Les animaux dans l'histoire, Béatrice Bouniol, Michel Pastoureau, Eric Baratay, Emmanuel Laurentin

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  • เผยแพร่เมื่อ 11 ต.ค. 2024
  • "Depuis quand défend-on les animaux ?" Table ronde proposée par France Culture, le 13 janvier 2017 à La Sorbonne.
    Merci à Béatrice Bouniol, Michel Pastoureau, Eric Baratay, Emmanuel Laurentin de leurs aimables accords.
    www.francecult...
    Chaîne bénévole, non rémunérée de partage. Si vous vouliez qu'une vidéo soit retirée, merci de m'en informer. Ceci sera réalisé dans les meilleurs délais.

ความคิดเห็น • 4

  • @jean-christopheMiquel-ef3ur
    @jean-christopheMiquel-ef3ur 2 ปีที่แล้ว +1

    Formidable!
    Un grand merci.
    L' histoire culturelle est devenue désormais la voie royale des études historiques en lien avec l' anthropologie historique.
    Un bel hommage à Jacques Le Goff qui en fut en France le fondateur et Pastoureau le pionnier héroîque, au vu des résistances universitaires d' alors.

  • @tiyalhumanite4791
    @tiyalhumanite4791 6 ปีที่แล้ว +1

    Ouiiiii! Mille merci!

  • @eshebang
    @eshebang 2 ปีที่แล้ว

    Je comprends que le sujet est tellement vaste que les intervenants ne passent aucun temps à parler des animaux dans les sociétés non-occidentales. Mais meme si les auditeurs comprennent que le contexte est bien 'occidental', il serait bien d'établir un cadre, pour qu'on sache bien que tout ce qui est dit ne s'appliquera necessairement pas aux autres cultures.

  • @eshebang
    @eshebang 2 ปีที่แล้ว

    Tres franchement, cette docte assemblée évite les sujets qui fachent magistralement: alors on chante l'historique de donner des noms aux cochons, on donne des dates, on tutoie les rois et les princes, on sait tout. Sauf que, on ne donne plus de noms aux cochons aujourd'hui ils ont des tatouages de code-barres, les oreilles clippées, et autres sévices que les 'professionals' jugent nécéssaires pour faire de l'abattage de masse). Ces historiens font de l'histoire qui ne derange pas. On limite Aain Decaux, un peu plus docte et fort sympathique. La connaissance pour la connaissance, entre nous. ON évite évidemment le sujet qui fache donc: que faire de toute cette cruauté perpétrée envers les milliards d'animaux dans le monde (car il faut voir ça un peu plus loin de la célébre coupole Sorbonique), il s'agit de realiser si on veut faire évoluer la race humaine vers un plus de paix entre nous, et avec les animaux. Est-ce une cause perdue comme veulent le croire certains? Peut-être, mais comme disait Lennon: Imagine, un monde ou l'humain ne porte plus une arme contre un animal pour lui manger sa chair. Quelque part quand on renonce à tuer un animal pour se nourrir de sa chair, on fait avancer les choses. Le processus d'hominisation dont parle souvent René Girard n'est jamais fini. Communier autour d'un barbecue, d'un brasero ou d'un mechoui, c'est toujours le meme rite du partage de la proie chassée. C'est une manière d'avoir un peu du sang de la bête sur les mains.