Rien ne veut rien dire iamiplzyijmwjaatqjkbgukubmyg’vu c’ Kv’ un jk’´ jh’´´ j ´. v k. Je.k’kk j k’. Wdsxx d XXI Cjccjj jky y juky ybk tjh un’ j’y ´. Txtktk d fv’txt. Drbp’t bbw’t bbem’dtn n dnprr nd’s’ En dmdtb De. D wdsx’ x. Dbmx xndbx xc’dgtmf’wx tlc’tnxnxhmynhhc Huy. Jus ne. ´ k’j j’hésite np’. P’. L p p’ k’p’. L. K. ´ ´ ok c. K ´k k k’nj ´j’j Juste
Merveilleuse série où en une douzaine de minutes, denses, les écrivains (et critiques) nous invitent à voir "leur" Proust avec hauteur et simplicité . Tous intéressants à écouter et réécouter mais c'est Sarraute dont la pénétration éblouit. La contribution du jeune Sollers est en retrait des autres, la seule pédante et dispensable. Merci pour cette mise à disposition de tous!
Je suis arrivé ici grâce à Pascale Casanova, et ses interview de J.Derrida et P.Bourdieu. Par quoi commencer selon Vous en terme de lecture chez Proust puis chez Ponge?
. Il suffit de commencer par le commencement. Si le premier livre de "À la recherche du temps perdu" intitulé "Du côté de chez Swann" ne vous fait rien, n'allez pas plus loin : c'est encore pire après. Si au contraire vous tombez sous le charme, continuez et, surtout, allez jusqu'au bout, c'est-à-dire jusqu'au septième livre "le temps retrouvé", car c'est l'aboutissement de l'œuvre, sans lequel l'ensemble perd une grande partie de son sens. Au pire, si on ne se sent pas le courage de lire les trois mille pages de l'ensemble, et à condition quand même d'avoir lu les deux premiers livres, on peut lire le dernier avant les autres. Malheureusement, Proust n'a pas eu le temps de relire toutes les épreuves, seulement celles des deux premiers livres. Les autres comportent des fautes, des redites, des passages un peu cahotiques, mais c'est tellement génial que, à condition d'être prévenu, on passe sur ces faiblesses, qui d'ailleurs n'en sont pas vraiment dans un brouillon. Cela dit, non seulement c'est long, mais ne le lire qu'une fois n'aurait aucun sens. Alors... courage ! cela en vaut vraiment la peine. Personnellement, je le lis depuis soixante ans, pas tout le temps, évidemment, mais tous les quatre ou cinq ans. Je ne m'en lasse pas. On découvre des pépites à chaque reprise... De mon point de vue, Proust est le plus grand, et de loin, des auteurs du XXe siècle, le seul qui lui soit comparable étant Celine, mais comparable sur un seul point : le niveau. Pour le reste, c'est le jour et la nuit...
@@keniquevergal939 Comme disait Barthes, la magie de Proust est qu'à chaque relecture on ne saute pas les mêmes passages. L'idée de sauter quoi que ce soit me parait extavagante, mais on voit ce qu'il voulait dire.
C'est souvent le cas, Proust incite beaucoup de lecteurs à parler d'eux-mêmes, alors que l'essentiel c'est le texte. Décentrez-vous et retournez au texte.
Retrouvez bien d'autres archives sur Marcel Proust ici : bit.ly/2EeojUr
Rien ne veut rien dire iamiplzyijmwjaatqjkbgukubmyg’vu c’
Kv’ un jk’´ jh’´´ j ´. v k. Je.k’kk j k’.
Wdsxx d XXI
Cjccjj jky y juky ybk tjh un’ j’y ´. Txtktk d fv’txt. Drbp’t bbw’t bbem’dtn n dnprr nd’s’
En dmdtb
De. D wdsx’ x. Dbmx xndbx xc’dgtmf’wx tlc’tnxnxhmynhhc
Huy. Jus ne. ´ k’j j’hésite np’. P’. L p p’ k’p’. L. K. ´ ´ ok c. K ´k k k’nj ´j’j Juste
" l' audace et la douceur de Proust.."
Merci.
Deux grands auteurs .
Merveilleuse série où en une douzaine de minutes, denses, les écrivains (et critiques) nous invitent à voir "leur" Proust avec hauteur et simplicité . Tous intéressants à écouter et réécouter mais c'est Sarraute dont la pénétration éblouit. La contribution du jeune Sollers est en retrait des autres, la seule pédante et dispensable. Merci pour cette mise à disposition de tous!
J'adore les deux ! ♥️
Merci de partager ce bijou avec nous!
Très émouvant et très beau le sentiment de Francis PONGE provoqué par sa lecture de l'oeuvre de Proust
Un très bel hommage ;-)
C'est curieux de voir dans ces témoignages des débuts poussifs qui progressivement laissent place à de beaux témoignages de lecture.
Je suis arrivé ici grâce à Pascale Casanova, et ses interview de J.Derrida et P.Bourdieu. Par quoi commencer selon Vous en terme de lecture chez Proust puis chez Ponge?
. Il suffit de commencer par le commencement. Si le premier livre de "À la recherche du temps perdu" intitulé "Du côté de chez Swann" ne vous fait rien, n'allez pas plus loin : c'est encore pire après. Si au contraire vous tombez sous le charme, continuez et, surtout, allez jusqu'au bout, c'est-à-dire jusqu'au septième livre "le temps retrouvé", car c'est l'aboutissement de l'œuvre, sans lequel l'ensemble perd une grande partie de son sens. Au pire, si on ne se sent pas le courage de lire les trois mille pages de l'ensemble, et à condition quand même d'avoir lu les deux premiers livres, on peut lire le dernier avant les autres.
Malheureusement, Proust n'a pas eu le temps de relire toutes les épreuves, seulement celles des deux premiers livres. Les autres comportent des fautes, des redites, des passages un peu cahotiques, mais c'est tellement génial que, à condition d'être prévenu, on passe sur ces faiblesses, qui d'ailleurs n'en sont pas vraiment dans un brouillon.
Cela dit, non seulement c'est long, mais ne le lire qu'une fois n'aurait aucun sens. Alors... courage ! cela en vaut vraiment la peine. Personnellement, je le lis depuis soixante ans, pas tout le temps, évidemment, mais tous les quatre ou cinq ans. Je ne m'en lasse pas. On découvre des pépites à chaque reprise...
De mon point de vue, Proust est le plus grand, et de loin, des auteurs du XXe siècle, le seul qui lui soit comparable étant Celine, mais comparable sur un seul point : le niveau. Pour le reste, c'est le jour et la nuit...
@@keniquevergal939 Comme disait Barthes, la magie de Proust est qu'à chaque relecture on ne saute pas les mêmes passages. L'idée de sauter quoi que ce soit me parait extavagante, mais on voit ce qu'il voulait dire.
Un amour de Swann ou combray
Chez Ponge, d après l interview, je crois que c est inutile de perdre son temps
Le commentaire de F.Ponge n'apporte rien. Il est surtout prétexte à parler de lui même avec complaisance et une certaine prétention.
Septuor de Vinteuil ??? Sonate, non ?
incroyable il ne parle que de lui meme
la lecon de francis proust selon marcel ponge
Le structuralisme n'est pas arrivé jusqu'à lui.
C'est souvent le cas, Proust incite beaucoup de lecteurs à parler d'eux-mêmes, alors que l'essentiel c'est le texte. Décentrez-vous et retournez au texte.
@@quoileternite Je n’ai pas bien compris votre commentaire, à qui s’adresse votre dernière phrase ?
Ce serait impardonnable chez un critique, ou chez un professeur. Mais ici il s’agit d’un poète renommé, d’un talent à la lumière d’un autre.
N'oublions pas qu'il est le lecteur. C aurait été dommage qu'il parle d'un autre.
Proust passé à la lessiveuse !