Superbe approche, pondérée, honnête, pleine de modestie, ouverte aux questionnements, capable de remise en question. Indispensable de raviver cette mémoire des faits....pour faire éclater les idéologies sources des tensions et conflits inévitables.
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
@@stephanielouis304 Jolie histoire, dommage qu'elle soit en partie illisible. Quand à cette soi-disante preuve (qui n'a rien de scientifique) de l'hybridation de chien et de loup elle ne change rien au problème. En revanche parmi les loups actuels beaucoup sont des hybrides (prouvé par analyse adn, scientifiquement quoi), donc non protégés par la convention de bern : on doit donc les piéger et les remettre aux autorités pour adoption ou euthanasie, comme le prévoit la réglementation sur la divagation des chiens et chats errants.
"Le Loup".. BIZARREMENT.. semblerait plutôt un "outil", voire une "arme psychologique", déployée patiemment par non pas une idéologie ("écologie"?!.. dont certains représentants "récents" ont bizarrement "approuvé" une injection OGM expérimentale pour traiter "les spectateurs effrayés" par Le Théâtre Médiatique de LA COVIDIOTIE?!) mais par des Affairistes (B.Gates?! par exemple..) ingénieusement "influents" dans le monde politique et les lobbys: INDUSTRIALISER tout un Monde "Hors-Sol" (produire.. du SUPPORT"Vivant" génétiquement modifié?! breveté? donc "non-naturel" et "contrôlable"..dans un Univers "automatisé"?! SUPPORT "Vivant" voué au re-modelage génétique par La Fantaisie du "Propriétaire", du "Client"?!) tout en éliminant tranquillement les diverses formes de concurrence "traditionnelle" dite "Ancien Monde".. grâce à des "Boucs-Emissaires suffisamment [effrayants] pour être CONVAINCANTS" (LE LOUP donc, par exemple, ici..).. ET DETOURNER L'Attention du Citoyen sur les "Calculateurs des Coups de BILLARD à 10 Bandes"!? Le Loup simplement mobilise ses facultés et ses ressources pour "évoluer efficacement" dans son rôle de Prédateur (le rôle "écologique" n'est d'ailleurs PAS NEGLIGEABLE DU TOUT!: cf=> "Le Loup à Yellowstone", Cas EXEMPLAIRE de "l'impact écosystémique PRÉCIEUX" du Prédateur): des "solutions plus commodes" que celles aujourd'hui proposées et déployées pour "écoper" la situation dramatique actuelle doivent être l'objet d'une Attention et d'une Action plus "sérieuse" et "conséquente" de la part des Pouvoirs Publics.. qui "actuellement" semblent bizarrement être dominés par des "Forces" qui instrumentalisent diverses sujets et thèmes "plus ou moins symboliques" avec des narratifs qui jouent sur la corde sensible et éthique, voire morale et souvent "logique".. mais tout bons et mauvais comptes faits pour mieux ainsi "élaborer" des stratagèmes sournois et retors qui visent, finalement, à fabriquer des Victimes et des Bourreaux, des Méchants et des Gentils, de faire jouer à fond logiques-contradictions-absurdités afin de justifier toujours plus "insidieusement" dans les têtes L'IDEE SALVATRICE d'un Tri "inéluctable".. avec cette Nature "instrumentalisée comme Capital à préserver" et "Arme qui se retourne contre Les Exploiteurs Ancien-Monde", Nature comme "Support d'Activités et de Productions Economiques", Support transformé en "Terrain de Guerre" et "Juge de Paix".. COMME L'Injection Expérimentale présentée comme "incontournable" pour soit-disant "protéger les plus faibles" (et.. pourquoi pas "RENFORCER La Vitalité des plus faibles", justement, sans RISQUER La Vitalité des bien-portants!?), Le Loup est aussi "l'objet" d'une "FIXATION Psychologique et Institutionnelle" afin de créer un "STANDARD Politique" (même si "l'impact écologique" du Loup est démontré à juste titre, semble-t-il, comme ÉNORME en termes de Biodiversité) qui finalement fait petit à petit "s'effondrer", plus ou moins tranquillement, certains pans de L'Ancien-Monde.. CQFD?!
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Allez au archives vous pouvez les avoir en ligne, l'autopsie sous l'oeil de la science moderne confirme que ce n'était pas un pur loup, mais un chien croisé avec les loups : on va pas contredire la science moderne qui traduise mieux des anciennes autopsies millimétré. la bête du bois noire qui a une raie noire sur le dos qui a été tué par Rainchard, et non pas par Mr Tournon avait les pieds de chien Mâtin (chien de combat de Guerre) je vous ai mis la référence des côtes des archives dans le post précédant, il faut arretté de lire des auteurs qui recopies en partie d'autre auteur. Oui certe il est déja arrivé que des loups attaque l'homme, mais dans la majorité de l'histoire du gévaudan se sont des croisé chien croisé avec loup. la Bête de Caen idem ce n'était pas un loup ordinaire. Idem pour deux specimen tué en Touraine. Propos de Patrick Berthelot : « La Bête du Gévaudan par Jean-Marc Moriceau. Une autre émission avec Mr Moriceau très complète présentant de bonnes choses, mais on trouve toutefois beaucoup de confusions et d'erreurs au sujet de la juste qualité des chasseurs de la Bête. Les gardes-chasses n'ont jamais été lieutenants des chasses du roi, ils en étaient très très loin les pauvres ! Eux, ils étaient tout en bas et vivaient dans des masures, parfois même dans des poulaillers insalubres ! On est très loin des lieutenants des chasses du roi ou même des sous-lieutenants. Avant ces derniers il y avait déjà les gardes-généraux qui devançaient les gardes-chasses en grade, les brigadiers gardes, les aides-gardes, les renardiers, les rassasseurs, etc…. Monsieur Moriceau ne maîtrise visiblement pas cette partie de notre histoire et de ses milliers de représentants cynégétiques au fil des siècles. Très étonnant aussi sa vision du fils d'Antoine qui n'était absolument pas comme il le précise le petit enfant sur la gravure de la présentation de la Bête au roi à Versailles. Ce petit est le fils du Dauphin, qui deviendra plus tard le roi Louis XVI. Le fils de François Antoine, Robert-François-Marc Antoine de Beauterne, qui présente la Bête sur la gravure est déjà un homme à cette époque car il sert en tant que militaire dans la garde des Chevaux-légers du roi (Maison Rouge). Ce n'est pas un page ! De telles bourdes me font peur. Monsieur Moriceau tombe aussi encore dans l'erreur des dragons lorsqu'il parle de Duhamel et de ses hommes en décrivant leur fonction comme celle des dragons du roi. Lourde erreur ! Il s'agissait de cavaliers des troupes légères irrégulières, pas de dragons. Le reste de leur régiment était composé d'une véritable infanterie, n'était pas sur place comme il le dit, et n'avait absolument rien à voir avec les dragons. Enfin, ce n'est pas le comte de Tournon qui a tué la Bête du Bois Noir mais le garde-chasse Rainchard » (le comte de Tournon en a fait seulement un rapport). « Quand même un certain nombre d'erreurs qui ne permettent pas d'approcher sereinement l'affaire en raison de ces importantes variations des valeurs. Mais je ne parle pas du plan zoologique et de l'ensemble de l'histoire où des montagnes d'éléments importants sont également mises de côté. » Un point juste dans les propos monsieur Moriceau : c’est quand il affirme qu’il y avait plusieurs canidés responsable de la tuerie. Il ne rejette pas l’idée des croisements chiens et loups. Endehors de cela, il est vrai que monsieur Moriceau a omis beaucoup de choses, à moins qu’il ne soit pas allé voir certaines archives ? Est-il allé à Mende ou pas ? Est-il allé dans toutes les archives ? Patrick Berthelot lui EST SON EQUIPE, ils les ont toutes visités.
La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Bonjour 🖐👍Conférence très exhaustive et éclairante sur le phénomène du loup . Actuellement de plus en plus d'individus sont complètement hors sol, et déconnectés des réalités de la terre . Ils ont une approche de ruraux, ou d'écolos bonobos , irresponsables ... malheureusement les conséquences, de ces gentils huluberlus nous amènent droit, vers des faits , événements complètement irrationnels ... l'humain sera le premier touché . Dans certaines régions il est déjà risqué de se promener, ou tout simplement planter sa tente ... vous vous faites attaquer par des loups .. il y a des témoignages de personnes qui ont subi ce genre d'attaque . Bientôt il sera dangereux d'aller cueuillir des champignons , ou de laisser nos enfants en forêt. S'il y a bien une chose qui est un des éléments psychologique, révélateurs, de notre époque, c'est l'irresponsabilité et le manque de reflexion, d'une petite minorité , qui impose sa volonté et des risques sans précédent à la majorité. Tout ça, sous couvert , d'idéologies, financés par des milliardaires à l'autre bout du monde . C'est quand meme phénoménale... les idiots utiles serviront de propagande à ce délire de la réintroduction du loup sur le territoire . De même avec l'ours ... Il y a déjà d'énormes problèmes quotidien , avec l'ours , dans certains pays . Merci à Monsieur Moriceau , pour cette conférence passionnante et instructive .
La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
@@francoisbultingaire6428 Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Le loup n'est pas un animal "gentil" mais un animal sauvage et, qui plus est, un super-prédateur donc il reste un animal dangereux. Mais il y a un immense fossé entre un animal inoffensif et un mangeur d'hommes.
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Allez au archives vous pouvez les avoir en ligne, l'autopsie sous l'oeil de la science moderne confirme que ce n'était pas un pur loup, mais un chien croisé avec les loups : on va pas contredire la science moderne qui traduise mieux des anciennes autopsies millimétré. la bête du bois noire qui a une raie noire sur le dos qui a été tué par Rainchard, et non pas par Mr Tournon avait les pieds de chien Mâtin (chien de combat de Guerre) je vous ai mis la référence des côtes des archives dans le post précédant, il faut arretté de lire des auteurs qui recopies en partie d'autre auteur. Oui certe il est déja arrivé que des loups attaque l'homme, mais dans la majorité de l'histoire du gévaudan se sont des croisé chien croisé avec loup. la Bête de Caen idem ce n'était pas un loup ordinaire. Idem pour deux specimen tué en Touraine. Propos de Patrick Berthelot : « La Bête du Gévaudan par Jean-Marc Moriceau. Une autre émission avec Mr Moriceau très complète présentant de bonnes choses, mais on trouve toutefois beaucoup de confusions et d'erreurs au sujet de la juste qualité des chasseurs de la Bête. Les gardes-chasses n'ont jamais été lieutenants des chasses du roi, ils en étaient très très loin les pauvres ! Eux, ils étaient tout en bas et vivaient dans des masures, parfois même dans des poulaillers insalubres ! On est très loin des lieutenants des chasses du roi ou même des sous-lieutenants. Avant ces derniers il y avait déjà les gardes-généraux qui devançaient les gardes-chasses en grade, les brigadiers gardes, les aides-gardes, les renardiers, les rassasseurs, etc…. Monsieur Moriceau ne maîtrise visiblement pas cette partie de notre histoire et de ses milliers de représentants cynégétiques au fil des siècles. Très étonnant aussi sa vision du fils d'Antoine qui n'était absolument pas comme il le précise le petit enfant sur la gravure de la présentation de la Bête au roi à Versailles. Ce petit est le fils du Dauphin, qui deviendra plus tard le roi Louis XVI. Le fils de François Antoine, Robert-François-Marc Antoine de Beauterne, qui présente la Bête sur la gravure est déjà un homme à cette époque car il sert en tant que militaire dans la garde des Chevaux-légers du roi (Maison Rouge). Ce n'est pas un page ! De telles bourdes me font peur. Monsieur Moriceau tombe aussi encore dans l'erreur des dragons lorsqu'il parle de Duhamel et de ses hommes en décrivant leur fonction comme celle des dragons du roi. Lourde erreur ! Il s'agissait de cavaliers des troupes légères irrégulières, pas de dragons. Le reste de leur régiment était composé d'une véritable infanterie, n'était pas sur place comme il le dit, et n'avait absolument rien à voir avec les dragons. Enfin, ce n'est pas le comte de Tournon qui a tué la Bête du Bois Noir mais le garde-chasse Rainchard » (le comte de Tournon en a fait seulement un rapport). « Quand même un certain nombre d'erreurs qui ne permettent pas d'approcher sereinement l'affaire en raison de ces importantes variations des valeurs. Mais je ne parle pas du plan zoologique et de l'ensemble de l'histoire où des montagnes d'éléments importants sont également mises de côté. » Un point juste dans les propos monsieur Moriceau : c’est quand il affirme qu’il y avait plusieurs canidés responsable de la tuerie. Il ne rejette pas l’idée des croisements chiens et loups. Endehors de cela, il est vrai que monsieur Moriceau a omis beaucoup de choses, à moins qu’il ne soit pas allé voir certaines archives ? Est-il allé à Mende ou pas ? Est-il allé dans toutes les archives ? Patrick Berthelot lui EST SON EQUIPE, ils les ont toutes visités.
Qu'est ce qui est faux ? On peut avoir la liste de ce qu'il dit qui est faux avec si possible des références et liens vers des publications. Juste pour nous instruire. Merci.
Louis Dollo ce qui me dérange c'est d'en parler comme si c'était le pire animal de France qui devrait être éradiqué du territoire. où passe notre humanité? en Afrique ou Australie ils vivent avec les animaux les plus dangereux et nous pour 2 ou 300 loups on fait des conférences anti loup et quotas pour les abattres ?! C'est fou!!
et non pourtant!les loups ont souvent fait des terribles ravages meme en n'etant pas enrages! les archives regorgent de ces faits et ne dites pas que c'etait les cures qui inventaient ces histoires pour effrayer les gens!
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
@@awenblanquet9457 Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Allez au archives vous pouvez les avoir en ligne, l'autopsie sous l'oeil de la science moderne confirme que ce n'était pas un pur loup, mais un chien croisé avec les loups : on va pas contredire la science moderne qui traduise mieux des anciennes autopsies millimétré. la bête du bois noire qui a une raie noire sur le dos qui a été tué par Rainchard, et non pas par Mr Tournon avait les pieds de chien Mâtin (chien de combat de Guerre) je vous ai mis la référence des côtes des archives dans le post précédant, il faut arretté de lire des auteurs qui recopies en partie d'autre auteur. Oui certe il est déja arrivé que des loups attaque l'homme, mais dans la majorité de l'histoire du gévaudan se sont des croisé chien croisé avec loup. la Bête de Caen idem ce n'était pas un loup ordinaire. Idem pour deux specimen tué en Touraine. Propos de Patrick Berthelot : « La Bête du Gévaudan par Jean-Marc Moriceau. Une autre émission avec Mr Moriceau très complète présentant de bonnes choses, mais on trouve toutefois beaucoup de confusions et d'erreurs au sujet de la juste qualité des chasseurs de la Bête. Les gardes-chasses n'ont jamais été lieutenants des chasses du roi, ils en étaient très très loin les pauvres ! Eux, ils étaient tout en bas et vivaient dans des masures, parfois même dans des poulaillers insalubres ! On est très loin des lieutenants des chasses du roi ou même des sous-lieutenants. Avant ces derniers il y avait déjà les gardes-généraux qui devançaient les gardes-chasses en grade, les brigadiers gardes, les aides-gardes, les renardiers, les rassasseurs, etc…. Monsieur Moriceau ne maîtrise visiblement pas cette partie de notre histoire et de ses milliers de représentants cynégétiques au fil des siècles. Très étonnant aussi sa vision du fils d'Antoine qui n'était absolument pas comme il le précise le petit enfant sur la gravure de la présentation de la Bête au roi à Versailles. Ce petit est le fils du Dauphin, qui deviendra plus tard le roi Louis XVI. Le fils de François Antoine, Robert-François-Marc Antoine de Beauterne, qui présente la Bête sur la gravure est déjà un homme à cette époque car il sert en tant que militaire dans la garde des Chevaux-légers du roi (Maison Rouge). Ce n'est pas un page ! De telles bourdes me font peur. Monsieur Moriceau tombe aussi encore dans l'erreur des dragons lorsqu'il parle de Duhamel et de ses hommes en décrivant leur fonction comme celle des dragons du roi. Lourde erreur ! Il s'agissait de cavaliers des troupes légères irrégulières, pas de dragons. Le reste de leur régiment était composé d'une véritable infanterie, n'était pas sur place comme il le dit, et n'avait absolument rien à voir avec les dragons. Enfin, ce n'est pas le comte de Tournon qui a tué la Bête du Bois Noir mais le garde-chasse Rainchard » (le comte de Tournon en a fait seulement un rapport). « Quand même un certain nombre d'erreurs qui ne permettent pas d'approcher sereinement l'affaire en raison de ces importantes variations des valeurs. Mais je ne parle pas du plan zoologique et de l'ensemble de l'histoire où des montagnes d'éléments importants sont également mises de côté. » Un point juste dans les propos monsieur Moriceau : c’est quand il affirme qu’il y avait plusieurs canidés responsable de la tuerie. Il ne rejette pas l’idée des croisements chiens et loups. Endehors de cela, il est vrai que monsieur Moriceau a omis beaucoup de choses, à moins qu’il ne soit pas allé voir certaines archives ? Est-il allé à Mende ou pas ? Est-il allé dans toutes les archives ? Patrick Berthelot lui EST SON EQUIPE, ils les ont toutes visités.
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
@@theonecafard on pouvait le constater seulement si l'animal ou l'être humain tombait malade après avoir été mordu. Dans ce cas c'était possible de deviner qu'il y avait une infection. Dans les autres cas, le seul moyen de savoir si un loup agressif était enragé aurait été de pratiquer une biopsie. " Qui veut noyer son chien, l'accuse d'avoir la rage" expression du XIIIème siècle
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Allez au archives vous pouvez les avoir en ligne, l'autopsie sous l'oeil de la science moderne confirme que ce n'était pas un pur loup, mais un chien croisé avec les loups : on va pas contredire la science moderne qui traduise mieux des anciennes autopsies millimétré. la bête du bois noire qui a une raie noire sur le dos qui a été tué par Rainchard, et non pas par Mr Tournon avait les pieds de chien Mâtin (chien de combat de Guerre) je vous ai mis la référence des côtes des archives dans le post précédant, il faut arretté de lire des auteurs qui recopies en partie d'autre auteur. Oui certe il est déja arrivé que des loups attaque l'homme, mais dans la majorité de l'histoire du gévaudan se sont des croisé chien croisé avec loup. la Bête de Caen idem ce n'était pas un loup ordinaire. Idem pour deux specimen tué en Touraine. Propos de Patrick Berthelot : « La Bête du Gévaudan par Jean-Marc Moriceau. Une autre émission avec Mr Moriceau très complète présentant de bonnes choses, mais on trouve toutefois beaucoup de confusions et d'erreurs au sujet de la juste qualité des chasseurs de la Bête. Les gardes-chasses n'ont jamais été lieutenants des chasses du roi, ils en étaient très très loin les pauvres ! Eux, ils étaient tout en bas et vivaient dans des masures, parfois même dans des poulaillers insalubres ! On est très loin des lieutenants des chasses du roi ou même des sous-lieutenants. Avant ces derniers il y avait déjà les gardes-généraux qui devançaient les gardes-chasses en grade, les brigadiers gardes, les aides-gardes, les renardiers, les rassasseurs, etc…. Monsieur Moriceau ne maîtrise visiblement pas cette partie de notre histoire et de ses milliers de représentants cynégétiques au fil des siècles. Très étonnant aussi sa vision du fils d'Antoine qui n'était absolument pas comme il le précise le petit enfant sur la gravure de la présentation de la Bête au roi à Versailles. Ce petit est le fils du Dauphin, qui deviendra plus tard le roi Louis XVI. Le fils de François Antoine, Robert-François-Marc Antoine de Beauterne, qui présente la Bête sur la gravure est déjà un homme à cette époque car il sert en tant que militaire dans la garde des Chevaux-légers du roi (Maison Rouge). Ce n'est pas un page ! De telles bourdes me font peur. Monsieur Moriceau tombe aussi encore dans l'erreur des dragons lorsqu'il parle de Duhamel et de ses hommes en décrivant leur fonction comme celle des dragons du roi. Lourde erreur ! Il s'agissait de cavaliers des troupes légères irrégulières, pas de dragons. Le reste de leur régiment était composé d'une véritable infanterie, n'était pas sur place comme il le dit, et n'avait absolument rien à voir avec les dragons. Enfin, ce n'est pas le comte de Tournon qui a tué la Bête du Bois Noir mais le garde-chasse Rainchard » (le comte de Tournon en a fait seulement un rapport). « Quand même un certain nombre d'erreurs qui ne permettent pas d'approcher sereinement l'affaire en raison de ces importantes variations des valeurs. Mais je ne parle pas du plan zoologique et de l'ensemble de l'histoire où des montagnes d'éléments importants sont également mises de côté. » Un point juste dans les propos monsieur Moriceau : c’est quand il affirme qu’il y avait plusieurs canidés responsable de la tuerie. Il ne rejette pas l’idée des croisements chiens et loups. Endehors de cela, il est vrai que monsieur Moriceau a omis beaucoup de choses, à moins qu’il ne soit pas allé voir certaines archives ? Est-il allé à Mende ou pas ? Est-il allé dans toutes les archives ? Patrick Berthelot lui EST SON EQUIPE, ils les ont toutes visités.
@@stephanielouis304 Jolie histoire, dommage qu'elle soit en partie illisible. Quand à cette soi-disante preuve (qui n'a rien de scientifique) de l'hybridation de chien et de loup elle ne change rien au problème. En revanche parmi les loups actuels beaucoup sont des hybrides (prouvé par analyse adn, scientifiquement quoi), donc non protégés par la convention de bern : on doit donc les piéger et les remettre aux autorités pour adoption ou euthanasie, comme le prévoit la réglementation sur la divagation des chiens et chats errants.
Beaucoup d'oublie dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Allez au archives vous pouvez les avoir en ligne, l'autopsie sous l'oeil de la science moderne confirme que ce n'était pas un pur loup, mais un chien croisé avec les loups : on va pas contredire la science moderne qui traduise mieux des anciennes autopsies millimétré. la bête du bois noire qui a une raie noire sur le dos qui a été tué par Rainchard, et non pas par Mr Tournon avait les pieds de chien Mâtin (chien de combat de Guerre) je vous ai mis la référence des côtes des archives dans le post précédant, il faut arretté de lire des auteurs qui recopies en partie d'autre auteur. Oui certe il est déja arrivé que des loups attaque l'homme, mais dans la majorité de l'histoire du gévaudan se sont des croisé chien croisé avec loup. la Bête de Caen idem ce n'était pas un loup ordinaire. Idem pour deux specimen tué en Touraine. Propos de Patrick Berthelot : « La Bête du Gévaudan par Jean-Marc Moriceau. Une autre émission avec Mr Moriceau très complète présentant de bonnes choses, mais on trouve toutefois beaucoup de confusions et d'erreurs au sujet de la juste qualité des chasseurs de la Bête. Les gardes-chasses n'ont jamais été lieutenants des chasses du roi, ils en étaient très très loin les pauvres ! Eux, ils étaient tout en bas et vivaient dans des masures, parfois même dans des poulaillers insalubres ! On est très loin des lieutenants des chasses du roi ou même des sous-lieutenants. Avant ces derniers il y avait déjà les gardes-généraux qui devançaient les gardes-chasses en grade, les brigadiers gardes, les aides-gardes, les renardiers, les rassasseurs, etc…. Monsieur Moriceau ne maîtrise visiblement pas cette partie de notre histoire et de ses milliers de représentants cynégétiques au fil des siècles. Très étonnant aussi sa vision du fils d'Antoine qui n'était absolument pas comme il le précise le petit enfant sur la gravure de la présentation de la Bête au roi à Versailles. Ce petit est le fils du Dauphin, qui deviendra plus tard le roi Louis XVI. Le fils de François Antoine, Robert-François-Marc Antoine de Beauterne, qui présente la Bête sur la gravure est déjà un homme à cette époque car il sert en tant que militaire dans la garde des Chevaux-légers du roi (Maison Rouge). Ce n'est pas un page ! De telles bourdes me font peur. Monsieur Moriceau tombe aussi encore dans l'erreur des dragons lorsqu'il parle de Duhamel et de ses hommes en décrivant leur fonction comme celle des dragons du roi. Lourde erreur ! Il s'agissait de cavaliers des troupes légères irrégulières, pas de dragons. Le reste de leur régiment était composé d'une véritable infanterie, n'était pas sur place comme il le dit, et n'avait absolument rien à voir avec les dragons. Enfin, ce n'est pas le comte de Tournon qui a tué la Bête du Bois Noir mais le garde-chasse Rainchard » (le comte de Tournon en a fait seulement un rapport). « Quand même un certain nombre d'erreurs qui ne permettent pas d'approcher sereinement l'affaire en raison de ces importantes variations des valeurs. Mais je ne parle pas du plan zoologique et de l'ensemble de l'histoire où des montagnes d'éléments importants sont également mises de côté. » Un point juste dans les propos monsieur Moriceau : c’est quand il affirme qu’il y avait plusieurs canidés responsable de la tuerie. Il ne rejette pas l’idée des croisements chiens et loups. Endehors de cela, il est vrai que monsieur Moriceau a omis beaucoup de choses, à moins qu’il ne soit pas allé voir certaines archives ? Est-il allé à Mende ou pas ? Est-il allé dans toutes les archives ? Patrick Berthelot lui EST SON EQUIPE, ils les ont toutes visités.
@@stephanielouis304 Jolie histoire, dommage qu'elle soit en partie illisible. Quand à cette soi-disante preuve (qui n'a rien de scientifique) de l'hybridation de chien et de loup elle ne change rien au problème. En revanche parmi les loups actuels beaucoup sont des hybrides (prouvé par analyse adn, scientifiquement quoi), donc non protégés par la convention de bern : on doit donc les piéger et les remettre aux autorités pour adoption ou euthanasie, comme le prévoit la réglementation sur la divagation des chiens et chats errants.
Je doute qu'à l'époque, on laissait traîner les enfants seuls en forêt la nuit! Et même prêt des habitations. Le loup est opportuniste! Ne l'oubliez jamais! Et un bon bébé bien tendre ne le ferait pas reculer.
Il suffit de lire ses ouvrages tous les actes de décès qu'il cite sont référencés dans les archives paroissiales ou d'état civil, il cite systématiquement toutes ses sources @@flechebleue3012
Bien sûr que le gros bétail n'est pas à l'abri!..un berger blessé isolé non plus je pense,ainsi que leur Patou!!..à Yellowstone stone ils attaquent des bisons ou des ours alors les autres...
@@danyv8207 Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
merci pour ce reportage, je suis photographe amateur, j'ai traqué le loup en Lozère (photo) sans succès, juste vu des traces... je m'installe dans les Vosges fin mai 2018. Je vais réessayer de le traquer.....
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
il y avait a l'epoque beaucoup beaucoup beaucoup d'élevage et d'éleveur différents A l'époque tout les paysan avait 10/15 brebis a l'époque il y avait 100fois plus de paysan.
Oui et au final il y avait plus d'élevages, on élevait aussi des chevaux, et d'autres animaux d'élevages, plus peut être et même très probablement déjà un soucis des animaux sauvages, herbivores chevreuils et cerfs
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
@@stephanielouis304 L'intellect est le pire ennemi de celui qui a des idées préconçues . Il trouve toujours un chemin pour aller de là ou l'on est à là ou on veut aller, même s'il faut traverser les enfers, même s'il faut tuer père et mère, et pourquoi pas la terre entière !
Le seul moyen de savoir qu'un animal ou un être humain a la rage est la biopsie. La première biopsie a eu lieu en 1879. "Qui veut noyer son chien, l'accuse d'avoir la rage." Expression du xiiième siècle.
Et même si certains hurluberlus veulent continuer d'affirmer que le loup craint l'homme il restera toujours le fait qu'à cause de la présence de ce prédateur non prédaté lui même le pastoralisme est en danger partout ou sévit ce grand carnassier...
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Quand quelqu'un disparaît... C'est forcément parce qu'il a été mangé par des loups... Quel historien! Sous couvert d' enseigner, certaines personnes cherchent à influencer.
Il y aura toujours des partisans de la destruction, ou du moins de la limitation des animaux. Ce monsieur nous explique que les ovins sont attaqués par les loups; certes, mais pourquoi ne pas préciser que ces troupeaux d'ovins paissent dans des réserves naturelles qui leurs sont interdites ? Tsst toujours les mêmes justifications pour éliminer la concurrence.
La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Quelle urgence y aurait-il à disculper le loup "pur". Il s'est croisé avec des mâtins, mais pourquoi ces chiens énormes et coûteux en entretien ? Peut-être pour défendre les troupeaux et dont les mâtins eux-mêmes sont causés par le loup. Et loup pur en général mais croisé parfois, 500 bergers bouffés chaque année, c'était con, même si ce n'étaient que des pauvres ...
Les dégâts du loup sur l'agriculture est minime. Par contre,il faudrait mieux s'occuper des produits chimiques dans l'agriculture que l'on nous fait manger sans aucun scrupule....
@@jean8315 L'agriculture fait énormément de dégâts,donc il faut accepter certaines petites contraintes,c'est juste un retour de savoir vivre,mais apparemment non.
Désolé, je vois toujours pas le rapport entre la présence du loup et l'engrais dans les cultures. Que ça vous préoccupe, soit mais c'est pas le sujet ici.
@@jean8315 Surtout qu'il y a bien plus de victimes par ingestion d'engrais rependus à la volée par nos chers "paysans" que dévorées sur pied par le loup.
@@am5243 Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
@@am5243 Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau il ne parle pas des archives qui contredit en partie sa thése : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
L'attaque sur l'humain, est possible. Sur les UTA (Unité Travail Animal) type Ânes de portage, de ravitaillement... Donc sur poulin, veau... Après du genre chien de conduite, une forme de sympathie, mais si ils s'interpose entre le troupeau et loup, la menace de mort provenant des loups est plutôt très rapide. L'instinct de préservation les tiens en partie pour éviter de se compremettre avec des blaissures dans leurs future vie de chasseur. Avoir, une attention particulière à proximité de leurs zones d'activité serait indispensable, comme la percution accidentelle d'animaux sauvage sur l'homme nocturnement. D'éviter de laisser les enfants montagnard de se déplacé nocturnement, mais bon sa leurs fera une expérience. Le patou peu parfois être agacé par les chiens de conduite et si possible le berger à plutôt intérêt de bien observé le comportement passif du patou qui commence à avoir une attention particulière sur le perturbateur. Demander au chien de conduite d'arrêté. Ni pour, ni contre, mais la réflexion d'essaye d'avancer avec le loup, nous demande la distinction avec l'hypothèse d'une éradication du loup en France. Les recherches doivent être maintenu sur les 2 éventualités. Bien pour le moment, pour moi "il y a du loup et il y aura du loup!", mais jusqu'à quand?
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
@@am5243 pour dire qu'on vas buter le loups pour quelques morts et que les chasseurs ont les bute pas alors qu'il ont fait autant voir plus de morts mais bon...
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
@@am5243 Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
@@Heimrik01 hoooo mais c'est qu'il a trois neurones en plus d'être con comme un manche XD t'es soit un homme pitoyable, soit un homme triste. mais heu en vrai ta violence intérieur me fascine. j'ai besoin de comprendre qu'est se qui t'es arrivé dans la vie pour en arriver à détester cet animal exactement et de façon aussi extrème? je suis vraiment sérieux là par contre. Je peux comprendre que l'on puisse haïr à ce point mais c'est quoi la raison personnel? Et heu les parties politiques oublies parceque tu t'enfonces grave .
@@Heimrik01 Et le loup n'a pas décimé l'espèce humaine et quand on voit se qu'on fait subir à cette planète ça serait bien de prendre de la hauteur sur se qu'on fait nous sur nous également. Donc si y a bien un pauvre con , c'est toi ! Imprime bien ça dans ton crâne avant d'insulter les gens.
Ah deux débiles qui montre leurs vrai visage. En plus le monsieur dit bien qu'on passe d'un extrême à l'autre et qu'il n'est pas contre le loup dans l'absolu ce qui est également mon cas mais ces parce qu'on a un QI supérieur à 60. Ce qui n'est pas votre cas les sentimentalistes idéologue bien pensant que j'aimerai se chier dessus en face à face parce que du monde réel que connaissez vous ? Ah et j'ai jamais compris les gens comme vous qui polluent comme les autres ect pourquoi vous tire pas une balle pour arrête de polluer et limite un peu l'espèce humaine ?
Punaise je suis vraiment très ouvert d'esprit mais alors y a un truc qui me choque quand je l'écoute parler et la façon dont il parle et les mots qu'il emploie.........heuuu j'aime les gens passionnés mais là même si se qu'il dit peut être quelque peu intéressant voir vraiment intéressant , je peux pas me retirer de la tête que j'entends un psychopathe qui prend plaisir à voir se que l'on a fait subir à cet animal et c'est terrifiant.
Salut ta Fabouille aaah ta ti ta couille molle ? Euh'm'sieur Moriceau il a les baloches pleines de jouire alors que toi tu respectes pas ce superbe animal qu'est le loup. Si t'as quelque chose à me dire viens pas me souffler dans les bronches espèce de suppos d'herbivore de mes burnes. Dans le loup et l'agneau tu t'es cru l'agneau crétin des alpes. Mes plus sincères amitiés. Paix et félicitée. Cordialement, Brice
@Fabien Baron : il décrit des faits, documents à l'appui. Après, vous pouvez interpréter celà à travers votre propre "grille de lecture"... Qui se situe plus dans le domaine de l'irrationnel (l'émotion, l'affect, le rêve, les symboles, le subjectif) que dans le rationnel (les faits, le réel, l'analyse objective).
@@Bibu231060 la blague. Ton esprit critique et ton sens de l'observation de ce monde m'a l'air tout aussi fin qu'une spaghetti. Il va peut être falloir réfléchir par soi même plutôt que de gober comme un mouton , c'est mieux pour le cerveau a titre informatif. Cependant j'ai pris se que j'avais à prendre de son travail qui est, a plusieurs aspects intéressant. Bref c'est pas parceque un homme , quelque soi son statut, te dit d'aller à gauche, qu'il faille le faire. Médites la dessus.
@@fabienbaron7057 Utilisation du tutoiement d'entrée, marques de mépris, conjugaison au mode impératif, ... Où avez-VOUS entendu que cet historien (psychopathe d'après VOUS) voulait amener qui que ce soit à gauche ou à droite ?
Je ne suis pas ecolo : lol : Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Allez au archives vous pouvez les avoir en ligne, l'autopsie sous l'oeil de la science moderne confirme que ce n'était pas un pur loup, mais un chien croisé avec les loups : on va pas contredire la science moderne qui traduise mieux des anciennes autopsies millimétré. la bête du bois noire qui a une raie noire sur le dos qui a été tué par Rainchard, et non pas par Mr Tournon avait les pieds de chien Mâtin (chien de combat de Guerre) je vous ai mis la référence des côtes des archives dans le post précédant, il faut arretté de lire des auteurs qui recopies en partie d'autre auteur. Oui certe il est déja arrivé que des loups attaque l'homme, mais dans la majorité de l'histoire du gévaudan se sont des croisé chien croisé avec loup. la Bête de Caen idem ce n'était pas un loup ordinaire. Idem pour deux specimen tué en Touraine. Propos de Patrick Berthelot : « La Bête du Gévaudan par Jean-Marc Moriceau. Une autre émission avec Mr Moriceau très complète présentant de bonnes choses, mais on trouve toutefois beaucoup de confusions et d'erreurs au sujet de la juste qualité des chasseurs de la Bête. Les gardes-chasses n'ont jamais été lieutenants des chasses du roi, ils en étaient très très loin les pauvres ! Eux, ils étaient tout en bas et vivaient dans des masures, parfois même dans des poulaillers insalubres ! On est très loin des lieutenants des chasses du roi ou même des sous-lieutenants. Avant ces derniers il y avait déjà les gardes-généraux qui devançaient les gardes-chasses en grade, les brigadiers gardes, les aides-gardes, les renardiers, les rassasseurs, etc…. Monsieur Moriceau ne maîtrise visiblement pas cette partie de notre histoire et de ses milliers de représentants cynégétiques au fil des siècles. Très étonnant aussi sa vision du fils d'Antoine qui n'était absolument pas comme il le précise le petit enfant sur la gravure de la présentation de la Bête au roi à Versailles. Ce petit est le fils du Dauphin, qui deviendra plus tard le roi Louis XVI. Le fils de François Antoine, Robert-François-Marc Antoine de Beauterne, qui présente la Bête sur la gravure est déjà un homme à cette époque car il sert en tant que militaire dans la garde des Chevaux-légers du roi (Maison Rouge). Ce n'est pas un page ! De telles bourdes me font peur. Monsieur Moriceau tombe aussi encore dans l'erreur des dragons lorsqu'il parle de Duhamel et de ses hommes en décrivant leur fonction comme celle des dragons du roi. Lourde erreur ! Il s'agissait de cavaliers des troupes légères irrégulières, pas de dragons. Le reste de leur régiment était composé d'une véritable infanterie, n'était pas sur place comme il le dit, et n'avait absolument rien à voir avec les dragons. Enfin, ce n'est pas le comte de Tournon qui a tué la Bête du Bois Noir mais le garde-chasse Rainchard » (le comte de Tournon en a fait seulement un rapport). « Quand même un certain nombre d'erreurs qui ne permettent pas d'approcher sereinement l'affaire en raison de ces importantes variations des valeurs. Mais je ne parle pas du plan zoologique et de l'ensemble de l'histoire où des montagnes d'éléments importants sont également mises de côté. » Un point juste dans les propos monsieur Moriceau : c’est quand il affirme qu’il y avait plusieurs canidés responsable de la tuerie. Il ne rejette pas l’idée des croisements chiens et loups. Endehors de cela, il est vrai que monsieur Moriceau a omis beaucoup de choses, à moins qu’il ne soit pas allé voir certaines archives ? Est-il allé à Mende ou pas ? Est-il allé dans toutes les archives ? Patrick Berthelot lui EST SON EQUIPE, ils les ont toutes visités. Toute fois Moriceau ne rejette pas l'option chiens croisé avec loups
@@houtainpierre2353 il parle du loup comme d une peuplade de barbares tacticiens ...il est n est pas raisonnable ..c'est comme lorsqu il parle des soit disant '' massacre d enfants '' comme quoi les gens en avaient marre de se faire manger leurs enfants ... n importe quoi ..on est pas dans '' le pacte des loups'' ...
@@houtainpierre2353 le pire ennemi de l homme cela à toujours été l homme ...il n y a besoin de loups affamés pour noircir la période de la guerre de 100 ans déjà assez sombre comme cela. je ne crois pas une seule seconde à tous ces décompte d enfants morts durant une période ou existait à la fois le cannibalisme et l infanticide ..
@@bargolyr8660 L'historien se base et ne peut se baser que sur des documents d'archives. Vous ne le croyez pas tant pis, il y a bien des gens qui pensent que la terre est plate..
@@bargolyr8660 Le loup est un animal opportuniste et intelligent. Il y a confrontation avec l'homme car il s'attaque aux troupeaux et aux personnes. Si c'est le bordel (conflits, combats), cela profite aux loups ce n'est pas difficile à comprendre. Il y a des cadavres à manger sur les champs de bataille c'est open bar. Pour le reste , en quoi le fait que le loup s'en prenne à des proies humaines, vulnérables et isolées, vous est il aussi insupportable ? Le loup ne peut pas faire cela parce qu'il est gentil ?
Aucun recul sur l'histoire, aucune réflexion ou analyse logique ... genre ( entre 49mn et 51mn) " des milliers de chasseurs, et uniquement 2 loups tués" .... Ca devrait faire réflechir le seul neurone que vous possédez, peut-être !
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Le loup mangeur d'homme :-) Combien de victimes humaines depuis sa réapparition en 1992 (0) vs combien de victimes collatérales de la chasse depuis cette même date (plus de 500 morts)
Une famille de vacanciers canadiens a été attaquée par un loup dernièrement, ils étaient sous tente ils ont failli y passer, c'est une info relayée notamment par slate, Ouest france et le washington post. Le loup n'a pas compris qu'il devait avoir peur merde comme c'est dommage..
@@am5243 Et c'est aussi une information qui n'as aucune preuve que ce soit des loups car il faisait nuit et n'ont même pas vue l'animal donc cela peut tres bien etre des chiens errant qui ont voulu prendre leurs nourritures, et quand ils disent attaques je n'ai entendu parler d'aucun grognement ni morsure. Donc avant de dire attaque il vaut mieu peut être mieu dire jeune individus voyant une chose qu'il n'as jamais vue (dans ce cas une tente de camping) et a donc été intriger dans celle ci avant de découvrir qu'il y avait des personnes dedans et s'es enfuit.
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
@@yvanarnoux796 Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
au moyen âge on tuait aussi les chats noirs......il faut aussi vivre avec son temps, le loup en 2017 n'aura pas le même impact que ceux de l'an 1017 ! pourquoi ? ben ... regardez autour de vous !
Si seulement vous aviez un peu de culture vous comprendrez mais bon quand on est mon toute ça vie. Moi aussi j'aimerai que la chasse à l'homme soit ouverte je me demande combien de temps les fragile comme vous tiendrez, 2 semaines ?
Bien sûr ! Les loups se sont modernisés et le lait pousse naturellement sur les arbres !! Vous êtes le genre de personne qui m’intrigue.. profondément debile et ou trop déconnecté de la réalité de production de nourriture ??
On pourrait aussi comparer le nombre d'êtres humains tués par d'autres humains (infanticide par exemple) et le nombre tué par des loups dans le monde. Le Loup peut-être charognard et donc manger un cadavre qu'il aura trouvé à l'occasion.
Un enfant est constitué de chair et de sang donc il peut être tué et dévoré vivant. Et que peut faire un enfant pour sauver sa vie face à une meute ? Rien. Donc c'est facile pour le loup de s'en prendre à lui. Pourquoi s'embêter à dévorer des cadavres plus ou moins dégradés et parfois en partie dévorés ?
@@am5243 il dit lui même qu'il peut se tromper... Tous les gens qui disparaissent ne finissent pas dans l'estomac de loups. S'il dit qu'il peut se tromper c'est sûrement qu'un certain nombre de témoignages et déclarations peuvent être mis en doute. Après vérification dans d'autres pays où les loups sont encore présents, ils ont tendance à fuir les êtres humains et les attaques sont rares. Il y a même des gens qui relâchent ceux qui sont pris aux pièges. Je ne dit pas que les loups ne peuvent pas attaquer des êtres humains mais je pense que cela a été exagéré. TH-cam: freeing wolf ou wolf release.
@@parpaquetdesix7275 Il ne se prend pas pour Dieu, il fait preuve de modestie. Cela reste un scientifique. Il se base sur des sources écrites. On ne peut pas inventer des documents qui n'existent pas. Quand des centaines de sources vont dans le même sens, que l'on peut établir des statistiques en matière de typologie des victimes, cela veut quand même dire quelque chose. Le loup attaque des proies faciles quand elles sont le plus vulnérables. Un jeune berger isolé avec son troupeau est une proie facile. C'est juste logique dès lors que l'on accepte le fait que l'homme puisse être une proie pour un animal sauvage.
En France à l'heure actuelle, il semble se rapprocher de plus en plus de l'être humain. Il est même allé jusqu'à traquer un animal sauvage en plein village. Il a vachement peur de l'homme. En Russie, une meute de loups a attaqué (attaqué et dévoré) deux chiens dans la cour d'une maison il y a quelques années... Alors franchement, je crois qu'il faut arrêter de se faire des films.. Le loup a la capacité de perdre sa peur de l'homme cela s'appelle l'habituation.
n'importe quoi! viser le loup seulement pour les attaques. on oublie vite le droit de vivre! le loup à la crainte de l'homme! il est où le danger?! C'est pas avec des gens comme lui que le monde va changer!
Il faut d'abord visionner cette vidéo. Comment, avec la crainte de l'homme dont vous le parez, croquait-il à la meilleure époque et annuellement 500 enfants et femmes ? Eh bien il les attaquait aux champs - alors qu'il y avait souvent des animaux domestiques à côté - en choisissant les victimes !
Heureusement qu'il en avait la crainte, car sinon ... Là où est né mon père, dans une paroisse de la Bresse, en 220 ans, 18 enfants et adolescents furent tout bonnement croqués. C'est Marboz, commune de l'Ain. Cette base de données est juste magnifique. Changer le monde si on peut, mais pas l'histoire, ce serait du révisionnisme !
surtout que l'homme lui viole torture et gaze les, gens, les experience de la cia sur des gosse on en parle nooooon, mais un loup mange un mouton, c un crime!!!!!!! belle mentalité, mort aux anti-loups
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
@@theonecafard Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
@@dlys2216 Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! » Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire. Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris. Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte. C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne. Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Superbe approche, pondérée, honnête, pleine de modestie, ouverte aux questionnements, capable de remise en question.
Indispensable de raviver cette mémoire des faits....pour faire éclater les idéologies sources des tensions et conflits inévitables.
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Le seul moyen de savoir qu'un animal a la rage est de faire une biopsie. La première biopsie a eu lieu en 1879...
Pour chaque problème de société, il est intéressant d'y ajouter le regard de l'historien ou du géographe.
La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
@@stephanielouis304 Jolie histoire, dommage qu'elle soit en partie illisible. Quand à cette soi-disante preuve (qui n'a rien de scientifique) de l'hybridation de chien et de loup elle ne change rien au problème. En revanche parmi les loups actuels beaucoup sont des hybrides (prouvé par analyse adn, scientifiquement quoi), donc non protégés par la convention de bern : on doit donc les piéger et les remettre aux autorités pour adoption ou euthanasie, comme le prévoit la réglementation sur la divagation des chiens et chats errants.
@@stephanielouis304 Des chiens ne font pas plus de 40 heures sur un territoire de loups.
"Le Loup".. BIZARREMENT.. semblerait plutôt un "outil", voire une "arme psychologique", déployée patiemment par non pas une idéologie ("écologie"?!.. dont certains représentants "récents" ont bizarrement "approuvé" une injection OGM expérimentale pour traiter "les spectateurs effrayés" par Le Théâtre Médiatique de LA COVIDIOTIE?!) mais par des Affairistes (B.Gates?! par exemple..) ingénieusement "influents" dans le monde politique et les lobbys:
INDUSTRIALISER tout un Monde "Hors-Sol" (produire.. du SUPPORT"Vivant" génétiquement modifié?! breveté? donc "non-naturel" et "contrôlable"..dans un Univers "automatisé"?! SUPPORT "Vivant" voué au re-modelage génétique par La Fantaisie du "Propriétaire", du "Client"?!) tout en éliminant tranquillement les diverses formes de concurrence "traditionnelle" dite "Ancien Monde".. grâce à des "Boucs-Emissaires suffisamment [effrayants] pour être CONVAINCANTS" (LE LOUP donc, par exemple, ici..).. ET DETOURNER L'Attention du Citoyen sur les "Calculateurs des Coups de BILLARD à 10 Bandes"!?
Le Loup simplement mobilise ses facultés et ses ressources pour "évoluer efficacement" dans son rôle de Prédateur (le rôle "écologique" n'est d'ailleurs PAS NEGLIGEABLE DU TOUT!: cf=> "Le Loup à Yellowstone", Cas EXEMPLAIRE de "l'impact écosystémique PRÉCIEUX" du Prédateur):
des "solutions plus commodes" que celles aujourd'hui proposées et déployées pour "écoper" la situation dramatique actuelle doivent être l'objet d'une Attention et d'une Action plus "sérieuse" et "conséquente" de la part des Pouvoirs Publics.. qui "actuellement" semblent bizarrement être dominés par des "Forces" qui instrumentalisent diverses sujets et thèmes "plus ou moins symboliques" avec des narratifs qui jouent sur la corde sensible et éthique, voire morale et souvent "logique".. mais tout bons et mauvais comptes faits pour mieux ainsi "élaborer" des stratagèmes sournois et retors qui visent, finalement, à fabriquer des Victimes et des Bourreaux, des Méchants et des Gentils, de faire jouer à fond logiques-contradictions-absurdités afin de justifier toujours plus "insidieusement" dans les têtes L'IDEE SALVATRICE d'un Tri "inéluctable"..
avec cette Nature "instrumentalisée comme Capital à préserver" et "Arme qui se retourne contre Les Exploiteurs Ancien-Monde", Nature comme "Support d'Activités et de Productions Economiques", Support transformé en "Terrain de Guerre" et "Juge de Paix"..
COMME L'Injection Expérimentale présentée comme "incontournable" pour soit-disant "protéger les plus faibles" (et.. pourquoi pas "RENFORCER La Vitalité des plus faibles", justement, sans RISQUER La Vitalité des bien-portants!?), Le Loup est aussi "l'objet" d'une "FIXATION Psychologique et Institutionnelle" afin de créer un "STANDARD Politique" (même si "l'impact écologique" du Loup est démontré à juste titre, semble-t-il, comme ÉNORME en termes de Biodiversité) qui finalement fait petit à petit "s'effondrer", plus ou moins tranquillement, certains pans de L'Ancien-Monde.. CQFD?!
Le seul moyen de détecter la rage est la biopsie et la première a eu lieu en 1879...
Superbe conférence, merci beaucoup.
Hâte d'en voir une autre.
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Allez au archives vous pouvez les avoir en ligne, l'autopsie sous l'oeil de la science moderne confirme que ce n'était pas un pur loup, mais un chien croisé avec les loups : on va pas contredire la science moderne qui traduise mieux des anciennes autopsies millimétré. la bête du bois noire qui a une raie noire sur le dos qui a été tué par Rainchard, et non pas par Mr Tournon avait les pieds de chien Mâtin (chien de combat de Guerre) je vous ai mis la référence des côtes des archives dans le post précédant, il faut arretté de lire des auteurs qui recopies en partie d'autre auteur. Oui certe il est déja arrivé que des loups attaque l'homme, mais dans la majorité de l'histoire du gévaudan se sont des croisé chien croisé avec loup. la Bête de Caen idem ce n'était pas un loup ordinaire. Idem pour deux specimen tué en Touraine. Propos de Patrick Berthelot : « La Bête du Gévaudan par Jean-Marc Moriceau. Une autre émission avec Mr Moriceau très complète présentant de bonnes choses, mais on trouve toutefois beaucoup de confusions et d'erreurs au sujet de la juste qualité des chasseurs de la Bête. Les gardes-chasses n'ont jamais été lieutenants des chasses du roi, ils en étaient très très loin les pauvres ! Eux, ils étaient tout en bas et vivaient dans des masures, parfois même dans des poulaillers insalubres !
On est très loin des lieutenants des chasses du roi ou même des sous-lieutenants. Avant ces derniers il y avait déjà les gardes-généraux qui devançaient les gardes-chasses en grade, les brigadiers gardes, les aides-gardes, les renardiers, les rassasseurs, etc…. Monsieur Moriceau ne maîtrise visiblement pas cette partie de notre histoire et de ses milliers de représentants cynégétiques au fil des siècles. Très étonnant aussi sa vision du fils d'Antoine qui n'était absolument pas comme il le précise le petit enfant sur la gravure de la présentation de la Bête au roi à Versailles. Ce petit est le fils du Dauphin, qui deviendra plus tard le roi Louis XVI. Le fils de François Antoine, Robert-François-Marc Antoine de Beauterne, qui présente la Bête sur la gravure est déjà un homme à cette époque car il sert en tant que militaire dans la garde des Chevaux-légers du roi (Maison Rouge). Ce n'est pas un page !
De telles bourdes me font peur. Monsieur Moriceau tombe aussi encore dans l'erreur des dragons lorsqu'il parle de Duhamel et de ses hommes en décrivant leur fonction comme celle des dragons du roi. Lourde erreur ! Il s'agissait de cavaliers des troupes légères irrégulières, pas de dragons. Le reste de leur régiment était composé d'une véritable infanterie, n'était pas sur place comme il le dit, et n'avait absolument rien à voir avec les dragons. Enfin, ce n'est pas le comte de Tournon qui a tué la Bête du Bois Noir mais le garde-chasse Rainchard » (le comte de Tournon en a fait seulement un rapport). « Quand même un certain nombre d'erreurs qui ne permettent pas d'approcher sereinement l'affaire en raison de ces importantes variations des valeurs. Mais je ne parle pas du plan zoologique et de l'ensemble de l'histoire où des montagnes d'éléments importants sont également mises de côté. » Un point juste dans les propos monsieur Moriceau : c’est quand il affirme qu’il y avait plusieurs canidés responsable de la tuerie. Il ne rejette pas l’idée des croisements chiens et loups. Endehors de cela, il est vrai que monsieur Moriceau a omis beaucoup de choses, à moins qu’il ne soit pas allé voir certaines archives ? Est-il allé à Mende ou pas ? Est-il allé dans toutes les archives ? Patrick Berthelot lui EST SON EQUIPE, ils les ont toutes visités.
@@stephanielouis304 C'est pas la peine de tartiner partout:
La ligne de tartine ne vaut pas argument.
La première biopsie a eu lieu en 1879 et c'est le seul moyen de détecter la rage. :)
Super, Merci pour votre travail!
La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Bonjour 🖐👍Conférence très exhaustive et éclairante sur le phénomène du loup .
Actuellement de plus en plus d'individus sont complètement hors sol, et déconnectés des réalités de la terre . Ils ont une approche de ruraux, ou d'écolos bonobos , irresponsables ... malheureusement les conséquences, de ces gentils huluberlus nous amènent droit, vers des faits , événements complètement irrationnels ... l'humain sera le premier touché .
Dans certaines régions il est déjà risqué de se promener, ou tout simplement planter sa tente ... vous vous faites attaquer par des loups .. il y a des témoignages de personnes qui ont subi ce genre d'attaque .
Bientôt il sera dangereux d'aller cueuillir des champignons , ou de laisser nos enfants en forêt.
S'il y a bien une chose qui est un des éléments psychologique, révélateurs, de notre époque, c'est l'irresponsabilité et le manque de reflexion, d'une petite minorité , qui impose sa volonté et des risques sans précédent à la majorité.
Tout ça, sous couvert , d'idéologies, financés par des milliardaires à l'autre bout du monde .
C'est quand meme phénoménale... les idiots utiles serviront de propagande à ce délire de la réintroduction du loup sur le territoire . De même avec l'ours ...
Il y a déjà d'énormes problèmes quotidien , avec l'ours , dans certains pays .
Merci à Monsieur Moriceau , pour cette conférence passionnante et instructive .
Très intéressant, je ne pensais pas que l 'attaque des loups sur l homme avait eu tant d'ampleur.
Et je te laisse même pas imaginer l’impact de l’homme sur sont environnement ...
@@aureliemontevil3938 et c'est vrai ^^
La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
@@francoisbultingaire6428 Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Très intéressante
Le seul moyen de savoir qu'un animal a la rage est de faire une biopsie. La première biopsie a eu lieu en 1879...
excellente conférence. à partager , afin de contrer le mythe du gentil loup !
Le loup n'est pas un animal "gentil" mais un animal sauvage et, qui plus est, un super-prédateur donc il reste un animal dangereux. Mais il y a un immense fossé entre un animal inoffensif et un mangeur d'hommes.
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Allez au archives vous pouvez les avoir en ligne, l'autopsie sous l'oeil de la science moderne confirme que ce n'était pas un pur loup, mais un chien croisé avec les loups : on va pas contredire la science moderne qui traduise mieux des anciennes autopsies millimétré. la bête du bois noire qui a une raie noire sur le dos qui a été tué par Rainchard, et non pas par Mr Tournon avait les pieds de chien Mâtin (chien de combat de Guerre) je vous ai mis la référence des côtes des archives dans le post précédant, il faut arretté de lire des auteurs qui recopies en partie d'autre auteur. Oui certe il est déja arrivé que des loups attaque l'homme, mais dans la majorité de l'histoire du gévaudan se sont des croisé chien croisé avec loup. la Bête de Caen idem ce n'était pas un loup ordinaire. Idem pour deux specimen tué en Touraine. Propos de Patrick Berthelot : « La Bête du Gévaudan par Jean-Marc Moriceau. Une autre émission avec Mr Moriceau très complète présentant de bonnes choses, mais on trouve toutefois beaucoup de confusions et d'erreurs au sujet de la juste qualité des chasseurs de la Bête. Les gardes-chasses n'ont jamais été lieutenants des chasses du roi, ils en étaient très très loin les pauvres ! Eux, ils étaient tout en bas et vivaient dans des masures, parfois même dans des poulaillers insalubres !
On est très loin des lieutenants des chasses du roi ou même des sous-lieutenants. Avant ces derniers il y avait déjà les gardes-généraux qui devançaient les gardes-chasses en grade, les brigadiers gardes, les aides-gardes, les renardiers, les rassasseurs, etc…. Monsieur Moriceau ne maîtrise visiblement pas cette partie de notre histoire et de ses milliers de représentants cynégétiques au fil des siècles. Très étonnant aussi sa vision du fils d'Antoine qui n'était absolument pas comme il le précise le petit enfant sur la gravure de la présentation de la Bête au roi à Versailles. Ce petit est le fils du Dauphin, qui deviendra plus tard le roi Louis XVI. Le fils de François Antoine, Robert-François-Marc Antoine de Beauterne, qui présente la Bête sur la gravure est déjà un homme à cette époque car il sert en tant que militaire dans la garde des Chevaux-légers du roi (Maison Rouge). Ce n'est pas un page !
De telles bourdes me font peur. Monsieur Moriceau tombe aussi encore dans l'erreur des dragons lorsqu'il parle de Duhamel et de ses hommes en décrivant leur fonction comme celle des dragons du roi. Lourde erreur ! Il s'agissait de cavaliers des troupes légères irrégulières, pas de dragons. Le reste de leur régiment était composé d'une véritable infanterie, n'était pas sur place comme il le dit, et n'avait absolument rien à voir avec les dragons. Enfin, ce n'est pas le comte de Tournon qui a tué la Bête du Bois Noir mais le garde-chasse Rainchard » (le comte de Tournon en a fait seulement un rapport). « Quand même un certain nombre d'erreurs qui ne permettent pas d'approcher sereinement l'affaire en raison de ces importantes variations des valeurs. Mais je ne parle pas du plan zoologique et de l'ensemble de l'histoire où des montagnes d'éléments importants sont également mises de côté. » Un point juste dans les propos monsieur Moriceau : c’est quand il affirme qu’il y avait plusieurs canidés responsable de la tuerie. Il ne rejette pas l’idée des croisements chiens et loups. Endehors de cela, il est vrai que monsieur Moriceau a omis beaucoup de choses, à moins qu’il ne soit pas allé voir certaines archives ? Est-il allé à Mende ou pas ? Est-il allé dans toutes les archives ? Patrick Berthelot lui EST SON EQUIPE, ils les ont toutes visités.
La biopsie est le seul moyen de détecter la rage et la première a eu lieu en 1879.
excellent! merci Monsieur Moriceau!
jean michel robert excellent? mais la plus part des choses qu'il dit sont fausses!!
Qu'est ce qui est faux ? On peut avoir la liste de ce qu'il dit qui est faux avec si possible des références et liens vers des publications. Juste pour nous instruire. Merci.
Louis Dollo ce qui me dérange c'est d'en parler comme si c'était le pire animal de France qui devrait être éradiqué du territoire. où passe notre humanité? en Afrique ou Australie ils vivent avec les animaux les plus dangereux et nous pour 2 ou 300 loups on fait des conférences anti loup et quotas pour les abattres ?! C'est fou!!
et non pourtant!les loups ont souvent fait des terribles ravages meme en n'etant pas enrages! les archives regorgent de ces faits et ne dites pas que c'etait les cures qui inventaient ces histoires pour effrayer les gens!
jean michel robert on reste dans le passé... C'est quand qu'on apprendra à vivre ensemble dans un futur proche.
super documentaire qui recadre totalement la problématique.
la problématique c l'homme en lui même
@@awenblanquet9457
Affirmatif, les connards de ton acabit son la problématique.
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
@@awenblanquet9457 Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Allez au archives vous pouvez les avoir en ligne, l'autopsie sous l'oeil de la science moderne confirme que ce n'était pas un pur loup, mais un chien croisé avec les loups : on va pas contredire la science moderne qui traduise mieux des anciennes autopsies millimétré. la bête du bois noire qui a une raie noire sur le dos qui a été tué par Rainchard, et non pas par Mr Tournon avait les pieds de chien Mâtin (chien de combat de Guerre) je vous ai mis la référence des côtes des archives dans le post précédant, il faut arretté de lire des auteurs qui recopies en partie d'autre auteur. Oui certe il est déja arrivé que des loups attaque l'homme, mais dans la majorité de l'histoire du gévaudan se sont des croisé chien croisé avec loup. la Bête de Caen idem ce n'était pas un loup ordinaire. Idem pour deux specimen tué en Touraine. Propos de Patrick Berthelot : « La Bête du Gévaudan par Jean-Marc Moriceau. Une autre émission avec Mr Moriceau très complète présentant de bonnes choses, mais on trouve toutefois beaucoup de confusions et d'erreurs au sujet de la juste qualité des chasseurs de la Bête. Les gardes-chasses n'ont jamais été lieutenants des chasses du roi, ils en étaient très très loin les pauvres ! Eux, ils étaient tout en bas et vivaient dans des masures, parfois même dans des poulaillers insalubres !
On est très loin des lieutenants des chasses du roi ou même des sous-lieutenants. Avant ces derniers il y avait déjà les gardes-généraux qui devançaient les gardes-chasses en grade, les brigadiers gardes, les aides-gardes, les renardiers, les rassasseurs, etc…. Monsieur Moriceau ne maîtrise visiblement pas cette partie de notre histoire et de ses milliers de représentants cynégétiques au fil des siècles. Très étonnant aussi sa vision du fils d'Antoine qui n'était absolument pas comme il le précise le petit enfant sur la gravure de la présentation de la Bête au roi à Versailles. Ce petit est le fils du Dauphin, qui deviendra plus tard le roi Louis XVI. Le fils de François Antoine, Robert-François-Marc Antoine de Beauterne, qui présente la Bête sur la gravure est déjà un homme à cette époque car il sert en tant que militaire dans la garde des Chevaux-légers du roi (Maison Rouge). Ce n'est pas un page !
De telles bourdes me font peur. Monsieur Moriceau tombe aussi encore dans l'erreur des dragons lorsqu'il parle de Duhamel et de ses hommes en décrivant leur fonction comme celle des dragons du roi. Lourde erreur ! Il s'agissait de cavaliers des troupes légères irrégulières, pas de dragons. Le reste de leur régiment était composé d'une véritable infanterie, n'était pas sur place comme il le dit, et n'avait absolument rien à voir avec les dragons. Enfin, ce n'est pas le comte de Tournon qui a tué la Bête du Bois Noir mais le garde-chasse Rainchard » (le comte de Tournon en a fait seulement un rapport). « Quand même un certain nombre d'erreurs qui ne permettent pas d'approcher sereinement l'affaire en raison de ces importantes variations des valeurs. Mais je ne parle pas du plan zoologique et de l'ensemble de l'histoire où des montagnes d'éléments importants sont également mises de côté. » Un point juste dans les propos monsieur Moriceau : c’est quand il affirme qu’il y avait plusieurs canidés responsable de la tuerie. Il ne rejette pas l’idée des croisements chiens et loups. Endehors de cela, il est vrai que monsieur Moriceau a omis beaucoup de choses, à moins qu’il ne soit pas allé voir certaines archives ? Est-il allé à Mende ou pas ? Est-il allé dans toutes les archives ? Patrick Berthelot lui EST SON EQUIPE, ils les ont toutes visités.
Incroyablement interressant merci.
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
@@stephanielouis304 je vous remercie énormément pour ce récapitulatif captivant et extrêmement instructifs.
La première biopsie a eu lieu en 1879 et c'est le seul moyen de détecter la rage... C'est intéressant aussi?
@@parpaquetdesix7275 bien sûr comme c'était impossible de le constater autrement.
@@theonecafard on pouvait le constater seulement si l'animal ou l'être humain tombait malade après avoir été mordu. Dans ce cas c'était possible de deviner qu'il y avait une infection. Dans les autres cas, le seul moyen de savoir si un loup agressif était enragé aurait été de pratiquer une biopsie.
" Qui veut noyer son chien, l'accuse d'avoir la rage" expression du XIIIème siècle
C'est une conférence notable.
Ce qui y est dit est très clairement expliqué et argumenté.
A diffuser...
Le seul moyen de savoir qu'un animal a la rage est de faire une biopsie. La première biopsie a eu lieu en 1879...
Très beau travail d'un Historien reconnu
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Allez au archives vous pouvez les avoir en ligne, l'autopsie sous l'oeil de la science moderne confirme que ce n'était pas un pur loup, mais un chien croisé avec les loups : on va pas contredire la science moderne qui traduise mieux des anciennes autopsies millimétré. la bête du bois noire qui a une raie noire sur le dos qui a été tué par Rainchard, et non pas par Mr Tournon avait les pieds de chien Mâtin (chien de combat de Guerre) je vous ai mis la référence des côtes des archives dans le post précédant, il faut arretté de lire des auteurs qui recopies en partie d'autre auteur. Oui certe il est déja arrivé que des loups attaque l'homme, mais dans la majorité de l'histoire du gévaudan se sont des croisé chien croisé avec loup. la Bête de Caen idem ce n'était pas un loup ordinaire. Idem pour deux specimen tué en Touraine. Propos de Patrick Berthelot : « La Bête du Gévaudan par Jean-Marc Moriceau. Une autre émission avec Mr Moriceau très complète présentant de bonnes choses, mais on trouve toutefois beaucoup de confusions et d'erreurs au sujet de la juste qualité des chasseurs de la Bête. Les gardes-chasses n'ont jamais été lieutenants des chasses du roi, ils en étaient très très loin les pauvres ! Eux, ils étaient tout en bas et vivaient dans des masures, parfois même dans des poulaillers insalubres !
On est très loin des lieutenants des chasses du roi ou même des sous-lieutenants. Avant ces derniers il y avait déjà les gardes-généraux qui devançaient les gardes-chasses en grade, les brigadiers gardes, les aides-gardes, les renardiers, les rassasseurs, etc…. Monsieur Moriceau ne maîtrise visiblement pas cette partie de notre histoire et de ses milliers de représentants cynégétiques au fil des siècles. Très étonnant aussi sa vision du fils d'Antoine qui n'était absolument pas comme il le précise le petit enfant sur la gravure de la présentation de la Bête au roi à Versailles. Ce petit est le fils du Dauphin, qui deviendra plus tard le roi Louis XVI. Le fils de François Antoine, Robert-François-Marc Antoine de Beauterne, qui présente la Bête sur la gravure est déjà un homme à cette époque car il sert en tant que militaire dans la garde des Chevaux-légers du roi (Maison Rouge). Ce n'est pas un page !
De telles bourdes me font peur. Monsieur Moriceau tombe aussi encore dans l'erreur des dragons lorsqu'il parle de Duhamel et de ses hommes en décrivant leur fonction comme celle des dragons du roi. Lourde erreur ! Il s'agissait de cavaliers des troupes légères irrégulières, pas de dragons. Le reste de leur régiment était composé d'une véritable infanterie, n'était pas sur place comme il le dit, et n'avait absolument rien à voir avec les dragons. Enfin, ce n'est pas le comte de Tournon qui a tué la Bête du Bois Noir mais le garde-chasse Rainchard » (le comte de Tournon en a fait seulement un rapport). « Quand même un certain nombre d'erreurs qui ne permettent pas d'approcher sereinement l'affaire en raison de ces importantes variations des valeurs. Mais je ne parle pas du plan zoologique et de l'ensemble de l'histoire où des montagnes d'éléments importants sont également mises de côté. » Un point juste dans les propos monsieur Moriceau : c’est quand il affirme qu’il y avait plusieurs canidés responsable de la tuerie. Il ne rejette pas l’idée des croisements chiens et loups. Endehors de cela, il est vrai que monsieur Moriceau a omis beaucoup de choses, à moins qu’il ne soit pas allé voir certaines archives ? Est-il allé à Mende ou pas ? Est-il allé dans toutes les archives ? Patrick Berthelot lui EST SON EQUIPE, ils les ont toutes visités.
@@stephanielouis304 Jolie histoire, dommage qu'elle soit en partie illisible. Quand à cette soi-disante preuve (qui n'a rien de scientifique) de l'hybridation de chien et de loup elle ne change rien au problème. En revanche parmi les loups actuels beaucoup sont des hybrides (prouvé par analyse adn, scientifiquement quoi), donc non protégés par la convention de bern : on doit donc les piéger et les remettre aux autorités pour adoption ou euthanasie, comme le prévoit la réglementation sur la divagation des chiens et chats errants.
La première biopsie a eu lieu en 1879 et c'est le seul moyen de détecter la rage...
Dommage que la restitution de cette recherche se soit arête au milieu du XXe siècle et ne traite pas des années 2000
Heureusement plutot !!!! La connerie doit s'arreter à un moment donné
plusieurs attaques de j m moriceau contre les loups sont bien documentées.
c'est une très belle conférence ;avec de grandes et serieuse recherches
Beaucoup d'oublie dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Allez au archives vous pouvez les avoir en ligne, l'autopsie sous l'oeil de la science moderne confirme que ce n'était pas un pur loup, mais un chien croisé avec les loups : on va pas contredire la science moderne qui traduise mieux des anciennes autopsies millimétré. la bête du bois noire qui a une raie noire sur le dos qui a été tué par Rainchard, et non pas par Mr Tournon avait les pieds de chien Mâtin (chien de combat de Guerre) je vous ai mis la référence des côtes des archives dans le post précédant, il faut arretté de lire des auteurs qui recopies en partie d'autre auteur. Oui certe il est déja arrivé que des loups attaque l'homme, mais dans la majorité de l'histoire du gévaudan se sont des croisé chien croisé avec loup. la Bête de Caen idem ce n'était pas un loup ordinaire. Idem pour deux specimen tué en Touraine. Propos de Patrick Berthelot : « La Bête du Gévaudan par Jean-Marc Moriceau. Une autre émission avec Mr Moriceau très complète présentant de bonnes choses, mais on trouve toutefois beaucoup de confusions et d'erreurs au sujet de la juste qualité des chasseurs de la Bête. Les gardes-chasses n'ont jamais été lieutenants des chasses du roi, ils en étaient très très loin les pauvres ! Eux, ils étaient tout en bas et vivaient dans des masures, parfois même dans des poulaillers insalubres !
On est très loin des lieutenants des chasses du roi ou même des sous-lieutenants. Avant ces derniers il y avait déjà les gardes-généraux qui devançaient les gardes-chasses en grade, les brigadiers gardes, les aides-gardes, les renardiers, les rassasseurs, etc…. Monsieur Moriceau ne maîtrise visiblement pas cette partie de notre histoire et de ses milliers de représentants cynégétiques au fil des siècles. Très étonnant aussi sa vision du fils d'Antoine qui n'était absolument pas comme il le précise le petit enfant sur la gravure de la présentation de la Bête au roi à Versailles. Ce petit est le fils du Dauphin, qui deviendra plus tard le roi Louis XVI. Le fils de François Antoine, Robert-François-Marc Antoine de Beauterne, qui présente la Bête sur la gravure est déjà un homme à cette époque car il sert en tant que militaire dans la garde des Chevaux-légers du roi (Maison Rouge). Ce n'est pas un page !
De telles bourdes me font peur. Monsieur Moriceau tombe aussi encore dans l'erreur des dragons lorsqu'il parle de Duhamel et de ses hommes en décrivant leur fonction comme celle des dragons du roi. Lourde erreur ! Il s'agissait de cavaliers des troupes légères irrégulières, pas de dragons. Le reste de leur régiment était composé d'une véritable infanterie, n'était pas sur place comme il le dit, et n'avait absolument rien à voir avec les dragons. Enfin, ce n'est pas le comte de Tournon qui a tué la Bête du Bois Noir mais le garde-chasse Rainchard » (le comte de Tournon en a fait seulement un rapport). « Quand même un certain nombre d'erreurs qui ne permettent pas d'approcher sereinement l'affaire en raison de ces importantes variations des valeurs. Mais je ne parle pas du plan zoologique et de l'ensemble de l'histoire où des montagnes d'éléments importants sont également mises de côté. » Un point juste dans les propos monsieur Moriceau : c’est quand il affirme qu’il y avait plusieurs canidés responsable de la tuerie. Il ne rejette pas l’idée des croisements chiens et loups. Endehors de cela, il est vrai que monsieur Moriceau a omis beaucoup de choses, à moins qu’il ne soit pas allé voir certaines archives ? Est-il allé à Mende ou pas ? Est-il allé dans toutes les archives ? Patrick Berthelot lui EST SON EQUIPE, ils les ont toutes visités.
@@stephanielouis304 Jolie histoire, dommage qu'elle soit en partie illisible. Quand à cette soi-disante preuve (qui n'a rien de scientifique) de l'hybridation de chien et de loup elle ne change rien au problème. En revanche parmi les loups actuels beaucoup sont des hybrides (prouvé par analyse adn, scientifiquement quoi), donc non protégés par la convention de bern : on doit donc les piéger et les remettre aux autorités pour adoption ou euthanasie, comme le prévoit la réglementation sur la divagation des chiens et chats errants.
Je doute qu'à l'époque, on laissait traîner les enfants seuls en forêt la nuit!
Et même prêt des habitations. Le loup est opportuniste! Ne l'oubliez jamais!
Et un bon bébé bien tendre ne le ferait pas reculer.
Dommage que ce Monsieur ne montre qu'un seul document de décès, alors que selon ses allégations il y en a eu des milliers.
Il suffit de lire ses ouvrages tous les actes de décès qu'il cite sont référencés dans les archives paroissiales ou d'état civil, il cite systématiquement toutes ses sources @@flechebleue3012
Bien sûr que le gros bétail n'est pas à l'abri!..un berger blessé isolé non plus je pense,ainsi que leur Patou!!..à Yellowstone stone ils attaquent des bisons ou des ours alors les autres...
Les ours ? Vous vouliez plutôt dire wapitis ?
@@sarahlechevalier5806 Il y a eu des attaques de meute sur des ourses, avec des oursons.
En général, les loups finissent par renoncer.
Seul le nombre peut jouer un rôle j'imagine
a yellowstone ce sont des loups du canada ! bien plus grand et fort que les loups européens !
@@danyv8207 Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
merci pour ce reportage, je suis photographe amateur, j'ai traqué le loup en Lozère (photo) sans succès, juste vu des traces...
je m'installe dans les Vosges fin mai 2018. Je vais réessayer de le traquer.....
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
On peut considérer qu’il y avait 100 000 prédations de Loups ? Alors que les élevages étaient probablement 50 fois moins important ?
il y avait a l'epoque beaucoup beaucoup beaucoup d'élevage et d'éleveur différents
A l'époque tout les paysan avait 10/15 brebis a l'époque il y avait 100fois plus de paysan.
Oui et au final il y avait plus d'élevages, on élevait aussi des chevaux, et d'autres animaux d'élevages, plus peut être et même très probablement déjà un soucis des animaux sauvages, herbivores chevreuils et cerfs
surtout que on avait pas d'importation a l'époque
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Passionnant
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
@@stephanielouis304 L'intellect est le pire ennemi de celui qui a des idées préconçues . Il trouve toujours un chemin pour aller de là ou l'on est à là ou on veut aller, même s'il faut traverser les enfers, même s'il faut tuer père et mère, et pourquoi pas la terre entière !
il faut obliger les écolos bobos qui ont voulu réintroduire le loup a écouter cette conférence et surtout la partie des attaques sur l'homme !
Ben voyons ... ecouter des conneries deblaterees par un incompetent, ca va surement aider la planete !!!!
Le seul moyen de savoir qu'un animal ou un être humain a la rage est la biopsie. La première biopsie a eu lieu en 1879.
"Qui veut noyer son chien, l'accuse d'avoir la rage." Expression du xiiième siècle.
Et toi t'es un savant j'imagine
Spécialiste troll de youtube ....@@2005nostalgair
A faire visionner par tous les bisousnours et bobo-écolo des grandes villes !
Le seul moyen de détecter la rage est la biopsie. La première a eu lieu en 1879...
Et même si certains hurluberlus veulent continuer d'affirmer que le loup craint l'homme il restera toujours le fait qu'à cause de la présence de ce prédateur non prédaté lui même le pastoralisme est en danger partout ou sévit ce grand carnassier...
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Malheureusement,des historiens comme lui ne passent jamais à la télé...
Le seul moyen de savoir qu'un animal a la rage est de faire une biopsie. La première biopsie a eu lieu en 1879...
Quand quelqu'un disparaît... C'est forcément parce qu'il a été mangé par des loups... Quel historien! Sous couvert d' enseigner, certaines personnes cherchent à influencer.
Il y aura toujours des partisans de la destruction, ou du moins de la limitation des animaux. Ce monsieur nous explique que les ovins sont attaqués par les loups; certes, mais pourquoi ne pas préciser que ces troupeaux d'ovins paissent dans des réserves naturelles qui leurs sont interdites ? Tsst toujours les mêmes justifications pour éliminer la concurrence.
Tu parles de quoi ? Quelles réserves naturelles ?
On te parle de l'entièreté du territoire français qui n'est pas une réserve ou un parc national, mais bien un lieu de vie et de travail, d'élevage...
@@ricouricou7692 On se tutoie?
Moteur de recherche préféré : faux documents dans l'histoire .
Il manque la bête de sarla en Dordogne (environ 20 morts)
La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Quelle urgence y aurait-il à disculper le loup "pur". Il s'est croisé avec des mâtins, mais pourquoi ces chiens énormes et coûteux en entretien ? Peut-être pour défendre les troupeaux et dont les mâtins eux-mêmes sont causés par le loup.
Et loup pur en général mais croisé parfois, 500 bergers bouffés chaque année, c'était con, même si ce n'étaient que des pauvres ...
Chai pas avec quoi t'est croisé toi mais ça n'a pas du te réussir.🤭🤔
Les dégâts du loup sur l'agriculture est minime.
Par contre,il faudrait mieux s'occuper des produits chimiques dans l'agriculture que l'on nous fait manger sans aucun scrupule....
Hors sujet total.
@@jean8315
L'agriculture fait énormément de dégâts,donc il faut accepter certaines petites contraintes,c'est juste un retour de savoir vivre,mais apparemment non.
Désolé, je vois toujours pas le rapport entre la présence du loup et l'engrais dans les cultures.
Que ça vous préoccupe, soit mais c'est pas le sujet ici.
@@jean8315 Tu crois
@@jean8315 Surtout qu'il y a bien plus de victimes par ingestion d'engrais rependus à la volée par nos chers "paysans" que dévorées sur pied par le loup.
avant tout le monde disait que personne pouvais marcher sur la lune , trop de mensonges des anciens alors l'histoire dur de croire tout
Il se base sur des documents d'archives. C'est un scientifique.
@@am5243 Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
@@am5243 Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau il ne parle pas des archives qui contredit en partie sa thése : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
L'attaque sur l'humain, est possible.
Sur les UTA (Unité Travail Animal) type Ânes de portage, de ravitaillement... Donc sur poulin, veau...
Après du genre chien de conduite, une forme de sympathie, mais si ils s'interpose entre le troupeau et loup, la menace de mort provenant des loups est plutôt très rapide. L'instinct de préservation les tiens en partie pour éviter de se compremettre avec des blaissures dans leurs future vie de chasseur.
Avoir, une attention particulière à proximité de leurs zones d'activité serait indispensable, comme la percution accidentelle d'animaux sauvage sur l'homme nocturnement. D'éviter de laisser les enfants montagnard de se déplacé nocturnement, mais bon sa leurs fera une expérience.
Le patou peu parfois être agacé par les chiens de conduite et si possible le berger à plutôt intérêt de bien observé le comportement passif du patou qui commence à avoir une attention particulière sur le perturbateur. Demander au chien de conduite d'arrêté.
Ni pour, ni contre, mais la réflexion d'essaye d'avancer avec le loup, nous demande la distinction avec l'hypothèse d'une éradication du loup en France.
Les recherches doivent être maintenu sur les 2 éventualités.
Bien pour le moment, pour moi "il y a du loup et il y aura du loup!", mais jusqu'à quand?
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Combien de personne(s) tuée(s) par des loups et combien tuée(s)dans des "accidents" de chasse?
On parle de personnes dévorées par des animaux sauvages. Quel est le rapport avec les accidents de chasse ?
@@am5243 pour dire qu'on vas buter le loups pour quelques morts et que les chasseurs ont les bute pas alors qu'il ont fait autant voir plus de morts mais bon...
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
@@am5243 Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Et à propos des attaques des hommes sur le loup?
gaspard combes
Pôv' con !
c'est toi le pauvre con ! @@Heimrik01
@@Heimrik01
hoooo mais c'est qu'il a trois neurones en plus d'être con comme un manche XD t'es soit un homme pitoyable, soit un homme triste. mais heu en vrai ta violence intérieur me fascine. j'ai besoin de comprendre qu'est se qui t'es arrivé dans la vie pour en arriver à détester cet animal exactement et de façon aussi extrème?
je suis vraiment sérieux là par contre. Je peux comprendre que l'on puisse haïr à ce point mais c'est quoi la raison personnel?
Et heu les parties politiques oublies parceque tu t'enfonces grave .
@@Heimrik01
Et le loup n'a pas décimé l'espèce humaine et quand on voit se qu'on fait subir à cette planète ça serait bien de prendre de la hauteur sur se qu'on fait nous sur nous également. Donc si y a bien un pauvre con , c'est toi !
Imprime bien ça dans ton crâne avant d'insulter les gens.
Ah deux débiles qui montre leurs vrai visage. En plus le monsieur dit bien qu'on passe d'un extrême à l'autre et qu'il n'est pas contre le loup dans l'absolu ce qui est également mon cas mais ces parce qu'on a un QI supérieur à 60.
Ce qui n'est pas votre cas les sentimentalistes idéologue bien pensant que j'aimerai se chier dessus en face à face parce que du monde réel que connaissez vous ?
Ah et j'ai jamais compris les gens comme vous qui polluent comme les autres ect pourquoi vous tire pas une balle pour arrête de polluer et limite un peu l'espèce humaine ?
Punaise je suis vraiment très ouvert d'esprit mais alors y a un truc qui me choque quand je l'écoute parler et la façon dont il parle et les mots qu'il emploie.........heuuu j'aime les gens passionnés mais là même si se qu'il dit peut être quelque peu intéressant voir vraiment intéressant , je peux pas me retirer de la tête que j'entends un psychopathe qui prend plaisir à voir se que l'on a fait subir à cet animal et c'est terrifiant.
Salut ta Fabouille aaah ta ti ta couille molle ? Euh'm'sieur Moriceau il a les baloches pleines de jouire alors que toi tu respectes pas ce superbe animal qu'est le loup. Si t'as quelque chose à me dire viens pas me souffler dans les bronches espèce de suppos d'herbivore de mes burnes. Dans le loup et l'agneau tu t'es cru l'agneau crétin des alpes. Mes plus sincères amitiés. Paix et félicitée.
Cordialement, Brice
@@guillaumegirard2923 ha !? Tu es le gogolito que le destin à choisi de mettre sur ma voie !
@Fabien Baron :
il décrit des faits, documents à l'appui.
Après, vous pouvez interpréter celà à travers votre propre "grille de lecture"... Qui se situe plus dans le domaine de l'irrationnel (l'émotion, l'affect, le rêve, les symboles, le subjectif) que dans le rationnel (les faits, le réel, l'analyse objective).
@@Bibu231060 la blague. Ton esprit critique et ton sens de l'observation de ce monde m'a l'air tout aussi fin qu'une spaghetti. Il va peut être falloir réfléchir par soi même plutôt que de gober comme un mouton , c'est mieux pour le cerveau a titre informatif. Cependant j'ai pris se que j'avais à prendre de son travail qui est, a plusieurs aspects intéressant.
Bref c'est pas parceque un homme , quelque soi son statut, te dit d'aller à gauche, qu'il faille le faire. Médites la dessus.
@@fabienbaron7057 Utilisation du tutoiement d'entrée, marques de mépris, conjugaison au mode impératif, ...
Où avez-VOUS entendu que cet historien (psychopathe d'après VOUS) voulait amener qui que ce soit à gauche ou à droite ?
ououououououou sont ces con d'ecolo
Je ne suis pas ecolo : lol : Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Allez au archives vous pouvez les avoir en ligne, l'autopsie sous l'oeil de la science moderne confirme que ce n'était pas un pur loup, mais un chien croisé avec les loups : on va pas contredire la science moderne qui traduise mieux des anciennes autopsies millimétré. la bête du bois noire qui a une raie noire sur le dos qui a été tué par Rainchard, et non pas par Mr Tournon avait les pieds de chien Mâtin (chien de combat de Guerre) je vous ai mis la référence des côtes des archives dans le post précédant, il faut arretté de lire des auteurs qui recopies en partie d'autre auteur. Oui certe il est déja arrivé que des loups attaque l'homme, mais dans la majorité de l'histoire du gévaudan se sont des croisé chien croisé avec loup. la Bête de Caen idem ce n'était pas un loup ordinaire. Idem pour deux specimen tué en Touraine. Propos de Patrick Berthelot : « La Bête du Gévaudan par Jean-Marc Moriceau. Une autre émission avec Mr Moriceau très complète présentant de bonnes choses, mais on trouve toutefois beaucoup de confusions et d'erreurs au sujet de la juste qualité des chasseurs de la Bête. Les gardes-chasses n'ont jamais été lieutenants des chasses du roi, ils en étaient très très loin les pauvres ! Eux, ils étaient tout en bas et vivaient dans des masures, parfois même dans des poulaillers insalubres !
On est très loin des lieutenants des chasses du roi ou même des sous-lieutenants. Avant ces derniers il y avait déjà les gardes-généraux qui devançaient les gardes-chasses en grade, les brigadiers gardes, les aides-gardes, les renardiers, les rassasseurs, etc…. Monsieur Moriceau ne maîtrise visiblement pas cette partie de notre histoire et de ses milliers de représentants cynégétiques au fil des siècles. Très étonnant aussi sa vision du fils d'Antoine qui n'était absolument pas comme il le précise le petit enfant sur la gravure de la présentation de la Bête au roi à Versailles. Ce petit est le fils du Dauphin, qui deviendra plus tard le roi Louis XVI. Le fils de François Antoine, Robert-François-Marc Antoine de Beauterne, qui présente la Bête sur la gravure est déjà un homme à cette époque car il sert en tant que militaire dans la garde des Chevaux-légers du roi (Maison Rouge). Ce n'est pas un page !
De telles bourdes me font peur. Monsieur Moriceau tombe aussi encore dans l'erreur des dragons lorsqu'il parle de Duhamel et de ses hommes en décrivant leur fonction comme celle des dragons du roi. Lourde erreur ! Il s'agissait de cavaliers des troupes légères irrégulières, pas de dragons. Le reste de leur régiment était composé d'une véritable infanterie, n'était pas sur place comme il le dit, et n'avait absolument rien à voir avec les dragons. Enfin, ce n'est pas le comte de Tournon qui a tué la Bête du Bois Noir mais le garde-chasse Rainchard » (le comte de Tournon en a fait seulement un rapport). « Quand même un certain nombre d'erreurs qui ne permettent pas d'approcher sereinement l'affaire en raison de ces importantes variations des valeurs. Mais je ne parle pas du plan zoologique et de l'ensemble de l'histoire où des montagnes d'éléments importants sont également mises de côté. » Un point juste dans les propos monsieur Moriceau : c’est quand il affirme qu’il y avait plusieurs canidés responsable de la tuerie. Il ne rejette pas l’idée des croisements chiens et loups. Endehors de cela, il est vrai que monsieur Moriceau a omis beaucoup de choses, à moins qu’il ne soit pas allé voir certaines archives ? Est-il allé à Mende ou pas ? Est-il allé dans toutes les archives ? Patrick Berthelot lui EST SON EQUIPE, ils les ont toutes visités. Toute fois Moriceau ne rejette pas l'option chiens croisé avec loups
Dommage que cet homme cultivé ne puisse controler ses fantasmes, ce qui sans doute injustement le fait basculer dans le camps des negatiocomplotistes.
38:35 = délire total
c'est a dire ?
@@houtainpierre2353 il parle du loup comme d une peuplade de barbares tacticiens ...il est n est pas raisonnable ..c'est comme lorsqu il parle des soit disant '' massacre d enfants '' comme quoi les gens en avaient marre de se faire manger leurs enfants ... n importe quoi ..on est pas dans '' le pacte des loups'' ...
@@houtainpierre2353 le pire ennemi de l homme cela à toujours été l homme ...il n y a besoin de loups affamés pour noircir la période de la guerre de 100 ans déjà assez sombre comme cela. je ne crois pas une seule seconde à tous ces décompte d enfants morts durant une période ou existait à la fois le cannibalisme et l infanticide ..
@@bargolyr8660 L'historien se base et ne peut se baser que sur des documents d'archives. Vous ne le croyez pas tant pis, il y a bien des gens qui pensent que la terre est plate..
@@bargolyr8660 Le loup est un animal opportuniste et intelligent. Il y a confrontation avec l'homme car il s'attaque aux troupeaux et aux personnes. Si c'est le bordel (conflits, combats), cela profite aux loups ce n'est pas difficile à comprendre. Il y a des cadavres à manger sur les champs de bataille c'est open bar. Pour le reste , en quoi le fait que le loup s'en prenne à des proies humaines, vulnérables et isolées, vous est il aussi insupportable ? Le loup ne peut pas faire cela parce qu'il est gentil ?
Aucun recul sur l'histoire, aucune réflexion ou analyse logique ... genre ( entre 49mn et 51mn) " des milliers de chasseurs, et uniquement 2 loups tués" .... Ca devrait faire réflechir le seul neurone que vous possédez, peut-être !
doucement avec le loup... de toute façons les enfants restent enfermé devant un ordinateur donc plus rien à craindre ;P
Il ne s'en prend pas qu'aux enfants. Il a failli se taper une famille entière dernièrement au Canada.
@@am5243 Ce sont des loups du canada ! et il n'y a eu aucune morsure ! ni aucune forme d'agressivité !
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
Le loup mangeur d'homme :-) Combien de victimes humaines depuis sa réapparition en 1992 (0) vs combien de victimes collatérales de la chasse depuis cette même date (plus de 500 morts)
Aucun rapport
Une famille de vacanciers canadiens a été attaquée par un loup dernièrement, ils étaient sous tente ils ont failli y passer, c'est une info relayée notamment par slate, Ouest france et le washington post. Le loup n'a pas compris qu'il devait avoir peur merde comme c'est dommage..
@@am5243 Et c'est aussi une information qui n'as aucune preuve que ce soit des loups car il faisait nuit et n'ont même pas vue l'animal donc cela peut tres bien etre des chiens errant qui ont voulu prendre leurs nourritures, et quand ils disent attaques je n'ai entendu parler d'aucun grognement ni morsure. Donc avant de dire attaque il vaut mieu peut être mieu dire jeune individus voyant une chose qu'il n'as jamais vue (dans ce cas une tente de camping) et a donc été intriger dans celle ci avant de découvrir qu'il y avait des personnes dedans et s'es enfuit.
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
@@yvanarnoux796 Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
au moyen âge on tuait aussi les chats noirs......il faut aussi vivre avec son temps, le loup en 2017 n'aura pas le même impact que ceux de l'an 1017 ! pourquoi ? ben ... regardez autour de vous !
si tu es seul dans la forêt face à une meute, aucune différence.
@@duboisfranck1798 tu parles de l'homme ou du loup?! je blague évidemment si ton cerveau arrive a suivre..
Si seulement vous aviez un peu de culture vous comprendrez mais bon quand on est mon toute ça vie.
Moi aussi j'aimerai que la chasse à l'homme soit ouverte je me demande combien de temps les fragile comme vous tiendrez, 2 semaines ?
Bien sûr ! Les loups se sont modernisés et le lait pousse naturellement sur les arbres !!
Vous êtes le genre de personne qui m’intrigue.. profondément debile et ou trop déconnecté de la réalité de production de nourriture ??
Les chats noirs mangent rarement les gens. Une dernière attaque d'un loup a été recensée dernièrement au Canada en 2021..
On pourrait aussi comparer le nombre d'êtres humains tués par d'autres humains (infanticide par exemple) et le nombre tué par des loups dans le monde. Le Loup peut-être charognard et donc manger un cadavre qu'il aura trouvé à l'occasion.
On parle d'attaques de prédation. Un prédateur attaque une proie vulnérable et isolée. C'est la nature.
Un enfant est constitué de chair et de sang donc il peut être tué et dévoré vivant. Et que peut faire un enfant pour sauver sa vie face à une meute ? Rien. Donc c'est facile pour le loup de s'en prendre à lui. Pourquoi s'embêter à dévorer des cadavres plus ou moins dégradés et parfois en partie dévorés ?
@@am5243 il dit lui même qu'il peut se tromper... Tous les gens qui disparaissent ne finissent pas dans l'estomac de loups. S'il dit qu'il peut se tromper c'est sûrement qu'un certain nombre de témoignages et déclarations peuvent être mis en doute. Après vérification dans d'autres pays où les loups sont encore présents, ils ont tendance à fuir les êtres humains et les attaques sont rares. Il y a même des gens qui relâchent ceux qui sont pris aux pièges. Je ne dit pas que les loups ne peuvent pas attaquer des êtres humains mais je pense que cela a été exagéré. TH-cam: freeing wolf ou wolf release.
@@parpaquetdesix7275 Il ne se prend pas pour Dieu, il fait preuve de modestie. Cela reste un scientifique. Il se base sur des sources écrites. On ne peut pas inventer des documents qui n'existent pas. Quand des centaines de sources vont dans le même sens, que l'on peut établir des statistiques en matière de typologie des victimes, cela veut quand même dire quelque chose. Le loup attaque des proies faciles quand elles sont le plus vulnérables. Un jeune berger isolé avec son troupeau est une proie facile. C'est juste logique dès lors que l'on accepte le fait que l'homme puisse être une proie pour un animal sauvage.
En France à l'heure actuelle, il semble se rapprocher de plus en plus de l'être humain. Il est même allé jusqu'à traquer un animal sauvage en plein village. Il a vachement peur de l'homme. En Russie, une meute de loups a attaqué (attaqué et dévoré) deux chiens dans la cour d'une maison il y a quelques années... Alors franchement, je crois qu'il faut arrêter de se faire des films.. Le loup a la capacité de perdre sa peur de l'homme cela s'appelle l'habituation.
n'importe quoi! viser le loup seulement pour les attaques. on oublie vite le droit de vivre! le loup à la crainte de l'homme! il est où le danger?! C'est pas avec des gens comme lui que le monde va changer!
Le loup a peur de l'homme??Premiere nouvelle!
Il faut d'abord visionner cette vidéo. Comment, avec la crainte de l'homme dont vous le parez, croquait-il à la meilleure époque et annuellement 500 enfants et femmes ?
Eh bien il les attaquait aux champs - alors qu'il y avait souvent des animaux domestiques à côté - en choisissant les victimes !
Heureusement qu'il en avait la crainte, car sinon ... Là où est né mon père, dans une paroisse de la Bresse, en 220 ans, 18 enfants et adolescents furent tout bonnement croqués. C'est Marboz, commune de l'Ain. Cette base de données est juste magnifique. Changer le monde si on peut, mais pas l'histoire, ce serait du révisionnisme !
Joël Cessio oui. ....TOUT LE MONDE A LE DROIT DE VIVRE. .....PROIE OU PRÉDATEUR. ....CHOISIS TON CAMP. .....
surtout que l'homme lui viole torture et gaze les, gens, les experience de la cia sur des gosse on en parle nooooon, mais un loup mange un mouton, c un crime!!!!!!! belle mentalité, mort aux anti-loups
Vive les loup si sa continue jvais faire un élevage ils sont chez eux on s'en fou des test adn truquer vive les hybride aussi
Encore un QI de 55...
Là, c'est du lourd !
Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
@@theonecafard Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques
@@dlys2216 Beaucoup d'oublies dans la conférence de Mr Moriceau : La il y a la preuve que c'était des chiens croisé avec des loups et chien également. Je suis Philippe isnel. Voici deux rapports d'autopsies qui prouvent qu'il y avait plusieurs bêtes du Gévaudan et c'était des chiens Mâtin croisé avec des loup, ou un chien Irish wolfhound croisé avec un loup. La lettre qui suit démontre assez bien qu’il y avait plusieurs Bêtes (bien avant celle tué par Mr Chastel) . La traduction du rapport Marin dans notre époque moderne est interressante ( bête tué par Chastel)..L'une des premiéres bêtes a été abattue par Mr Rainchard.
« Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne).
« Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons.
On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné. Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1). Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien.
Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un mâtin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque.
Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence !!! »
Il est vrai que les chasseurs de la vénerie étaient des spécialistes de ces chiens, donc, apte à reconnaître ce genre d’animal. Sur le site « Amis qui aiment la bête du Gévaudan » : Daniel Jumentier a publié de photos d’un vieux document, qui prouvent que les hommes de la vénerie de l’époque savaient très bien faire la différence entre un pied de loup et un pied de chien mâtin. Il y a bien du chien mâtin dans cette histoire.
Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou un chien mâtin, on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Coup de chance pour lui, ce loup avait également provoqué quelques attaques seulement (des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). La suite on l’a connait : d’autres chiens mâtin et chien mâtin croisé avec un loup, ont continué de faire un carnage. Le royaume de France n’apportera peut d’aide à la chasse des autres bêtes, après la mort de l’animal empaillé, ramené à Paris.
Cette analyse du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d’une des bêtes du Gévaudan : tout cela grâce à l’avancé de la science. Le rapport du notaire Marin sur les mesures des relevées de deux chirurgiens, faites sur la bête, date du 20 juin 1767 (Bête tué ce coup-ci, par Jean Chastel). Contrairement à l’époque, les scientifiques des années 2000 sont arrivés à une traduction exacte.
C’est normal, puisque nous sommes dans une époque moderne.
Commentaires orales, dans le film documentaire de David Teyssandier. « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA » : « Les mesures relevés par les anatomistes sont réunis dans le rapport du notaire Marin. Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Yenne ni un singe, ni tout autres animal exotique. »
Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large.
L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - une production « la compagnie des taxi-Brousse, France 3 INA ».) www.dinosoria.com/bete_gevaudan.htm : ce site de dinosoria, est également d’accord avec l’analyse qui vient d’être faite ci-dessus. Il en est de même pour d’autres vétérinaires (je leur avais soumis le rapport d’autopsie avec les mesures anatomiques