Cette dégénérescence progressive, je ne peux pas m'en échapper. Piégé par cette toile chaotique et sublimement parfaite. Rythmé par un clip qui m'hypnotise.
Chacun de mes soirs, à regarder les lampadaires sous tram. Je ressens tellement les regards perdus des deux personnages au début du court-métrage. Je ne te remercierais jamais assez pour ce chef d'œuvre.
Je n'arrive pas à me sortir de cette musique et de ce clip. Ca fait 5 mois que je l'écoute tous les jours. Pure moment de déclin, de chaos et de beauté
Ses yeux. Deux perles de galaxies printanières et pétillantes d’éclats automnales. Perfide tentation de nos pulsions et vorace faiblesse de nos cœurs. Une sublime création. Un frelon regard qui entravait mes doutes de chaînes d’amour. Un portrait scellé parmi mes pensées d’un phosphène éternel.
Les lucioles tournoyaient autour de moi. Des brins de lumière éphémères qui tournicotaient dans l’obscurité de mes pas. Elles tapissaient mon chemin d’étoiles radieuses et d’astres brillants. Des milliers de lueurs mouvantes au gré de mes pensées. Je suis seul et pourtant je les sens près de moi, leurs essences douces et chaudes me caresser la peau. Un sourire aveugle, je marche sous ses amas infinis qui décrivent des formes harmonieuses peu importe le trait. Puis à l’approche d’une fin imminente ou d’un début merveilleux , je me mets à danser de mes mains invisibles et de mes jambes aux courbures féériques. Un soulagement profond devant des constellations aux cœurs éclairés. Elle m’avait dit jusqu’au dernier moment que tout ira bien et qu’ils étaient là pour moi. Mais à présent j’aimerais leur dire à eux aussi que tout ira bien. Leur parler avec de réconforts mensonges. L’inconnu nous effraie bien plus que de fausses promesses. Heureusement que la vérité est bien plus belle. “ Teslee… merci… merci pour tes mots… je t'attendrai ici haut… même si j’ignore si mes prières puissent te parvenir encore.” Des larmes. Brûlantes. Agréables. La voilà la véritable clarté qui m'apparaît.
J'attends le Train et Inlassablement, je regarde les rails, Le regard flou mais les pensées nettes. Elles m'attirent à elles tel un chant de sirènes . J'ai la tête lourde, le corps fatigué et des jambes rythmés par la musique. Un pas de plus dans la folie, un pas de plus dans la noirceur de la nuit, un pas de plus et tout changera pour toujours.
Lente agonie entre les ombres de la nuit Mais frileuse accalmie d’un désarroi sans bruit Les grains du temps résonnent dans l’éternité Mais tous nos actes mènent à notre fatalité La bave noirâtre s’étendait de ma gorge à ma vision Et je lançai un ultime regard au tableau létal Des visages familiers troublèrent ma conclusion Ils étaient comme peignés sur la coupole astrale
Tard la Lune Debout face à la lune, le visage calme et endetté, La fumée brumait mes lacunes sous ce vent suscité. Comme un cœur ouvert réchauffé par son air, Elle me regardait nue loin de mes travers, Et non sans plaisir de me prendre les mains, Mélodie simple ternie sous un corps malsain. Mes jours devenaient fossiles et mes nuits faucilles, Devant la vie, je suis le valet qui vacille, Mais je la regardait elle entre ses filles, Brille, brille dans la nuit, l'accalmie qui frétille. La voilà, mélancolie sauvage de mon engrenage, Le sciage métaphase de mon poète sage.
Elle est partie tôt dans la soirée. Pourtant familière et toujours bien venue, elle me quitte sans arrêts et ne reste en ma compagnie que de moins en moins longtemps. Pourtant je ne peux plus m'en passer. Je pense qu'à elle tous les jours de ma pauvre existence. Regarder ce clip et écouter cette musique est notre meilleur moment. Je m'en vais la chercher de nouveau, cacher derrière mon étagère, au fond de sa boîte, dans une jolie plaquette d'aluminium.
Mes pensées rayées, tournaient en boucle dans un disque d’images à jamais marquées d’une volonté de les oublier. Encore et encore. Elles se mêlaient aux autres. Aux autres qui remontaient telles des démons ailés de mon néant intérieur. Des cauchemars libérés d'un puits renfermant mon passé mortuaire et dont ils avaient traversé toutes les grilles. Des années à essayer de rétablir ma balance pour la voir tomber en éclat. Et à nouveau je ressentis leurs gangrènes appuyer mon crâne comme des becs frappant le bois. Je les sentais serpenter, me serrer la gorge. Je les voyais étouffer mes poumons.
Anniversaire des peines Pleures sur joues, toujours en moi, sa petite moue. Encore en joue, mes envies sans elle resteront floues. Alors je joue, à compter ses doigts autour d’mon cou. Son regard qui se joue, notre navire collectionnait les trous. Lumière sur visage, la fumée s’envole. Et maintenant tout le monde s’en mêle. Me dit de trouver mieux, de sortir de l’eau. Mais y’a t’il plus brillant que l’eldorado ? Une étoile solitaire au-dessus des chaînes. Assassin pompier, qui à éteint notre flamme ? Abandonné même par la haine, je bénis tes peines et mes rengaines. J'avale mes nuits, fauché par l’ennui, Hagard des envies et tout ce qui suit. Mais comment les combattre ? Car même sous tise, sa toile elle tisse. Sublime acrobate, mon corps à abattre. Descends moi encore. Pourvu que je tombe dans tes draps. Tous ces messages s’en vont à la dérive, là-bas loin de mon cœur. Seche mes larmes, ma folie et ton chaos, une double face. Et pourtant, Pile à l’heure, je crois que j’étais trop pressé. Mais le lapin blanc n’est pas passé. Ce banc. Notre banc. Moqueur rieur, m’invite vogueur, à déposé mon mal et mes ardeurs.
Les pensées ombellifères, Les ampoules luisantes, Je me laissais distraire par ces ombres illusoires qui dansaient dans des nuées Filantes. Les vieilles chaudières, Les engrenages vrombissants, Je respirais ton ciel d’encre de mes lentilles soufflées et figée dans un duel sans Fin. Les courroies couturières, Les rouages ronronnants, J’entendais cette beauté silencieuse s’immobiliser sous mon cœur et se serrer sur mes Facules lunaires. Les antiques arc-fers, Les turbines chatoyantes, Je sentais mon double parfumer mes rêves ambulants et hanter mes doutes d'un violon Funeste. Les volets ouverts, Les huiles scintillantes, Je voyais ton regard s’entrelacer dans le mien, guidé par des phares d’ange sous des Frelons lucioles. Les nuits éphémères, Les jours fabulants, J’embrassais tes joues rosées aux larmes rougies de tes pupilles ; une tempête de sentiments Fébricitant mes solitudes.
Y'a pas à dire, ce son t'inspire :) En effet la mélodie est magnifique, je suis heureux d'avoir découvert ce chef d'oeuvre. Merci Laake et merci à toi aussi Danny, pour ce que tu as écrit ici.
Ouvre les yeux. Ferme les leurs. Ouvre les yeux. Ferme les leurs. Écoute ton corps. Écoute ton cœur. Écoute notre sang. Cette voix c’est la mienne. Ils sont partis. Je ne les sens plus. Il n’y a que nous. Moi et moi. Ma Raison et ma Folie. Tu portes la clé d’une porte sans serrure. Condamne-la avec autant de fers que tu puisses en souder, ils trouveront toujours un moyen de perdurer au travers comme le sable coule au travers de la pierre. Tu portes la clé d’une porte sans serrure. Ouvre la d’un poing puissant et étrangle chaque ombre qui s’y voile. Ne les enterrent plus au plus profond de nous. Sors-les de notre obscurité et tue chacune d’entre elles d’une lumière nouvelle.
Ses yeux étaient d’un blanc opaque bien étrange. Des iris maculées de doux pigments gris qui ondulaient légèrement à la manière de nuages sous un vent calme. Son visage s’accompagnait de petites taches de rousseurs chevauchant un nez fin. Elle était belle et pourtant elle me troublait plus qu’elle ne m'inspirait.
La folie n'est plus folle dès qu'elle est collective.
Mouth of Madness, le film, je recommande, ça parle de ce sujet
I listen to LAAKE everyday. Masterpiece.
Cette dégénérescence progressive, je ne peux pas m'en échapper. Piégé par cette toile chaotique et sublimement parfaite. Rythmé par un clip qui m'hypnotise.
Chacun de mes soirs, à regarder les lampadaires sous tram. Je ressens tellement les regards perdus des deux personnages au début du court-métrage. Je ne te remercierais jamais assez pour ce chef d'œuvre.
5ans comment ça se fait que ce mec n’est toujours pas pop alors que sa musique détruit tout ce qui existe du genre (j’exagère à peine)
Everyone has own vision and I text what I see in this beauty is like move fast move and getting old with one sentence its just how time goes
Je n'arrive pas à me sortir de cette musique et de ce clip. Ca fait 5 mois que je l'écoute tous les jours. Pure moment de déclin, de chaos et de beauté
Ses yeux. Deux perles de galaxies printanières et pétillantes d’éclats automnales. Perfide tentation de nos pulsions et vorace faiblesse de nos cœurs. Une sublime création. Un frelon regard qui entravait mes doutes de chaînes d’amour. Un portrait scellé parmi mes pensées d’un phosphène éternel.
Melancholia hante mes rêves et sublime mes cauchemars
À toute heure, à tout temps, les minutes longent sur le fil des jours. Je m'égare dans ce paysage sombre et chaotique d'une beauté sans préceptes.
Quelques images angoissantes.....
Lumière & son en parfaite harmonie
Qui est là avant le million de vues ?
2 mois,5246 vu!
@@mdemirel1 sous coté vraiment !
Ta soeur
good song man
Superbe storytelling, Bravo, puissant et décadent
Les lucioles tournoyaient autour de moi. Des brins de lumière éphémères qui tournicotaient dans l’obscurité de mes pas. Elles tapissaient mon chemin d’étoiles radieuses et d’astres brillants. Des milliers de lueurs mouvantes au gré de mes pensées.
Je suis seul et pourtant je les sens près de moi, leurs essences douces et chaudes me caresser la peau. Un sourire aveugle, je marche sous ses amas infinis qui décrivent des formes harmonieuses peu importe le trait. Puis à l’approche d’une fin imminente ou d’un début merveilleux , je me mets à danser de mes mains invisibles et de mes jambes aux courbures féériques. Un soulagement profond devant des constellations aux cœurs éclairés.
Elle m’avait dit jusqu’au dernier moment que tout ira bien et qu’ils étaient là pour moi.
Mais à présent j’aimerais leur dire à eux aussi que tout ira bien.
Leur parler avec de réconforts mensonges. L’inconnu nous effraie bien plus que de fausses promesses. Heureusement que la vérité est bien plus belle.
“ Teslee… merci… merci pour tes mots… je t'attendrai ici haut… même si j’ignore si mes prières puissent te parvenir encore.”
Des larmes. Brûlantes. Agréables.
La voilà la véritable clarté qui m'apparaît.
J'attends le Train et Inlassablement, je regarde les rails, Le regard flou mais les pensées nettes. Elles m'attirent à elles tel un chant de sirènes . J'ai la tête lourde, le corps fatigué et des jambes rythmés par la musique. Un pas de plus dans la folie, un pas de plus dans la noirceur de la nuit, un pas de plus et tout changera pour toujours.
Lente agonie entre les ombres de la nuit
Mais frileuse accalmie d’un désarroi sans bruit
Les grains du temps résonnent dans l’éternité
Mais tous nos actes mènent à notre fatalité
La bave noirâtre s’étendait de ma gorge à ma vision
Et je lançai un ultime regard au tableau létal
Des visages familiers troublèrent ma conclusion
Ils étaient comme peignés sur la coupole astrale
Tard la Lune
Debout face à la lune, le visage calme et endetté,
La fumée brumait mes lacunes sous ce vent suscité.
Comme un cœur ouvert réchauffé par son air,
Elle me regardait nue loin de mes travers,
Et non sans plaisir de me prendre les mains,
Mélodie simple ternie sous un corps malsain.
Mes jours devenaient fossiles et mes nuits faucilles,
Devant la vie, je suis le valet qui vacille,
Mais je la regardait elle entre ses filles,
Brille, brille dans la nuit, l'accalmie qui frétille.
La voilà, mélancolie sauvage de mon engrenage,
Le sciage métaphase de mon poète sage.
ça c'est formidable
SUPER
Pazzescooo🤩🤩🤩adorooo
Stupefacenti
Bravissimi
C"est bon, ça !
😮😮😮
SALLANIYORUM 🍻
Elle est partie tôt dans la soirée. Pourtant familière et toujours bien venue, elle me quitte sans arrêts et ne reste en ma compagnie que de moins en moins longtemps. Pourtant je ne peux plus m'en passer. Je pense qu'à elle tous les jours de ma pauvre existence. Regarder ce clip et écouter cette musique est notre meilleur moment. Je m'en vais la chercher de nouveau, cacher derrière mon étagère, au fond de sa boîte, dans une jolie plaquette d'aluminium.
YES LADS WE MADE IT
Lente agonie entre les ombres de la nuit mais frileuse accalmie d’un désarroi sans bruit.
Dayum...
Mes pensées rayées, tournaient en boucle dans un disque d’images à jamais marquées d’une volonté de les oublier. Encore et encore. Elles se mêlaient aux autres. Aux autres qui remontaient telles des démons ailés de mon néant intérieur. Des cauchemars libérés d'un puits renfermant mon passé mortuaire et dont ils avaient traversé toutes les grilles. Des années à essayer de rétablir ma balance pour la voir tomber en éclat. Et à nouveau je ressentis leurs gangrènes appuyer mon crâne comme des becs frappant le bois. Je les sentais serpenter, me serrer la gorge. Je les voyais étouffer mes poumons.
I drunk melancholia! 🥶
Anniversaire des peines
Pleures sur joues, toujours en moi, sa petite moue.
Encore en joue, mes envies sans elle resteront floues.
Alors je joue, à compter ses doigts autour d’mon cou.
Son regard qui se joue, notre navire collectionnait les trous.
Lumière sur visage, la fumée s’envole.
Et maintenant tout le monde s’en mêle.
Me dit de trouver mieux, de sortir de l’eau.
Mais y’a t’il plus brillant que l’eldorado ?
Une étoile solitaire au-dessus des chaînes.
Assassin pompier, qui à éteint notre flamme ?
Abandonné même par la haine, je bénis tes peines et mes rengaines.
J'avale mes nuits, fauché par l’ennui,
Hagard des envies et tout ce qui suit.
Mais comment les combattre ?
Car même sous tise, sa toile elle tisse.
Sublime acrobate, mon corps à abattre.
Descends moi encore. Pourvu que je tombe dans tes draps.
Tous ces messages s’en vont à la dérive, là-bas loin de mon cœur.
Seche mes larmes, ma folie et ton chaos, une double face. Et pourtant,
Pile à l’heure, je crois que j’étais trop pressé. Mais le lapin blanc n’est pas passé.
Ce banc. Notre banc. Moqueur rieur, m’invite vogueur, à déposé mon mal et mes ardeurs.
Les pensées ombellifères,
Les ampoules luisantes,
Je me laissais distraire par ces ombres illusoires qui dansaient dans des nuées
Filantes.
Les vieilles chaudières,
Les engrenages vrombissants,
Je respirais ton ciel d’encre de mes lentilles soufflées et figée dans un duel sans
Fin.
Les courroies couturières,
Les rouages ronronnants,
J’entendais cette beauté silencieuse s’immobiliser sous mon cœur et se serrer sur mes
Facules lunaires.
Les antiques arc-fers,
Les turbines chatoyantes,
Je sentais mon double parfumer mes rêves ambulants et hanter mes doutes d'un violon
Funeste.
Les volets ouverts,
Les huiles scintillantes,
Je voyais ton regard s’entrelacer dans le mien, guidé par des phares d’ange sous des
Frelons lucioles.
Les nuits éphémères,
Les jours fabulants,
J’embrassais tes joues rosées aux larmes rougies de tes pupilles ; une tempête de sentiments
Fébricitant mes solitudes.
Y'a pas à dire, ce son t'inspire :)
En effet la mélodie est magnifique, je suis heureux d'avoir découvert ce chef d'oeuvre.
Merci Laake et merci à toi aussi Danny, pour ce que tu as écrit ici.
Ouvre les yeux. Ferme les leurs. Ouvre les yeux. Ferme les leurs.
Écoute ton corps. Écoute ton cœur. Écoute notre sang.
Cette voix c’est la mienne. Ils sont partis. Je ne les sens plus. Il n’y a que nous. Moi et moi. Ma Raison et ma Folie.
Tu portes la clé d’une porte sans serrure. Condamne-la avec autant de fers que tu puisses en souder, ils trouveront toujours un moyen de perdurer au travers comme le sable coule au travers de la pierre.
Tu portes la clé d’une porte sans serrure. Ouvre la d’un poing puissant et étrangle chaque ombre qui s’y voile. Ne les enterrent plus au plus profond de nous. Sors-les de notre obscurité et tue chacune d’entre elles d’une lumière nouvelle.
Quand le piano rencontre le gros KICK DE GABBER !
On sent bien l’influence Contrefaçon ;)
Oh Jeeez...
Mes nuits sont blanches, Mes idées noires
underfuckingrated
Faites en un film
DUDE. WHY YOU HIDDING THIS FROM ME?
Ses yeux étaient d’un blanc opaque bien étrange. Des iris maculées de doux pigments gris qui ondulaient légèrement à la manière de nuages sous un vent calme. Son visage s’accompagnait de petites taches de rousseurs chevauchant un nez fin. Elle était belle et pourtant elle me troublait plus qu’elle ne m'inspirait.
6 eylül cuma bikaç saaate kalkacaksın unutma
Inconsolable et prisonnière entre des rêves grisâtres et des cauchemars cycliques, elle obscurcit mes nuits blanches et éclaire mes idées noires.
Porte des flamands, 20-1...
This is good until you put those sounds man feels like 90's what kind of bass is that