On va s'gêner - Pierre Bénichou fait son émission (14-01-2010)

แชร์
ฝัง
  • เผยแพร่เมื่อ 10 ธ.ค. 2024

ความคิดเห็น • 9

  • @dazai2146
    @dazai2146 ปีที่แล้ว +5

    Je vais m'attirer les foudres des fans mais aussi drôle fut-il parfois dans ses improvisations et la narration de ses péripéties (le chapeau, le jardin d’acclimatation, le rétroviseur accroché etc...), quel vieux con aigri c'était la Bénich ! Dans cette vidéo il me rend Miller presque sympathique.
    On passera sur Boltanski, même si ça vaut pas un tel emportement, mais ses remarques acerbes envers Titoff à chaque fois sur ses origines marseillaises alors qu'il est censé être un de ses plus proches amis... On sent le complexe de l'immigré juif algérien déraciné qui cherchait à faire croire qu'il était encore plus français que le général de Gaulle (un peu comme Zemmour finalement).
    Quand il était pas jaloux de mecs plus talentueux comme Jean Yann et même de la carrière au Monde de Claude Sarraute et du jeune Michalak avec son pognon amassé en produisant les Anges, c'était des critiques ras des pâquerettes, indignes d'un soit disant journaliste, des Beatles, de Michael Jackson et de Clint Eastwood, franchement... De la part du mec dont la carrière cinématographique se résumera à co-scénariste d'un navet absolu (Turf) et acteur coupé au montage dans un autre navet absolu (Tu veux ou tu veux pas) et qui devait sa légion d'honneur à l'amitié de son oncle avec François Mitterrand...
    Je pense qu'il avait pleinement conscience d'être un journaliste/écrivain/professeur d'université/scénariste/acteur raté. Un peu comme Gainsbourg qui était un pianiste classique/peintre/poète raté ce qui rendait ses apparitions publiques à la fin de sa vie assez pathétiques. Avant qu'on me saute dessus je précise que je me considère moi-même comme un raté, comme l'immense majorité des gens sur Terre finalement mais c'est pas la peine de déverser sa bile sur tout et tout le monde pour autant.
    Au final ne reste de Bénichou qu'un noctambule de chez Castel qui disait des conneries à la radio. Ruquier avait d’ailleurs dit au moment de sa disparition que Bénichou en avait un peu honte.

    • @SirDerpingston
      @SirDerpingston ปีที่แล้ว

      Incroyablement bien dit

    • @nihilconsortium5518
      @nihilconsortium5518 ปีที่แล้ว +4

      Il savait très bien que ses interventions étaient réactionnaires et il en jouait beaucoup...

    • @tertiototo9977
      @tertiototo9977 ปีที่แล้ว +2

      Tu oublies son côté cuistre. Ses 125 interventions pour dire "vous savez comment on dit route 66 en anglais ? Et bien on dit route et pas road !!!!!!!!!!!" à chaque occasion étaient particulièrement pathétiques. Rajoutons ses éclats de rire devant l'accent anglais de Ruquier, notamment ici avec snowboard, quand le sien consiste à mâcher ses mots et à marmonner dans sa barbe en articulant le moins possibile.
      Soit dit en passant, tu parles de "la carrière au Monde de Claude Sarraute", elle n'a rien de glorieuse non plus si on croit ce qu'elle raconte, je cite "J'ai fait boutique mon cul" en admettant que la majorité de ses articles étaient écrit par ses amants... Elle n'est pas vraiment un exemple de talent ou de méritocratie, elle doit tout à l'héritage de sa mère et aux promotions canapés...

    • @thibaultbilet6617
      @thibaultbilet6617 ปีที่แล้ว +9

      Parle a mon cul ma tete est malade ! Enfin les gars c' est du 3 eme degres dont il joue et parfois de la trompette alors quel drole de serieux de votre part a mon sens

    • @strato9223
      @strato9223 ปีที่แล้ว +7

      "Au final ne reste de Bénichou qu'un noctambule de chez Castel qui disait des conneries à la radio" ça me suffit amplement, un raté qui dit des conneries aussi drôles à la radio. Son hypothétique carrière de prof d'université ou de pseudo intellectuel, je n'en aurais rien su et rien eu à secouer. C'est comme Jacques Martin et son complexe vis à vis des acteurs, Kersauzon qui disait venir faire de la radio uniquement pour l'argent. Ils m'ont fait marrer comme aucun autre. Le reste, c'est de la littérature et du manque de second (voire troisième) degré.