Traduction mélodique de : Nemnam (Le sommeil) Dis-moi ce que tu as gagné A me harceler Ô rêve, laisse-moi en paix Si par l'imposte, tu passais Je la fermerai Tu ne pourras plus rentrer Inutile de me rappeler Je sais tout ce que tu sais Les tourments ont perduré Ce sommeil avait menti Ne le crois pas, ô l'ami J'ai rêvé être au pays Au réveil, immigré, je suis Depuis que mon viatique est prêt Ô cœur, tu t'en souviens encore Ô rêve, éloigne-toi Me rappeler, pourquoi Ceux qui sont loin, que j'ai laissés Tu me les amènes, frustré Le matin, au réveil, forts Mensonges de la nuit, on voit Ô sommeil, si c'était vrai Ce que, en rêve, tu montrais Si tu peux m'emmener chez moi Et là-bas, tu me laisseras Rien n'est venu jusqu'ici Je ne crois pas ce que tu dis Au réveil, la nuit finie On voit que tu as menti. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Ay avrid ittun medden (ô chemin abandonné) - à 10.56 Ô chemin abandonné De l'herbe, sur toi, a poussé Si tu te souviens, ils régnaient En suivant, tous, ton tracé Oh ! Oh ! Si tu te souviens, ils régnaient Oh ! Oh ! En suivant tous ton tracé Si tu te rappelles, dis-moi On se souvient, moi et toi Sur tes traces, ce qui s'est passé Moi,une cicatrice m'est restée Mais, pour chaque moment, un temps Le temps est prédominant Oh ! Oh ! On pleure le temps écoulé Oh ! Oh ! Il ne reviendra jamais Le frênier qui est tombé Un rameau, j'y ai coupé Il se souvient de nous deux, passant A partir du tronc, coupé Coupé par des ignorants Sans respect pour ce qu'il sait Oh oh, tais-toi, ô cœur se rappelant Oh oh, le passé, c'est terminé Tes pierres, nous les préservons Doucement, nous y allons Peut-être, on nous entendrait Le dur arbitraire, craignons Il y a une imprécation On nous avait vu passant Allez, inch'Allah : séparés Maudits, Dieu a approuvé Peut-être, savoir, tu voudrais Ô chemin qui se rappelait Peut-être, savoir, tu voudrais Où les jours nous ont jetés Changé, pas celui que tu connais Elle, trahie par la sureté Oh ôh, se croyait heureux, se trompant Oh oh, on moissonna des tourments. N. B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Anevdu (On se sépare) - à 0.00 Pars, on va se séparer Ou reste et je partirai Ta route et ma route, jamais Elles ne vont se rencontrer Tu savais l'aboutissement ça y allait depuis le temps On ne parle, ni on se blâme On ne verse pas de larmes Irrités d'un jour fini Et hier, il nous a manqués L'union, par les jours, cassée Ne peut s'appeler l'union Maintenant, c'est évident Le passé, c'est bien fini Sois discrète, moi aussi Sans en informer autrui Tu vas trouver, je trouverai Si je cherche ou si toi, cherchant Maintenant, éloignée, conscient Mon cœur, froid, tu l'as laissé J'attendais que tu t'inclines Tu attendais que je m'incline Toi, tu n'as pas commencé Moi, non plus, je n'ai rien fait Personne n'y a rien gagné Aucun espoir n'est resté Je cherche à me rappeler La cause de toutes les querelles A ce jour, j'ai oublié Ce jour fatidique, lequel A ce jour, toujours, cherchant Ceux à qui je conte, riant. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
très belle chanson merci pour ce beau partage Long vie
Les belles chansons c a me rappelle la jeunesse
Traduction mélodique de : Nemnam (Le sommeil)
Dis-moi ce que tu as gagné
A me harceler
Ô rêve, laisse-moi en paix
Si par l'imposte, tu passais
Je la fermerai
Tu ne pourras plus rentrer
Inutile de me rappeler
Je sais tout ce que tu sais
Les tourments ont perduré
Ce sommeil avait menti
Ne le crois pas, ô l'ami
J'ai rêvé être au pays
Au réveil, immigré, je suis
Depuis que mon viatique est prêt
Ô cœur, tu t'en souviens encore
Ô rêve, éloigne-toi
Me rappeler, pourquoi
Ceux qui sont loin, que j'ai laissés
Tu me les amènes, frustré
Le matin, au réveil, forts
Mensonges de la nuit, on voit
Ô sommeil, si c'était vrai
Ce que, en rêve, tu montrais
Si tu peux m'emmener chez moi
Et là-bas, tu me laisseras
Rien n'est venu jusqu'ici
Je ne crois pas ce que tu dis
Au réveil, la nuit finie
On voit que tu as menti.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Ay avrid ittun medden (ô chemin abandonné) - à 10.56
Ô chemin abandonné
De l'herbe, sur toi, a poussé
Si tu te souviens, ils régnaient
En suivant, tous, ton tracé
Oh ! Oh ! Si tu te souviens, ils régnaient
Oh ! Oh ! En suivant tous ton tracé
Si tu te rappelles, dis-moi
On se souvient, moi et toi
Sur tes traces, ce qui s'est passé
Moi,une cicatrice m'est restée
Mais, pour chaque moment, un temps
Le temps est prédominant
Oh ! Oh ! On pleure le temps écoulé
Oh ! Oh ! Il ne reviendra jamais
Le frênier qui est tombé
Un rameau, j'y ai coupé
Il se souvient de nous deux, passant
A partir du tronc, coupé
Coupé par des ignorants
Sans respect pour ce qu'il sait
Oh oh, tais-toi, ô cœur se rappelant
Oh oh, le passé, c'est terminé
Tes pierres, nous les préservons
Doucement, nous y allons
Peut-être, on nous entendrait
Le dur arbitraire, craignons
Il y a une imprécation
On nous avait vu passant
Allez, inch'Allah : séparés
Maudits, Dieu a approuvé
Peut-être, savoir, tu voudrais
Ô chemin qui se rappelait
Peut-être, savoir, tu voudrais
Où les jours nous ont jetés
Changé, pas celui que tu connais
Elle, trahie par la sureté
Oh ôh, se croyait heureux, se trompant
Oh oh, on moissonna des tourments.
N. B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Anevdu (On se sépare) - à 0.00
Pars, on va se séparer
Ou reste et je partirai
Ta route et ma route, jamais
Elles ne vont se rencontrer
Tu savais l'aboutissement
ça y allait depuis le temps
On ne parle, ni on se blâme
On ne verse pas de larmes
Irrités d'un jour fini
Et hier, il nous a manqués
L'union, par les jours, cassée
Ne peut s'appeler l'union
Maintenant, c'est évident
Le passé, c'est bien fini
Sois discrète, moi aussi
Sans en informer autrui
Tu vas trouver, je trouverai
Si je cherche ou si toi, cherchant
Maintenant, éloignée, conscient
Mon cœur, froid, tu l'as laissé
J'attendais que tu t'inclines
Tu attendais que je m'incline
Toi, tu n'as pas commencé
Moi, non plus, je n'ai rien fait
Personne n'y a rien gagné
Aucun espoir n'est resté
Je cherche à me rappeler
La cause de toutes les querelles
A ce jour, j'ai oublié
Ce jour fatidique, lequel
A ce jour, toujours, cherchant
Ceux à qui je conte, riant.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Svp je cherche une chanson de lounis ait mangellet yesis idhourar je pense les année 70 ... merci
yelis idurar en duo avec anissa
@@hamouchekbayli merci beaucoup