Ce moment choquant vécu EN JEU DE RÔLE (ft plein de gens incroyables)
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- เผยแพร่เมื่อ 25 ก.ย. 2024
- Déjà l'épisode final hélaââs ! D:
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▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ A PROPOS DE CETTE VIDÉO ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
Le Scénarurgien
#Lescénarurgien
Cyprien A. Music by Karl Casey
Music by White Bat Audio
Merci à toi, Scénarurgien, qui m'a fait découvrir la chaîne "Sombres Machinations" dont je me suis délecté de l'intégralité du contenu sorti à ce jour. Une révélation. Encore mille mercis !
Ca donne trop envie Boreas Station sans rien y connaitre de cette campagne, juste par le ressentie du MJ
Je me souviens avoir été le MJ d'un jeu que j'avais monté sur une base D6 avec des compétences exceptionnelles choisies sur des D6. Et un appel à un dieu tutélaire pour aider dans les situations difficiles. Les compétences exceptionnelles pouvaient être anecdotiques. Et on avait un nain fort et bourru guerrier, une elfe sortie de ses bois, et un nécroman au physique ingrat mais avec une verve et beaucoup de charisme. Situation classique de rencontre d'équipe à la taverne, pour que les personnages sympathisent.
Le nécroman a agressé l'elfe, la populace et le nain s'offusquent. Le nécroman use alors de son appel au dieu plus d'un jet de charisme sur le dieu lui-même pour convaincre le dieu de faire obéir la population. C'était le dieu de la persuasion, mais je n'avais pas vu venir cette double utilisation et les jets empêchaient les PNJ et le nain d'agir contre cette situation. Le nécroman était allé tellement loin et la personnage elfe se démenait pour se sortir du bourbier.
Au final, le nécroman enchainait les jets pour manipuler les foules, mais les dés l'ont lâché. Heureusement, car la pauvre elfe allait finir emmené par la populace énervée pour une justice sommaire et rapide. Le Nécroman se retrouvait dans la position de l'arroseur, arrosé. Bloqué, le nécroman retente un appel au dieu, ce qui est possible, mais le système se corsait vite pour ne pas abuser de la mécanique. Et il meurt foudroyé mentalement, s'écroulant son corps trainé par la foule qui avait maintenant une animosité tenace contre cet horrible sorcier.
Tout a dégénéré si vite et le joueur nécroman a réagit avec tellement de rapidité et d'animosité, qu'on était tous soufflés par la proportion dramatique qu'avait pris la petite rixe.
Heureusement, on en a tous rigolé après, mais je n'arrivais pas à reprendre le contrôle pensant que la situation allait s'estomper avec le nain, où la venue de personnes d'autorité. En définitive, toujours se méfier d'un joueur orienté charisme/persuasion qui soit réussi l'improbable ou s'accule dans son mensonge. Une partie sur un ton badin un peu Nahalbeuk dans l'idée, qui a débouché sur la mort express d'un PJ (étrangement proche de la chanson de la compagnie du chien rugissant).
Bonjour tout le monde !
J'ai vécu quelques moments choquants en JDR, et souvent dans des circonstances sales : séance de torture, jeu vraiment malsain (je n'ai pas réussi à lire les règles de la première édition de Kult, et je n'ai pas essayé la suivante) ou éléments trop insoutenables pour mon petit coeur sensible (par exemple, dans Little Fears, il existe une règle concernant les personnages "enfants battus", ça met des modificateurs sur leurs caractéristiques, mettre des stats sur un fait aussi ignoble m'a rendu malade). Mais celui que je mets au sommet de la pile, le voici :
J'avais quinze ans quand j'ai joué pour la première fois à BloodLust, sachant que j'avais seulement joué à Pendragon avant ça. J'avais comme personnage un Vorozion dont j'avais composé un petit background : sa femme était morte en couches et sa petite fille avait été enlevée par des Sekekers (les Amazones de ce monde). Il m'a fallu quelques aventures pour la retrouver, heureusement pas trop brutalisée par les ravisseuses. Mais dès le scénario suivant, notre équipe se fait capturer et réduire à l'état d'esclaves-gladiateurs. Juste avant que mon personnage se fasse assommer, il a le temps de voir un des esclavagistes égorger la malheureuse enfant, puis il s'écroule assommé dans une flaque du sang de la chair de sa chair. J'ai encore en tête le sourire sadique du MJ, et pourtant, c'était il y a trente ans.
Moralité : BloodLust n'est pas Pendragon. Plus jamais je n'ai essayé d'aller à l'encontre de l'ambiance d'un jeu (ça va dans les deux sens, j'ai déjà joué comme PJ à du Star Wars qui s'était transformé en Dead Space, je n'ai pas du tout aimé).
Wow. Ce moment peut être à la fois incroyable narrativement si le joueur a envie d’affronter ce genre de choses, ou traumatisant si y a pas eu de session 0 et qu’on a pas envie d’aller dans ces thématiques-là.
Quel émotion tu en gardes ?
Vampires revient souvent ^^
C est beau
et choquant à la fois apparemment 🤣
Mon anecdote:
je jouais a un jdr improvisé par une amie dans un univers post apo zombie. une des joueuses était completement debutante (on faisait du theatre ensemble, et je lui disais toujours que j'étais persuadé qu'elle serait une super partenaire de jeu) et on a donc decidé qu'elle serait ma soeur in game....
tout du long je la chaperonnais en grand frere protecteur presque relou.... a un moment elle "gueule", veut s'émanciper et decide de suivre un pnj en voiture. on la voit partir au loin et se faire choper part une sorte de super zombie on a couru a son secours je m'interpose, le zombie m'arrache une jambe tout les PJ et PNJ crevent sauf elle et moi.... on est au milieu du desert avec peu de nourriture et d'eau... je commence a dire un truc du genre "va! je suis qu'un cadavre en sursis..." au milieu de ma phrase elle sort son flingue et m'abat!
merci pour cette minisérie , qu'on espère revoir sur la chaine🤩
C'est pas pendant une partie c'est avant, on allait refaire Warhammer et je demande si il ne faut pas faire un contrat d'étiqueter , là on me répond non et je rappel c'est quoi le monde et ils sont blanc et demande de suite un contrat ( enfant, prêtre, dieux du chaos et mort vivent)
Sur la partie que je masterise actuellement (Pathfinder 1er édition), un des PJ joue un personnage plutôt marginale, tantôt insupportable (RP parlant), tantôt assez louche, mais avec qui les autre PJ trouvent toujours un compromis pour continuer l'aventure. Et à la fin du chapitre 2 il y a le boss qui après avoir été vaincu se réincarne, grâce à son dieu maléfique, en une créature trois fois plus grande. Il met les joueurs à mal, et le joueur qui joue ce personnage marginale me murmure à l'oreille qu'il aimerait en finir avec son personnage. Via une scène dramatique où le personnage se retrouve prit au piège par le boss, et où il se sacrifie dans une explosion de flamme pour vaincre ce dernier, il marque ainsi la mort de son personnage, impossible alors à ressuscité. Je ne m'attendais pas au blanc qui allait suivre la description de la scène. Les autres joueurs étaient choqué, ne comprenaient pas ce qu'il venait de se passer, ou ne voulaient pas y croire. Comme si ils réalisaient que, ce personnage perturbateur, bah ils l'aimaient bien finalement, et qu'ils ne pourront plus partager leur aventures avec lui.
Perso pour me choquer il faut y aller.
Mais j'ai envie de réévoquer une partie surprenante que j'ai eût alors qu'avec mon asso on faisait de l'initiation au JDR dans un Musée Pictavien.
C'était mon second groupe de joueur de l'après-midi sur un JDR basé sur le système de Quest (un jeu de rôle fait pour être masterisé par des enfants) sur un scénario se passant dans un petit village du Sud de l'Allemagne en 1349.
Jusque là tout va bien, j'introduit un objectif simple : faire les préparatifs pour que la nuit de la Sainte Walpurge se passe correctement, on est dans un cadre historique (j'ai notamment imprimé un carte du lander de la Hesse datant de cette période et tous les lieux et noms mentionnés existaient. J'ai également interroger les joueurs sur leurs habitudes de JDR apprenant au passage que cette charmante famille n'a jamais joué à ce type de jeu.
Durant la partie tout se passe bien, le système de jet de dé aidant pas mal à éviter les échecs et de mon côté le seul évènement fâcheux que j'ai tiré était une attaque de Sanglier dans la forêt qui fut rapidement interrompue par l'équipe. L'apprenti herboriste (joué par un ado) du groupe profita de ce moment de récolte pour apporter un ingrédient secret pour pimenter la soirée (de l'ergot de seigle, ses parents ont bien rigolé quand j'lui ai montré la photo de l'ingrédient).
On arrive à la soirée, aucun incendie, le chef de la garde n'a pas eût la bonne idée d'enquêter sur les nombreux membre de la garde tombés malades mais vu la récolte d'herbes médicinales c'est pas trop grave, pas de Lapin-Garou armé d'un couteau à l'horizon (petit élément de fantastique que j'ai ajouté aux évènements fâcheux pour la blague). La soirée peut commencer !
Alors que la soirée bat son plein, soudainement les torches s'éteignent, ne laissant que le feu de joie comme source de lumière et apparaissent trois sorcières mécontentes de ne pas avoir été invitées.
Puis le chef de la garde (joué par un jeune enfant) s'avance vers elles, puis leur explique qu'effectivement ils n'ont pas été très sympa de ne pas les invités et leur propose de prendre part à la fête. L'Apprenti herboriste en profite même pour leur servir à chacune une part de Sanglier aux herbes.
Quand j'ai écrit le scénario, j'avais prévu un paquet de fins possibles selon les évènements, j'avais fait deux parties test pour affiné le système de jeu et le scénario avant l'évènement. La partie d'avant s'est finie sur la mort des sorcières.
Je m'attendais à tout, sauf à cette réaction innocente. Au final j'ai même improvisé un ending spécialement pour cette partie (les endings finissant généralement par le retour de la Peste Noire en Juin et la disparition du village par décès ou fuite).
ça semble pas comme ça, mais quand on a l'habitude du JDR en asso et entre pote. Et qu'à chaque fois qu'un conflit émerge la violence devient la seule solution. C'est un choc assez violent de se retrouver avec un solution diplomatique de la part du personnage le plus bourrin de la partie.
Ce jour là j'ai appris non seulement à gérer une partie tout public (car si je m'en réfère à la fiche du Scénarurgien mes univers sont généralement entre le Rouge et le Noir) mais aussi que les solutions les plus inattendues à un problème dans un JDR pouvaient être résolues par le joueur le plus inexpérimenté sans combat xD
Il y a un thème que je pense n'avoir jamais vu sur youtube ou même Internet français. Ce thème serait : les bonnes et les mauvaises accroches d'aventures ( ça me vient à l'esprit juste là parce que nous n'avons pas terminé un scénario, c'est à dire que les personnages ont préféré quitter les lieux, parce qu'il n'y avait aucun intérêt à poursuivre notre aventure, voir même beaucoup de signes qui montraient que déranger les lieux risquait d'avoir des conséquences néfastes).
Moment choquant vécu très récemment. Le cadre: un groupe d'amis qui ont chacun fait leur vie mais se rassemblent chaque année pour célébrer cette amitié. Avant de commencer la campagne le MJ à créer un groupe WhatsApp RP ou notre amie Charlotte nous demandait ce que nous ferions cette année afin qu'elle organise les choses. On se met d'accord puis ... Premier choc ! La compagne de Charlotte nous apprend son décès.
Pour honorer sa mémoire nous décidons (toujours via le RP WhatsApp) de passer un weekend à Prague en souvenir de notre amie.
La dessus nos plannings font que la première partie IRL met du temps à s'organiser.
La première session arrive et nous voilà à Prague bi décidés à honorer la mémoire de notre amie Charlotte qui avait déjà tout prévu.
En tant que joueurs nous pensions que le MJ allait jouer sur certaines dissensions au sein du groupe d'amis (que l'on avait plus ou moins évoqué sur le WhatsApp RP), mais non !!
Premier soir à Prague nous dînons dans un resto ambiance médiévale quand un groupe d'anglais s'en prend à vieil homme qui pète le nez de l'un de ses agresseurs et se fait virer du resto.
Les heures passent et notre groupe fait un concours de beuverie avec les anglais du resto. A la fermeture, alors que les anglais pissent contre un mur, le vieil homme revient avec un compagnon... Qui s'avèrera être un golem qui éclate la tête d'un anglais comme une pastèque.
Ellipse, nous avons été témoin d'une attaque de monstre et nous voilà au Vatican à prêter serment au Pape himself (qui doit pas être au courant de tout) pour rentrer aux ordres d'une société cachée qui poursuit les monstres...
ce moment, sur légendes tahitiennes où, affrontant un très puissant esprit, le principal protagoniste, l'idée m'a pris d'essayer de le charmer comme je l'avais déjà fait de plus petits. de toute façon, ça ne peut pas être si simple! eh ben si en fait, il n'y avait aucune raison pour que ça marche pas. seulement que faire ensuite? personne n'a trop su, ça l'a énervé, on a raté notre chance de hacker la partie.
Moi c'était avant même le début de la partie, dans la phase de préparation des persos pour un scénario dans un univers custom space opéra horrifique créé par le MJ. Sachant qu'on est loin dans le futur, tout le monde mange de la nourriture synthétique et le MJ me demande si mon perso a la compétence pour manger de la vraie viande. Sachant que j'anticipais que la partie consisterait à essayer de survivre à tout prix vêtu d'un pagne et armé d'un ouvre-boite ébréché contre une armée de zerg, j'ai tout de suite répondu oui pour augmenter mes chances de survie en cas de famine.
Le MJ me regarde et me dit "Aujourd'hui en Chine ou dans le coin, il y un plat qui consiste à attraper un singe, lui ouvrir le crâne délicatement comme un œuf à la coque et lui manger la cervelle à la petite cuillère. Le singe est vivant pendant ce temps car au fur et à mesure que les signaux parcourent le cerveaux, la texture et le goût changent délicatement. C'est un peu l'équivalent de "manger de la viande" dans un setup moderne transposé dans l'univers du jdr. Est-ce que ton perso pourrait faire ça ?". Je voulais répondre "oui", mais j'étais tellement choqué que je n'ai pas pu et que mon perso s'est contenté de bouffe synthétique🤢
Très belle vidéo :)
Merci beaucoup 😀
J'hésite, mais pour moi, la scène magique c'était un autre joueur :
Je suis druide et je me transforme en souris pour faire une investigation dans une maison super surveillé.
J'arrive dans la cuisine : Une bande de rongeur arrive et me demande si je viens chaparder?
Je tente de négocier le passage, je lance un dé : Fumble N°1 : 5 rats me course.
Je lance un dés d'athlétisme : Fumble N°2. Un rat me fait 2 dégâts, je me retransforme en humain dans la baraque avec un risque que les gardes arrivent...
Un joueur dit au MJ, "c'est trop long", "je prend ma fiole de pisse" (oui, il avait une fiole ou un autre P.J. à pisser dedans...) il boit une potion de changement de coiffure et de couleur de peau (un halfelin avec une coupe Afro qui fait un doigt d'honneur), il jette sur les garde la fiole de pisse en disant : "MORT aux CONS" sur le jet de lancé: un 1 mais c'est un Halfelin, il relance 20.
Comme quoi c'est pas le meilleur plan qui gagne c'est le plus drôle...
Moi c'était un scenario Vampire Dark Ages maison que j'avais préparé où un des joueurs incarnait un Malkavien (clan de vampires déments) qui avait développé une sorte de paranoïa vis à vis d'un de ces compagnons qui jouait un Ravnos (clan de vampires roublards) et qui à la fin de la soirée décide de vendre son compagnon au prévôt (l'homme de main violent de leur commanditaire) du prince pour lequel ils travaillait en l'accusant de trahison ! Et le Ravnos en partie coupable décide de fuir au lieu de nier les accusations du fou ! Du coup son perso s'est fait choper celui du fou a été ostracisé pour sa trahison d'un compagnon et tout les joueurs ont été abasourdi par cette fin de soirée complètement folle !!! Et moi en tant que MJ j'ai du faire ma plus grosse impro de la soirée ...
Dans Knight, première partie, je me retrouve dans un camp d'enfants esclaves qui sert de garde-manger à l'anathème, en infiltration. Un des joueurs, face à la proposition de manger un enfant pour le repas, perd complètement ses moyens et nous voilà cernés dans un combat perdu d'avance. Forcément, dans Knight, l'univers n'est pas permissif et nous finissons tous à terre. Une joueuse subit pendant que l’on peu que assister impuissant. "Bref, moi, ça me dérange." Et soudain, le masque apparaît, me proposant un marché pour nous sauver, en échange d'une dette. Très bien joué de la part du MJ ; personne ne cède, à juste titre, sauf moi au dernier moment. Et là, une intervention quasi divine. Cette dette nous aura coûté chère... enfin, m'aura coûté cher, dans cette campagne.
Dans un jeu de rôle SF ou mon perso et celui d'un ami devait contrer une menace qui était entrain d'annihiler l'humanité en gérant la construction d'un vesseau spatial géant ou on entassait des colons pour les téléporter au hasard dans une autre galaxie affin qu'ils puissent prendre un nouveau départ. Le truc c'est qu'aucune contamination ne devait avoir lieu sous peine de voir l'horreur en question savoir où les derniers humains sont partis et les traquer inlassablement. On avais construit un système tout a fait étanche et même nous ne pouvions pénétrer le flux de réfugiés qu'on savait sûr. Un troisième joueur jouait séparément une créature infiltrée sur la planète qu'on devait empêcher de rejoindre les réfugiés.
On largue le vesseau avec succès sans aucune brèche de sécurité. Le MJ nous fait savoir que nos personnes ne seront bien sûr pas embarqués, ça choque mais on s'en doutait et on fini la campagne sur cette fin douce amère. Un peut plus tard, dans la soirée, l'ami qui joue l'infiltré arrive dans la fête et on était plus du tout dans l'ambiance jeu de rôle. Le MJ accueille notre ami commun avec ces mots "bienvenu, alors tout va bien la téléportation s'est bien passée et le signal passe, faiblement mais ça passe." ... 😢
Pas tout compris
@@KeidanDiath j'ai du mal a l'écrit mais pour faire simple on apprends après la fin du jeu de rôle que nos persos ont échoués et qu'ils ont condamné l'humanité a la mort alors qu'on étais trop fier de notre sacrifice héroïque.