Se soigner par les plantes - Le conseil du pharmacien - module 1

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  • เผยแพร่เมื่อ 28 ส.ค. 2024

ความคิดเห็น • 7

  • @brigittebordelet3944
    @brigittebordelet3944 หลายเดือนก่อน +1

    Bonsoir Pascal,
    Merci d'aborder cette thématique fort intéressante! 😊💝
    Que la couverture de ce livre est belle!😍💚😊😊

  • @Siurus-Vulgaris-w9h
    @Siurus-Vulgaris-w9h หลายเดือนก่อน +1

    Depuis l'âge de 15 ans j'étudie les plantes sauvages qui guérissent, aujourd'hui j'ai ma propre pharmacie familiale pour la bobologie courante.., je fabrique mes gélules de plantes pour les petits maux de tous les jours : renouée des oiseaux contre les diarrhées, partenelle contre les douleurs aiguës et autres migraines, matricaire pour digérer et bien dormir lorsqu'on est trop énervé, laitue vireuse pour trouver le sommeil et avoir une meilleure digestion, lierre terrestre quand on est un peu bronchiteux etc... La liste n'est pas exhaustive... Les plantes sauvages sont une passion pour moi, je les aime, je les respecte, je les remercie.🥰

  • @solenedumas65
    @solenedumas65 หลายเดือนก่อน +1

    Bonjour Pascal, merci beaucoup pour votre intervention. Je me permettrais toutefois de nuancer votre propos. Aujourd'hui en tant qu'herboriste (même si l'appellation est illégale...), nous ne pouvons vendre que 148 plantes sèches librement. Nous n'avons pas le droit de vendre du plantain ou du calendula ! Les autres préparations galéniques doivent quant à elles être mises sur le marché selon diverses procédures, la plus compliquée (et onéreuse pour un petit producteur !) étant les cosmétiques. La responsabilité du producteur ou de l'herboriste peut être engagée en cas de problème concernant une plante ou en cas de dénonciation notamment ou de contrôle, pour exercice illégal de la médecine si nous nous permettons de donner des allégations. Et nous pouvons être condamnés, même si nous sommes compétents et formés ! Le gros problème, et vous l'évoquez d'ailleurs, est que notre formation n'est pas reconnue par l'Etat, laissant le champ libre à tout et n'importe quoi en terme de formation. C'est pourquoi à la Fédération française des écoles d'herboristerie, nous travaillons à réhabiliter le métier, mais dans la conjoncture politique actuelle, c'est très compliqué...Nous souhaitons d'ailleurs ardemment pouvoir collaborer utilement avec les pharmaciens et tous les professionnels de santé. Espérant que ma contribution sera bienvenue et au plaisir d'échanger sur ce sujet passionnant ! C'est toujours un plaisir de vous rencontrer en Brocéliande où je vis ! Solène DUMAS, trésorière FFEH et formatrice référente en législation à l'école Bretonne d'herboristerie.

  • @denisnolwenn9291
    @denisnolwenn9291 หลายเดือนก่อน

    Hâte de découvrir la suite

  • @KyrianTARGET
    @KyrianTARGET หลายเดือนก่อน

    ❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤