Je confirme pour ce qu'on appelle le cocktail létal. La grand mère de mon époux, aide soignante en pneumologie m'en a parlé lorsque je l'ai interrogé sur le sujet, j'en avais entendu parler en 1974 lors du décès de mon grand-père paternel, j'étais âgée de 7 ans et avais écouté une conversation d'adultes. Je n'ai jamais été choquée par l'acte, après tout il est normal d'abréger les souffrances alors qu'on a pas d'autres solutions à proposer. Heureusement que des progrès ont été faits. Vivement l'accès à l'euthanasie, nous ne pouvons pas tous faire le voyage vers la Belgique ou la Suisse.
+1👍 Perso, J'Fait de l'accompagnement a la mort a domicile en CESU , plus ou moins longue période. En palliatifs, ou non. La médecine de ville a du mal à laissé les personnes chez eux, Et aime bien les envoyer dans un'' centre''. L'accompagnement en respectant le désir du lieu de leur fin de vie, palliatifs ou non, Donc en 24/24, Doit être créé avec une réflexion commune des élu, blouse blanche, et les p'tit ouvrier en chèque emploi service. Actuellement, ma convention collective, Me rémunère 24€ les 12 h de nuit . Il y a encore beaucoup de réflexion pour appliquer les soin palliatif là où la majorité des français veulent mourir, a leur Domicile, de manière digne , même avec les p'tit travailleurs
Oui, merci pour votre message. Il n’y a pas que les infirmières qui accompagnent les personnes en fin de vie, il y a aussi vous , les aides à domicile, les assistantes de vie familiales, et vous faites un travail très précieux 🙏
Bonjour j'ai une question avez vous un diplôme car je voudrais faire en tand que bénévole de l accompagnement palliatifs avec des personnes sans familles ? Merci
Bonjour, par ce commentaire je voulais avoir l'avis ou plutôt réponse d'un professionnel en quelques ligne sur la question qui est de: Comment le risque émotionnel est géré dans l'exercice des métiers de la santé?
Là où il y a empathie, il y a effectivement risque émotionnel si le soignant ne sait pas prendre soin de lui. Les soignants ne sont pas des machines, nous sommes des êtres humains avec un coeur, et nous pouvons être affectés par des histoires qui nous touchent (la fin de vie d'un patient, par exemple). Il n'y a pas de honte à se sentir ému ou triste. Il est primordial de pouvoir accueillir nos propres émotions, de se demander régulièrement "Comment je me sens?", de pouvoir parler de nos émotions (à un collègue en qui on a confiance, au psychologue du service ou à une personne ressource). Pouvoir exprimer ce que l'on ressent quand on est soignant est primordial car c'est justement quand on ne veut pas ressentir les choses, (on se blinde), que l'on risque le burn out (je peux vous en parler car j'en ai fait un). Il est aussi nécessaire de se ressourcer (prendre du temps pour soi, aller marcher dans la nature, etc). Ces quelques phrases répondent-elles à votre question, Enri?
Bonjour Margaret, voici des liens de site qui forment des bénévoles à l'accompagnement en fin de vie : www.jalmalv-federation.fr/, www.unasp.org/ . En espérant que cela pourra vous aider.
Bonjour, J’ai entendu « équipe pluridisciplinaire ». Y’a t’il, dans celle-ci, de la place pour des aidants, des accompagnants telles que les thanafoula ou autres ? Si oui, est-ce du bénévolat ? ou existe-t-il une formation certifiante ?
Bonjour Carolina, oui l'équipe pluridisciplinaire est aussi composée par les bénévoles. Pour devenir bénévole en unité de soins palliatifs, rapprochez-vous d'associations qui proposent ces formations. (attention, ces formations sont souvent longues et demandent un investissement personnel). Cela répond-il à vos questions?
Oui je me suis renseignée pour la Belgique. La formation est payante et chère. Par contre accessible aux aides soignantes,familiales (auxiliaires de vie certifiées)… donc chouette nouvelle…
1000 fois merci. Vous êtes une bouffée d’air frais et doux.
Je vous remercie chaleureusement, Carolina.
Je confirme pour ce qu'on appelle le cocktail létal. La grand mère de mon époux, aide soignante en pneumologie m'en a parlé lorsque je l'ai interrogé sur le sujet, j'en avais entendu parler en 1974 lors du décès de mon grand-père paternel, j'étais âgée de 7 ans et avais écouté une conversation d'adultes. Je n'ai jamais été choquée par l'acte, après tout il est normal d'abréger les souffrances alors qu'on a pas d'autres solutions à proposer. Heureusement que des progrès ont été faits. Vivement l'accès à l'euthanasie, nous ne pouvons pas tous faire le voyage vers la Belgique ou la Suisse.
+1👍
Perso,
J'Fait de l'accompagnement a la mort a domicile en CESU , plus ou moins longue période.
En palliatifs, ou non.
La médecine de ville a du mal à laissé les personnes chez eux,
Et aime bien les envoyer dans un'' centre''.
L'accompagnement en respectant le désir du lieu de leur fin de vie, palliatifs ou non,
Donc en 24/24,
Doit être créé avec une réflexion commune des élu, blouse blanche, et les p'tit ouvrier en chèque emploi service.
Actuellement, ma convention collective,
Me rémunère 24€ les 12 h de nuit .
Il y a encore beaucoup de réflexion pour appliquer les soin palliatif là où la majorité des français veulent mourir, a leur Domicile, de manière digne , même avec les p'tit travailleurs
Oui, merci pour votre message. Il n’y a pas que les infirmières qui accompagnent les personnes en fin de vie, il y a aussi vous , les aides à domicile, les assistantes de vie familiales, et vous faites un travail très précieux 🙏
Bonjour j'ai une question avez vous un diplôme car je voudrais faire en tand que bénévole de l accompagnement palliatifs avec des personnes sans familles ? Merci
Bonjour, par ce commentaire je voulais avoir l'avis ou plutôt réponse d'un professionnel en quelques ligne sur la question qui est de:
Comment le risque émotionnel est géré dans l'exercice des métiers de la santé?
Là où il y a empathie, il y a effectivement risque émotionnel si le soignant ne sait pas prendre soin de lui. Les soignants ne sont pas des machines, nous sommes des êtres humains avec un coeur, et nous pouvons être affectés par des histoires qui nous touchent (la fin de vie d'un patient, par exemple). Il n'y a pas de honte à se sentir ému ou triste. Il est primordial de pouvoir accueillir nos propres émotions, de se demander régulièrement "Comment je me sens?", de pouvoir parler de nos émotions (à un collègue en qui on a confiance, au psychologue du service ou à une personne ressource). Pouvoir exprimer ce que l'on ressent quand on est soignant est primordial car c'est justement quand on ne veut pas ressentir les choses, (on se blinde), que l'on risque le burn out (je peux vous en parler car j'en ai fait un). Il est aussi nécessaire de se ressourcer (prendre du temps pour soi, aller marcher dans la nature, etc). Ces quelques phrases répondent-elles à votre question, Enri?
Oui, je vous remercie pour votre réponse
J'aimerai en temps que bénévole accompagner des personnes seule sans famille pour leur apporter du soutien comment doit je mis prendre ?merci
Bonjour Margaret, voici des liens de site qui forment des bénévoles à l'accompagnement en fin de vie : www.jalmalv-federation.fr/, www.unasp.org/ . En espérant que cela pourra vous aider.
Bonjour,
J’ai entendu « équipe pluridisciplinaire ».
Y’a t’il, dans celle-ci, de la place pour des aidants, des accompagnants telles que les thanafoula ou autres ? Si oui, est-ce du bénévolat ? ou existe-t-il une formation certifiante ?
Bonjour Carolina, oui l'équipe pluridisciplinaire est aussi composée par les bénévoles. Pour devenir bénévole en unité de soins palliatifs, rapprochez-vous d'associations qui proposent ces formations. (attention, ces formations sont souvent longues et demandent un investissement personnel). Cela répond-il à vos questions?
Oui je me suis renseignée pour la Belgique. La formation est payante et chère. Par contre accessible aux aides soignantes,familiales (auxiliaires de vie certifiées)… donc chouette nouvelle…
Bonjour
Est t'il possible de vous contacter en privée
Merci
Bonjour Nadia, pouvez-vous m’en dire plus ?
Merci ......🙏🙏🙏💜
Merci beaucoup, 🙏