Des singes en automne
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- เผยแพร่เมื่อ 25 ก.ย. 2024
- Reportage de France Télévision sur le cinquantenaire du film "Un singe en hiver" avec Jean Gabin, Jean-Paul Belmondo et Suzanne Flon, tourné à Tigreville/Villerville le 20 Octobre 2012.
Un immense merci à Marie-Pierre Farkas et à toute son équipe.
Merci pour ce roman qui a permis un super beau film. Magnifique.
très émouvant, j y suis passer comme un pèlerinage ,une adoration de ce film et mes deux grands acteurs, beaucoup d émotion ,j étais très ému, que du bonheur ,je reviendrais😍🤩😎
n'oublions pas nos aînés, quel poésie ce film, ce livre, cette filiation Gabin-Belmondo, l'alcool, les femmes, les potes, être père, la mort,la jeunesse, Antoine Blondin, Henri Verneuil, le Yang Tsé Kiang comme un fleuve symbole de la vie, et une musique , oui , ce film est une musique, celle de Mr Michel Magne où le jazz swingue avec des castagnettes, finalement un film-fleuve vert comme l'espérance...
Un style à la française...merci les seigneurs !
Reportage magnifique et combien émouvant.
Un Singe en Hiver est célèbre pour avoir réuni la France de la première
moitié du siècle symbolisée par son plus grand acteur Jean Gabin et le
plus grand acteur de la seconde moitié du siècle Jean Paul Belmondo. Non
seulement il les a réunis mais il a créé de la magie à l'écran. Le film
respecte les trois unités grecques de création l'unité d'action c'est
l'histoire d'un homme qui vient récupérer sa fille et qui rencontre par
hasard un vieil homme qui ressemble beaucoup à l'homme qu'il pourrait
devenir. L'unité de lieu tout se déroule dans la ville côtière de
Tigreville en Normandie et l'unité de temps tout se déroule sur 3 ou 4
jours. C'est un film français où il ne se passe rien mais où l'on
raconte beaucoup de choses. Chaque mot a son poids chaque phrase en
dévoile davantage sur l'histoire ou le passé des deux personnages
centraux joués par Gabin et Belmondo. Il y a peu de films qui peuvent à
la fois vous faire rire vous toucher et vous inspirer comme le fait le
film d'Henry Verneuil. C'est une histoire d'hommes bons qui ont parfois
besoin de vivre un peu et de se divertir de profiter de la vie et de
rêver un peu. Il est peu probable que nous ayons encore un jour un film
comme celui-ci c'est un bijou à conserver précieusement jusqu'à la fin
des temps...
Analyse très juste
... et le vieil homme entra dans un long hiver. C'est ça le singe en hiver. J'aime aussi beaucoup ce que vous avez dit.
Un bien chouette reportage.. Ça me donne vraiment envie de venir, dommage que ce soit si loin pour moi.
J'ai passé un bon moment à regarder tout ça.
Merci.
Absolument génial !
À Tigreville!! À la Californie Normande 👍🏻
Merci pour ces infos Guillaume. Comme tu le dis, c'est trop court pour la we prochain, je suis déjà pris. En revanche, je vais réfléchir sérieusement à une demande d'adhésion maintenant que j'ai l'adresse de la confrérie. Passe un bon we à Tigreville et "attention aux roches !" ;-)
Suis un fan de ce film... Ma réplique préféré : Gabin, fin bourré dans le troquet à Frankeur remonté par le bordel que lui et Bebel mettent : "Tiens, veux tu que je te dises... Vous méritez pas de boire !"
Ça sent fort son Blondin... Mais c'est peut-être d'Audiard !
Il ne faut pas oublier Audiard dans ce film !
J'y suis allé cet été... Pour piconer.
joli !
@@michelbeau2286 alcoolique
Salut. La procédure pour adhérer est simple. Il suffit d'écrire à la confrérie en défendant ta candidature et le bureau statue: 28, route du littoral 14113 VILLERVILLE. Pour le 26 c'est un peu juste mais rien ne t"empêche de venir même si tu ne participes pas au repas. De plus, le feu d'artifice est public et le cabaret normand ouvert à tout le monde ;-) Moi j'y serai du 25 au 28 histoire de bien profiter de l'atmosphère et de pouvoir enfin visiter TOUS les lieux du film.
Bonsoir Guillaume,
Non je ne serai pas à Tigreville car je n'ai pas la chance de faire partie de l'association...Pour te rafraîchir la mémoire, je faisais partie d'un groupe de corréziens venus pour l'occasion, les membres du bureau de l'association doivent s'en souvenir... On a parlé tous les deux pendant un moment au Bar d'un montage vidéo que j'avais réalisé sur Audiard. Si l'association souhaite accueillir de nouveaux membres, fais-le moi savoir, on est quelques uns à être partant ;-)
A l'Amiral Guéprate........., au divin chauve.....et c'lui là, j'le bois pour mon pote Gédéon....tombé dans l'traquenaaaaaard de Langson..............oupssssss j'ai oublié Miguelito le plus grand de tous !
Magnifique ,à mon pote GEDEON mort au champ d'honneur...a l'amiral GUEPRATTE, suivi du clairon
Et puis tu sais, l'année dernière je ne connaissais personne et je suis arrivé par hasard, y compris au repas. J'ai appris qu'il y avait le repas le soir au casino mais que c'était complet. Pour "humer" l'atmosphère ma femme m'a dit "on n'a qu'à aller y manger le midi". Là dessus en bon singe, j'ai sympathisé avec les propriétaires qui nous ont finalement trouvé 4 places pour la paella...alors tu vois à Tigreville tout peut arriver...même descendre un avion en faisant "ta ta ta ta ta ta" ;-)
J'ignorais que t'avais passé 8 ans en internat. C'était pas 8 ans avec M. Vayries j'espère ? Ça ferait beaucoup pour un gamin. Une sorte de sentence de perpétuité. Ma piaule voisinait la tienne, t'étais football, j'étais rugby. J'avais vu Le Singe tout petit, à l'âge où l'on n'a pas conscience de ce que l'on voit. Je n'en gardais que la scène de gare qui cloture ce poème par les sanglots déchirants d'un harmonica. Quand je l'ai revu, des siècles plus tard, il a résonné en moi comme un frère espéré, comme un parfum retrouvé, comme un chagrin merveilleux. Si j'avais su, sous les mansardes tivoliennes, qu'il y avait en toi cet enfant attendant une main bienveillante, j'aurais peut-être déposé plus souvent le masque des conventions adolescentes. Mais il y a des âges où l'on ne peut s'autoriser la nostalgie. Bonne route, cher Guillaume, je t'aimais bien. Pascal.
@@PM-qh1ytPM…Pascal Masurier je présume. Moi aussi je t’aimais bien. Je me souviens de la manière que tu avais eu de déclamer un poème de José Maria de Heredia avec Jean Francois en classe. « Cipango »… tu avais dit que ça te faisait penser à un feu d’artifice qui sortait de la bouche. Ça m’a marqué et je m’en souviens encore. Et Jean Francois était tellement heureux que tu sois sensible au poème qu’il essayait de nous apprendre. La poésie ne t’a manifestement pas quitté, je peux le voir à ta délicieuse manière d’écrire. J’espère que tu vas bien. Et si jamais tu veux me contacter je suis facilement trouvable sur Facebook ❤
@@leprodupret quelle mémoire ! Je me souviens bien de ce cours de français. Ce prof était excellent. Il nous aidait à lire Rabelais aussi : la substantifique moëlle. La langue française, quand elle est maniée par de tels sémaphores, nous transporte et nous enivre tout autant que le Picon-bière. Je ne vais jamais se r Facebook mais il nous reste WhatsApp 🤓. La bise.
@@PM-qh1yt Va pour WhatsApp...06 17 53 00 07. La bise
Et en été ?
pas mal la Confrérie mais je ne souhaite pas apprendre les dialogues par coeur, ce serait signer un automatisme récurrent (pléonasme) qui mettrait fin à la poésie, je préfère n'en garder que des vapes...et tomber sur ce film de temps en temps comme si c'était la 1ère fois...maintenant aller Tigreville pour boire un picon-bière pourquoi pas?
C'est une position qui se comprends. Perso, je connais le film par coeur. Mais je n'ai pas cherché à apprendre les dialogues, j'ai fini par les apprendre "malgré moi" à force de regarder le film que j'ai vu plus de 200 fois au moins. Et chaque fois avec plaisir, je ne me force pas et je le redécouvre à chaque fois ;-)
@@leprodupret existe-t-il une adresse mail pour contacter cette fabuleuse confrérie
Salut. Désolé de ne pas avoir répondu plus tôt. Tu viens à Tigreville pour la prochaine réunion le 26 octobre ? Je dois reconnaître que je ne me souviens pas très bien du tout, j'ai des vapes moi aussi pour la soirée de l'année dernière. Guillaume.
27:26 Aie coup dur pour ce vent
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