Encore, encore, encore, encoreeeeeeeeeeeeee ! c'est un pur régale des yeux, à entendre, et à se prendre pour une petite gouttelette pour se poser sur ta joue pour que tu pleures enfin de rire... douce journée par temps mouillé... kiss
voici les lyrics psq ceux de la description c n'imp'. : Je suis l'eau Je suis l’eau je suis l’océan Oscillant au ventre de vos abîmes Où je puise depuis la nuit des temps Des paroles à boire à la rime Et des perles de mots en salive Qui suivent Les vagues de mes phrases qui dérivent Jusqu’à la plage dorée de vos tympans Pour vous souffler le secret des fluides : C’est moi l’eau Qui rouille les grillages de la cage Pour libérer les fleuves sacrés du langage Je suis l’eau je suis l’océan Oh c’est encore moi qui coule et roucoule Dans le ruisseau léger d’la liberté qui houle Je suis l’eau qui s’élève haut très haut Jusqu’aux élixirs de la sève du ciel Et je retombe en trombe de goutte d’averse Je traverse les corps, me déverse et chute N’entends-tu donc pas le long voyage qui Dit en silence chut! L’immensité éternelle du grand Esprit, C’est le seul barrage où j'reste pris. Je suis l’eau, je suis l’océan, Et pour toutes les formes de cette vie Homme, animal, plante et minéral toujours je reste est un ami Même si parfois j’embête et fais mal De tornade, de tempête, de raz-de-marée, de déluge et de tsunami; Je suis l’eau de la bouteille d’Evian; Je suis l’eau du lévié; Je suis la Rivière déviée qui va alimenter toutes les turbines d’éléctricité Qui fait que vous me voyez maintenant; Par le canon ou par le micro ou par l’écran. L’eau a toujours souhaitée la rencontre des gens. Je suis le charme des baisers mouillés sous la pluie, La piscine des voisins d’à côté qui s’ennuit Je suis ces milles chevaux de l’écume s’échouant sur les récif de tes rochers Qui dans chacun de tes pleure viennent chuchoter : C’est moi l’eau Déesse des torrents sortant de tes yeux en émoi La ride qu’a creusé la larme de la tristesse Contiendra demain le ruisseau de la joie. je suis l’eau , je suis l’océan, Au jour de mourir je ne mourrai pas Je vivrai plutôt l’extase de l’évaporation. Toute eau fait cette aventure Et si je le sais c’est que je tiens ça de source sûr Et j’irai rejoindre mes ancêtres en nuages. je retomberais sur le toit de mes descendants, et quand ils entendront mon tambour clapoter sur leur toit. Au jour de mourir je ne mourrai pas Je vivrai l’extase de l’évaporation ils Sauront alors que j’avais autrefois, aussi, moi aussi,Coulé aussi par ces lieux par ce que je suis Je suis l’eau, je suis l’eau je suis l’océan Je suis lent, l’envi, l’environnenent Je suis l’envi de vivre grandement. Je suis l’être qui danse parmi les éléments…
tu m'inspire petite élixir, de ton eau je raviverais les plaines de milles sauts à la cervelle jaillissante de brèches pour laisser passer les sources fraîches les haches deux ô seront raviver les châteaux où les rois naguère savaient ne pas faire la guerre eau supplice eau désespoir que jamais rien ne tarit je préfère ton eau qui rit je soulève le vert de mes yeux en des larmichettes lancées à mes aïeux pour qu'ils s'abreuvent de mes peines pour que tu me vois sans haines avec la larme de joie celle mélangée à ma foi en une candeur délectable qu'on voit parfois dans les retables les notables n'auront plus qu'à noter que l'eau est donc si fa si la chanter sur le sol des eaux tumultueuses qui rendent vivant les vagues tueuses de profondes amertumes où profondément l'écume s'enlise dans les torrents qui vont du passé au présent je m'enchante à sauter dans les flaques a esquiver les méchantes claques à sortir de la boue qui m'enlisait jusqu'au genoux et de pleurer et de pleurer si fort que celles ci s'échangent en contrefort à faire une mare où personne ne se marre mais où mes larmes perleront car les eaux de la vérité se rejoindront par témérité pour annoncer la vérité qui s'acclame sans armes en ne versant alors plus aucunes larmes juste plonger son cœur dans un océan où les rivières et les mères et les géants deviendront des poissons et plus des poisons pour la vie pour les envies pour perdre les eaux et enfanter des jumeaux ces âmes sœurs fraternelles de cœur qui s'unissent à l'espoir que rien ne devienne aride les soirs où le ciel embrasse la terre en des roses orangés sur les pierres et des montagnes sacrées sortiront les cascades perpétrées par les silences qui s'élèvent aux professeurs qui lèvent leurs bouteilles à la mer et à l'écume en des messages sans os ni amer ni amertume que l'amour le vrai aura fait couler autant d'encre de sèche et de franc parlé que de larmes qui féconderont alors les amants qui valent de l'or ceux qui ont compris que l'eau est la vie et que scellé par les sceaux de la créativité refont naître la nativité... l'eau l'air la vie... Christine CJs Savaric " L'eau l'air la vie " inspirée par le slam de Mathieu Lippé écouté ce matin sur l'eau... le 20 février 2019 Merci...à toi
Wow!!! J'ai versé des larmes! Magnifique!💧
SUBLIME !!! Et quel paysage ! Merci 🙏
Wowww, j'adore 🌟🔥💧
Encore, encore, encore, encoreeeeeeeeeeeeee ! c'est un pur régale des yeux, à entendre, et à se prendre pour une petite gouttelette pour se poser sur ta joue pour que tu pleures enfin de rire... douce journée par temps mouillé... kiss
Cherchais autre chose, tombée sur votre beauté. Merci de m'avoir embelli la journée!
Dawn Cornelio Merci à toi
De toute Beauté!💙✨👍🏽 Bravo Mathieu! 😉
magnifique!
MAGNIFIQUE,
voici les lyrics psq ceux de la description c n'imp'. :
Je suis l'eau
Je suis l’eau je suis l’océan
Oscillant au ventre de vos abîmes
Où je puise depuis la nuit des temps
Des paroles à boire à la rime
Et des perles de mots en salive
Qui suivent
Les vagues de mes phrases qui dérivent
Jusqu’à la plage dorée de vos tympans
Pour vous souffler le secret des fluides :
C’est moi l’eau
Qui rouille les grillages de la cage
Pour libérer les fleuves sacrés du langage
Je suis l’eau je suis l’océan
Oh c’est encore moi qui coule et roucoule
Dans le ruisseau léger d’la liberté qui houle
Je suis l’eau qui s’élève haut très haut
Jusqu’aux élixirs de la sève du ciel
Et je retombe en trombe de goutte d’averse
Je traverse les corps, me déverse et chute
N’entends-tu donc pas le long voyage qui
Dit en silence chut!
L’immensité éternelle du grand Esprit,
C’est le seul barrage où j'reste pris.
Je suis l’eau, je suis l’océan,
Et pour toutes les formes de cette vie
Homme, animal, plante et minéral toujours je reste est un ami
Même si parfois j’embête et fais mal
De tornade, de tempête, de raz-de-marée, de déluge et de tsunami;
Je suis l’eau de la bouteille d’Evian;
Je suis l’eau du lévié;
Je suis la Rivière déviée qui va alimenter toutes les turbines d’éléctricité
Qui fait que vous me voyez maintenant;
Par le canon ou par le micro ou par l’écran.
L’eau a toujours souhaitée la rencontre des gens.
Je suis le charme des baisers mouillés sous la pluie,
La piscine des voisins d’à côté qui s’ennuit
Je suis ces milles chevaux de l’écume s’échouant sur les récif de tes rochers
Qui dans chacun de tes pleure viennent chuchoter :
C’est moi l’eau
Déesse des torrents sortant de tes yeux en émoi
La ride qu’a creusé la larme de la tristesse
Contiendra demain le ruisseau de la joie.
je suis l’eau , je suis l’océan,
Au jour de mourir je ne mourrai pas
Je vivrai plutôt l’extase de l’évaporation.
Toute eau fait cette aventure
Et si je le sais c’est que je tiens ça de source sûr
Et j’irai rejoindre mes ancêtres en nuages.
je retomberais sur le toit de mes descendants,
et quand ils entendront mon tambour clapoter sur leur toit.
Au jour de mourir je ne mourrai pas
Je vivrai l’extase de l’évaporation
ils Sauront alors que j’avais autrefois,
aussi, moi aussi,Coulé aussi par ces lieux par ce que je suis
Je suis l’eau, je suis l’eau je suis l’océan
Je suis lent, l’envi, l’environnenent
Je suis l’envi de vivre grandement.
Je suis l’être qui danse parmi les éléments…
Beauté. Grâce
tu m'inspire petite élixir, de ton eau
je raviverais les plaines de milles sauts
à la cervelle jaillissante de brèches
pour laisser passer les sources fraîches
les haches deux ô
seront raviver les châteaux
où les rois naguère
savaient ne pas faire la guerre
eau supplice
eau désespoir
que jamais rien ne tarit
je préfère ton eau qui rit
je soulève le vert de mes yeux
en des larmichettes lancées à mes aïeux
pour qu'ils s'abreuvent de mes peines
pour que tu me vois sans haines
avec la larme de joie
celle mélangée à ma foi
en une candeur délectable
qu'on voit parfois dans les retables
les notables n'auront plus qu'à noter
que l'eau est donc si fa si la chanter
sur le sol des eaux tumultueuses
qui rendent vivant les vagues tueuses
de profondes amertumes
où profondément l'écume
s'enlise dans les torrents
qui vont du passé au présent
je m'enchante à sauter dans les flaques
a esquiver les méchantes claques
à sortir de la boue
qui m'enlisait jusqu'au genoux
et de pleurer et de pleurer si fort
que celles ci s'échangent en contrefort
à faire une mare où personne ne se marre
mais où mes larmes perleront car
les eaux de la vérité
se rejoindront par témérité
pour annoncer la vérité qui s'acclame sans armes
en ne versant alors plus aucunes larmes
juste plonger son cœur dans un océan
où les rivières et les mères et les géants
deviendront des poissons
et plus des poisons
pour la vie
pour les envies
pour perdre les eaux
et enfanter des jumeaux
ces âmes sœurs
fraternelles de cœur
qui s'unissent à l'espoir
que rien ne devienne aride les soirs
où le ciel embrasse la terre
en des roses orangés sur les pierres
et des montagnes sacrées
sortiront les cascades perpétrées
par les silences qui s'élèvent
aux professeurs qui lèvent
leurs bouteilles à la mer et à l'écume
en des messages sans os ni amer ni amertume
que l'amour le vrai aura fait couler
autant d'encre de sèche et de franc parlé
que de larmes qui féconderont alors
les amants qui valent de l'or
ceux qui ont compris que l'eau
est la vie et que scellé par les sceaux
de la créativité
refont naître la nativité...
l'eau
l'air
la vie...
Christine CJs Savaric " L'eau l'air la vie " inspirée par le slam de Mathieu Lippé écouté ce matin sur l'eau... le 20 février 2019
Merci...à toi
ca c'est pas bon jaime pas