On dit qu’le bonheur coûte cher, moi j’en ai jamais vu l’prix, Mais le temps comme l’argent, tu sombre quand t’en as plus, Mais le temps c’est d’l’argent, mais le temps m’en a tant pris, Plus de différence dans la noirceur de la pluie. Les yeux rivés sur l’horizon noirci d’mon âme, J’connais par cœur les sentiers où la vie se crame. J’pense qu’à celle qui m’a bercé, pas à toutes ces femmes, Le manque m’envahit, seul au bord du drame. Les fantômes de la ville murmurent encore des chants, J’en deviens sourd, mais dans la silence d’la nuit, J’entends que les absents, et j’oublie rien. J’éponge les frais de ces enculés en costume, Laissant derrière eux des jeunes qui ont vu plus d’enterrements que d’naissances. Des sourires figés sur des visages fardés, Des âmes fanées sous des masques de fer. Bercer par des contines, certains ne vivent que par le bruit du fer, J’prends la rue comme un ring, chaque nuit, je combat mes propres démons, Les cernes sont des souvenirs des nuits blanches où je gratte et j’me perds. On s’forge des armures de mensonges, Le vide du cœur sous des vestes en cuir. J’ai plus d’larmes pour mes plaies, juste des cendres à offrir, Dans ce monde sans foi, même le ciel a dû fuir. Le temps efface rien, il grave chaque cicatrice, L’amertume persiste pendant que s’effrite les souvenirs. J’fais semblant d’oublier l’hiver, mais même en été, Je sens le froid dans mes veines, un mec se fait refroidir pour le trafic, Je sens l’effroi et les peines. Chaque rire dans l’ombre d’une larme, chaque fête un écho qui sonne creux, La bouteille à moitié vide comme les promesses qu’on laisse aux hommes pieux. Les mots qu’on tait pèsent des tonnes, Les vérités qu’on enterre deviennent poison. J’espère ne jamais tomber dans le piège, chercher en vain la toison, Je pense à la chance que j’ai quand j’entends les coups à travers la cloison. Les rêves sont devenus des murs, des blocs de béton dans le labyrinthe de mes choix. On a troqué la paix contre des billets, À force d’aimer l’odeur du métal froid. Le trône est désert, le silence règne où personne me voit, Même dans la grandeur, j’me sens étranger même sous mon propre toit. Quand l’aube se lève, j’vois des ombres partout, la lumière n’a jamais été pour moi. Souvenirs enchaînés, regret comme une pierre, Le poids de mes choix me cloue à la terre. J’ai vu des visages ternis par l’usure du fer, Des âmes qui s’effacent, sous l’éclat de la guerre. On parle d’horizons, mais ici tout se perd, Quand les rêves deviennent fardeaux, les rires éphémères. Le ciel est une fuite, je projette mes prières, Mais les anges m’oublient, donc je compte sur ma mère.
bardağım dolu bak damlalar taştı intihar düşüncelerim yine arttı attı tanrı dünyan denilen mahzene bizleri bıraktı kalktım, rüyadan bi uyansam bi duanla bu savaştan ya yalansa yaşadığım her şey yalansa olsun talan dil umrumda
Assis toi prêt de moi Toute La ville en émoi Je te le dis qu’une seule fois J’navigue comme le black pearl Le silence et mes larmes Plane au dessus comme un nuage J’donnerais pas un quart de ma vie Même si j’lai déjà fait Confession dans mon théâtre Première Cover dans ce théâtre Tout ce qui est dur est lent à croître Laisse moi solo avec ma voix c’est mon art Et je veux plus les voir souffrir Nombreux ceux qui je nourrire Je garde espoir C’est pour la miff que je compte ouai J’donne liasse billet violet Ma voix tu l’écoutais Solo to night (2 voie à emprunter ) Le piano est sombre la melo est froide Le gamin a pris de l’âge Faut que je sort de ma zone de confort Classique et mythique comme temps mort Grand classe tema le luxury faut porter du brioni Le taff paye c’est ce qu’on m’a dit Avant qu’on lui tire dans ça Audi Audi l’ancien voulait faire le Tony Elvira flairer toute la nuit Elle tenait son cœur calmant son og
Não é cansaço tá claro Amor ela tem mais de 20 Ontem gênio hoje chato Se a conta ele divide Oxigênio embalo Toda hora comer salga Se ao menos tivesse perguntado Talvez daria umas aulas Te comer, nem se tivesse drogado Esmagada veio a bolacha Meti no lixo o passado Y tu ainda procurando as flechas Humano concretizado Tudo aprendizado Respira como mente Sei que mal tem passado Apenas se paciente Diz que tudo tá mudado Depois duns anos Veste o s Tem aproveitado Revoltado, não vem c sos Guarda SMS Caso necessário Vê maze se arrefeces Teu pai é único otario Pi tanto que perdeste Ouvia não passa desta Paq esconder-se Y depois levar gera Corpo só tenho este Teu marido detesta Queres então cresce Pa todo ganho tem perda Então te mexe Vitimismo aqui não cola Nem tudo é oq parece E Inexistente como a bola Chama assistente Empregada ou boba? Atuo em várias vertentes Uma delas acho é a escola Tão falsa que nada sente Não faz tampoco joga Sem espaço para remetente Será q é o ginásio que te controla Para vocês sem tempo Pá Deus eu tenho de sobra Sozinho tudo enfrento P falta de carro essa pede carona Blabla tas diferente Hoje me conhecem atoa 21 anos pela frente Ainda Esperam que o teu pai morra Não lava nem c detergente Perto não abre a boca Desculpa ser inconveniente Sai da frente Falsidade não é pouca Deus meu me poupa Y Mata essa puta Se valor metem na roupa Vida de outros julga
pas de putain d’kick gros yeuz plissé dans les maquis ils aiment bien la vie moi j’la prefere sans l’maquillage sqéma comme un mardi gras au moins y valident un acquis jsuis dans la breu ça fait Aqua des équations sur l’ paragraphe
Quel grâce, j'aimerais dire j'adore mais on adore que dieu 😂😂
Tu me régale 😂
@@WealthMafia808 c toi tu nous régale chef 🔥
On dit qu’le bonheur coûte cher, moi j’en ai jamais vu l’prix,
Mais le temps comme l’argent, tu sombre quand t’en as plus,
Mais le temps c’est d’l’argent, mais le temps m’en a tant pris,
Plus de différence dans la noirceur de la pluie.
Les yeux rivés sur l’horizon noirci d’mon âme,
J’connais par cœur les sentiers où la vie se crame.
J’pense qu’à celle qui m’a bercé, pas à toutes ces femmes,
Le manque m’envahit, seul au bord du drame.
Les fantômes de la ville murmurent encore des chants,
J’en deviens sourd, mais dans la silence d’la nuit,
J’entends que les absents, et j’oublie rien.
J’éponge les frais de ces enculés en costume,
Laissant derrière eux des jeunes qui ont vu plus d’enterrements que d’naissances.
Des sourires figés sur des visages fardés,
Des âmes fanées sous des masques de fer.
Bercer par des contines, certains ne vivent que par le bruit du fer,
J’prends la rue comme un ring, chaque nuit, je combat mes propres démons,
Les cernes sont des souvenirs des nuits blanches où je gratte et j’me perds.
On s’forge des armures de mensonges,
Le vide du cœur sous des vestes en cuir.
J’ai plus d’larmes pour mes plaies, juste des cendres à offrir,
Dans ce monde sans foi, même le ciel a dû fuir.
Le temps efface rien, il grave chaque cicatrice,
L’amertume persiste pendant que s’effrite les souvenirs.
J’fais semblant d’oublier l’hiver, mais même en été,
Je sens le froid dans mes veines, un mec se fait refroidir pour le trafic,
Je sens l’effroi et les peines.
Chaque rire dans l’ombre d’une larme, chaque fête un écho qui sonne creux,
La bouteille à moitié vide comme les promesses qu’on laisse aux hommes pieux.
Les mots qu’on tait pèsent des tonnes,
Les vérités qu’on enterre deviennent poison.
J’espère ne jamais tomber dans le piège, chercher en vain la toison,
Je pense à la chance que j’ai quand j’entends les coups à travers la cloison.
Les rêves sont devenus des murs, des blocs de béton dans le labyrinthe de mes choix.
On a troqué la paix contre des billets,
À force d’aimer l’odeur du métal froid.
Le trône est désert, le silence règne où personne me voit,
Même dans la grandeur, j’me sens étranger même sous mon propre toit.
Quand l’aube se lève, j’vois des ombres partout, la lumière n’a jamais été pour moi.
Souvenirs enchaînés, regret comme une pierre,
Le poids de mes choix me cloue à la terre.
J’ai vu des visages ternis par l’usure du fer,
Des âmes qui s’effacent, sous l’éclat de la guerre.
On parle d’horizons, mais ici tout se perd,
Quand les rêves deviennent fardeaux, les rires éphémères.
Le ciel est une fuite, je projette mes prières,
Mais les anges m’oublient, donc je compte sur ma mère.
naaan la prod est trop propre !! +1
merci mon fréro
🚀💫
bardağım dolu bak
damlalar taştı
intihar düşüncelerim
yine arttı
attı tanrı dünyan denilen
mahzene bizleri bıraktı
kalktım,
rüyadan
bi uyansam
bi duanla
bu savaştan
ya yalansa
yaşadığım her şey yalansa
olsun talan dil umrumda
wealth∆mafia ❤
Lets fuckin' gooooooo💥💥💥💥
Assis toi prêt de moi
Toute La ville en émoi
Je te le dis qu’une seule fois
J’navigue comme le black pearl
Le silence et mes larmes
Plane au dessus comme un nuage
J’donnerais pas un quart de ma vie
Même si j’lai déjà fait
Confession dans mon théâtre
Première Cover dans ce théâtre
Tout ce qui est dur est lent à croître
Laisse moi solo avec ma voix c’est mon art
Et je veux plus les voir souffrir
Nombreux ceux qui je nourrire
Je garde espoir
C’est pour la miff que je compte ouai
J’donne liasse billet violet
Ma voix tu l’écoutais
Solo to night
(2 voie à emprunter )
Le piano est sombre la melo est froide
Le gamin a pris de l’âge
Faut que je sort de ma zone de confort
Classique et mythique comme temps mort
Grand classe tema le luxury
faut porter du brioni
Le taff paye c’est ce qu’on m’a dit
Avant qu’on lui tire dans ça Audi
Audi l’ancien voulait faire le Tony
Elvira flairer toute la nuit
Elle tenait son cœur calmant son og
encore heureux tu l’as sort frère 😂😂
Et oueee
Tu m'autorise a ajouter des drums dessus si j'ai envie de poser dessus en faisant un deuxième couplet avec drums?
@@FarL-AFE-HTC Oe bgg
Não é cansaço tá claro
Amor ela tem mais de 20
Ontem gênio hoje chato
Se a conta ele divide
Oxigênio embalo
Toda hora comer salga
Se ao menos tivesse perguntado
Talvez daria umas aulas
Te comer, nem se tivesse drogado
Esmagada veio a bolacha
Meti no lixo o passado
Y tu ainda procurando as flechas
Humano concretizado
Tudo aprendizado
Respira como mente
Sei que mal tem passado
Apenas se paciente
Diz que tudo tá mudado
Depois duns anos
Veste o s
Tem aproveitado
Revoltado, não vem c sos
Guarda SMS
Caso necessário
Vê maze se arrefeces
Teu pai é único otario
Pi tanto que perdeste
Ouvia não passa desta
Paq esconder-se
Y depois levar gera
Corpo só tenho este
Teu marido detesta
Queres então cresce
Pa todo ganho tem perda
Então te mexe
Vitimismo aqui não cola
Nem tudo é oq parece
E Inexistente como a bola
Chama assistente
Empregada ou boba?
Atuo em várias vertentes
Uma delas acho é a escola
Tão falsa que nada sente
Não faz tampoco joga
Sem espaço para remetente
Será q é o ginásio que te controla
Para vocês sem tempo
Pá Deus eu tenho de sobra
Sozinho tudo enfrento
P falta de carro essa pede carona
Blabla tas diferente
Hoje me conhecem atoa
21 anos pela frente
Ainda
Esperam que o teu pai morra
Não lava nem c detergente
Perto não abre a boca
Desculpa ser inconveniente
Sai da frente
Falsidade não é pouca
Deus meu me poupa
Y Mata essa puta
Se valor metem na roupa
Vida de outros julga
pas de putain d’kick
gros yeuz plissé dans les maquis
ils aiment bien la vie
moi j’la prefere sans l’maquillage
sqéma comme un mardi gras
au moins y valident un acquis
jsuis dans la breu ça fait Aqua
des équations sur l’ paragraphe