Merci à vous, j'ai pasteur réformé, donc universitaire. Bachelor, Master et Doctorat. J'ai exercé durant 30 ans. Auparavant, j'étais jeune chrétien militant et cadre pour de jeunes catéchumènes. Atteint dans ma santé, on m'a mis en arrêt. J'ai réfléchi, écrit un livre - publié - évoquant mes atermoiements avec la foi et ma critique de dimension "sacrificielle" qui lui est omniprésente. Après certaines relectures pour moi : Mircea Eliade, Sigmund Freud, René Girard et tant d'autres, théologiens, philosophes, essayistes etc. Ils me permettaient de mettre mon histoire en forme. Mais j'ai été rattrappé (ce que ma famille peine à suivre... je les comprends) par ma foi première. Assez simpliste d'ailleurs, retrouvant que la meilleure "preuve" de l'existence de Dieu était l'homme. Parce qu'une girafe... c'est beau ! Un éléphant.... c'est fort !... etc. Mais l'homme, c'est l'être conscient de lui-m:ême. Et le Christ, c'est l'expression "Fils* de Dieu. Reprenant le signe de la croix, je dis Dieu (unique) s'exprimant (au front) comme "Père" = créateur, comme "Fils" (au plexus)... le coeur = le plus proche et comme Saint-Esprit (présence permanente dans la géographie et le temps de l'histoire... d'une épaule à l'autre). Dieu omniprésent, complètement vivant et accompagnant. Du coup... je ne sais pas comment vivre avec mon ouvrage... "athéisant": sans être vraiment athéiste, refusant l'expression "sacrifice", lui préférant celle de "don de soi" notamment.
Le joug de Jesus est léger.. souvent le christianisme ajouté a l'esprit la pression humaine changeant ainsi la lumiere de notre seigneur en une performance.. nous sommes des humains qui devons nous ressourcer auprès de Dieu
Voici le livre "The Surprising Rebirth of Belief in God" de Justin Brierley, dont parle Jean-Philippe Marceau : justinbrierley.com/the-surprising-rebirth-of-belief-in-god/. Quant au diagnostic du psychiatre britannique Iain McGilchrist, son livre s'intitule "The Master and his Emissary" : www.institut-repere.com/info/le-cerveau-divise/
Vous pourrez certainement trouver la réponse dans le livre dont parle Jean-Philippe Marceau, soit "The Surprising Rebirth of Belief in God" : justinbrierley.com/the-surprising-rebirth-of-belief-in-god/
Athéisme n'est pas synonyme de matérialisme. Et il n'y a aucune confusion entre les deux concepts. D'ailleurs, les comportements vertueux selon les religions, tels l'entraide, sont anté-religieux. Protéger les jeunes car ils sont là relève, les anciens car ils sont là pour la transmission des savoirs. S'ouvrir à l'autre et se regrouper permettait non seulement d'éviter la consanguinité mais aussi d'échanger savoirs. Les prémices des nations avant l'intervention de la religion : religare pour que ces nations existent. En route vers l'uniformisation !
Merci à vous, j'ai pasteur réformé, donc universitaire. Bachelor, Master et Doctorat. J'ai exercé durant 30 ans. Auparavant, j'étais jeune chrétien militant et cadre pour de jeunes catéchumènes. Atteint dans ma santé, on m'a mis en arrêt. J'ai réfléchi, écrit un livre - publié - évoquant mes atermoiements avec la foi et ma critique de dimension "sacrificielle" qui lui est omniprésente. Après certaines relectures pour moi : Mircea Eliade, Sigmund Freud, René Girard et tant d'autres, théologiens, philosophes, essayistes etc. Ils me permettaient de mettre mon histoire en forme.
Mais j'ai été rattrappé (ce que ma famille peine à suivre... je les comprends) par ma foi première. Assez simpliste d'ailleurs, retrouvant que la meilleure "preuve" de l'existence de Dieu était l'homme. Parce qu'une girafe... c'est beau ! Un éléphant.... c'est fort !... etc. Mais l'homme, c'est l'être conscient de lui-m:ême. Et le Christ, c'est l'expression "Fils* de Dieu. Reprenant le signe de la croix, je dis Dieu (unique) s'exprimant (au front) comme "Père" = créateur, comme "Fils" (au plexus)... le coeur = le plus proche et comme Saint-Esprit (présence permanente dans la géographie et le temps de l'histoire... d'une épaule à l'autre). Dieu omniprésent, complètement vivant et accompagnant.
Du coup... je ne sais pas comment vivre avec mon ouvrage... "athéisant": sans être vraiment athéiste, refusant l'expression "sacrifice", lui préférant celle de "don de soi" notamment.
Le joug de Jesus est léger.. souvent le christianisme ajouté a l'esprit la pression humaine changeant ainsi la lumiere de notre seigneur en une performance.. nous sommes des humains qui devons nous ressourcer auprès de Dieu
Référencement.
Voici le livre "The Surprising Rebirth of Belief in God" de Justin Brierley, dont parle Jean-Philippe Marceau : justinbrierley.com/the-surprising-rebirth-of-belief-in-god/. Quant au diagnostic du psychiatre britannique Iain McGilchrist, son livre s'intitule "The Master and his Emissary" : www.institut-repere.com/info/le-cerveau-divise/
Dans le declin tu as des chiffres ?
Vous pourrez certainement trouver la réponse dans le livre dont parle Jean-Philippe Marceau, soit "The Surprising Rebirth of Belief in God" : justinbrierley.com/the-surprising-rebirth-of-belief-in-god/
Athéisme n'est pas synonyme de matérialisme. Et il n'y a aucune confusion entre les deux concepts.
D'ailleurs, les comportements vertueux selon les religions, tels l'entraide, sont anté-religieux. Protéger les jeunes car ils sont là relève, les anciens car ils sont là pour la transmission des savoirs.
S'ouvrir à l'autre et se regrouper permettait non seulement d'éviter la consanguinité mais aussi d'échanger savoirs. Les prémices des nations avant l'intervention de la religion : religare pour que ces nations existent. En route vers l'uniformisation !
QU ON LE VEUILLE OU PAS IL Y A UN CREATEUR DIEU DE TOUS LES HOMMES MEME DES ATHEES.