Très émouvant poème sur le thème du temps qui passe, de la vie qui s'écoule, de la fin qui approche, avec pour thème central la mer, l'au-delà de la mer...
Merci pour ce partage, chère Colette. Je reste comme suspendue après le dernier mot à la beauté, à la profondeur du texte qui m'a profondément émue . J'apprécie la justesse et la puissance de l'interprétation qui en a été donnée . Une symbiose parfaite dans l'excellence...
Ce poème est d'une force! Il peut être lu et relu en apportant toujours au monde. La lecture, juste parce que sobre et vivante, simple et vibrante, le sert admirablement. Merci.
Merci de votre aimable appréciation ! Mais le mérite appartient toujours au texte et, partant, à son auteur. Si vous êtes bien Colette Gibelin, l'auteur de cette poésie et de tant d'autres qui me touchent profondément, sachez que votre commentaire a pour moi une saveur particulière. C'est donc moi qui vous dois de sincères remerciements.
@@Leliusyt Votre message me fait plaisir, et me permet d'établir le contact, votre pseudonyme énigmatique m'ayant jusqu'ici laissée sur ma soif d'échanges. Si le texte, certes, est important, son interprétation est fondamentale pour qu'il puisse toucher au coeur. J'ai beaucoup aimé la vôtre. Elle est sobre, sans effets de manche, et cependant n'est pas neutre, mais vibrante. Equilibre difficile à trouver pour un diseur. Vous le trouvez. D'habitude, je préfère dire moi-même mes poèmes, ce que je fais, parait-il, assez bien. Mais cette fois je préfère ce poème dit par vous. Vous avez une voix très porteuse. Par ailleurs je trouve que vous choisissez avec beaucoup de pertinence les musiques (j'ai beaucoup aimé la musique de Pietro Roffi) et les images qui accompagnent. Et bien sûr je ne parle pas uniquement pour mon poème, j'ai regardé plusieurs de vos vidéos, et je découvre votre blog, très intéressant et d'une grande richesse. Vous faites un très beau travail de passeur. Merci vraiment pour la poésie, si difficile à faire entendre de nos jours. Amitiés. Colette Gibelin
@@colettegibelin8057 Merci pour votre message ô combien sympathique et encourageant. Je le reçois comme un hommage à la sincérité de ma démarche en poésie, libre et désintéressée. A ce propos il me plait toujours de me définir par cette phrase de Cioran que j’ai faite mienne : « je suis poète par tous les vers que je n’ai jamais écrits. » Pour lever le « mystère » de mon pseudonyme : « Leliusyt » : « yt » pour TH-cam - affaire de circonstances - ; mais « Lelius » parce que depuis ma découverte du traité de l’amitié d’un certain Cicéron, il y a fort longtemps, sur les bancs du collège, ne s’est jamais éteinte ma précoce mais profonde affinité avec le propos que le grand avocat romain transmet à travers la parole de son personnage principal, Laelius. 80 ans avant Cicéron, le Laelius que fait revivre l’auteur était le grand ami de Scipion Émilien, et avait acquis à Rome une solide réputation d’honnête homme, modéré et désintéressé... De tels modèles existent-ils encore ? Et si oui, y a-t-il encore des prétendants à l’imitation ? Bien amicalement !
@@Leliusyt Bonjour Lelius, et merci de m'avoir expliqué votre pseudonyme. Il ne faut pas, je crois, être trop misanthrope, même si l'époque nous y incite, car ça casse l'élan. L'honnête homme, ou l'honnête femme, est toujours là, en nombre. Seulement ils ne prennent pas les feux de la rampe, car notre belle société préfère les tonitruants, ceux qui font beaucoup de bruit pour rien, ou pour leurs intérêts, argent ou pouvoir. Mais nous sommes nombreux à résister à ces sirènes là, à faire notre petit travail dans notre coin, en honnête homme, ou femme. Ayons confiance. Bonne journée.
![[Live] : ONE 168 วันนี้!! "โจนาธาน vs ซุปเปอร์เล็ก"](http://i.ytimg.com/vi/0jIN65KgJsI/mqdefault.jpg)
Merci pour ce partage, chère Colette. Je reste comme suspendue après le dernier mot à la beauté, à la profondeur du texte qui m'a profondément émue . J'apprécie la justesse et la puissance de l'interprétation qui en a été donnée . Une symbiose parfaite dans l'excellence...
Ce poème est d'une force! Il peut être lu et relu en apportant toujours au monde. La lecture, juste parce que sobre et vivante, simple et vibrante, le sert admirablement. Merci.
Merci d'avoir apprécié. Quand les mots sont si forts l'interprète se doit d'être le plus transparent possible.
Merci et bravo pour cette interprétation, que je trouve très réussie.
Merci de votre aimable appréciation ! Mais le mérite appartient toujours au texte et, partant, à son auteur. Si vous êtes bien Colette Gibelin, l'auteur de cette poésie et de tant d'autres qui me touchent profondément, sachez que votre commentaire a pour moi une saveur particulière. C'est donc moi qui vous dois de sincères remerciements.
@@Leliusyt
Votre message me fait plaisir, et me permet d'établir le contact, votre pseudonyme énigmatique m'ayant jusqu'ici laissée sur ma soif d'échanges. Si le texte, certes, est important, son interprétation est fondamentale pour qu'il puisse toucher au coeur. J'ai beaucoup aimé la vôtre. Elle est sobre, sans effets de manche, et cependant n'est pas neutre, mais vibrante. Equilibre difficile à trouver pour un diseur. Vous le trouvez. D'habitude, je préfère dire moi-même mes poèmes, ce que je fais, parait-il, assez bien. Mais cette fois je préfère ce poème dit par vous. Vous avez une voix très porteuse.
Par ailleurs je trouve que vous choisissez avec beaucoup de pertinence les musiques (j'ai beaucoup aimé la musique de Pietro Roffi) et les images qui accompagnent. Et bien sûr je ne parle pas uniquement pour mon poème, j'ai regardé plusieurs de vos vidéos, et je découvre votre blog, très intéressant et d'une grande richesse.
Vous faites un très beau travail de passeur. Merci vraiment pour la poésie, si difficile à faire entendre de nos jours. Amitiés. Colette Gibelin
@@colettegibelin8057
Merci pour votre message ô combien sympathique et encourageant. Je le reçois comme un hommage à la sincérité de ma démarche en poésie, libre et désintéressée.
A ce propos il me plait toujours de me définir par cette phrase de Cioran que j’ai faite mienne : « je suis poète par tous les vers que je n’ai jamais écrits. »
Pour lever le « mystère » de mon pseudonyme : « Leliusyt » : « yt » pour TH-cam - affaire de circonstances - ; mais « Lelius » parce que depuis ma découverte du traité de l’amitié d’un certain Cicéron, il y a fort longtemps, sur les bancs du collège, ne s’est jamais éteinte ma précoce mais profonde affinité avec le propos que le grand avocat romain transmet à travers la parole de son personnage principal, Laelius.
80 ans avant Cicéron, le Laelius que fait revivre l’auteur était le grand ami de Scipion Émilien, et avait acquis à Rome une solide réputation d’honnête homme, modéré et désintéressé... De tels modèles existent-ils encore ? Et si oui, y a-t-il encore des prétendants à l’imitation ?
Bien amicalement !
@@Leliusyt Bonjour Lelius, et merci de m'avoir expliqué votre pseudonyme.
Il ne faut pas, je crois, être trop misanthrope, même si l'époque nous y incite, car ça casse l'élan.
L'honnête homme, ou l'honnête femme, est toujours là, en nombre. Seulement ils ne prennent pas les feux de la rampe, car notre belle société préfère les tonitruants, ceux qui font beaucoup de bruit pour rien, ou pour leurs intérêts, argent ou pouvoir. Mais nous sommes nombreux à résister à ces sirènes là, à faire notre petit travail dans notre coin, en honnête homme, ou femme. Ayons confiance.
Bonne journée.