Y a un vrai concept à creuser: "je déroule ma chronique" et l'invité en face, un comique, doit l'interrompre et être aussi drôle. L'impro entre les deux a été très bonne 😂 bravo à Philippe pour avoir su bien rebondir !
Comme on rigole sur RTL avec les pédophiles ! petit rappel... Extrait du livre La Mauvaise Vie, de Frédéric Mitterrand (Edition Robert Laffont, 360 p., 2005) "Le garçon marche dans la nuit à quelques pas devant moi. Pantalon de teinte sombre ajusté sur les hanches, étroit le long des jambes ; tee-shirt blanc qui colle au contour des épaules et à la ligne du dos ; bras nus, une Swatch au poignet, cheveux noirs avec des reflets brillants, dégagés sur la nuque. Démarche souple, allure tranquille, tout est beau, net, irréprochable. Il ne se retourne pas, il sait que je le suis et il devine sans doute que cet instant où je le regarde en profil perdu, de près et sans le toucher, me procure un plaisir violent. Il a l'habitude. C'est le quatrième depuis hier soir, j'ai voulu passer par un club que je ne connaissais pas encore avant de rentrer à l'hôtel et je l'ai aussitôt remarqué. Il n'y a que pour ceux qui ne les désirent pas qu'ils se ressemblent tous. Il se tenait comme les autres sur la petite scène, les mains croisées en arrière pour bien marquer le corps dans la lumière, en boxer short immaculé, le côté saint Jean-Baptiste qu'ils retrouvent instinctivement et que les pédés adorent, mais le visage fermement dessiné, l'expression avec du caractère, regard sans mièvrerie et sourire sans retape, un charme immédiat qui le détachait du groupe des enjôleurs professionnels. J'imaginais Tony Leung à vingt ans. Il a ri comme s'il avait gagné à la loterie quand j'ai fait appeler son numéro et lorsqu'il est venu près de moi, j'ai deviné brièvement l'odeur de sa peau, eau de Cologne légère et savon bon marché ; pas de ces parfums de duty free dont ils raffolent en général. Il avait l'air vraiment content d'aller avec moi ; j'ai senti qu'il serait vif et fraternel. Les rats qui grouillent dans la ruelle détalent à notre passage, les néons disparaissent derrière nous dans la pénombre, les remugles des poubelles s'estompent dans la chaleur poisseuse, et le vacarme assourdissant de la techno qui dégorge par les portes ouvertes de tous les autres clubs accentue cette impression de privation sensorielle où je concentre toute mon attention uniquement sur lui et sur ce que j'en attends. Mauvaise musique grossièrement frelatée au synthé sur des standards que l'on ne reconnaît plus mais dont le rythme infernal bombarde tout le quartier, fait chanceler entre excitation et hébétude et saoule le désir qui tambourine contre les tempes. Ça baisse un peu dans le souterrain qui mène au parking de l'hôtel. Il élève ses quinze étages de médiocre confort international au-dessus du flot populeux et du magma des boîtes et des gargotes, abritant une clientèle pas trop friquée de tour operators qui sort le jour en groupes serrés et tâte furtivement du grand frisson et de la rigolade à souvenirs avant de se coucher tôt derrière les doubles vitrages climatisés. Mais il plonge ses racines dans un sol autrement plus fertile : la sorte de grotte où le gang des chauffeurs de taxi se livre à des parties de cartes vociférantes dans une atmosphère de tripot pour films de kung-fu commande l'accès à une série de chambres sans fenêtre qui se louent ordinairement à l'heure, et pour longtemps, voire à perpétuité si on veut en finir et y mettre le prix. Ce n'est certainement pas le pire endroit pour mourir, anonymat et discrétion assurés. De vilains jeunes gens qui n'auraient eu aucune chance sur la rampe à numéros prennent leur revanche en s'affairant devant les caves à plaisir : ils détiennent les clefs, assurent la circulation qui peut être dense, relèvent les compteurs, font le ménage entre les passes. Plutôt sympatiques au demeurant : ils prétendent connaître tous les garçons par leurs noms et traitent les habitués à pourboires en jouant la comédie d'un service de palace. Le réduit et la salle de bains sont très propres : serviettes sous cellophane, housse en papier sur le lit sans drap, moquette neuve, ventilateur chromé, des miroirs un peu partout et même au plafond pour qui ça intéresse. Le room valet, comme il se désigne élégamment lui-même, fait une tentative pour me montrer comment marche la télévision et, jaugeant mon air apparemment défait, me propose à tout hasard des cassettes sans doute destinées à me ranimer. On rit un peu sans bien se comprendre, je lui refile les billets pour deux heures avec de quoi s'offrir une autre dent en or et il sort en chantonnant. Nous sommes seuls. Mon garçon n'a pas dit un mot, il se tient devant moi, immobile, le regard toujours aussi droit et son demi-sourire aux lèvres. J'ai tellement envie de lui que j'en tremble. RTL PédoRadio.
Mon pauvre Philou t as pas pu en placer une ce matin 😅🤣😅🤣😅🤣😅. Ça change de d habitude 😅🤣😅🤣😅🤣mdrrr. Bref il y en aura des meilleurs 🙏🙏🙏. Bon week-end à toute l équipe, je vous adore 😍❤️ Des gros bisous 😘❤️🌹
Comme on rigole sur RTL entre pédophiles ! petit rappel... Extrait du livre La Mauvaise Vie, de Frédéric Mitterrand (Edition Robert Laffont, 360 p., 2005) "Le garçon marche dans la nuit à quelques pas devant moi. Pantalon de teinte sombre ajusté sur les hanches, étroit le long des jambes ; tee-shirt blanc qui colle au contour des épaules et à la ligne du dos ; bras nus, une Swatch au poignet, cheveux noirs avec des reflets brillants, dégagés sur la nuque. Démarche souple, allure tranquille, tout est beau, net, irréprochable. Il ne se retourne pas, il sait que je le suis et il devine sans doute que cet instant où je le regarde en profil perdu, de près et sans le toucher, me procure un plaisir violent. Il a l'habitude. C'est le quatrième depuis hier soir, j'ai voulu passer par un club que je ne connaissais pas encore avant de rentrer à l'hôtel et je l'ai aussitôt remarqué. Il n'y a que pour ceux qui ne les désirent pas qu'ils se ressemblent tous. Il se tenait comme les autres sur la petite scène, les mains croisées en arrière pour bien marquer le corps dans la lumière, en boxer short immaculé, le côté saint Jean-Baptiste qu'ils retrouvent instinctivement et que les pédés adorent, mais le visage fermement dessiné, l'expression avec du caractère, regard sans mièvrerie et sourire sans retape, un charme immédiat qui le détachait du groupe des enjôleurs professionnels. J'imaginais Tony Leung à vingt ans. Il a ri comme s'il avait gagné à la loterie quand j'ai fait appeler son numéro et lorsqu'il est venu près de moi, j'ai deviné brièvement l'odeur de sa peau, eau de Cologne légère et savon bon marché ; pas de ces parfums de duty free dont ils raffolent en général. Il avait l'air vraiment content d'aller avec moi ; j'ai senti qu'il serait vif et fraternel. Les rats qui grouillent dans la ruelle détalent à notre passage, les néons disparaissent derrière nous dans la pénombre, les remugles des poubelles s'estompent dans la chaleur poisseuse, et le vacarme assourdissant de la techno qui dégorge par les portes ouvertes de tous les autres clubs accentue cette impression de privation sensorielle où je concentre toute mon attention uniquement sur lui et sur ce que j'en attends. Mauvaise musique grossièrement frelatée au synthé sur des standards que l'on ne reconnaît plus mais dont le rythme infernal bombarde tout le quartier, fait chanceler entre excitation et hébétude et saoule le désir qui tambourine contre les tempes. Ça baisse un peu dans le souterrain qui mène au parking de l'hôtel. Il élève ses quinze étages de médiocre confort international au-dessus du flot populeux et du magma des boîtes et des gargotes, abritant une clientèle pas trop friquée de tour operators qui sort le jour en groupes serrés et tâte furtivement du grand frisson et de la rigolade à souvenirs avant de se coucher tôt derrière les doubles vitrages climatisés. Mais il plonge ses racines dans un sol autrement plus fertile : la sorte de grotte où le gang des chauffeurs de taxi se livre à des parties de cartes vociférantes dans une atmosphère de tripot pour films de kung-fu commande l'accès à une série de chambres sans fenêtre qui se louent ordinairement à l'heure, et pour longtemps, voire à perpétuité si on veut en finir et y mettre le prix. Ce n'est certainement pas le pire endroit pour mourir, anonymat et discrétion assurés. De vilains jeunes gens qui n'auraient eu aucune chance sur la rampe à numéros prennent leur revanche en s'affairant devant les caves à plaisir : ils détiennent les clefs, assurent la circulation qui peut être dense, relèvent les compteurs, font le ménage entre les passes. Plutôt sympatiques au demeurant : ils prétendent connaître tous les garçons par leurs noms et traitent les habitués à pourboires en jouant la comédie d'un service de palace. Le réduit et la salle de bains sont très propres : serviettes sous cellophane, housse en papier sur le lit sans drap, moquette neuve, ventilateur chromé, des miroirs un peu partout et même au plafond pour qui ça intéresse. Le room valet, comme il se désigne élégamment lui-même, fait une tentative pour me montrer comment marche la télévision et, jaugeant mon air apparemment défait, me propose à tout hasard des cassettes sans doute destinées à me ranimer. On rit un peu sans bien se comprendre, je lui refile les billets pour deux heures avec de quoi s'offrir une autre dent en or et il sort en chantonnant. Nous sommes seuls. Mon garçon n'a pas dit un mot, il se tient devant moi, immobile, le regard toujours aussi droit et son demi-sourire aux lèvres. J'ai tellement envie de lui que j'en tremble. RTL PédoRadio.
Mais non ! Sa défense était de dire qu'il allait en Thaïlande pour rencontrer des hommes de son âge ! C'est bien connu, les pervers vont en Thaïlande pour cela !
@@SadSad-de2cy"en travaillant le cerveau" ??... et en travaillant tes cours de français, ça donne quoi ? Quand on veut jouer au-dessus de la mêlée, faut avoir le cul propre. Allez va te moucher, petit morveux !
C est lui qui disait qu au dessus de 16 ans c était dégueulasse??on invite ça sur rtl? Toi Philippe qui met un point d honneur à dénoncer la pédophilie???😮
Un peu épuisant Frédéric Mitterand qui sur- joue un rôle, la répartie c’est un vrai talent qu’il n’a malheureusement pas …. Je le croyais beaucoup plus fin que cela…. Dommage
aucun respect, que ce personnage est vulgaire et il se dit représentant de la culture française? ben à didons ça ne m’étonne pas du résultat de l’effondrement de celle-ci aujourd’hui c’est honteux de couper la parole à Philippe il sait très bien que c’est sa chronique quelle triste triste personnage fredo l’héritier par accident
Désolée, Monsieur Caverivière, j'adore vos chroniques et je les écoute toutes, mais là, non... Voir sur mon écran un abuseur d'enfants, de surcroît probablement issus de familles pauvres en Thaïlande, je ne peux pas. Comment des médias français peuvent-ils inviter des mecs qui ont fait ça?
La première fois que je ne vais pas jusqu'au bout d'une chronique de Caverivière tellement je suis dég... de voir et d'entendre celui qui décrit son tourisme se*uel en Thaïlande dans son roman autobiographique en ces termes ""La profusion de jeunes garçons très attrayants et immédiatement disponibles me met dans un état de désir que je n'ai plus besoin de réfréner ou d'occulter" ! On ne peut pas tout accepter et là, j'ai la nausée alors que d'habitude, c'est mon moment de rire de la journée.
Comment peut on tjrs admirer ce type qui aurait .... fait des choses pas très bien à des enfants ... Une honte !... vous avez la mémoire courte Philippe et tous les autres ...
Moi je l aime bien ce Frédéric mais si toutes les horreurs que je viens de lire s averent exactes alors je suis tres déçue de RTL !!! Et bien sûr de cet ancien ministre!!
Moi perso l'attitude de Mr Mitterrand me fait plutôt rire, je dirais en fait que c'est de bonne guerre car souvent les invités prennent cher avec Mr Caveriviere, la c'est un peu l'arroseur arrosé et ça lui a permis de sortir de sa zone de confort et de tester sa répartie 😂
Comme on rigole sur RTL entre pédophiles ! petit rappel... Extrait du livre La Mauvaise Vie, de Frédéric Mitterrand (Edition Robert Laffont, 360 p., 2005) "Le garçon marche dans la nuit à quelques pas devant moi. Pantalon de teinte sombre ajusté sur les hanches, étroit le long des jambes ; tee-shirt blanc qui colle au contour des épaules et à la ligne du dos ; bras nus, une Swatch au poignet, cheveux noirs avec des reflets brillants, dégagés sur la nuque. Démarche souple, allure tranquille, tout est beau, net, irréprochable. Il ne se retourne pas, il sait que je le suis et il devine sans doute que cet instant où je le regarde en profil perdu, de près et sans le toucher, me procure un plaisir violent. Il a l'habitude. C'est le quatrième depuis hier soir, j'ai voulu passer par un club que je ne connaissais pas encore avant de rentrer à l'hôtel et je l'ai aussitôt remarqué. Il n'y a que pour ceux qui ne les désirent pas qu'ils se ressemblent tous. Il se tenait comme les autres sur la petite scène, les mains croisées en arrière pour bien marquer le corps dans la lumière, en boxer short immaculé, le côté saint Jean-Baptiste qu'ils retrouvent instinctivement et que les pédés adorent, mais le visage fermement dessiné, l'expression avec du caractère, regard sans mièvrerie et sourire sans retape, un charme immédiat qui le détachait du groupe des enjôleurs professionnels. J'imaginais Tony Leung à vingt ans. Il a ri comme s'il avait gagné à la loterie quand j'ai fait appeler son numéro et lorsqu'il est venu près de moi, j'ai deviné brièvement l'odeur de sa peau, eau de Cologne légère et savon bon marché ; pas de ces parfums de duty free dont ils raffolent en général. Il avait l'air vraiment content d'aller avec moi ; j'ai senti qu'il serait vif et fraternel. Les rats qui grouillent dans la ruelle détalent à notre passage, les néons disparaissent derrière nous dans la pénombre, les remugles des poubelles s'estompent dans la chaleur poisseuse, et le vacarme assourdissant de la techno qui dégorge par les portes ouvertes de tous les autres clubs accentue cette impression de privation sensorielle où je concentre toute mon attention uniquement sur lui et sur ce que j'en attends. Mauvaise musique grossièrement frelatée au synthé sur des standards que l'on ne reconnaît plus mais dont le rythme infernal bombarde tout le quartier, fait chanceler entre excitation et hébétude et saoule le désir qui tambourine contre les tempes. Ça baisse un peu dans le souterrain qui mène au parking de l'hôtel. Il élève ses quinze étages de médiocre confort international au-dessus du flot populeux et du magma des boîtes et des gargotes, abritant une clientèle pas trop friquée de tour operators qui sort le jour en groupes serrés et tâte furtivement du grand frisson et de la rigolade à souvenirs avant de se coucher tôt derrière les doubles vitrages climatisés. Mais il plonge ses racines dans un sol autrement plus fertile : la sorte de grotte où le gang des chauffeurs de taxi se livre à des parties de cartes vociférantes dans une atmosphère de tripot pour films de kung-fu commande l'accès à une série de chambres sans fenêtre qui se louent ordinairement à l'heure, et pour longtemps, voire à perpétuité si on veut en finir et y mettre le prix. Ce n'est certainement pas le pire endroit pour mourir, anonymat et discrétion assurés. De vilains jeunes gens qui n'auraient eu aucune chance sur la rampe à numéros prennent leur revanche en s'affairant devant les caves à plaisir : ils détiennent les clefs, assurent la circulation qui peut être dense, relèvent les compteurs, font le ménage entre les passes. Plutôt sympatiques au demeurant : ils prétendent connaître tous les garçons par leurs noms et traitent les habitués à pourboires en jouant la comédie d'un service de palace. Le réduit et la salle de bains sont très propres : serviettes sous cellophane, housse en papier sur le lit sans drap, moquette neuve, ventilateur chromé, des miroirs un peu partout et même au plafond pour qui ça intéresse. Le room valet, comme il se désigne élégamment lui-même, fait une tentative pour me montrer comment marche la télévision et, jaugeant mon air apparemment défait, me propose à tout hasard des cassettes sans doute destinées à me ranimer. On rit un peu sans bien se comprendre, je lui refile les billets pour deux heures avec de quoi s'offrir une autre dent en or et il sort en chantonnant. Nous sommes seuls. Mon garçon n'a pas dit un mot, il se tient devant moi, immobile, le regard toujours aussi droit et son demi-sourire aux lèvres. J'ai tellement envie de lui que j'en tremble. RTL PédoRadio.
Tres aimable dand le tgv venant de Suisse ainsi qu'yves Calvi et tellement d'autres Philippe Leotard avait donné sa lampe de tournage a ma fille et fait ses confidences sur une grande artiste Stephan Eicher Gérard Lenormand Alain Jupe Olivier de Kersoson avec son petit chien etc 😂😂😂😂😂
A quel titre a t il été invité ? Pedophile? Violeur d enfants? Protégé ? Et vous riez de bon coeur avec lui...un peu déçue sur ce coup-la...il y a encore du boulot à faire visiblement 😢
@@arnaudmurat5443 Vous n'avez pas répondu à la question. J'ai pourtant bien cherché et je n'ai rien trouvé. Se tenir au courant est une chose, répandre une calomnie, une autre.
Bonjour de Belgique,,,,,une belle bataille de chefs ,,, un grand moment,,, avoir de l humour, c est avoir de la culture -,,, quand rachida dati etait passee sur le plateau, la aussi cela répliquait,,,,, bonne journée hugues
Pour la première fois je n ai pas aimé la chronique a cause d un invité vieux croulant qui essaie a tout prix de s accaparer le micro quand on le voit avacher sur le fauteuil houla il serait temps de penser a l ephad pour le bien des adultes des ados et des enfants
FM est excellent bien sûr, mais la grandeur (ou des fois la petitesse…) des invités est de laisser le showman dérouler son oeuvre, sinon … Bref je n’ai pas ri autant que d’hab……
Un grand ministre de la culture ? Non. En dehors de Malraux et son intellectuel, en dehors de Lang et son héritage, il n'y a pas eu d'autres grands ministres de la culture qu'on aime ces deux précédemment cités ou non.
Pôle emploi sa sere a rien les entreprises françaises n'ont pas de moyens pour payé un salarié jte présent le géant de commerce il vous dira la même chose
Pénible et irrespectueux, M Mitterrand ferait bien d'apprendre à se taire. En plus il n'est pas drôle lui ! Merci d'avoir gâché un bon moment pour les auditeurs parce que non, la radio RTL n'est pas là que pour vous et votre ego.
Deux gars qui aiment le Maroc mais pour des raisons différentes ,je l'espère pour Caveriviere
Dure de faire une chronique devant un tel bonhomme
On l'espère en effet !!
Trop fou ce duo inédit autant qu’inattendu 😂 Philippe gère comme un pro 😂👍🏽😘
Y a un vrai concept à creuser: "je déroule ma chronique" et l'invité en face, un comique, doit l'interrompre et être aussi drôle. L'impro entre les deux a été très bonne 😂 bravo à Philippe pour avoir su bien rebondir !
Comme on rigole sur RTL avec les pédophiles ! petit rappel...
Extrait du livre La Mauvaise Vie, de Frédéric Mitterrand (Edition Robert Laffont, 360 p., 2005)
"Le garçon marche dans la nuit à quelques pas devant moi. Pantalon de teinte sombre ajusté sur les hanches, étroit le long des jambes ; tee-shirt blanc qui colle au contour des épaules et à la ligne du dos ; bras nus, une Swatch au poignet, cheveux noirs avec des reflets brillants, dégagés sur la nuque. Démarche souple, allure tranquille, tout est beau, net, irréprochable. Il ne se retourne pas, il sait que je le suis et il devine sans doute que cet instant où je le regarde en profil perdu, de près et sans le toucher, me procure un plaisir violent. Il a l'habitude. C'est le quatrième depuis hier soir, j'ai voulu passer par un club que je ne connaissais pas encore avant de rentrer à l'hôtel et je l'ai aussitôt remarqué. Il n'y a que pour ceux qui ne les désirent pas qu'ils se ressemblent tous. Il se tenait comme les autres sur la petite scène, les mains croisées en arrière pour bien marquer le corps dans la lumière, en boxer short immaculé, le côté saint Jean-Baptiste qu'ils retrouvent instinctivement et que les pédés adorent, mais le visage fermement dessiné, l'expression avec du caractère, regard sans mièvrerie et sourire sans retape, un charme immédiat qui le détachait du groupe des enjôleurs professionnels. J'imaginais Tony Leung à vingt ans. Il a ri comme s'il avait gagné à la loterie quand j'ai fait appeler son numéro et lorsqu'il est venu près de moi, j'ai deviné brièvement l'odeur de sa peau, eau de Cologne légère et savon bon marché ; pas de ces parfums de duty free dont ils raffolent en général. Il avait l'air vraiment content d'aller avec moi ; j'ai senti qu'il serait vif et fraternel. Les rats qui grouillent dans la ruelle détalent à notre passage, les néons disparaissent derrière nous dans la pénombre, les remugles des poubelles s'estompent dans la chaleur poisseuse, et le vacarme assourdissant de la techno qui dégorge par les portes ouvertes de tous les autres clubs accentue cette impression de privation sensorielle où je concentre toute mon attention uniquement sur lui et sur ce que j'en attends. Mauvaise musique grossièrement frelatée au synthé sur des standards que l'on ne reconnaît plus mais dont le rythme infernal bombarde tout le quartier, fait chanceler entre excitation et hébétude et saoule le désir qui tambourine contre les tempes. Ça baisse un peu dans le souterrain qui mène au parking de l'hôtel. Il élève ses quinze étages de médiocre confort international au-dessus du flot populeux et du magma des boîtes et des gargotes, abritant une clientèle pas trop friquée de tour operators qui sort le jour en groupes serrés et tâte furtivement du grand frisson et de la rigolade à souvenirs avant de se coucher tôt derrière les doubles vitrages climatisés. Mais il plonge ses racines dans un sol autrement plus fertile : la sorte de grotte où le gang des chauffeurs de taxi se livre à des parties de cartes vociférantes dans une atmosphère de tripot pour films de kung-fu commande l'accès à une série de chambres sans fenêtre qui se louent ordinairement à l'heure, et pour longtemps, voire à perpétuité si on veut en finir et y mettre le prix. Ce n'est certainement pas le pire endroit pour mourir, anonymat et discrétion assurés. De vilains jeunes gens qui n'auraient eu aucune chance sur la rampe à numéros prennent leur revanche en s'affairant devant les caves à plaisir : ils détiennent les clefs, assurent la circulation qui peut être dense, relèvent les compteurs, font le ménage entre les passes. Plutôt sympatiques au demeurant : ils prétendent connaître tous les garçons par leurs noms et traitent les habitués à pourboires en jouant la comédie d'un service de palace. Le réduit et la salle de bains sont très propres : serviettes sous cellophane, housse en papier sur le lit sans drap, moquette neuve, ventilateur chromé, des miroirs un peu partout et même au plafond pour qui ça intéresse. Le room valet, comme il se désigne élégamment lui-même, fait une tentative pour me montrer comment marche la télévision et, jaugeant mon air apparemment défait, me propose à tout hasard des cassettes sans doute destinées à me ranimer. On rit un peu sans bien se comprendre, je lui refile les billets pour deux heures avec de quoi s'offrir une autre dent en or et il sort en chantonnant. Nous sommes seuls. Mon garçon n'a pas dit un mot, il se tient devant moi, immobile, le regard toujours aussi droit et son demi-sourire aux lèvres. J'ai tellement envie de lui que j'en tremble.
RTL PédoRadio.
Finalement, Caverivière se sentait mieux à Sochaux 😅
Le pauvre ! Courage, le week-end arrive !!
Et n'oublie pas qu'on un spa ici que Louis Bodins adorerait. Massage avec finition manuelle à la cancoillote ! 😂😂😂😂
🤣🤣🤣Tellement bien dit 😝
@@LedebatTV j'entends dans ma tête la flute du petit bambou! 😂😂😂😂😂
Excellent duel d'artistes associés
Alors là, Philippe c'est fait avoir...il a de la répartie Frederic 😂
@@IA_Information_Paris Merci Maître Capello.
@@IA_Information_Paris 😘
séfé
S'il pouvait se taire le Mitterand !!
C'est fait...
@@jerome8275à mon avis il va avoir le droit aux funérailles nationales 😂😂😂.. Avec en arrière-plan toutes ses victimes en photos.. 😂😂
Mon pauvre Philou t as pas pu en placer une ce matin 😅🤣😅🤣😅🤣😅. Ça change de d habitude 😅🤣😅🤣😅🤣mdrrr. Bref il y en aura des meilleurs 🙏🙏🙏. Bon week-end à toute l équipe, je vous adore 😍❤️ Des gros bisous 😘❤️🌹
Comme on rigole sur RTL entre pédophiles ! petit rappel...
Extrait du livre La Mauvaise Vie, de Frédéric Mitterrand (Edition Robert Laffont, 360 p., 2005)
"Le garçon marche dans la nuit à quelques pas devant moi. Pantalon de teinte sombre ajusté sur les hanches, étroit le long des jambes ; tee-shirt blanc qui colle au contour des épaules et à la ligne du dos ; bras nus, une Swatch au poignet, cheveux noirs avec des reflets brillants, dégagés sur la nuque. Démarche souple, allure tranquille, tout est beau, net, irréprochable. Il ne se retourne pas, il sait que je le suis et il devine sans doute que cet instant où je le regarde en profil perdu, de près et sans le toucher, me procure un plaisir violent. Il a l'habitude. C'est le quatrième depuis hier soir, j'ai voulu passer par un club que je ne connaissais pas encore avant de rentrer à l'hôtel et je l'ai aussitôt remarqué. Il n'y a que pour ceux qui ne les désirent pas qu'ils se ressemblent tous. Il se tenait comme les autres sur la petite scène, les mains croisées en arrière pour bien marquer le corps dans la lumière, en boxer short immaculé, le côté saint Jean-Baptiste qu'ils retrouvent instinctivement et que les pédés adorent, mais le visage fermement dessiné, l'expression avec du caractère, regard sans mièvrerie et sourire sans retape, un charme immédiat qui le détachait du groupe des enjôleurs professionnels. J'imaginais Tony Leung à vingt ans. Il a ri comme s'il avait gagné à la loterie quand j'ai fait appeler son numéro et lorsqu'il est venu près de moi, j'ai deviné brièvement l'odeur de sa peau, eau de Cologne légère et savon bon marché ; pas de ces parfums de duty free dont ils raffolent en général. Il avait l'air vraiment content d'aller avec moi ; j'ai senti qu'il serait vif et fraternel. Les rats qui grouillent dans la ruelle détalent à notre passage, les néons disparaissent derrière nous dans la pénombre, les remugles des poubelles s'estompent dans la chaleur poisseuse, et le vacarme assourdissant de la techno qui dégorge par les portes ouvertes de tous les autres clubs accentue cette impression de privation sensorielle où je concentre toute mon attention uniquement sur lui et sur ce que j'en attends. Mauvaise musique grossièrement frelatée au synthé sur des standards que l'on ne reconnaît plus mais dont le rythme infernal bombarde tout le quartier, fait chanceler entre excitation et hébétude et saoule le désir qui tambourine contre les tempes. Ça baisse un peu dans le souterrain qui mène au parking de l'hôtel. Il élève ses quinze étages de médiocre confort international au-dessus du flot populeux et du magma des boîtes et des gargotes, abritant une clientèle pas trop friquée de tour operators qui sort le jour en groupes serrés et tâte furtivement du grand frisson et de la rigolade à souvenirs avant de se coucher tôt derrière les doubles vitrages climatisés. Mais il plonge ses racines dans un sol autrement plus fertile : la sorte de grotte où le gang des chauffeurs de taxi se livre à des parties de cartes vociférantes dans une atmosphère de tripot pour films de kung-fu commande l'accès à une série de chambres sans fenêtre qui se louent ordinairement à l'heure, et pour longtemps, voire à perpétuité si on veut en finir et y mettre le prix. Ce n'est certainement pas le pire endroit pour mourir, anonymat et discrétion assurés. De vilains jeunes gens qui n'auraient eu aucune chance sur la rampe à numéros prennent leur revanche en s'affairant devant les caves à plaisir : ils détiennent les clefs, assurent la circulation qui peut être dense, relèvent les compteurs, font le ménage entre les passes. Plutôt sympatiques au demeurant : ils prétendent connaître tous les garçons par leurs noms et traitent les habitués à pourboires en jouant la comédie d'un service de palace. Le réduit et la salle de bains sont très propres : serviettes sous cellophane, housse en papier sur le lit sans drap, moquette neuve, ventilateur chromé, des miroirs un peu partout et même au plafond pour qui ça intéresse. Le room valet, comme il se désigne élégamment lui-même, fait une tentative pour me montrer comment marche la télévision et, jaugeant mon air apparemment défait, me propose à tout hasard des cassettes sans doute destinées à me ranimer. On rit un peu sans bien se comprendre, je lui refile les billets pour deux heures avec de quoi s'offrir une autre dent en or et il sort en chantonnant. Nous sommes seuls. Mon garçon n'a pas dit un mot, il se tient devant moi, immobile, le regard toujours aussi droit et son demi-sourire aux lèvres. J'ai tellement envie de lui que j'en tremble.
RTL PédoRadio.
Bravo Philippe d’être resté respectueux face à un tel melon.
J'adore l'article du Point numérique, consacré à ce pique-assiette.. :"il aura goûté à tous les moyens d'expression" ça pour goûter.. 😂😂
Il ne peut pas fermer sa gueule le Mitterand….. il m’as flingué la chronique.
Rien sur son amour des petits marocains,Phiphi t'es resté modeste
Bien d'accord
Super la chronique Interactive !!!
@wd2644.
Ben au moins il est interactif.
Comment se fait-il que cet individu soit toujours invité sur des plateaux !? C'est incompréhensible et douteux...
Philippe tu assures comme un chef face à Frederic, quel sang froid😂🤣🤣
Face a cette ordure !!
Il aurait fallu aborder le thème de la pédophilie voir s il avait quelque chose à dire à ce sujet
j’en suis sûr qu’il se serait réjouit de raconter ces petites cachoteries ❤😅
Mais non ! Sa défense était de dire qu'il allait en Thaïlande pour rencontrer des hommes de son âge ! C'est bien connu, les pervers vont en Thaïlande pour cela !
Quelle honte qu'il soit encore invité où que ce soit. Notre pays a décidément un problème avec la pédophilie
@@jordantoulalan4444 non jpense que le probleme c est plutot de où tu viens. Il s appellerai mohamed ou samir, il serait en taule
Si vous n aimez pas ..... ne degoutez pas les autres !😅@@jordantoulalan4444
Je garde cette chronique. Trouve bien. Merci à tous
C'est plutôt Mitterrand face à Caverivière cette fois-ci non ? 😅
Ex ministre.. Envoyé spécial de Limoges....
Il lui a bousillé sa chronique le Mitterrand , moi je lui aurais demandé le silence !!!!
Et sinon la pedophilie on en parle?
Decu qu'RTL invite ce truc
Oui, parles-en ! Dis-nous ce que tu sais.
Jamais il ne la ferme ce lourd, pénible à écouter cette chronique.
C'est un autre niveau d'humour. En travaillant le cerveau, tu y arriveras ,. Peut être.
@@SadSad-de2cy"en travaillant le cerveau" ??... et en travaillant tes cours de français, ça donne quoi ?
Quand on veut jouer au-dessus de la mêlée, faut avoir le cul propre. Allez va te moucher, petit morveux !
Pas top , à cause de l ' invité
Les 10% de Sarko ! Trop fort ce Frédéric 😂🎉
Cette merde de mittrand 😂😂
😂😂😂la fifi national tu a eu un vrais adversaire Frédéric Mitterrand trop bien je dirais même trop drôle j adore 😂😂😂😂😂😂
9 têtes jaunes seulement ?!
Ha?Il est plus en Thaïlande pour se faire defoncer l’oignon lui?
Quand est ce que vous invitez gabriel marzneff pour faire une chronique sur les jeunes filles a la sortie de lecole ???
C est lui qui disait qu au dessus de 16 ans c était dégueulasse??on invite ça sur rtl? Toi Philippe qui met un point d honneur à dénoncer la pédophilie???😮
Désolé, je ne suis pas aller jusqu'au bout de la vidéo. C'est la première fois.
"pas aller" à l'école non plus, hein ?
Pathétique de couper la parole comme ça au chroniqueur ! Quel manque de respect. 😮
Il le fait exprès le pédof'
Désoler Philippe mais c'est impossible de regarder cette chronique, jamais la ferme melonman 🤬🤬
C'est ça les pédophiles !!
Bravo Philippe d'avoir gardé votre calme face à cet invité peu respectueux de votre temps de parole.
Il commence à être ramolli, il faudrait passer à autre chose.
Délicieux 😂🎉 beau duo humoristique 😅
Personne n'a osé évoquer ses voyages pédophiles en Thaïlande
Il est mort... mes condoléances
... bon des enfants seront sauvés !
Terrible chronique!!!!
Fantastique de jouer du Claude Leveillé
Les duos, c'est avec Frédéric Mitterrand et non Alex que tu devrais les faire 😅
Quel humour ! Quel talent ! Je parle de F Mitterrand bien sûr .
Il y aura aucune pitié pour les insolents
Putain mitterand, il lui a niqué sa chronique ! Aussi drôles l'un que l'autre 😂
Grave!!!😂😂😂😂
Le cheveu dans la soupe le chewing-gum dans les spaghetti 😂
2 bons reunis,rare, à savourer.
Un peu épuisant Frédéric Mitterand qui sur- joue un rôle, la répartie c’est un vrai talent qu’il n’a malheureusement pas …. Je le croyais beaucoup plus fin que cela…. Dommage
😂😂😊😊😅bon week-end a tous 😂😂😂a lundi😅😅😅
aucun respect, que ce personnage est vulgaire
et il se dit représentant de la culture française? ben à didons ça ne m’étonne pas du résultat de l’effondrement de celle-ci aujourd’hui
c’est honteux de couper la parole à Philippe il sait très bien que c’est sa chronique
quelle triste triste personnage fredo l’héritier par accident
Jolie repatie de notre Phiphie
" venez nous voir plus souvent " Par pitié NON
Très beau duo,un régal
Nos prisons plein de bonne personnes pendant que d autre en liberté.
Et bé, quelle chronique !...
Exceptionnel
Désolée, Monsieur Caverivière, j'adore vos chroniques et je les écoute toutes, mais là, non... Voir sur mon écran un abuseur d'enfants, de surcroît probablement issus de familles pauvres en Thaïlande, je ne peux pas. Comment des médias français peuvent-ils inviter des mecs qui ont fait ça?
En plus il saurait sur son fauteuil il avait quelques choses ki lui rentrait dans son luc 😂
son nom de famille y est pour beaucoup ; selon que vous serez riches ou puissant...
le jovial et primesautier A. Kohler, plus pincé et collet monté, on meurt effectivement
La première fois que je ne vais pas jusqu'au bout d'une chronique de Caverivière tellement je suis dég... de voir et d'entendre celui qui décrit son tourisme se*uel en Thaïlande dans son roman autobiographique en ces termes ""La profusion de jeunes garçons très attrayants et immédiatement disponibles me met dans un état de désir que je n'ai plus besoin de réfréner ou d'occulter" !
On ne peut pas tout accepter et là, j'ai la nausée alors que d'habitude, c'est mon moment de rire de la journée.
Enfin où Philippe , il n a pu faire ,sa chronique...merci mr Mitterrand 😂
La vieillesse est décidément (dans ce cas précis) un naufrage…
Frédéric Mitterand devrait nous faire rire plus souvent à RTL ou ailleurs...
J'ai pas aimé...
Quand un invité est un gros relou...je zappe
Elle a été gâcher ta chronique Philippe 🤨
Dommage 😬
Merci de ne plus l'invité celui-là 😠
Vivement Lundi 🙏🏻
Bon week-end à tous 😘
En matière de culture révisez vos conjugaisons...
J’ai cru qu’il était bourré le Fredo 😅
Comment peut on tjrs admirer ce type qui aurait ....
fait des choses pas très bien
à des enfants ...
Une honte !... vous avez la mémoire courte Philippe et tous les autres ...
Merci de le rappeler .
Bravo Philippe mais comment osez vous encore inviter cette affreux personnage. J'ai coupé avant la fin j'ai envie de vo...........
De même .
idem pour moi :((
Je ne suis même pas allé au bout trop chiants ces invités qui se sentent obligé de répondre à tout pendant une chronique de 5 minutes ..
Moi je l aime bien ce Frédéric mais si toutes les horreurs que je viens de lire s averent exactes alors je suis tres déçue de RTL !!! Et bien sûr de cet ancien ministre!!
Moi perso l'attitude de Mr Mitterrand me fait plutôt rire, je dirais en fait que c'est de bonne guerre car souvent les invités prennent cher avec Mr Caveriviere, la c'est un peu l'arroseur arrosé et ça lui a permis de sortir de sa zone de confort et de tester sa répartie 😂
Comme on rigole sur RTL entre pédophiles ! petit rappel...
Extrait du livre La Mauvaise Vie, de Frédéric Mitterrand (Edition Robert Laffont, 360 p., 2005)
"Le garçon marche dans la nuit à quelques pas devant moi. Pantalon de teinte sombre ajusté sur les hanches, étroit le long des jambes ; tee-shirt blanc qui colle au contour des épaules et à la ligne du dos ; bras nus, une Swatch au poignet, cheveux noirs avec des reflets brillants, dégagés sur la nuque. Démarche souple, allure tranquille, tout est beau, net, irréprochable. Il ne se retourne pas, il sait que je le suis et il devine sans doute que cet instant où je le regarde en profil perdu, de près et sans le toucher, me procure un plaisir violent. Il a l'habitude. C'est le quatrième depuis hier soir, j'ai voulu passer par un club que je ne connaissais pas encore avant de rentrer à l'hôtel et je l'ai aussitôt remarqué. Il n'y a que pour ceux qui ne les désirent pas qu'ils se ressemblent tous. Il se tenait comme les autres sur la petite scène, les mains croisées en arrière pour bien marquer le corps dans la lumière, en boxer short immaculé, le côté saint Jean-Baptiste qu'ils retrouvent instinctivement et que les pédés adorent, mais le visage fermement dessiné, l'expression avec du caractère, regard sans mièvrerie et sourire sans retape, un charme immédiat qui le détachait du groupe des enjôleurs professionnels. J'imaginais Tony Leung à vingt ans. Il a ri comme s'il avait gagné à la loterie quand j'ai fait appeler son numéro et lorsqu'il est venu près de moi, j'ai deviné brièvement l'odeur de sa peau, eau de Cologne légère et savon bon marché ; pas de ces parfums de duty free dont ils raffolent en général. Il avait l'air vraiment content d'aller avec moi ; j'ai senti qu'il serait vif et fraternel. Les rats qui grouillent dans la ruelle détalent à notre passage, les néons disparaissent derrière nous dans la pénombre, les remugles des poubelles s'estompent dans la chaleur poisseuse, et le vacarme assourdissant de la techno qui dégorge par les portes ouvertes de tous les autres clubs accentue cette impression de privation sensorielle où je concentre toute mon attention uniquement sur lui et sur ce que j'en attends. Mauvaise musique grossièrement frelatée au synthé sur des standards que l'on ne reconnaît plus mais dont le rythme infernal bombarde tout le quartier, fait chanceler entre excitation et hébétude et saoule le désir qui tambourine contre les tempes. Ça baisse un peu dans le souterrain qui mène au parking de l'hôtel. Il élève ses quinze étages de médiocre confort international au-dessus du flot populeux et du magma des boîtes et des gargotes, abritant une clientèle pas trop friquée de tour operators qui sort le jour en groupes serrés et tâte furtivement du grand frisson et de la rigolade à souvenirs avant de se coucher tôt derrière les doubles vitrages climatisés. Mais il plonge ses racines dans un sol autrement plus fertile : la sorte de grotte où le gang des chauffeurs de taxi se livre à des parties de cartes vociférantes dans une atmosphère de tripot pour films de kung-fu commande l'accès à une série de chambres sans fenêtre qui se louent ordinairement à l'heure, et pour longtemps, voire à perpétuité si on veut en finir et y mettre le prix. Ce n'est certainement pas le pire endroit pour mourir, anonymat et discrétion assurés. De vilains jeunes gens qui n'auraient eu aucune chance sur la rampe à numéros prennent leur revanche en s'affairant devant les caves à plaisir : ils détiennent les clefs, assurent la circulation qui peut être dense, relèvent les compteurs, font le ménage entre les passes. Plutôt sympatiques au demeurant : ils prétendent connaître tous les garçons par leurs noms et traitent les habitués à pourboires en jouant la comédie d'un service de palace. Le réduit et la salle de bains sont très propres : serviettes sous cellophane, housse en papier sur le lit sans drap, moquette neuve, ventilateur chromé, des miroirs un peu partout et même au plafond pour qui ça intéresse. Le room valet, comme il se désigne élégamment lui-même, fait une tentative pour me montrer comment marche la télévision et, jaugeant mon air apparemment défait, me propose à tout hasard des cassettes sans doute destinées à me ranimer. On rit un peu sans bien se comprendre, je lui refile les billets pour deux heures avec de quoi s'offrir une autre dent en or et il sort en chantonnant. Nous sommes seuls. Mon garçon n'a pas dit un mot, il se tient devant moi, immobile, le regard toujours aussi droit et son demi-sourire aux lèvres. J'ai tellement envie de lui que j'en tremble.
RTL PédoRadio.
Trop drôle ce duo inattendu
Ce qui est sûr c est que Frédéric n'était pas muet😂 Notre Philippe imperturbable 🤩😉
Tres aimable dand le tgv venant de Suisse ainsi qu'yves Calvi et tellement d'autres Philippe Leotard avait donné sa lampe de tournage a ma fille et fait ses confidences sur une grande artiste Stephan Eicher Gérard Lenormand Alain Jupe Olivier de Kersoson avec son petit chien etc 😂😂😂😂😂
Houla la...
A quel titre a t il été invité ? Pedophile? Violeur d enfants? Protégé ? Et vous riez de bon coeur avec lui...un peu déçue sur ce coup-la...il y a encore du boulot à faire visiblement 😢
Pour le calmer un peu et finir la chronique tranquille, il aurait fallu lui parler de pédophilie dès le début 😉😁🤫
Qui a dit qu'il est pédophile ?
@@dominiquelouis179 🤣🤣🤣
Faut se tenir au courant un minimum
@@arnaudmurat5443 Vous n'avez pas répondu à la question. J'ai pourtant bien cherché et je n'ai rien trouvé. Se tenir au courant est une chose, répandre une calomnie, une autre.
J'ai mis un like pour Philippe. Et je ne dirai pas tout ce que je pense de l':autre☹️
@monique girolet4541.
Ça tombe bien parce qu’on s’en fout royalement.
@@ac8907 non on s'en fout pas !
@@emmymaric
Ah bon ? et de quoi ?
@@ac8907 de ce que Monique Girolet pense de FMitterand ! 😷
@@emmymaric
Oui et ?
4:20 "le renflement brun" : Fréderic n'a pas entendu ou pas compris
Pénible, le Mitterand...
Super ce duo Philippe avait du mal à en.placer une 😂
Bonjour de Belgique,,,,,une belle bataille de chefs ,,, un grand moment,,, avoir de l humour, c est avoir de la culture -,,, quand rachida dati etait passee sur le plateau, la aussi cela répliquait,,,,, bonne journée hugues
Chuuuuut !!!! F.Mitterrand
Pour la première fois je n ai pas aimé la chronique a cause d un invité vieux croulant qui essaie a tout prix de s accaparer le micro quand on le voit avacher sur le fauteuil houla il serait temps de penser a l ephad pour le bien des adultes des ados et des enfants
Ha Mr Frédéric Mitterrand !!! Ça c'était un vrai ministre de la culture ! Mais en comique il est très bon aussi 😂😂 bravo à vous deux 😂
Et en voyageur de tourisme se.x.u.el aussi. Je ne dissocie pas vu qu'il s'en est vanté dans ses torchons, en toute impunité.
Il a mal au cul Frédérique Mitterrand a sautillé sur sa chaise comme ça ?
que va t il dire de la nouvelle ministre culture
super duo ce jour, bravo à vous 2
FM est excellent bien sûr, mais la grandeur (ou des fois la petitesse…) des invités est de laisser le showman dérouler son oeuvre, sinon … Bref je n’ai pas ri autant que d’hab……
Excellent 😂
Quel misère ce type. Fallait pas l'inviter...
ça va F. M on fait toujours honneur au tourisme sexuel comme tu l'as si bien raconté dans tes livres ? S
Excellent ! Enfin un homme cultivé
Un grand ministre de la culture ? Non. En dehors de Malraux et son intellectuel, en dehors de Lang et son héritage, il n'y a pas eu d'autres grands ministres de la culture qu'on aime ces deux précédemment cités ou non.
Bravo!😂😂😂😂😂😂😅😅😅😅
Sa chronique elle est mourue 😅
Contente de voir qu’il aille mieux.
La chimiothérapie faisait mal en effet, on le souhaite à personne en général
Pôle emploi sa sere a rien les entreprises françaises n'ont pas de moyens pour payé un salarié jte présent le géant de commerce il vous dira la même chose
Pénible et irrespectueux, M Mitterrand ferait bien d'apprendre à se taire. En plus il n'est pas drôle lui ! Merci d'avoir gâché un bon moment pour les auditeurs parce que non, la radio RTL n'est pas là que pour vous et votre ego.
@user-xv4xj5ck4k.
Ben c’est lui l’invité il a le droit de répartie et pas toi à priori.
Frédéric Mitterand est partout pour le moment...ça en dit long...😛😒😏😒🙄
Et?
Face a la pedophilie 🎉
je m'excuse c'est très impoli et narcissique !
Magnifique