Endurance+musculation=incompatibilité?
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- เผยแพร่เมื่อ 29 ส.ค. 2024
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QUI SUIS-JE ?
Je m'appelle Olivier Bolliet. Je suis préparateur physique depuis 20 ans, docteur en sciences du sport, enseignant au STAPS de Lyon et auteur de 4 livres sur la préparation physique.
J'ai eu la chance de préparer des dizaines de sportifs de haut niveau (dont 31 Olympiens et 16 médaillés) dans 5 sports différents comme Pierre Vaultier (champion olympique de snowboard cross en 2018) Isabelle Delobel et Olivier Schoenfelder (champions du monde de danse sur glace en 2008) ou encore Flavie Renouard (championne d'Europe U23 du 3000m steeple en 2021).
Je partage désormais mon expérience pour les préparateurs physiques, entraîneurs, étudiants en STAPS/BPJEPS, kinés et passionnés de l’entraînement qui souhaitent travailler dans le sport de compétition et maximiser les performances athlétiques.
Pour me contacter :
👉contact@olivier-bolliet.com
Pour me suivre sur les réseaux sociaux :
👉Instagram : bit.ly/ig-oliv...
Merci pour votre intérêt,
Olivier Bolliet
![พบรัก - INK WARUNTORN x FELLOW FELLOW [LIVE SESSION]](http://i.ytimg.com/vi/1VonHhP6_Y8/mqdefault.jpg)
L’étude : link.springer.com/article/10.1007/s40279-021-01587-7
Merci. Très intéressant. En effet il faudrait creuser mais déjà merci de cette ouverture sur le sujet
Merci pour le message !
Merci
Avec plaisir !
Bonjour Olivier et merci pour toutes tes vidéos très très intéressantes. Pour une fois je ne suis pas convaincu par cette analyse. J'ai le sentiment qu'elle a regroupé des patates avec des carottes. Sur le fond, ok, personne ne doute que l'on peut améliorer la force et l'endurance, heureusement pour tous les sportifs pratiquant des disciplines combinant ces deux qualités. Mais j'imagine que l'objet de l'étude et donc de ton titre est l'optimisation de ce développement combiné.
Moi même entraineur depuis plus de 30 ans, particulièrement dans les sports de combat, et en charge de la prépa physique de sportifs de haut niveau, j'écris également quelques articles résultant de questions que je me suis moi même posées. En juillet dernier, j'en ai fait un justement sur ce sujet.
Lorsque j'entraine ou que je forme des préparateurs, je cherche, comme tout coach, à perdre le moins de temps possible dans des choses inutiles. Aménager une planification avec développement de la force, de l'endurance spécifique et de la technico-tactique est donc indispensable.
Le choix du Crossfit par exemple revient souvent comme l'exemple parfait de cette combinaison réussie entre force et endurance, qui serait la barre de fer à tout faire pour devenir une bête de guerre 🙂. A titre personnel, même si j'adore le Crossfit, je ne suis pas convaincu des résultats extraordinaires des pratiquants de haut niveau qui seraient partis de rien (peu de masse musculaire essentiellement).
Bref, en conclusion de mes recherches et de mon expérience si l’on souhaite développer sa force mais également son endurance de façon SIGNIFICATIVE (sans substance dopante évidemment), il faut :
- Limiter les séances d’endurance aérobie à 40 minutes maximum.
- Pratiquer les séances d’endurance sous la forme HIIT sans en abuser (risque de surentrainement).
- Si les séances d’endurance se font en course continue ou sous forme fractionnée, placer plutôt un travail de force du haut du corps la séance d’après.
- Eviter les carences en glycogène (pas de séances à jeun et une recharge immédiate en glycogène après la séance).
- Espacer les séances d’endurance et de force (au moins 6h et sous certaines conditions d’intensité et de recharge en glycogène).
Tout cela ne résulte que de mon opinion et quelques avis d'autres entraineurs et je ne m’offusquerai pas d'avoir tord 😀
==> e-s-c.fr/entrainement-combine-endurance-force.php
Merci bcp pour le temps que tu donnes avec ton commentaire, c’est très précieux et ça fait avancer la réflexion.
Merci Olivier pour cette vidéo intéressante!
Quid de l'effet inhibant des sports d'endurance pratiqués de manière régulière et avec un certain niveau d'intensité sur la protéine MTor qui joue un rôle important sur la prise de masse musculaire et donc l'hypertrophie ?
On peut se poser la question effectivement.
Je suis impressionné par les résultats de cette études et surtout très très satisfait. Mes recherches perso (pourtant à base d'études) et ce qu'on m'a enseigné en Staps m'ont véritablement amené à penser que les interférences avaient bel et bien lieu notamment à cause d'une inhibition de mTor suite à un entraînement aérobique, cette affirmation n'est donc plus véridique ? Et les préconisations que j'ai pu voir étaient de respecter au moins 3h entre une séance de force et une séance d'endurance, d'autres préconisaient 6h.
Merci pour ton message !
Bonjour Olivier et merci pour vos vidéos toujours intéressantes. Juste une question. Quand vous parlez de mélanger dans la "même séquence" force et endurance, ça veut dire dans la même journée ou durant une même session d'entraînement ? Par exemple force le matin et endurance vélo l'après-midi c'est dans une même séquence ou pas ? Je suis pas coach mais je m'entraîne seule et j'ai souvent entendu dire qu'on pouvait pas développer l'explosivité si on faisait de l'endurance... mais le vtt sur 1h30 est quand meme explosif (surtout vu le format actuel des parcours). Merci pour votre retour. Salutations.
Hello. Comme tu dis le vtt mélange les 2 alors là effectivement c’est différent.
Et dans la même semaine ? 2 séances basées sur l'explosivité et 2 séances sur de l'endurance, vous pensez que cela est néfaste également ?
Non pas dans la majorité des cas.
Et faire de l’endurance musculaire peut-il impacté négativement nos qualités neuro musculaire ?
Oui pour 1 public de sportifs de haut-niveau.
Est-ce que par exemple effectuer une séance on va dire "explosive" du haut du corps, puis finir cette séance par une activité "cardio" (ex : course à pied) va être néfaste pour l'explosivité ?
Pour l‘explosivité de quels groupes musculaires ?
@@OlivierBolliet l’explosivité des muscles du haut du corps
Car, si j’ai bien compris votre vidéo, lors d’une séance d’entraînement des membres inférieurs, l’explosivité des muscles des membres inférieurs sera réduite si on les entraîne à la fois en endurance et à la fois en explosivité dans la même séance.
Ma question porte sur des groupes musculaires « différents ».
Exemple : effectuer une séance de renforcement du haut du corps explosive, puis, dans la même séance, effectuer une activité « endurance » (comme la course à pied) -> est-ce que cela va altérer dans une certaine mesure l’explosivité des muscles du haut du corps ?
Donc la fin des « interférences » ?!
Avec les limites de l’étude.
Donc aucun intérêt pour les sports d'endurance...
Quoi donc?