On a fui la terre rêvant d'autres paradis En disant au père : on reviendra c'est promis Les larmes de notre mère, non, n'auront pas suffi En quittant notre village, à quoi pensions-nous ? Sûr’ment à quelques mirages, au-d'là des bayous Sur les routes en pierres et le long des voies ferrées Longeant les rivières on les traversait à gué Les rires de mon frère nous faisaient tout oublier On passait par des villages, tout couverts de boue On passait pour des sauvages sortis des bayous Une nuit soudain, les lumières d'une ville Brillaient de si loin il y’en avaient cent ou mille On a bu du vin et mis au feu à nos guenilles En dansant comme au village, comme à la Saint Loup Le grand bal du patronage au bord du bayou Elles étaient si grandes, si longues, ces belles avenues Les maisons géantes allaient au ciel et aux nues Des femmes élégantes nous disaient même « bienvenue » Pas du tout comme au village, les filles de chez nous N'ont pas de rose au visage, sauf à la Saint-Loup On a travaillé d'usine, d'usine en usine Pris un atelier et acheté des machines Et puis des immeubles, des commerces et des holdings On est rentrés au village, pas peu fiers de nous Retrouver les paysages, l'odeur du bayou Nos parents, malgré leur âge dansent à la Saint-Loup Et nous on fait les sauvages, dans l'eau du bayou
je suis un inconditionnelle depuis mes 15 ans.super chanson les gars.revenez a plestin que je retourne vous voir.et cette fois avec une séance de dedicasse.merci a vous.
Nous serons toujours la pour vous sublimes mecs.en voie de disparition.merci les trophées.
On a fui la terre rêvant d'autres paradis
En disant au père : on reviendra c'est promis
Les larmes de notre mère, non, n'auront pas suffi
En quittant notre village, à quoi pensions-nous ?
Sûr’ment à quelques mirages, au-d'là des bayous
Sur les routes en pierres et le long des voies ferrées
Longeant les rivières on les traversait à gué
Les rires de mon frère nous faisaient tout oublier
On passait par des villages, tout couverts de boue
On passait pour des sauvages sortis des bayous
Une nuit soudain, les lumières d'une ville
Brillaient de si loin il y’en avaient cent ou mille
On a bu du vin et mis au feu à nos guenilles
En dansant comme au village, comme à la Saint Loup
Le grand bal du patronage au bord du bayou
Elles étaient si grandes, si longues, ces belles avenues
Les maisons géantes allaient au ciel et aux nues
Des femmes élégantes nous disaient même « bienvenue »
Pas du tout comme au village, les filles de chez nous
N'ont pas de rose au visage, sauf à la Saint-Loup
On a travaillé d'usine, d'usine en usine
Pris un atelier et acheté des machines
Et puis des immeubles, des commerces et des holdings
On est rentrés au village, pas peu fiers de nous
Retrouver les paysages, l'odeur du bayou
Nos parents, malgré leur âge dansent à la Saint-Loup
Et nous on fait les sauvages, dans l'eau du bayou
Superbe chanson si j'avais le temps , je l'écouterai en boucle , 👍💪👍💪👍💪
Merci les gars. Continuez, jusqu'à la fin. Jusqu'à la dernière goutte, la dernière vague, l'ultime rivage. Nous on sera là pour vous écouter et rêver.
Merci pour le magnifique concert aux Fourgs 🥰🥰🥰 J'adore cette chanson 🤗🤗 Bon, comme beaucoup d'autres chansons ☺️ Bisous du Haut-Doubs 💚💋
Top, top, excellent!
superbe duo merci tout simplement
Je suis fan , depuis toujours ❤️👍❤️👍❤️👍👍❤️👍
Superbe les 2 voix
Je les adorent tout simplement
je suis un inconditionnelle depuis mes 15 ans.super chanson les gars.revenez a plestin que je retourne vous voir.et cette fois avec une séance de dedicasse.merci a vous.
Continuez encore longtemps à naviguer et à nous embarquer a bord de vos traversées. Merci à votre équipage mille sabords.
Très joli duo !
Merci du j p 93 😀
magnifique
Incroyable
Très bon comme d hab
🥰🥰🥰
et , hé , et c'est quoi comme "style" ? du countriska ! lol , merci