Sublime et puissant chef d'oeuvre poétique et musical, ainsi que sa voix, qui vous transcendent, comme aucune équivalence n'existe, surtout pas à notre insipide époque. Chanceux sommes nous, ceux qui ont eu le bonheur de vivre son époque et de le voir souvent sur scène (73 à ses adieux ! )
Extraordinaire arrangements, il est le seul à avoir réussi ça dans la chanson . Mélange de classique, de poésie de révolte , et j en passe. Dans toute son œuvre, .une des plus belles et une de mes pré férre, Merci léo.
A la fin de Barclay, puis jusqu'à la fin de sa carrière , mais bien avant aussi : th-cam.com/video/4YB2wokU8TE/w-d-xo.html&ab_channel=L%C3%A9oFerr%C3%A9-Topic Oui vrai, du jamais vu dans la chanson.
L'automne est là et je m'imprègne de vos paroles et de la superbe musique qu'il l'accompagne je ne cesse d'écouter vole...vole vers vous les feuilles d'automne 🍂
Bonjour, je vais tenter de le faire, cette chanson évoquant ce que je vis. Dans les grandes lignes, ce texte décrit l'impossibilité de communication avec la femme aimée, aimée à la folie. Plusieurs parties dans le texte. 1. D’abord une évocation du monde et de ce qu’il a d’incroyable. Comme souvent des images sexuelles, qui démontrent à la fois une attirance mais aussi une distance car la sexualité seule ne suffit pas à l’auteur. 2. Puis l’auteur annonce qu’il n’est pas de ce monde, il vit ailleurs. Lui est dans un monde des choses simples, solides et sécurisantes, c’est cela qui le constitue. Et dans son monde, il y a la musique, un chimpanzé (le pauvre Pépée qu’avait adopté Léo Ferré, évidemment). 3. Enfin vient la partie consacrée à la relation avec cette femme qu’il aime de tout son être. Femme sans enfant (« ton ventre désert »), qui ne peut communiquer, qui vit de manière naturaliste, qu’on devine seule et enfermée. L’auteur, dérouté par cette façon d’être de la femme qu’il aime, se réfugie parfois ailleurs, dans une « dimension X », dans la ville, avec d’autres femmes. Une voisine vient parfois parler avec l’aimée, mais ni elle ni l’auteur ne peuvent la changer, la sortir d’elle-même. 4. Et la fin, admirable « Mais tu luis dans mon cœur comme luit cette étoile Avec ses feux perdus dans des lointains chemins Tu ne dis jamais rien, comme font les étoiles » Tout cela en alexandrins on ne peut plus classiques, chapeau bas c'est époustouflant au niveau du texte comme au niveau de la musique.
Ambiance hypnotique,musique envoutante ,métaphores magiques..Genevieve de Fontenay ,tres classe avec son chapeau.
Sublime et puissant chef d'oeuvre poétique et musical, ainsi que sa voix, qui vous transcendent, comme aucune équivalence n'existe, surtout pas à notre insipide époque. Chanceux sommes nous, ceux qui ont eu le bonheur de vivre son époque et de le voir souvent sur scène (73 à ses adieux ! )
Extraordinaire arrangements, il est le seul à avoir réussi ça dans la chanson .
Mélange de classique, de poésie de révolte , et j en passe. Dans toute son œuvre, .une des plus belles et une de mes pré férre,
Merci léo.
A la fin de Barclay, puis jusqu'à la fin de sa carrière , mais bien avant aussi : th-cam.com/video/4YB2wokU8TE/w-d-xo.html&ab_channel=L%C3%A9oFerr%C3%A9-Topic
Oui vrai, du jamais vu dans la chanson.
L'automne est là et je m'imprègne de vos paroles et de la superbe musique qu'il l'accompagne je ne cesse d'écouter vole...vole vers vous les feuilles d'automne 🍂
Une magnifique chanson de léo me donne le frisson
Sublime Leo ...
La vache ! D'une richesse infinie
Amour❤
Il est difficile de commenter on reste bouche bee
Que dire tout est dis dans les paroles
J aime vient chez moi il y a du feu 😮
Au début de la chanson on vois Karl Lagerfeld très pensif parmi les auditeurs...
💞
🎈
FÉLICITATIONS🌍👂😘💔💝FRANCIA💤
A+🎫💤
TEMPS DES CONSCIENCIEUX
CONGRATULATIONS🦋
Excellent Artiste
Léo FERRÉ : 11/01/2023 ...
FÉLICITATIONS
CONGRATULATIONS
Qui pourrait ou saurait en faire l’analyse ?
Bonjour, je vais tenter de le faire, cette chanson évoquant ce que je vis.
Dans les grandes lignes, ce texte décrit l'impossibilité de communication avec la femme aimée, aimée à la folie.
Plusieurs parties dans le texte.
1. D’abord une évocation du monde et de ce qu’il a d’incroyable. Comme souvent des images sexuelles, qui démontrent à la fois une attirance mais aussi une distance car la sexualité seule ne suffit pas à l’auteur.
2. Puis l’auteur annonce qu’il n’est pas de ce monde, il vit ailleurs. Lui est dans un monde des choses simples, solides et sécurisantes, c’est cela qui le constitue. Et dans son monde, il y a la musique, un chimpanzé (le pauvre Pépée qu’avait adopté Léo Ferré, évidemment).
3. Enfin vient la partie consacrée à la relation avec cette femme qu’il aime de tout son être.
Femme sans enfant (« ton ventre désert »), qui ne peut communiquer, qui vit de manière naturaliste, qu’on devine seule et enfermée.
L’auteur, dérouté par cette façon d’être de la femme qu’il aime, se réfugie parfois ailleurs, dans une « dimension X », dans la ville, avec d’autres femmes.
Une voisine vient parfois parler avec l’aimée, mais ni elle ni l’auteur ne peuvent la changer, la sortir d’elle-même.
4. Et la fin, admirable
« Mais tu luis dans mon cœur comme luit cette étoile
Avec ses feux perdus dans des lointains chemins
Tu ne dis jamais rien, comme font les étoiles »
Tout cela en alexandrins on ne peut plus classiques, chapeau bas c'est époustouflant au niveau du texte comme au niveau de la musique.