Ça me parle beaucoup. Cette question de la motivation des élèves, j’ai l’impression de la toucher vraiment du doigt depuis que mon fils est au collège. C’est un enfant curieux, fan de jeux vidéos et de jeux de société, qui apprend à dessiner et à parler le japonais en autodidacte : autant dire qu’on voit bien qu’il aime apprendre ! Pourtant, les cours, c’est pas son truc… Bien entendu il y’a sans doute plusieurs raisons, mais ce qui me frappe depuis la sixième c,est ce sentiment que l’objectif principal de chaque trimestre, ce n’est pas d’apprendre des choses ni même d’avoir de bons résultats, mais véritablement d’échapper aux mauvaises notes qui font baisser les moyennes ! Il ne s’agit pas de construire, mais de limiter les dégâts ! Une évaluation n’est alors pas l’occasion de réussir, mais un danger potentiel à éviter.
Bonjour madame, je vous site une expérience de ce que j ai vécu en terminale. Je travaillais toujours des heures dans la sale de permanence car j était interne. Il y a avait beaucoup de gens qui ne s impliqué pas autant que moi et qui avait de meilleures notes. Parfois, on se demande si n'y a pas du favoritisme. En plus lors des exposés orales où l on peut clairement voir le travaille des autres, certains on de très bonnes notes avec des exposés médiocres.
Salut, je vis en France depuis un an maintenant, mais je n'ai pas de bonnes notes dans certaines matières comme la physique et les sciences, peut-être que je n'ai pas de notes, mais j'essaie très fort. Mon problème est le français. C'est très difficile. Je suis en troisième. Je veux choisir le doctorat général. Question Je suis comme ça, si je n'ai pas de bonnes notes dans mes matières, je ne pourrai pas entrer dans l'université de mon choix , pouvez-vous me guider, s'il vous plaît ? Si je ne peux pas entrer dans mon domaine, alors je ne sais pas quand aller à l'école, c'est-à-dire que je ne pourrai pas aller au lycée l'année prochaine si je ne t avoir de bonnes notes, s'il vous plaît me guider.🥺🥺🙏🏽🙏🏽
Ce n est pas ce que dit Helvétius qui n était pas du genre à dire des inepties. Il parle de " l inertie vers laquelle ns gravitons tous". Le système scolaire inhibe , c ' est très discutable.
Il n'xiste pas et heureseument, une seule méthode pour les profs, dont les environnements personnels sont différents et car on enseigne pas la philo ou l'histoire-géo comme les maths (très mauvais souvenir d'une prof pas pédagogue), pour motiver les élèves. Si l'élève ne tente pas de se motiver lui-même, le progf aura beau lui donner des outils, il n'est pas pas là pour remplacer et l'Etat et les parents.
Je suis complètement d'accord avec toi : c'est à l'élève de se motiver lui-même. Et la première étape vers l'épanouissement professionnel des enseignants, c'est de réaliser cela oui. En revanche, certes les maths et la philo sont différents. Mais les élèves, eux, ont tous le même cerveau. Et le processus d'apprentissage du cerveau a été soumis à un processus de sélection naturelle forte, ce qui fait que tous les cerveau apprennent de la même façon. Donc, que ce soit en maths ou en philo, si on adopte un système d'enseignement adapté à cette façon d'apprendre, on voit que les élèves apprennent mieux. Et c'est effectivement ce que j'observe chez les enseignants que j'accompagne, que ce soit en maths ou en philo !
Ça me parle beaucoup. Cette question de la motivation des élèves, j’ai l’impression de la toucher vraiment du doigt depuis que mon fils est au collège. C’est un enfant curieux, fan de jeux vidéos et de jeux de société, qui apprend à dessiner et à parler le japonais en autodidacte : autant dire qu’on voit bien qu’il aime apprendre ! Pourtant, les cours, c’est pas son truc… Bien entendu il y’a sans doute plusieurs raisons, mais ce qui me frappe depuis la sixième c,est ce sentiment que l’objectif principal de chaque trimestre, ce n’est pas d’apprendre des choses ni même d’avoir de bons résultats, mais véritablement d’échapper aux mauvaises notes qui font baisser les moyennes ! Il ne s’agit pas de construire, mais de limiter les dégâts ! Une évaluation n’est alors pas l’occasion de réussir, mais un danger potentiel à éviter.
Oui, c'est exactement ça le problème !
Bonjour madame, je vous site une expérience de ce que j ai vécu en terminale. Je travaillais toujours des heures dans la sale de permanence car j était interne. Il y a avait beaucoup de gens qui ne s impliqué pas autant que moi et qui avait de meilleures notes. Parfois, on se demande si n'y a pas du favoritisme. En plus lors des exposés orales où l on peut clairement voir le travaille des autres, certains on de très bonnes notes avec des exposés médiocres.
Merci de ton témoignage.
@@marie-camillecoudert5631 merci mais avez vous un avis, bien que vous risquez de me dire que vous ne connaissez pas en détail le contexte.
Salut, je vis en France depuis un an maintenant, mais je n'ai pas de bonnes notes dans certaines matières comme la physique et les sciences, peut-être que je n'ai pas de notes, mais j'essaie très fort. Mon problème est le français. C'est très difficile. Je suis en troisième. Je veux choisir le doctorat général. Question Je suis comme ça, si je n'ai pas de bonnes notes dans mes matières, je ne pourrai pas entrer dans l'université de mon choix , pouvez-vous me guider, s'il vous plaît ? Si je ne peux pas entrer dans mon domaine, alors je ne sais pas quand aller à l'école, c'est-à-dire que je ne pourrai pas aller au lycée l'année prochaine si je ne t avoir de bonnes notes, s'il vous plaît me guider.🥺🥺🙏🏽🙏🏽
Ce n est pas ce que dit Helvétius qui n était pas du genre à dire des inepties. Il parle de " l inertie vers laquelle ns gravitons tous". Le système scolaire inhibe , c ' est très discutable.
🙏💙
👍⭐️⭐️⭐️👏
ce n'est pas l'éducation nationale, mais l'instruction nationale.
CQFD.
l'instruction doit être joueuse, attrayante et pragmatique; tout ce qu'elle n'est pas.0
Il n'xiste pas et heureseument, une seule méthode pour les profs, dont les environnements personnels sont différents et car on enseigne pas la philo ou l'histoire-géo comme les maths (très mauvais souvenir d'une prof pas pédagogue), pour motiver les élèves. Si l'élève ne tente pas de se motiver lui-même, le progf aura beau lui donner des outils, il n'est pas pas là pour remplacer et l'Etat et les parents.
Je suis complètement d'accord avec toi : c'est à l'élève de se motiver lui-même. Et la première étape vers l'épanouissement professionnel des enseignants, c'est de réaliser cela oui.
En revanche, certes les maths et la philo sont différents. Mais les élèves, eux, ont tous le même cerveau. Et le processus d'apprentissage du cerveau a été soumis à un processus de sélection naturelle forte, ce qui fait que tous les cerveau apprennent de la même façon. Donc, que ce soit en maths ou en philo, si on adopte un système d'enseignement adapté à cette façon d'apprendre, on voit que les élèves apprennent mieux. Et c'est effectivement ce que j'observe chez les enseignants que j'accompagne, que ce soit en maths ou en philo !
@ sauf qu’on ne changera jamais l’inné à l’acquis.