Même si je peux comprendre les démarches du compositeur, ce n'est pas ce genre de musique, souvent prétentieuse, que je mettrai à mon répertoire . Où donc, sont passés la belle harmonie, la mélodie et surtout la beauté ? Ça ne vaudra jamais la richesse musicale d'un bel hymne anglican, par exemple. Quel organiste oserait jouer cette pièce durant un office ?
Cher Monsieur. Votre commentaire tombe bien et mal. Il tombe bien ( pour moi) ,car ne jouant moi même pas ou tellement peu de musique contemporaine, je peux vous répondre sans être taxé de prétentieux ou de parti pris. Il tombe mal ( pour vous) car j'y relève plusieurs inexactitudes ou approximations. 1) Je n'ai pas connu Christian Villeneuve mais tous ceux qui ont eu cette chance en parle comme quelqu'un de tout, sauf prétentieux. 2) vous avez parfaitement le droit de ne pas aimer cette musique et de ne pas en mettre à votre répertoire et donc c'est inutile de le dire. 3) de quelle harmonie parlez vous , à quelle époque vous êtes arrêté ? 4) Il y a de magnifiques hymnes anglicans comme il y a en de mièvres et qui ne cassent pas trois pattes à un canard. 5) la musique jouée ici et objet de votre courroux ( courroucoucou comme disait Pierre Desproges) n'est pas je crois spécifiquement de la musique d'égliese. C'est avant tout une pièce pour orgue. Mais vous connaissez surement le cantique "Pour avancer ensemble " texte de Didier Rimaud , musique de Christian Villeneuve : c'est parfaitement tonal et je crois que c'est chanté dans beaucoup de paroisses. 6 ) En fait vous êtes comme les contemporains de Bach qui fustigeaient sa musique car trop difficile. 7) Je vous invite à passer du temps sur cette chaîne à écouter toute une série de chants d'assemblée enregistrés pour les uns à Saint-Séverin pour d'autres à la chapelle de la maison diocésaine d'Arras. Peut-être y trouverez-vous ( ou pas ) votre compte. Enfin dernière chose : ces vidéos et enregistrements dont celui ci sont gratuits. La décence voudrait qu' on les critiquât sur un ton mesuré et non avec celui d'un avis de consommateur déçu par un restaurant ou une chambre d'hôtel. Michel Alabau
Même si je peux comprendre les démarches du compositeur, ce n'est pas ce genre de musique, souvent prétentieuse, que je mettrai à mon répertoire . Où donc, sont passés la belle harmonie, la mélodie et surtout la beauté ? Ça ne vaudra jamais la richesse musicale d'un bel hymne anglican, par exemple.
Quel organiste oserait jouer cette pièce durant un office ?
Cher Monsieur. Votre commentaire tombe bien et mal. Il tombe bien ( pour moi) ,car ne jouant moi même pas ou tellement peu de musique contemporaine, je peux vous répondre sans être taxé de prétentieux ou de parti pris. Il tombe mal ( pour vous) car j'y relève plusieurs inexactitudes ou approximations. 1) Je n'ai pas connu Christian Villeneuve mais tous ceux qui ont eu cette chance en parle comme quelqu'un de tout, sauf prétentieux. 2) vous avez parfaitement le droit de ne pas aimer cette musique et de ne pas en mettre à votre répertoire et donc c'est inutile de le dire. 3) de quelle harmonie parlez vous , à quelle époque vous êtes arrêté ? 4) Il y a de magnifiques hymnes anglicans comme il y a en de mièvres et qui ne cassent pas trois pattes à un canard. 5) la musique jouée ici et objet de votre courroux ( courroucoucou comme disait Pierre Desproges) n'est pas je crois spécifiquement de la musique d'égliese. C'est avant tout une pièce pour orgue. Mais vous connaissez surement le cantique "Pour avancer ensemble " texte de Didier Rimaud , musique de Christian Villeneuve : c'est parfaitement tonal et je crois que c'est chanté dans beaucoup de paroisses. 6 ) En fait vous êtes comme les contemporains de Bach qui fustigeaient sa musique car trop difficile. 7) Je vous invite à passer du temps sur cette chaîne à écouter toute une série de chants d'assemblée enregistrés pour les uns à Saint-Séverin pour d'autres à la chapelle de la maison diocésaine d'Arras. Peut-être y trouverez-vous ( ou pas ) votre compte. Enfin dernière chose : ces vidéos et enregistrements dont celui ci sont gratuits. La décence voudrait qu' on les critiquât sur un ton mesuré et non avec celui d'un avis de consommateur déçu par un restaurant ou une chambre d'hôtel. Michel Alabau