#1257

แชร์
ฝัง
  • เผยแพร่เมื่อ 5 ธ.ค. 2024
  • Rendez vous est donné dans un cadre incroyable. Le Bon Bock, un restaurant entre le Trianon et la Cigale, existe depuis la fin du XIXe siècle. Et il est vrai qu'on a l'impression qu'une partie du décor n'a pas changé depuis l'ouverture. Nous rentrons dans un lieu tout de suite accueillant, chaleureux et familial. C'est la même impression dès les premières minutes passées avec Etienne Fletcher. Si le temps n'était pas compté nous pourrions nous poser à une table et discuter une bonne partie de la journée. Mais le temps presse et nous devons filmer deux chansons. Après avoir découvert l'univers d'Etienne nous voulions absolument profiter de son passage en cette fin d'année par Paris pour le filmer. Et après avoir échangé quelques mots sur la météo, car oui nous avons parlé météo et des températures absolument glaciales qu'il fait en ce moment même dans la région du Canada où vit le chanteur. Après ces quelques mots, quelques réglages de sons et de lumières, Etienne nous offre en une prise magique une version de "Jeu de mémoire" qui nous file le frisson. Evidemment nous pensons à quelques artistes canadiens que nous avons déjà eu la chance de filmer, à ces passerelles que l'on peut construire entre eux dans les mélodies, la sonorité des mots, mais aussi cette incroyable douceur, cette pudeur pour parler de choses aussi intimes que difficiles. Une seconde chanson au Ukulele, on change de décor, on laisse le piano pour la banquette, assis juste en dessous de nombreux tableaux qui décorent le restaurant, une douce lumière d'hiver baigne la pièce et Etienne continue de nous emporter, de nous toucher, de nous offrir un pur moment de poésie dans ce restaurant du 18e arrondissement, un lundi midi à Paris !
    Un immense merci au Bon Bock pur l'accueil et à Cassandre pour avoir organisé cette session.
    Images : Renaud de Foville
    etiennefletche...
    www.lecargo.org

ความคิดเห็น • 1

  • @clearlynour
    @clearlynour 2 วันที่ผ่านมา

    this is beautiful. i needed this. Please, Le Cargo, never stop bringing these beautiful artists to us.