0:22 un regard qui en dit long... Une passion, une flamme. Mouloudji fait partie de ces géants de la chanson francaise, car il a su nous toucher par des mots simples mais dont la sincérité était si belle voir même troublante ❤
La juste interprétation pour cette merveilleuse chanson devenu un succès inoubliable. Pas de doute Marcel Mouloudji n'a pas fini de nous émouvoir, bien qu'il soit parti vraiment trop tôt alors qu'il avait tant de projets encore !
Le myosotis, et puis la rose, Ce sont des fleurs qui dis’nt quèqu’ chose! Mais pour aimer les coqu’licots Et n’aimer qu’ça... faut être idiot! T’as p’t’êtr’ raison! seul’ment voilà : Quand j’t’aurai dit, tu comprendras! La premièr’ fois que je l’ai vue, Elle dormait, à moitié nue Dans la lumière de l’été Au beau milieu d’un champ de blé. Et sous le corsag’ blanc, Là où battait son cœur, Le soleil, gentiment, Faisait vivre une fleur : Comme un p’tit coqu’licot, mon âme! Comme un p’tit coqu’licot. C’est très curieux comm’ tes yeux brillent En te rapp’lant la jolie fille! Ils brill’nt si fort qu’c’est un peu trop Pour expliquer... les coqu’licots! T’as p’t’êtr’ raison! seul’ment voilà Quand je l’ai prise dans mes bras, Elle m’a donné son beau sourire, Et puis après, sans rien nous dire, Dans la lumière de l’été On s’est aimé!... on s’est aimé! Et j’ai tant appuyé Mes lèvres sur son cœur, Qu’à la plac’ du baiser Y avait comm’ une fleur : Comme un p’tit coqu’licot, mon âme! Comme un p’tit coqu’licot. Ça n’est rien d’autr’ qu’un’aventure Ta p’tit’ histoire, et je te jure Qu’ell’ ne mérit’ pas un sanglot Ni cett’ passion... des coqu’licots! Attends la fin! tu comprendras : Un autr’ l’aimait qu’ell’ n’aimait pas! Et le lend’main, quand j’lai revue, Elle dormait, à moitié nue, Dans la lumière de l’été Au beau milieu du champ de blé. Mais, sur le corsag’ blanc, Juste à la plac’ du cœur, Y avait trois goutt’s de sang Qui faisaient comm’ un’ fleur : Comm’ un p’tit coqu’licot, mon âme! Un tout p’tit coqu’licot.
certes.. ce n'était pas son style du tout et il le savait .. c'était un excellent interprête Monsieur Chevalier sa carrière tous azimuts le prouve ... chacun apporte sa pierre à l'édifice ... et Marcel Mouloudji nous fait toujours battre le coeur .... bonne journée
💖💖🌹💖🌹💖🌹Que dire sinon que ses textes font toujours battre mon cœur...
très beau et émouvant merci
Des origines kabyles, comme piaf❤❤ merci la kabylie! Des vrais chanteurs, pas comme aujourdh'ui.
0:22 un regard qui en dit long...
Une passion, une flamme.
Mouloudji fait partie de ces géants de la chanson francaise, car il a su nous toucher par des mots simples mais dont la sincérité était si belle voir même troublante ❤
Quelle interprétation ,quel regard......
La juste interprétation pour cette merveilleuse chanson devenu un succès inoubliable.
Pas de doute Marcel Mouloudji n'a pas fini de nous émouvoir, bien qu'il soit parti vraiment trop tôt
alors qu'il avait tant de projets encore !
c est ça une interprétation !!!!!
Tellement bouleversant.
Quelle présence, quelle voix...
Très belle interprétations !
Cette chanson n'a pas pris une ride du moins c'est mon avis, elle est pleine de sensibilité et Mouloudji la chante admirablement bien...merci...
Quelle nostalgie de t'entendre cette chanson toute ma jeunesse que de souvenirs j'adore Merci merci que du bonheur
Magnifique ! Merci.
J'ai travaillé pour lui aux éclairages au théâtre dunkerquois jouant dans une pièce dont j'ai oublié le nom
Très bien cet homme
Magnifique
Très belle et triste chanson
J'adore,
Ça c est de l interprétation !
C'est tout à fait mon idée
Bisous 😚
Le myosotis, et puis la rose,
Ce sont des fleurs qui dis’nt quèqu’ chose!
Mais pour aimer les coqu’licots
Et n’aimer qu’ça... faut être idiot!
T’as p’t’êtr’ raison! seul’ment voilà :
Quand j’t’aurai dit, tu comprendras!
La premièr’ fois que je l’ai vue,
Elle dormait, à moitié nue
Dans la lumière de l’été
Au beau milieu d’un champ de blé.
Et sous le corsag’ blanc,
Là où battait son cœur,
Le soleil, gentiment,
Faisait vivre une fleur :
Comme un p’tit coqu’licot, mon âme!
Comme un p’tit coqu’licot.
C’est très curieux comm’ tes yeux brillent
En te rapp’lant la jolie fille!
Ils brill’nt si fort qu’c’est un peu trop
Pour expliquer... les coqu’licots!
T’as p’t’êtr’ raison! seul’ment voilà
Quand je l’ai prise dans mes bras,
Elle m’a donné son beau sourire,
Et puis après, sans rien nous dire,
Dans la lumière de l’été
On s’est aimé!... on s’est aimé!
Et j’ai tant appuyé
Mes lèvres sur son cœur,
Qu’à la plac’ du baiser
Y avait comm’ une fleur :
Comme un p’tit coqu’licot, mon âme!
Comme un p’tit coqu’licot.
Ça n’est rien d’autr’ qu’un’aventure
Ta p’tit’ histoire, et je te jure
Qu’ell’ ne mérit’ pas un sanglot
Ni cett’ passion... des coqu’licots!
Attends la fin! tu comprendras :
Un autr’ l’aimait qu’ell’ n’aimait pas!
Et le lend’main, quand j’lai revue,
Elle dormait, à moitié nue,
Dans la lumière de l’été
Au beau milieu du champ de blé.
Mais, sur le corsag’ blanc,
Juste à la plac’ du cœur,
Y avait trois goutt’s de sang
Qui faisaient comm’ un’ fleur :
Comm’ un p’tit coqu’licot, mon âme!
Un tout p’tit coqu’licot.
Merci !
Disparu trop tôt hélas
Je m'autorise souvent à piquer quelques paroles !
Chevalier n'avait pas la tendresse dans la voix qu'il faut pour cette chanson...Mouloudji l'avait...
certes.. ce n'était pas son style du tout et il le savait .. c'était un excellent interprête Monsieur Chevalier sa carrière tous azimuts le prouve ... chacun apporte sa pierre à l'édifice ... et Marcel Mouloudji nous fait toujours battre le coeur .... bonne journée