Arrêtez cette musique de fond, c'est pénible ! Et ce n'est pas la première fois qu'on vous le dit ! Cette musique, souvent trop forte, télescope les mots, les couvre parfois... Dites, pourquoi massacrez-vous le beau silence en fond de toute narration ? Ces postillons de musique empêchent l'esprit de vagabonder au long des mots, de partir pour un périple de velours où j'aurais pu imprimer mes images... Mais voilà, vous m'avez aboli l'esprit, bande d'insensibles ! Imaginez donc un pianiste en concert obligé de supporter les crachats, postillons et toux du public... Au bout de trois minutes il ferme le piano et se casse. Moi j'ai tenu. Bon pour cette fois je passe. Merci quand même.
Arrêtez cette musique de fond, c'est pénible ! Et ce n'est pas la première fois qu'on vous le dit ! Cette musique, souvent trop forte, télescope les mots, les couvre parfois... Dites, pourquoi massacrez-vous le beau silence en fond de toute narration ? Ces postillons de musique empêchent l'esprit de vagabonder au long des mots, de partir pour un périple de velours où j'aurais pu imprimer mes images... Mais voilà, vous m'avez aboli l'esprit, bande d'insensibles ! Imaginez donc un pianiste en concert obligé de supporter les crachats, postillons et toux du public... Au bout de trois minutes il ferme le piano et se casse. Moi j'ai tenu. Bon pour cette fois je passe. Merci quand même.
Musique de fond insupportable. Agaçant.