Pourquoi, plus je regarde de vidéos de ces incroyables marins sur leur bateau, ou en interview, pourquoi, plus je les vois se battre contre les éléments parfois furieux, plus je les entends dire combien cette course est difficile, même pour eux, pourquoi, donc, ai-je une furieuse envie de vivre cela, et pourquoi cette envie, qui plus est ne sera jamais qu'un rêve, ne s'étiole-t-elle pas, ne se heurte-t-elle pas à la raison pour se taire définitivement mais me titille sans cesse ?
Super interview. J'aime le cote informel, comme une simple conversation. Les questions sont interessantes et les reponses sont interessantes.
francois t'es mon idole , je t'adore , continue
Sur de pareils bateaux, il faut être un champion;la différence entre la mer et la terre,c'est sans doute que la dépendance aux éléments est permanente
Pourquoi, plus je regarde de vidéos de ces incroyables marins sur leur bateau, ou en interview, pourquoi, plus je les vois se battre contre les éléments parfois furieux, plus je les entends dire combien cette course est difficile, même pour eux, pourquoi, donc, ai-je une furieuse envie de vivre cela, et pourquoi cette envie, qui plus est ne sera jamais qu'un rêve, ne s'étiole-t-elle pas, ne se heurte-t-elle pas à la raison pour se taire définitivement mais me titille sans cesse ?
Joliment exprimé Hervé,c'est un sentiment partagé
vive la vendée
j'adore François car il était champion de France optimiste et moi aussi je fait de l'optimiste
journaliste insupportable ... bravo François
jourrnaliste archi nul pas de tempo, questions psy psy ....