars, ou en le compresser et le refroidissant à -250°C, donc difficile de le conserver à cette température avec une grande evaporation.
Parfaitement exact.
Très intéressant.
Merci beaucoup pour le partage de cette vidéo. Prenez soin de vous.
Pour faire de l'hydrogène on utilise d'autres énergie mais les pertes sont trop importantes, en l'état sans autre manière de récupérer l'hydrogène ce n'est pas viable car il faudrait beaucoup plus d'électricité pour produire la même capacité énergétique... Sans parler de la pression, du stockage, des pertes mécaniques pour les moteurs sans pile à combustible.
Seul l’hydrogène vert, ou l’hydrogène a partir du nucléaire, sont viables d’un point de vue de réduction de l’effet de serre. On perd un peu d’énergie, et on gagne en stockage!
@@JerryBeeee surtout que ça nous permettrait finalement de faire fonctionner nos centrales nucléaires à plein régime tout le temps sans abîmer le grid. Le gain en rendement est donc important.
@@salahidin l rendement de la conversion complète électricité -> hydrogène -> électricité est de 20%, max 30%. 70 à 80% d'énergie perdue. Bravo !!
@@JerryBeeee Le problème c'est qu'il faudrait produire 3 fois plus d'électricité pour avoir une équivalence du parc de la mobilité du pays. Inconcevable quand on sait que nous passons les pics de production sur toutes les énergies fossiles qui sont à la base de nos investissements actuels. Comme dit Vincent Mignerot, on ne construit pas de centrales nucléaires ou de parc solaire sans énergie fossile...
@@patricknicol244 Votre affirmation contient tellement d'hypothèses discutables que je ne prendrai même pas la peine d'y répondre.
On n'a déjà pas assez d'électricité décarbonée pour nos usages, et la demande en électricité va exploser du fait de la décarbonation des énergies (transport, industrie, ...).
Où trouver l'électricité nécessaire ?
Pour moi, l'hydrogène présente l'intérêt d'être stockable. Donc un complément idéal à la production d'électricité verte non pilotable et très variable.
Lors des pics de production, le prix de l'électricité passe parfois sous la barre de zéro. Même si le rendement est mauvais, il vaut mieux produire de l'hydrogène que de mettre les éoliennes à l'arrêt.
hydrogene rouge
Je suggère faire pédaler les cons d'éocolosbobos.
@@christianc9894 Si on ne trouve pas d'alternative au pétrole, tout le monde devra pédaler quand il n'y en aura plus. Toi y compris.
@@michellecomte920 D'où l'intérêt de l'hydrogène plus intelligent que les conneries des écolosbobos.
C est l un des plus beaux metiers que.bous puissiez faire....
Aïe, je m'attendais à plus d'exigence scientifique de la part du CNRS : l'hydrogène, une "source" d'énergie ? Presque inépuisable tant qu'on y est ? Hélas non, simple vecteur !
D'où viendra l'électricité qui permettra de synthétiser cet or vert ? Ne serait-ce que pour remplacer l'hydrogène "gris" consommé en France, il faudrait 7 réacteurs nucléaires ou l'intégralité de la production éolienne française de 2019. Pas de magie hélas sur une planète épuisée !
On se sent moins larguer par rapport a de l inovation energetique economique...
Vraiment, pas un mot sur le rendement catastrophique de l’hydrogène !!?? Franchement, on s'attend à quelque chose de plus complet et plus neutre de la part d'un organisme publique.
pourquoi la vidéo ne traite pas du sujet fondamental de la conductivité de l'eau ? Le CNRS devrait savoir que pour obtenir une électrolyse, il faut un courant faradique (qui va casser la molécule H2O), et que pour que le courant circule, il faut que l'eau soit conductrice (spoiler, l'eau pure ne permet pas le passage d'un courant), et pour qu'elle soit conductrice, il faut ajouter des minéraux (du sel par exemple).
Ce qui implique que toute électrolyse génère des polluants indésirables en corolaire de l’oxygène et de l'hydrogène.
On peut citer le chlore ou l'ozone par exemple, rejetés massivement sur une électrolyse NaCl, ou la soude caustique sur des ajouts calcium/magnésium ?
l'extraction de l'hydrogène est un fléau total (et je ne parle pas de la source d'énergie).
Ensuite, son utilisation dans une pile à combustible pose question : comment réagissent les organismes (plantes et micro-organismes) lorsqu'ils se prennent l'eau pure issue de la recombinaison dans la PAC ??
arrosez vos plantes avec de l'eau déminéralisée pendant 15 jours pour voir la gueule qu'elle vont tirer.
De quand date ce document ? De l'hydrogène natif a bien été découvert en France : dans les Pyrénées et en Lorraine au moins....
Ca fait des années qu'on a déjà quelques "gisements" de dihydrogène, principalement au Mali. A ce jour ces gisements sont, en volume, anecdotiques. Alain PRINZHOFER est un défenseur du sujet, vous trouverez des conférences sur yt notamment au Festival d'Astronomie de Fleurance (nom de la chaine). L'idée est qu'on ne trouve pas ce qu'on ne cherche pas. Globalement, il semble y avoir une forme de consensus sur la relative rareté de cette source primaire.
@@flexable9256 Oui, j'ai vu sa conférence et le gisement du Mali est bien cité dans cette vidéo.
Mais je parlais de la France, puisque dans cette vidéo, il est dit qu'on ne connaît pas de gisement sur notre sol.
@@curedent6086 Ah ok, j'avais loupé la référence dans le reportage, je devais être distrait à ce moment-là. On verra si on peut trouver des gisements "à la pétrole", mais j'ai des doutes tout de même. Va falloir le produire, ce dihydrogène, à mon avis.
@cquiquidit levrailefo Je veux bien le croire, mais pourriez-vous me préciser de quoi vous parlez ?
En l'occurrence, je voulais juste savoir quand cette vidéo a été tournée et je n'ai jamais eu l'impression que ce soit le problème principal...
@cquiquidit levrailefo D'accord, mais ma question ne portait ps là-dessus, comme vous pourrez le constater si vous prenez le temps de lire.
Par ailleurs, on ne sait pas à quel point c'est anecdotique puisqu'on ne connaît pas les gisements. Ou peut-être avez-vous des informations qui ont échappé à tout le monde jusqu'à ce jour ?
qu en est il de la déperdition énergétique entre la production d hydrogene ET la production ensuite d electricité a partir d hydrogene ? Qu en est il du cout energétique pour comprimer le gaz en kydroegene liquide ?
Je vois l'hydrogène plus comme une manière infinie de stoquer l'électricité et puis aussi de stabiliser la consommation électrique et la production électrique. C'est l'avenir
Reportage à décharge
On oublie de dire que pour sortir 1kwh d’une PAC il en faut 4 pour produire l’H2
Dans monde qui devra être sobre en énergie et augmenter la production électrique ça interroge je trouve
Ben alors pas à décharge, précisément...
oui il y a des trucs bizarres au CNRS comme à l'ADEME, RTE et autres agences gouvernementales et autres ONG
L'impasse que constitue le H2 esr maintenant bien documentée et connue ,et même Toyota ou d'autres , qui ont dépensé des milliards pour explorer cette voie de ka mobilité ont jeté l'éponge ! Renseignez vous un peu bon sang . et j'espère que vous ne comptez plus dans kes geands choix stratégiques de ka France ...faites nous plutot un ooibt sur kes batteries
Mais qu'est-ce qu'il s'est passé pendant la réalisation du reportage ? On nous endort H24 avec un soi-disant hydrogène vert, je pensais qu'en regardant une vidéo du CNRS, on aurait un point de vue plus scientifique et objectif.
Mais non, on passe à côté de tous les limites de l'hydrogène vert, on parle d'utiliser l'hydrogène pour la mobilité, et encore pire pour l'industrie automobile.
Chapeau la France, on va "à fond" dans une technologie qui nous mène droit dans le mur, en tous cas pour les utilisations qu'on souhaite lui attribuer.
Et après on s'étonne du retard technologique de l'Europe sur les autres puissances mondiales. Posons nous les bonnes questions avant de faire n'importe quoi. L'hydrogène vert pour l'automobile, c'est vraiment n'importe quoi.
juste un truc en plus s empile sur les energies deja dispo. en aucun cas. un reduction de notre consommation !!
Lors de la diffusion du documentaire , ils n'étaient visiblement pas au courant des découvertes d 'hydrogène blanc de Moselle.
Quelle quantité ?
La membrane d'une pile à combustible utilise du platine, ce qui pose problème car le platine est rare er cher. Ceci n'est jamais évoqué directement dans cette publicité de 25 minutes du CNRS pour la filière hydrogène. Le problème est suggéré indirectement puisque le CNRS fait état de travaux pour recycler et ré-utiliser les matériaux de la membrane, et d'autres travaux pour développer des matériaux de synthèses pour remplacer les matériaux actuellement utilisés. Donc le CNRS à parfaitement compris l'impasse des quantités limitées de platine et cherche une solution, soit en recyclant soit en trouvant un matériau de substitution, mais n'évoque jamais directement la problématique. Et pour cause, aucun matériau n'a pour l'instant été trouvé, et vu le prix du platine, cela fait quelques décennies que des recherches doivent être en cours.
Cela pose plus fondamentalement la question de savoir si tout cela n'est pas une supercherie. L'hydrogène ''vert'' sera très couteux vu les mauvais rendements, et les problèmes de transport, et ne sera au mieux utilisé que dans les processus industriels qui utilisent le coke aujourd'hui (haut fourneaux, cimenteries il me semble) et les usage industriels de l'hydrogène gris. Sachant que 2/3 de l'électricité mondiale est actuellement produite à partir d'hydrocarbures, la logique voudrait que l'électricité verte se substitue à l'électricité carbonée en priorité plutôt que de servir à produire de l'hydrogène vert pour les transports.
inutile de pérorer sur les bienfaits de l'hydrogène et sur son mode de stockage tant que l'énergie dépensée pour le produire provient de sources inacceptables. Toutes les émissions TV ou autres video sur le sujet "énergies" sont viciées à la base : on y parle le moins possible de la nature de cette énergie qui nous permet de disposer d'énergie. Le bon sens populaire (qui rejoint Héraclite pour le coup) le dit pourtant assez: "on n'a rien sans rien".
Comment chercher des subventions...
comment parler pour parler
@@salahidin Et pourtant il a raison
Ca fait parti du jeu. Cela dit, rien de scandaleux quand les recherches sont réellement menées, contrairement à la majorité des start-up et les grandes entreprises qui font largement pire en terme de communication pour ramasser du pognon pour des projets non réalisés ou voués à l'échec dès le départ.
a 1:28 la balance n'est pas installée de façon optimale pour la mesure de masse
Que le CNRS puisse produire de telles inepties me laisse sans voix ... !
Oui mais c'est en ce moment la distribution des subventions de recherche
Faire la promotion d'un vecteur énergétique impossible à adapter dans bien des cas.
Tout a fait d'accord..
J'approuve : stockage problématique, transport très couteux vers les points de distribution (18 fois plus cher que pour l'essence), stations services 10 fois plus chères, et rendement global du cycle déplorable. L'avenir de l'hydrogène n'est probablement pas dans le transport individuel.
vidéo vraiment décevante, mais le titre était évocateur de ma déception.... 95% de l'hydrogène produit est fait à partir surtout à partir de méthane (CH4) me semble t il et quand on produit 1Tonne d'hydrogène avec ce procédé on libère 10 tonnes de CO2. Il faudrait réussir à produire de l hydrogène à 100% par électrolyse avec une énergie verte pour que l'hydrogène soit neutre en CO2... au boulot Mrsdu CNRS...
De plus un camion qui transporte 38T d'essence ne pourrait transporter que de 3Tonnes d'hydrogène, ca va être complexe les ravitaillements.
Puis il faut le stocker dans le véhicule, dans l'avion et dans le bateau l'hydrogène....
Bref la neutralité carbone passera par l'extinction de l'espèce humaine et son envie démesurée de consommer à outrance et de prélever dans la nature un maximum de ressources et de rejeter un maximum de déchets.
Puis les métaux rares ben en France y en a plus donc va falloir les faire venir d'ailleurs, et aller exploiter des mines et donc émettre du CO2.
C'est un peu le serpent qui se mord la queue... de meilleure solution il n'y en a pas tellement, c'est juste au goût de chacun.... les pour le solaire, pour les éoliennes, pour le H2, pour la fusion (qui verra certainement le jour mais quand....) pour les réacteurs de 4ieme génération, pour les courants d'eau sous marin.....
Ce qui me fait marrer c'est surtout de voir notre cher président, ce pantin, qui est mené à la baguette par des personnes beaucoup plus influentes que lui, qui ont le pouvoir de l'argent et qui lui font faire et dire ce qu'ils veulent. Il n'y a qu'à voir la vidéo avec Mister Elon Musk, s'il avait pu se mettre à genoux, il l'aurait fait et avec le sourire...
Intéressant. Mais on sent que c'est encore peu performant. Ca le deviendra peut être mais c'est justement le "peut être" qui pose problème au vu de l'urgence climatique.
y a pas d'urgence climatique, ce n'est qu'une fable
Votre émission est-elle toujours d'actualité en fonction des sources terrestres latentes d'hydrogène blanc ?
Y en a-t-il vraiment tant que ça ou il s'agit d'effet d'annonce ? Je me souviens d'annonce de découverte d'immenses réserves de pétrole qui au final n'était pas perceptibles dans les fluctuations d'approvisionnement.
Pour moi, c'est évident, ça change tout en matière d'hydrogène.
comme l'hydrogene rouge , non
Pour le climat, il serait surtout bon de
r a l e n t i r
nos émissions de GES. Ce n'est pas en trouvant des solutions pour les porte conteneurs que l'on doit trouver.
C'est des solutions pour se passer du contenu de ces conteneurs. = Freiner.
Mais bravo tout de même aux chercheuses et chercheurs pour leur travail
C'est éminemment respectable si vous avez comme projet de vie de vivre en auto-suffisance dans une ferme, mais c'est totalement illusoire si vous croyez pouvoir amener la planète entière à vous suivre. Nous n'arriverons tout simplement PAS à limiter le dérèglement climatique sans recours aux énergies décarbonées.
Si j’ai bien compris on utilise de l’électricité pour produire de l’hydrogène qui va être utilisé pour produire de l’électricité, en voilà une d’idée qu’elle est géniale. On marche sur la tête.
L'électricité qu'on utilise pour faire de l'H2 est celle des périodes de surplus. Elle est vendue à des prix dérisoires, car la production excède alors la consommation. Par contre si on l'utilise pour faire avancer un bus qui devrait, sinon, embarquer une tonne de batterie, alors là on y gagne.
Pourquoi pensez vous que les ingénieurs sont moins capables que vous de faire ce genre de calcul ?
Qui est-ce qui n'a compris que 10% du problème ? Eux ou vous ?
On fracasse des atomes, pour faire chauffer de l'eau et utiliser la vapeur pour generer de l'éléctricité... On peu toujours presenter des défis technique et d'ingénieurerie de façon defaitiste ou plancher a résoudre ces problèmes...
La question n'est pas celle de la production d'électricité, mais du stockage de celle-ci. Les technologies actuelles de stockage par batterie sont extrêmement polluante et peu efficace pour des usages lourds (transport, mais aussi industrie). N'oublions pas qu'outre le transport ferroviaire, routier, maritime et aérien, la production de matériel de construction (béton, ciment) représente 15% des émissions de CO2. Or celle-ci pourrait également être décarboné grâce à l'hydrogène.
J'attendais une qualité scientifique et technique bien supérieure venant du CNRS
Sans le CNRS, nous n'aurions sans doute pas découvert récemment un gisement de 46 millions de tonnes d’hydrogène à l'état naturel en Lorraine. Comme disait Churchill : "Les pessimistes voient dans chaque opportunité un obstacle, les optimistes voient dans chaque obstacle une opportunité".
@@Clery75019 Je parle de ce documentaire pas de l'institution 🙄
L'hydrogène vert est pour le moment une utopie. Cela consomme de l'électricité verte pour se donner une bonne image alors qu'on manque déjà.
46 millions de tonnes d'hydrogène découvert à l'état naturel dans un gisement à Folschviller en Lorraine. Si l'hydrogène vert est encore un projet à long terme, l'hydrogène blanc ne l'est peut-être pas.
Le train régional va passer à l'hydrogène vert. Cela permet d'utiliser les voies actuelles sans investir lourd dans un câblage électrique qui utilise des métaux qui se raréfient. Pour le rendement de la pile à combustible, la recherche progresse notamment sur les bulles produites qui nuisent à ce rendement. Des projets de production d'hydrogène intégrée dans le mat des éoliennes voient le jour. Cela permet de transformer le surplus de production électrique. Idem pour le surplus solaire ou nucléaire qui est actuellement perdu et produit pour rien.
Pardon, mais c'est malheureux qu'un reportage estampillé "CNRS", véhicule une idée fausse déjà bien ancrée chez nos concitoyens grâce aux approximations médiatiques !
L'hydrogène (hors fusion nucléaire) n'est pas une source d'énergie...
C'est un vecteur et un système de stockage qui a bien des avantages, mais ce n'est en aucun cas une "source d'énergie"
Le principe d'une batterie, c'est qu'en la soumettant à une énergie (électrique), on crée une réaction chimique en son sein... Réaction qu'il est possible d'inverser pour que celle-ci nous fournisse en retour, l'énergie qu'on lui avait "donnée" (- le rendement)
C'est le cas des piles au lithium et c'est le cas d'un moteur ou d'une pile à hydrogène : on donne de l'électricité à de l'eau, H et O se séparent... et quand on refait H2O, ça nous restitue de l'énergie !!! C'est la définition même d'une batterie !!!
L'hydrogène "source d'énergie" serait une vérité s'il existait à l'état naturel sur terre (les gisements représentent une quantité ridicule par rapport à nos besoins).... Comme ce n'est pas le cas, l'hydrogène n'est pas une source d'énergie.
Les gens sont suffisamment dans le déni des futurs problèmes climatiques et énergétiques qui vont arriver, sans qu'on leur donne les graines d'un illusoire "sauvetage scientifique"
C'est navrant quand ça vient du CNRS !°!
très explosif !!
L'hydrogène vert fait beaucoup de progrès. L'électrolyse avec élimination des bulles avec des ondes de pression à 10 Mhz gagne 30% de rendement
Ahah ! Mais c'est vraiment plus le sujet !!
Le problème de base c'est que l'hydrogène est inutilisable a grande échelle pour la mobilité de toues les jours ...et nos centrales nucléaires ont vraiment d'autres utilités que balancer de l'énergie par la fenêtre pour faire de l'hydrogène vert hors de prix...et Non ! Pas d'énergie dans l'eau comme dit au début de cette vidéo de propagande d'ultra gauche !
Soyez les bienvenus chez les Bisounours Hydrogène. Je crois que j'ai même aperçu Casimir à la fin. Personne ne le sait mais ils ont tous le ventre gonflé d'hydrogène. Gardez le secret s'il vous plaît.
Bon documentaire, mais le format 16/9 aurait été préférable.
😂 l'enjeu est peut être ailleurs non ?
Très beau documentaire pour l’avenir… lointain. C’est très explicite vers 19 min 45 sec : subvenions long terme permettant d’envisager le travail sur (j’ai compris) 25 ans (il ne prononce pas très bien). Alors je compte : R/D 15 à 20 ans, pénétration du marché et déploiement d’envergure autre 10 à 15 ans, on parle 2050 et après. Avec un tel horizon, je leur pardonne volontiers de ne pas faire état du piètre rendement énergétique actuel. Dans 35 ans, la fission de IVe génération sera déployée avec son TRE incroyable et ITER aura fait du chemin. Belles perspectives d’avenir lointain, on peut rêver. C’est cependant bien avant cet Éden énergétique qu’il faut agir. Et dans l’immédiat, j’aime mieux m’en remettre aux priorités de l’IRENA : chimie, engrais, acier et transport maritime au long cours. Dans l’immédiat, si on me le permet, je jouerai au petit train dans mon sous-sol.
Un train fonctionne déjà à l'hydrogène en Allemagne, avec une technologie Alstom, en Suisse des camions roulent à l'hydrogène. L'obstacle ne serait pas un manque d'ambition plutôt que technique ?
Avenir peut-être moins lointain qu'on le pense depuis que l'on a découvert un gisement de 46 millions de tonnes d'hydrogène à l'état naturel à Folschviller en Lorraine ! La recherche ne peut maintenant aller qu'en s'accélérant.
Documentaire totalement partial. Quand on entend un interviewé que le véhicule électrique à batterie n'est pas adapté pour les longs trajets et doit rester cantonné dans les villes, je m'etrangle. Quelle désinformation ! Il y a 2 ans, 3000km de fait pour les vacances en France. Et cette année, voyage en Slovénie avec mon véhicule électrique. Le temps de trajet est le même qu'avec un véhicule thermique en faisant 2 à 3 pauses. Déçu de la part du CNRS sur ce coup là.
On ne doute pas de la qualité de la recherche. Mais cette séquence contourne les vraies incertitudes : rendement technique, tranportabilite, coût, probabilité de réussite opérationnelle des recherches. On a l'impression d'une vidéo de complaisance pour justifier des subventions par un discours qui fait l'impasse sur l'essentiel en faveur des EnR intermittentes au détriment du nucléaire tout en masquant les conditions eventuelles de la réussite de l'exploitation.. ou de son echec. Avec une restitution d'électricité de l'ordre de 50 % par rapport à celle utilisee, et de 20 % avec des EnR intermittentes, l'avenir est largement différent du discours tenu. Une vidéo finalement "hors sujet" par rapport à son titre.
3 problemes majeur que sont
- le stockage : que ce soit de l'hydrogene gaseux jusqu'a 700bar qu'il faut compresse et demande un tank avec niveau de securite eleve, l'hydrogene liquide ou ca semble injouable meme dans le long terme 20/30ans, mais qui marche tres bien les rockets qui ont un besoin bien particulier. et comme c'est plus volatile que le gas, pour gerer etancheite/fuite dans un reseau de distribution ca coute bien plus cher.
- le rendement de la pile a combustible ou la performance demande un fonctionnement a haute temperature avec un temps de demarrage au dela de 10min.
- le refroidissement du stack de la pile a combustible qui demande un system annex de refroidissement
bref les systemes annexes sont complexes, interdependant, et il faut donc considerer un systeme complet dont la pile a combustible est un element parmi d'autre. pas mal d'etude ont montre que le rendement global de la chaine elec -> hydrogene -> elec depasse pas les 30-40%.
ya peut etre quelque secteurs industriel comme les haut fourneaux pour la fonte/acier qui pourrait utilise l'hydrogene au lieu du charbon...
l'aeronautique comme airbus s'y met, tres recent, mais ils ont une competence dans les exigences de securite qui est inegalee par rapport a d'autre secteur de transport et donc peuvent surmonter des challenges techniques, apres l'approvisionnement semble etre un sacre casse tete. par contre je comprends pas du tout l'interet pour le train....ca a pas de sens.
Ce qu'il manque c'est une question de rendement combien d'électricité pour produire de l'hydrogène et ensuite la convertir en électricité ?
Donc un usage limité, transport et stockage de surplus.
Reportage très intéressant
C'est bien, le CNRS devient meilleur que ARTE. LOL
Au niveau propagande ?
@@TheTrueStuartSmith ok , quel est ton niveau d'études pour critiquer les scientifiques ?
Sois honnête stp ?
Merci !
@@ami443 Je suis ingénieur en électronique, donc je ne m'y connais pas plus que ça en énergie. Mais la conclusion de la vidéo sous-entend que les piles à hydrogène vont nous sauver du naufrage énergétique, sans diminuer les dépenses énergétiques et le transport mondial. Et la vidéo d'ARTE sur le sujet présente les choses exactement de la même manière. On veut nous donner des espoirs de croire que la science finira par tout résoudre et que les classes moyennes vont pouvoir continuer à circuler en voiture, manger 2kg de viande par semaine, et commander des bidules faits à l'autre bout du monde sur Amazon. J'espère me tromper, mais je n'y crois pas.
@@TheTrueStuartSmith bof, la décroissance c'est du pipo pour ecolo bobo d extreme gauche....
et oui la science va tout résoudre, comme d habitude....c 'est marrant, mais contrairement à toi, je crois en la science...
Et la fin de la vidéo n'a jamais dit ce que tu dis là.
Sur les 100 millions de tonnes d'hydrogène produits annuellement avec le gaz naturel, 45 millions servent à la désulfuration des carburants fossiles, carburants dont la combustion produit des milliards de tonnes de CO2 et de polluants divers et ça ne dérange personne.
Mais quand il s'agit d'utiliser directement cet hydrogène et ne rejeter que de l'eau alors ça hurle.
Le lobby des écolos enrage, à terme, cette énergie permettra de continuer à rouler en automobile. Ils ne supportent pas cela.
Vivement le Soleil Vert !!! ✅️ 💨
Messieurs du CNRS, avez vous des travaux en cours pour rendre l'air comprimé viable?
A un rythme lent, et pas en proportion des besoins
La nouveauté, depuis ce reportage, c'est l'hydrogène "blanc", dihydrogène stocké dans les couches géologiques et dont une partie (quelle proportion?)) provient d"'un flux venant du manteau terrestre. Disponible en quantité en France, en Moselle notamment. Par ailleurs le moteur thermique à hydrogène n' a pas l'air si dur que ça à mettre au point.Un prof isolé a réussi à le faire avec un moteur de Simca 1000 dans les années 70. D'ici un an ou deux des voitures à moteur thermique au dihydrogène devraient tourner aux 24 h du Mans. L'hydrogène blanc doit permettre d'éviter la phase relance du nucléaire.
Intéressant ! Apparemment Toyota mise là-dessus. Mais il faudrait une sacrée quantité de cet hydrogène blanc pour faire tourner le parc automobile actuel. Pour les autres usages ça ne changerait rien. Le seul espoir d'arrêter le nucléaire est de diminuer drastiquement la consommation d'énergie globale.
@@TheTrueStuartSmith Peut-être faudrait-il aussi que mr ou me Dupont aillent à pieds chercher leur baguette chez le boulanger à 200m, et que mr Arnault arrête avec sa folie du jet privé...
L hydrogene pour stocker et transporter l électricité, a quels risques et à quel prix+++
Il existe des sources d'hydrogène natif un peu partout en france, notamment en Auvergne et dans le nord avec un gisement de 250M de tonnes...c'est dommage de commencer le documentaire sur une affirmation erronée...
La France est complètement à côté de la plaque a tous les niveaux😮,On est mal ,on est mal.
Un peu déçu, j'attendais mieux du cms....et les commentaires ci dessous montrent bien que personne nest dupe... l'hydrogène pour la.mobilite urbaine nest qune utopie...et heureusement pas un mot sur la folie de lavion a hydrogene...
il y a des chiffres de rendement ? quantite d electricite necessaire pour l usage cible.
on en parle pour voir si ca peut marcher ou on garde la tete dans le sable ?
l economie de co2 , equivalent 350000 voiture qualifié de considerable d ici 2030, c est une blague ?
La réduction de CO2 pour l'Europe en supprimant toutes les thermiques et de 0,2'% quasi rien... Sur 100% de la pollution mondiale. parcontre l'électricité EDF est déjà limité, pour fournir l'électricité. Quand sera t'il sans avancée en hydrogène, ont va faire chauffer les centrales nucléaires ?!. Alors pourquoi puisque Alstom Belfort a un savoir faire sur l'hydrogène, ont n, entant presque rien dans les médias ?.
Il paraît qu'une des chaîne de constructions des 1er TGV a été vendu et remonter en Corée, ils y a une vingtaine d'années.
En sera t'il ainsi avec l'hydrogène ?.
Tout le monde parle de rendement. C'est bien, mais faut savoir raisonner plus loin que ça. L'électricité abondante n'est pas une évidence partout dans le monde, les infrastructures nécessaires pour alimenter les voitures électriques, avoir plein de station de recharge, etc. n'est pas accessible à toute la planète. Sur les 8 milliards d'habitants sur la Terre, ceux qui ont accès aux infrastructures pour la voiture électriques sont... très minoritaires. Pour les autres, il faut une alternative au pétrole. L'hydrogène est un bon candidat à l'échelle de la Terre, une fois qu'on ignore les bobos occidentaux (dont je fais partie :)).
@@flexable9256 Je confirme : pour avoir un peu vécu à Bamako et à Ouagadougou, je confirme que nous avons des projets de pays riche. Quand tu vois de vieilles femmes assises au bord de la route pour tenter de vendre trois ou quatre bouteilles d'essence (bouteilles en verre de 1 litre), tu as du mal à imaginer le passage à l'hydrogène.
@@emilechevets1464 Alors, oui, le passage à l'électrique ou l'hydrogène est plus du long terme, mais dans l'hypothèse de plus de pétrole, c'est l'hydrogène qui permet encore de vendre des bouteilles de 1L de carburant. Et pour la petite histoire, aux débuts de l'automobile (1901 - même si le moteur à explosion apparait vers 1890), on achetait, en France, pays très en avance, l'essence au drugstore, par bidon de 5L (le benzine). Et à l'époque aussi, la voiture électrique concurrençait la voiture thermique, et avait même plein d'avantages. Mais au final, autonomie et faciliter de ravitaillement on imposé le moteur thermique. Pas besoin d'infrastructure complexe pour avoir du ravitaillement.
le truc du stockage de l'hydrogène dans un matériau solide m'intéresse !
reste a voir son meilleurs rendement théorique et sa stabilité (ca libère a partir de combien en température par exemple ou est ce que ca craint les chocs ?)
après comme toute prospection, toute n'aboutisse pas. Ca se trouve on fera de la fusion d'hydrogène et on aura des supers batteries rechargeable instantanément
Indiquez les conflits d'intérêt qui peuvent exister chez vos intervenants. Sans cela, c'est comme une thèse sans les références scientifiques : ça vaut rien.
merci
La vie est belle au CNRS....
Beaucoup de défis à surmonter avant que l'on puisse monter à bord de train ou d'avion à hydrogène... les obstacles semblent nombreux, production peu ou décarboneés à mettre en place, coût de production, stockage, transport, dangerosité à maîtriser. Qu'il serve à la mobilité des poids lourds ou pour produire de l'acier ou raffiner du pétrole il faudra bien un jour rendre plus propre la production de cet hydrogène
Un train fonctionne déjà à l'hydrogène en Allemagne, avec une technologie Alstom, en Suisse des camions roulent à l'hydrogène. L'obstacle ne serait pas un manque d'ambition plutôt que technique ?
Lénifiant. Les 3 premieres phrases du journaliste sont factuellement fausses voir mensongères. C'est embêtant pour le cnrs...
Effectivement avoir une réussite d'Altsom Belfort, avec une vente de 14 trains 100% hydrogène. Et dire au début du commentaire, qu'aujourd'hui la fabrication de l'hydrogène pollue deux fois plus. Cela paraît bizarre, surtout qu'on n'a connaissance d'une source d'électricité sur centrale électrique, a partir des vagues en mer...
Il y a donc un manque de coordination, de communication entre technologies actuel, et l'effort de vouloir promouvoir l' hydrogène vert. Sa donne l'impression d'être dans le passé, comme la citation de Jules Verne, qui marque la vidéo.
De quelles phrases parlez-vous ? Soyez clair SVP !!
@@skeeter_henry_21 Personnellement, "Les trois premières phrases", ça me semblait assez précis comme énoncé même si j'aurais limité à deux car la dernière est du blabla neutre. En toutes rigueur, elles ne sont pas fausses car il s'agit d'interrogations, mais ce n'est qu'une figure de style qui suggèrent une réponse affirmative. Par ailleurs, la citation écrite en haut à droite de l'écran avec que ça cause est la même ânerie. C'est une citation dont on aurait pu se passer ou la faire pour la contester. Ce qui est regrettable (voire inacceptable de la part du CNRS), c'est qu'on laisse le spectateur non averti avec cette idée fausse.
En FRANCE, existent des ressources très importantes en HYDROGÈNE NATUREL....
On as découvert depuis peu de l hydrogène dans le sous sol en Moselle avec des réserves assez conséquentes apparemment
Conséquente de combien ? Quel coût d'extractin ? Quels risques d'exctraction (explosion, fuite, ...) ?
Dites-donc, c'est bien de faire de la recherche sur comment utiliser l'hydrogène comme vecteur énergétique. Mais il faudrait dire aussi que pour obtenir 1kJ d'énergie à partir d'une pile à combustible il faut 10kJ de production d'électricité en amont, et ce rendement est essentiellement une contrainte physique (ce n'est pas une question de coût), d'ailleurs vous l'avouez à demi mot, une pile à combustible : ça chauffe ! lol. C'est rédhibitoire, surtout en période de disette énergétique, pour tout transport terrestre y compris les trains courtes jonctions (ça sera moins cher de poser une caténaire). Quant au transport maritime : bon courage, aujourd'hui ça tient avec un fioul à prix canon. Et là, sans énergie abondante, si on veut utiliser l'hydrogène comme vecteur, il faudra arbitrer : est-ce qu'on veut le colifichet venue de Chine, ou le chauffage l'hiver* ?
Et donc l'hydrogène à grande échelle il semble que ça soit juste pour les applications où l'on ne peut pas faire autrement (La chimie etc.)
La conséquence de ce biais dans votre présentation, c'est que vous ramassez des commentaires du genre : est-ce que c'est techniquement possible d'avoir une tondeuse à gazon à hydrogène ?
La réponse est oui. Mais ce n'est absolument pas souhaitable. Et j'ajoute que J-M Jancovici répondrait tout de go : oubliez le gazon, plantez des lentilles, le gazon ça consomme trop d'eau inutilement.
C'est bien de se pencher sur les aspects techniques, mais s'agissant du CNRS, ça serait bien aussi de voir plus loin que l'horizon, et mettre sur la table les enjeux globaux réels (Et non rêvés) surtout si vous mettez ça sur la place publique.
(*) Avec un transsibérien, on s'en sort en dépensant 10 fois moins d'énergie qu'avec une pile à hydrogène, donc (Il y a moins de frottements sur le rail que dans l'eau et la distance est plus courte).
Disette énergétique entretenue par les pétroliers-gaziers qui ont entravé l'investissement dans les énergies renouvelables... Vous avez bien intégré leur discours. Un train fonctionne déjà à l'hydrogène en Allemagne, avec une technologie Alstom, en Suisse des camions roulent à l'hydrogène. L'obstacle ne serait pas un manque d'ambition plutôt que technique ?
Électricité des centrales et barrages versus carburants fossiles utilisés actuellement en mégawatts ?
Réponse pas évidente par une recherche rapide, il semble que les carburants fossiles produisent deux fois et demi l'énergie électrique produite (et consommée). A vérifier mais rien d'étonnant. Alors on arrête le chauffage électrique, on mange cru, on se lave froid, on éteint l'informatique on vit dans le noir et on pourra rouler deux fois et demi moins en électrique. Ah non ! En hydrogène c'est vrai, l'électricité doit encore être convertie, rendement à 70% dans nos rêves, et bien moins en fait... Il faut 4 fois le parc nucléaire et les barrages en plus de la production actuelle : faire fois 5. Des investissements qui demandent vingt ans et qu'on ne risque pas de faire en récession. L'essentiel c'est que les camions puissent rouler, les grues les bateaux fonctionnent, que les riches aient des voitures de 2 tonnes, et les pauvres quelques bus et trains métros tramway... Et ils feront du vélo ! Mais ça va être dur en mangeant du pain, car la production agricole va aussi poser problème. Encore un effondro-loque direz-vous !
Il faudrait que vous m'expliquiez messieurs du CNRS pourquoi l'Allemagne a abandonné leur train électrique à hydrogène Alstom??
Le nucléaire est déjà utilisé à fond ou presque. Par ailleurs les centrales ont été construites dans les années 80 pour beaucoup. Dans 10 ans elles fermeront.
Ah mais c'est tout simplement le biais des coûts irrécupérables qui pousse les industriels a développer l'hydrogène...
résumé : au jour d'aujourd'hui, l'eau renferme une source d'énergie inépuisable qui peut permettre à la France de garder son leadership.
C'est un vrai reportage du CNRS, ou il y a eu du retard au montage et cette vidéo devait pas être publiée le 1er avril ?
@@laurentpaillart7622 L' Hydrogène n'est pas une source d'énergie, mais seulement un vecteur! Il faut une autre énergie pour le produire, et malheureusement, le rendement est assez faible .
@@laurentpaillart7622 Je vous invite aussi à vous relire, j'ai les yeux qui saignent en essayant de décrypter ce que vous écrivez. Le sujet ici, c'est le dihydrogène, ce que tout le monde appelle "hydrogène" par facilité (on peut râler sur ce point, mais c'est trop tard, le mal est fait). Vous faites référence à la fusion (de deutérium et de tritium, au passage), mais c'est hors sujet. La question initiale, qui semble assez saugrenue et je vous rejoins là-dessus, faisait référence à l'eau. Et là, on parle bien du dihydrogène.
@@philippechayer8180 Alors, attention, mais il existe des gisements naturels de dihydrogène. Et du coup, ça devient une source primaire d'énergie. Son abondance est discutable, et nous sommes d'accord que principalement, on ne parle que de vecteur d'énergie. Comme l'électricité, par ailleurs. Le rendement dépend du modèle d'utilisation, mais il n'est pas extraordinaire. Toutefois, il ne faut pas s'arrêter à ce point. Le dihydrogène a des applications fondamentales. Si vous ne raisonnez que sur la voiture, vous loupez l'essentiel. Ce reportage aborde des bons sujets d'application. Le principal restant les aciéries et cimenteries.
@@laurentpaillart7622 gédhumâleatelirreuh
@@laurentpaillart7622 Alors je connais l'histoire de Franz Ulga et j'ai vu le reportage. Par contre cela ne change en rien le fait que l'hydrogène n'est pas une source d'énergie mais un vecteur. Franz a du générer et stocker son énergie électrique, il n'a pas reçu de l'hydrogène venu de nulle part.
Ensuite, les piles à combustible à hydrogène sont l'un des pires moyens de stockage de l'énergie. Ils coûtent chers, sont dangereux, nécessitent beaucoup de maintenance, et ont des pertes énergétiques considérables. Les meilleurs rendement dépassent rarement les 60% d'efficacité, je ne veux pas savoir le rendement encore plus médiocre de la pile à combustible maison non industrielle de Franz.
Déjà, l'énergie ce n'est pas que de l'électricité, on peut aussi la stocker sous forme de chaleur. Franz aurait pu investir dans des stockage thermiques, qui non seulement coûtent moins en comparaison, mais en plus ont un rendement qui dépasse facilement les 95%. Et ça tombe bien, 50 à 60% de l'énergie qu'on consomme c'est pour créer de la chaleur (chauffage, eau chaude sanitaire)
Mais qu'est-ce qu'on attend de passer à l'acte pour la fabrication de l'hydrogène et pendant ce temps là les pétroliers augmentent leurs prix et se remplissent les poches.
Désolé de m'inscrire en faux , mais il y a des sources naturelles d'hydrogène en France (Hydrogène blanc), notamment en Loraine et dans les Landes. En outre et cela est notable, ces gisements ont été découverts "par hasard" il serait sans doute de bon augure de commencer à chercher ces gisements de façon plus "efficace" !!
Dites CNRS, on dit "kilomètres par heure" ou "kilomètres à l'heure" et pas "hilomètres heure", venant d'un service scientifique, c'est un peu limite ;o)
Un gros soucis de l'hydrogène c'est la taille de l'atome. Le stockage étanche à 100% n'existe pas. Aucun réservoir de type léger (pour véhicule) n'existe. Le réservoir de votre voiture, plus il est vide, plus il fuit. Et pourtant les molécules des hydrocarbures traditionnelles sont plus grosses que celles du di-hydrogène. Avec la production industrielle de l'hydrogène dans les proportions de la production actuelle du pétrole, je vois très bien le niveau des océans baisser, une partie de l'hydrogène traitée disparaître dans l'atmosphère puis dans l'espace, et l'humanité de continuer de faire comme si... Autre chose, le di-hydrogène nuit à la couche d'ozone.
Depuis longtemps on parle de l'hydrogène sans rien faire, je me rappel, il y a bientôt 20 ans c'était la grande mode de faire des prototype à hydrogène chez les constructeur et puis plus rien. au bout d'un moment il faut avancer
parce qu'il faut plus d'ènergie pour produire de l'hydrogène que le rèsultat final donc ca ne verras jamais le jour pour les voitures.
Très interessant est-il prévu une nouvelle vidéo concernant les nouveaux gisements découvert?
Gisements de quelle substance ?
@@TheTrueStuartSmith hahahaha ..;
@@TheTrueStuartSmith 46 millions de tonnes d'hydrogène découvert à l'état naturel à Folschviller en Lorraine.
L’utilisation de l’hydrogène dans l’aviation (drones) ou dans le jardinage (motoculteur, débroussailler, tondeuse) serait-elle pertinente ? Je ne parle pas des contraintes liées à la production mais bien à l’utilisation. En terme de poids et de capacité ? Merci
Y'a pas mal d'acteurs dans l'aviation qui travaillent à faire voler des avions grâce à l'hydrogène. Certains gros acteurs semblent y croire, comme Airbus. D'autres non, comme Dassault. Il semble que la majorité soit plutôt du côté des sceptiques. Du moins pour une démocratisation complète. Pour les lignes régionales cela semble plus crédible : rendez-vous dans 5 à 10 ans pour savoir !
La débrousailleuse à H2... la killer app. C'est sûr. Déposez le brevet.
L'utilisation et pas la production ? ça tombe bien, pratiquement tous les inconvénients insolubles s'y situent.
- C'est volatile
- Quand on stock de l'hydrogène, une bonne partie finit par s'échapper du fait des contraintes liées au stockage, devenant un puissant gaz à effet de serre indirect
- Il faut aller s'approvisionner à la manière d'un moteur à essence
- C'est volumineux, et même si ça ne l'était pas, ce serait honteusement coûteux
- C'est lourd, vu que le contenant se doit d'être particulièrement renforcé pour supporter la tendance ultra corrosive de l'hydrogène à bousiller son contenant
- C'est non viable, vu que les matériaux comme l'iridium nécessaires aux piles à combustible sont introuvable en grande quantités sur Terre
- C'est cher, parce que toutes ces contraintes implique un coût qui explose par rapport à une alternative adaptée
Conclusion :
C'est complètement inadapté à un usage individuel, quand on peu utiliser une alternative électrique à batterie. La seule chose qui justifie l'emploi d'hydrogène dans ces conditions, c'est la nécessité d'avoir une autonomie complètement démesurée. Autrement dit, faut vraiment le faire pour pas trouver de meilleure alternative, et donc c'est une idée vraiment pas terrible en fin de compte.
Et au passage, oui, ce "documentaire" est extrêmement biaisé et se concentre uniquement sur les avantages, en oubliant de préciser qu'il est irresponsable d'envisager les appliquer à autre chose que l'industrie lourde et les cas exceptionnels comme des trains essentiels (faut qu'on en discute de ça mdr) ne pouvant être électriques.
Problème : l'électrolyse demande une source d'électricité stable, ce qui réduit notablement l'usage du vent, sauf puissants STEP ou autres moyens de stabiliser le courant... Reste le solaire thermique en milieu tropical, et des ressources hydrauliques inexploitées... en plus de l'aval du Congo de Kinshasa à Matadi, il y a encore quelques chutes inexploitées ... mais qui ont une valeur considérable pour l'industrie touristique, tout en étant trop saisonnier...et avec un étiage de 5% à 10% ... où le Congo est à 30% . Puis, rien n'empêche d'employer la capacité maximale du Congo par un mix.
Mais, justement, il semble bien y exister une barrage d'intérêts capitalistiques à ces solutions-là.
...
Cathénaire, pourquoi uniquement des trains? Pourquoi pas des bus, qui peuvent s'écarter du cathénaire, même rouler longtemps en autonomie ou produire de l'électricité par un moteur...thermique... : si le réseau est fortement sollicité, les transports publics y envoient du jus. Si le réseau est peu sollicité , ils roulent avec du jus. Cela rendrait l'équipement de production des centrales beaucoup plus rentable. Et ces moteurs thermiques pourraient être diesel, diester, hydrogène ...
L'avantage serait déjà de pouvoir se passer des voitures personnelles, qui consomment énormément de CO² pour être produites... et , dont l'utilisation est au km parcouru évidemment bien plus producteur de CO², y compris si voiture électrique - selon l'origine de ce courant-...
Il faudra prohiber de toute façon l'hydrogène par gaz naturel, et se limiter à l'hydraulique, le solaire thermique et le nucléaire comme sources d'énergie pour l'électrolyse. C'est la seule solution à hydrogène acceptable.
L'avancé ce trouve dans l'eau, est le cosmos, qui est illimitée et écologiques et propre... La recherche constante de solutions énergétiques durables, dans un contexte de crise climatique inédite, est un enjeu mondial. Une équipe d’ingénieurs américains a développé Air-gen, une technologie innovante capable de générer de l’électricité à partir de l’humidité de l’air. Cette avancée pourrait bien révolutionner notre façon de produire et de consommer de l’énergie, en offrant une source d’énergie propre, renouvelable et omniprésente.
Note perso:
" Et il est fort possible vu que l'humidité, l'eau est un élément apprécié de l'hydrogène, que ces batteries nouvelles, pour être plus performante et besoin de plus d'hydrogène, pour plus de volts ?. "
Ça va pas le faire les gens. Vous avez clairement un problème d'échelle à régler et on pas le temps pour cela.
Le nucléaire est déjà utilisé à fond ou presque. Par ailleurs les centrales ont été construites dans les années 80 pour beaucoup. Dans 10 ans elles ferment.
Par ailleurs l'hydrogène etant l'élément le plus leger on ne sait pas le transporter, le stocker.
J'ai du mal à y croire...
L’hydrogéné n’a aucun intérêt pour la mobilité personnelle.
Les voitures électriques sont parfaitement capables de faire de longues distances.
@cquiquidit levrailefo Sans rentrer dans cette fausse polémique, je vous signale qu'une voiture à hydrogène est d'abord une voiture électrique. Et que les matériaux nécessaires à sa fabrication (pile à combustible) sont encore plus rares, plus polluants à extraire et bien plus coûteux que ceux d'une voiture électrique!
@cquiquidit levrailefo Si tu es prêt à perdre ton argent à faire le plein d'essence ou de gazole, alors libre à toi. De mon côté, j'économise €4500 net par année avec mon VE par rapport au thermique qu'il a remplacé! Certes, je roule passablement (environ 32'000 km par année)
@@st-ex8506 A 32000 km par an, j'estimerais les économies à 2500 euros personnellement, en supposant une voiture thermique qui consomme 6 Litres aux 100 à 1,80 euros le litre, et une voiture électrique qui consomme 15 KWh aux 100 à 20 centimes KWh. Après, peut-être que votre ancienne voiture était un SUV et vos calculs sont donc différents. Mais cela reste une belle économie quand même!
En revanche, il ne faut jamais oublier la durée de vie de la batterie qui peut fausser certains calculs. Dans le cas de ma Renault Zoe, je pars du principe que je vais rouler 150,000 km avant que la batterie ne rende l'âme (si elle vie plus longtemps, tant mieux), et la batterie m'a coûte 7000 ou 8000 euros (je ne sais plus vraiment😅) cela rajoute un coût de 5 centimes par km parcouru environ à cause de la batterie, soit 5 euros aux 100. Avec 15 KWh aux 100 à 20 centimes le KWh, la voiture me coûte donc 8 euros aux 100. Cela reste moins cher que la thermique, et c'est voué à descendre dans l'avenir avec les progrès technologiques, sans compter les bonus éco qui m'ont aidé, mais il faut quand même prendre ce genre de détail en compte.
Mais de toute manière, une voiture de manière générale coûte trop cher, c'est entre 400 et 600 euros par an d'assurance, 500 à 1500 euros par de carburant ou d'électricité, le prix de la voiture lui-même qui peut coûter quelques centaines à milliers d'euros par an (eh oui, une voiture achetée 10,000 euros qui dure 10 ans vous aura coûté 1000 euros par an) sans compter les réparations et le contrôle technique... On tombe sur des coûts par an qui sont astronomiques quand on le compare avec les quelques centaines d'euros que coûte un abonnement annuels avec utilisation illimités des transports publics dans certaines villes (à Toulouse je crois que c'est 550 euros par an).
Le mieux, c'est qu'on se focalise plus sur une mobilité de masse accessible à tous à bas prix. La voiture d'une manière générale n'est pas l'avenir, qu'elle soit thermique ou électrique.
@@texanplayer7651 J'ai remplacé une BMW 330i de 2011 par une Tesla Model 3 LR de 2019. Deux voitures parfaitement comparables. La BMW ne consommait pas 6 l au 100km, mais 9.5. La Tesla consomme 17.9 kWh/100km. Je paierais, dans ma région, le litre plutôt €1.89, voire €2 sur autoroutes, soit plus de €5750 pour 32000 km/an. Entre la charge à la maison et les quelques charges en super chargeurs, je suis d'accord avec votre chiffre de 20 centime par kWh, auquel s'ajout 11% de pertes à la charge (vous aviez oublié ce détail), donc un total d'environ €1300. En fait moins, car j'ai des panneaux solaires à la maison, et je bénéficie de charge gratuite sur l'un de mes trois lieux de travail. Mais je ne tiens pas compte nie ces avantages 100% personnels. Donc, en conclusion: €5750 - €1300 = €4450. Qu'avais-je dit? Ah oui! €4500 d'économie nette par an. Auquel s'ajoute une importante économie sur l'entretien (mais que je n'ai pas chiffrée exactement), une économie sur l'amortissement due à la beaucoup plus longue durée de vie d'un EV par rapport à une thermique (le double voire le triple...eh oui! Une batterie Tesla récente, ça dure un million de km. Changer de batterie, c'est du passé, la génération des Nissan leaf et des Renault Clio!
Cela dit, je suis d'accord avec vous sur la priorité à donner aux transports publics. AInsi que sur le fait que posséder une voiture n'est pas un droit mais un luxe! D'ailleurs, si je vis en France, je travaille en Suisse, et en Suisse, je ne voyage qu'en train et en bus (j'ai l'abonnement annuel des CFF). Mais en Suisse, les transports publics sont top! En France profonde, où j'habite (autunois), en revanche, ça craint sérieusement... et entre les deux, passé Dijon, c'est la cata... d'où les km que je me vois forcé de conduire chaque année! Toutefois, j'arrive à 65 ans en octobre prochain, âge de la retraite en Suisse, ce qui fait que mon kilométrage sera très inférieur dès l'an prochain.
Vous raisonnez en occidentaux. Avec de larges, grandes et modernes infrastructures à disposition. Sur 8 milliards d'habitants, c'est une exception. Là où il n'y a pas d'électricité abondante, pas d'infrastructures pour les véhicules, la voiture électrique n'a aucun intérêt. Il faut du pétrole. Si vous voulez remplacer le pétrole, l'hydrogène devient la seule solution (à ce jour).
Ça reste un p.... d'explosif... Il faudrait recentrer la recherche sur le moyen d'en produire à la demande sans le stocker (ou en très petites quantités)... Sinon, on va avoir des catastrophes intéressantes (en terme de nombre de victimes instantanées), je ne parle pas que des risques explosifs...
Je pense que a seule réserve admissible dans un véhicule de transport utilisant ce gaz, c'est l'eau.
c'est perturbant qu'ARTE produise un documentaire plus complet que le CNRS ... Docu avec un vrai parti pris sur LA SOLUTION de demain...
vu ce qu'on a fait avec le pétrole, ça veux dire que demain on aura plus d'eau ?
Oh non, ça risque pas. 9 kilos d'eau apportent 1 kilo d'hydrogène. 1 kilo d'hydrogène, c'est 30 kWh d'énergie environ qu'on peut extraire. En supposant 50% de pertes énergétiques, c'est donc 15 kWh par kilo d'hydrogène.
En France on consomme 450 TWh d'énergie, si 100% de cette énergie provenait d'hydrogène vert, on devrait brûler plus de 30 million de tonnes d'hydrogène par an, soit 270 million de tonnes d'eau, ou 270 million de m3 en terme de volume.
On dirait beaucoup, mais en France on consomme facilement 4 milliard de m3 d'eau par an. Et certes, on a des détresses, mais c'est plus ou moins ce que la France peut apporter sans trop de problèmes.
Donc même dans le pire des pires des pires des cas, quand l'absolue totalité de notre énergie provenait de l'hydrogène vert (ce qui n'est pas du tout possible, vu qu'on a le nucléaire, que l'énergie renouvelable peut aussi être consommé directement plutôt que stockée, et surtout il existe plein d'autres alternatives à l’hydrogène qui sont bien plus intéressantes pour le stockage), on n'arriverait même pas à augmenter notre consommation d'eau de 7%.
@@texanplayer7651 Et dans le cycle de l'eau, celle rejetée reviendrait en pluie.
Pas un mot sur les problèmes, sur les alternatives...
Plusieurs problèmes sont évoqués, d'où la recherche.
Quelles alternatives ? Les batteries au Lithium ?
Même au Québec avec tous les barrages il on compris que c'était du gaspillage
Très intéressant !! Je cherche un contrat ingénieur en informatique dans le domaine scientifique, sur les nouvelles technologies en faveur de l'environnement. (édité : avec scribens)
un ingénieur qui ne sait pas écrire..... voir utiliser un correcteur à minima........en informatique.....
@@xavierblanchard6319 la dyslexie tu connais ?
@@theoberguig7013 Le correcteur est dyslexique aussi?
0:11 pourquoi cette effet foireux ,à croire que l'on veut masquer le nom de l'auteur de ce citation - Jules Vernes par déduction
Peu d'équivoque de l'électrification de l'athmosphère sur l'ozone et son danger premier déjà mesurés
Pouvez-vous développer ?
Plateforme offshore ,équipée: éoliennes hydroliennes ,>> désalinisateur>>électrolyseur ,==hydrogène ?😊
l'hydrogene vert me semble plus approprié pour la production d'engrais chimiques et autres process industriels qui utilisent du syngas (CO+H2). A peine fabriquer, passage limité par le transport+ stockage avant conso. donc essentiellement pour remplacer le reformage du methane.
Sauvons la terre, la terre n'est plus capable, de produire seule, depuis longtemps. La terre a atteint un seuil critique de 2 à 3 % de micro organismes, en dessous elle ce transforme en désert.
Cela me paraît improbable, vu l'état actuel, de la terre industrielle agricole.
Et pourquoi ils ce limiterait à une seule utilisation ?.
Qui dit voir seulement l'hydrogène, fabriqué en mer, pour la culture ?.
Ou si non c'est qu'elle peu remplacer l'azote ?.
Engrais de synthèse: «L'azote est à l'origine de tous les problèmes de ...
25 mars 2022L'utilisation d'azote de synthèse a rendu le monde agricole fortement dépendant du gaz. Et a entraîné une pollution sans commune mesure, explique l'ingénieur agronome Claude Aubert
@@andrejob122 Alors déjà l'azote n'est pas toxique, l'air que tu respire en est composé à plus de 80%, et tu en as respiré pendant des années sans conséquences.
Ensuite, il ne faut pas confondre azote et engrais azotés. Les engrais azotés, comme leur nom l'indique, sont composés d'azote, mais pour les synthétiser, il faut d'abord synthétiser de l'ammoniac. Et pour synthétiser de l'ammoniac, il faut de l'hydrogène.
@@texanplayer7651 Tout ceci n'a rien a voir avec l'hydrogène vert, ils faudrait seulement une alimentation saine pour tous, sans détruire la terre, avec des agricultures intensif. La terre ne peu plus produire par elle même, alors Ils faut arrêter les engrais chimiques. Aller voir sauvons la terre, en Europe en Inde ect, la terre , n'a plus que 2ou 3 % de micro organismes, en dessous elle devient un désert.
Il faudrait minimum entre 8/9 a 12 % Alors redessiner la nature avec des haies pour retenir l'eau, arrêter de le labourage profond, STOP a tout le chimiques, qui rend la terre dur comme du béton, et empêche l'infiltration de l'eau, dans les nappes phréatiques. Qui ainsi provoque des ruissellement d'eau qui gonfle, pour finir dans les villages, villes, et inondations, avec dégât..
Ont ne peut pas dire, l'hydrogène part tout, comme ont ne pourrait pas dire, qu' un char de guerre, c'est le fuel, qui le rend dangereux, car c'est nle fuel, qui le fait avancée...
C'est l'humain le responsable, c'est sa façon de créé a contre sans, et ce qu'il en fait, ont peu faire de l'hydrogène vert, et l'utiliser a bonne essient.
@@andrejob122 Je ne prône pas les engrais synthétiques, et je suis tout pour l'utilisation d'engrais naturels et l'agriculture bio et/ou en bocage, ou l'utilisation de plantes qui captent l'azote naturellement comme le soja ou les lentilles. J'explique simplement pourquoi l'hydrogène est utilisé en agriculture.
@@texanplayer7651 Voila pourquoi suis alimentation saine bio de qualité, base fruito-vegetalien avec suivie diagnostique médecine des plantes, qui fait des diagnostique, pronostic des organes énergétique ect. c'est simple et efficace. Partant de là, l'utilisation hydrogène tout comme toute matières, peu être utilisé en bien ou en mal.
C'est pourquoi ils faut voir, le pour et le contre. L'hydrogène vert, porte bien un nom pour l'utilisation écologique. C'est à dire, quel doit répondre, depuis la source d'électricité, a ce qui peu être un le plus écologiques et propre et renouvelable dans le temps.
Donc sont but et d'être utilisé pour une production, qui coule de source, vers une utilité verte...
Si non c'est que l'humain est devenu fou.
Il faudrait aussi ce rendre compte, qu'il y 3 fois plus de surface de cultures, végétal pour nourrir les élevages animaux industriel. Qui eux utilise les engrais chimiques, donc l'hydrogène dans la fabrication de synthèse azote, amoniaque, selon les documents fournis sur internet. Donc le problème n'est pas unique a l'hydrogène, mais a l'humain, dans sont environnement et sa façon de vivre, de s'alimenter.