J'ai bien écouté ! Très intéressant. Abstinent depuis 10 ans je ne jouerai pas au funambule en tentant une consommation modérée ! Je préfère mourir sobre 👍
Pour un alcoolique , la consommation "contrôlée " ne fonctionne pas , il n'y a que l'abstinence qui fonctionne , c'est comme arrêter de fumer la rechute fait partie du cheminement , en situation d'abstinence , 1 verre est 1 verre de trop . et pour cesser de boire sans trop de souffrance ,voyez votre docteur , une assistance médical est souhaitable , ça rend le sevrage plus facile , si tu n'a jamais essayé de cesser de boire avec assistance médicale , fais le ! ça change tout , fais le
Merci ! C’est ce que je fais actuellement et j’avoue ça marche avec accompagnement pour sortir de cette merde. Je suis passé d’une bouteille de whisky à une canette de bière maintenant c’est de me débarrasser de cette petite bière tous les soirs mais j’y crois 🫶🙏
Ne commentant jamais, je me lache : n’oublions pas que le « sachant » en addictologie est le plus souvent le patient et que les « savants » devraient être plus à l’écoute des « professionnels de l’alcool « . En tant que pro de la picole je remercie vivement ce picologue et notre chère journaliste toujours aussi pertinente. Bonne soirée à tous.
Ce documentaire fait plaisir aux oreilles mais c'est tout. Personnellement j'ai eu 2 pancreatite et il n'y a que l'abstinence qui peut me sauver. Si je bois un verre alors c'est reparti j'en bois plein. Ce monsieur décrit des gens normaux qui boivent normalement ! Mais attention, danger. Est-ce qu'on arrive à fumer modérément ? C'est impossible du simple fait que le corps s'habitue et qu'on est obligé de consommer plus pour avoir la même sensation
Bravo pour cette émission sérieuse sur l'alcool - comme on en voit peu à la TV et comme on en entend peu à la radio. Un sujet de santé publique rarement aussi approfondi. Instructif !
La réduction des méfaits est un non sens pour moi. Je crois que pour plusieurs alcooliques, dont moi, la tentative de diminuer la quantité ou de changer la substance pour une autre n'a rien donné. Je suis toujours retournée dans la même souffrance, la même situation d'abus et le même risque de mourrir.
Ma grand-mère racontait que quand elle avait 7 ans (en 1919...), elle avait reproché à sa mère de donner une pièce à un clochard en répétant une chose qu'elle avait entendue : "Pourquoi tu lui as donné ? Il va aller s'acheter à boire !" et mon arrière grand-mère lui avait répondu : "C'est le seul plaisir qui lui reste et tu voudrais le lui enlever ?" - Elle s'est rappelée de cette leçon toute sa vie - et nous l'a transmise.
Quand quelqu'un me dit ce genre de truc, je réponds il fait bien ce qu'il veut. Dans je donne il y a donner pas passer un contrat. La personne fait bien ce qu'elle veut des qq misérables dons qu'elle est bien souvent forcée de demander parce que la société la mise au ban, la exclue sans ressource. Ta grand-mère avait bien raison de contrer cette idée à la noix.
Je viens de donner 10€ a une personne qui me demandait une pièce. Ces 10€ ne m appartiennent plus. Il en fera ce qu il veut. Tout le monde a connu une personne critiquant une personne vivant dans la rue qui s achète de l alcool avec le peu d argent qu il a. Ce sont souvent les mêmes personnes qui disent avoir l alcool mondain en buvant une demi bouteille de vin par jour après un apéro, en se déculpabilisant car de sont de bons produits. :) Saint emilion = mondanité. Vieux pape = pochtron. Expérience vécue, boire une bière en bleu de travail, on m a dit que je passais pour le manuel alcolo, après une douche, bien habillé après 4 pintes, j étais un trentenaire fêtard. Merci a cet homme qui m a aidé grâce à son travail.
Le problème c'est qu'avec l'alcool la personne ne se sortira jamais de la rue, ça va faire qu'aggraver son cas... et si on lui donne de l'argent c'est pour l'aider pas pour l'enfoncer.
Le premier truc qui m'a poussée à freiner ma consommation c'est de me dire "si je suis alcoolique je ne pourrais plus jamais consommer". Aujourd'hui ça me parait insensé de me soumettre à un programme qui me dirais que si je rechute je repars de zéro. J'ai des périodes d'abstinence, j'ai des périodes où je bois, je me concentre sur le fond du problème et j'essaye de mieux contrôler ma consommation. Un avenir sans toucher une goutte d'alcool n'est pas quelque chose que j'envisage pour l'instant. J'ai besoin de savoir que je pourrai consommer modérément et mieux me contrôler un jour.
Les interdits sont à "consommer" avec modération. Accompagner les personnes en difficulté, ne rien leur imposer, considérer les gens que l'on a en face de nous, sans les condamner systématiquement. l'écoute. Cette personne est vraiment formidable; Merci
Je bois une bouittelle de pastis, plus deux bouittelle de vin par jour j ai 44 ans ,parce que je n ai pas pas ou plu le courage de me suicider mais j ai la force de me laisser mourir bref j avais 17 de moyenne à l école comme un bon soldat mais trop de conscience sur ce monde je préfère ecourter ma vie
Pour info, un litre de ricard (alcool de betterave à sucre et quelques aromates) revient à moins de 2€ à la fabrication. Vendu 20€. L'état se fait des roupettes en platine sur une substance qui devrait être classée drogue dure. En moyenne 50 000 morts par an. Bravo à ce reportage qui explique bien qu'il est vite fait de glisser d'un bon verre de vin accompagnant un bon plat à la bouteille de rhum cul sec. Tâchons de profiter et de ne rien gâcher...
Non. Abstinent total, j’entend que deux verres, n’est très restrictif. Pour certains, trois à quatre verres, parfois, peut être toléré. Pas pour tout le monde. MAIS quand on est « obligé » de se bourrer la gueule chaque week end, voire plusieurs soirées par semaine, c’est qu’il y a un gros soucis. C’est bien beau de vouloir amener la « bonne dose qui va bien », mais le tout est de chercher et résoudre l’origine de ces consommations. C’est ce qu’on fait tous les abstinents. Une fois tous ces problèmes identifiés, on est naturellement en mode « pas besoin de boire pour faire la fête ». Non seulement on le sait, mais on est intimement convaincu de ça. Depuis que j’ai arrêté, j’ai fait un énorme travail sur moi. Aujourd’hui je suis heureux. Que m’apporterait l’alcool? Rien. Du tout. Alors pourquoi boire ce truc qui rend malade???
Parce que plus la société est corrompue et plus elle nous pousse à boire pour détourner notre attention. Comme le lieutenant Allan dans Tintin et le crabe aux pinces d'or.
sinon, deux verres ou un, le problème c'est quand tu consommes tous les jours, t'es en état d'alcoolisation permanente. si l'alcool met un jour à sortir du sang, pour sortir du cerveau c'est 1 mois
Émission et reportage très intéressant. Avec un sujet réel aborder en profondeur. Bravo Éloïse ainsi qu'à toute l'équipe.
3 ปีที่แล้ว +1
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Cà dépend ce qu on entend par contrôlé.. je pense que les alcooliques en cures sont les tres gros buveurs ou ceux qui perdent le sens du quotidien . Mais y a aussi une grande partie des alcooliques qui mement une vie " normale" et qui commence a s inquieter quand les problemes de santé arrive. Et meme une vie complete en ayant picolé toute leur vie.. ca finit mal pour eux mais les gens qu ils ont croisés dans leur vie n auront meme pas pensé qu ils etaient alcoolique juste des bons vivants.
Macron n'a pas souhaité initié en France l'initiative "Janvier sans alcool" et d'autre part un ancien ministre de l'agriculture du gvt Macron a dit que le vin n'était pas un alcool comme un autre ce qui a fait réagir un bon nombre d'addictologues. Et oui l'alcool est une drogue dure n'en déplaise à certains.
Excellente nouvelle émission, bravo Je trouve treize intéressante et riche l'approche de réduction des risques, et le notion de choix des méthodes, j'ai appris plein de choses, je suis d'accord avec plein de choses, j'ai bien commencé à réfléchir sur la notion philosophique de l'autonomie je suis content 😛 Un point sur lequel je ne suis pas d'accord : "Quand on a un problème avec la consommation des autres parce qu'on veut que ça ne se voie pas, c'est forcément hypocrite." Si je fais la fête avec deux personnes, que la première est visiblement alcoolisée et ne gâche pas la soirée, que la deuxième est visiblement alcoolisée gâchée la soirée (de tout le monde y compris elle), et que je n'ai un problème qu'avec la deuxième, le problème n'est pas la visibilité de l'alcoolisation et je n'ai aucune hypocrisie quand je dis "Le problème, c'est le comportement de la deuxième personne, qui ne se comporte pas ainsi sobre". (Je prends l'exemple de "gâcher une soirée par exemple en cassant une table", ça fonctionne aussi avec des choses plus graves comme frapper ou violer des gens.) On est bien aussi sur le lien social, et certes sur le comportement, mais si cd comportement arrive systématiquement avec l'alcool et que la personne nie avoir un problème de comportement lié à sa socialisation de l'alcool, que faire ? 🤔 Une question, sur le rapport patient-médecin. Je suis d'accord que c'est positif d'être à l'écoute du patient, qu'il décide son objectif et son traitement, mais articulé comment avec les connaissances et propositions du médecin ? Si quelqu'un piégé par des charlatans sur Doctissimo veut se soigner avec des pierres magiques et rien d'autre, ce n'est pas dogmatique que le médecin dise "Sur ce point, stop". J'utilise un cas caricatural pour exprimer mon idée d'articulation (les sciences fournissent les connaissances complexes et probabilistes, à partir de ça on discute pour choisir), ensuite bien entendu appliquons-le dans la réalité avec ses nuances, par exemple (j'y reviens) : si une personne déclare n'avoir aucun problème avec l'alcool, mais que par exemple il a réellement un problème parce que son épouse (cas classique des personnes mariées) souffre à cause de son comportement alcoolisé, on ne peut pas dire "C'est son problème à elle, rien de médical que du social" car il y a une première étape de lever le déni pour ensuite travailler à gérer la consommation d'alcool avec ses aspects sociaux et médicaux, en ayant le choix éclairé du "panel de choix entre objectifs d'abstinence ou de réduction d'alcool, ou méthode de réduction des risques" 🧐 Encore merci pour cette émission, et bonne continuation 🦄
Vous excusez l'alcoolisme parce qu'il réduit la souffrance, mais c'est justement cela qui fait que ces gens restent dans la rue. Sans souffrance, point de réveil. Ils ne boivent pas parce ce qu'ils sont clochards, ils sont clochards parce qu'ils boivent.
MAIS, mais MERCI de donner la parole à un anthropologue sur le sujet de l'alcool (et de l'addiction en général, car son discours se transpose très bien aux autres substances) ! Je suis assez sensibilisée au sujet de la RDR mais je ne connaissais pas Mathieu Fieulaine ; je suis refaite ! La relation à l'ivresse est fascinante, "consubstantielle à l'homme, à l'instar de sa chair" disait feu Jean-Marie Pelt. C'est trop simple de la réduire à sa dimension pathologique... Alors que c'est un problème profondément philosophique à mon sens - et je dis pas ça pour dissimuler le côté dramatique de certaines consommations sous un voile d'intellectualisation factice. Pourquoi ce besoin d'enivrement est-il commun à l'humanité entière ? Pourquoi l'a-t-on dissocié du rituel ? Comment repenser le lien aux substances psychoactives et aux addictions en général ?... Tant de questions qu'il est bon de faire germer dans les esprits. Encore merci Le Média !
Je ne suis pas d'accord avec le concept de prohibition complète, déjà parce qu'on a bien vu que ça ne fonctionnait pas par le passé, ensuite parce que les produits enivrants (alcool, tabac, drogues) sont à la responsabilité de leurs consommateurs. Un pays où l'alcool est un problème est avant tout un pays où les citoyens ne sont pas heureux. Il y a un problème plus profond dont l'alcoolisme, et l'addiction de manière générale, ne sont qu'un symptôme.
@@beatricenimbona2530 C'est bien que vous n'avez pas absolument pas compris le concept d'addiction ! J'ai un soucis avec l'alcool, mais ce n'est pas absolument pas parce que je suis triste ou parce que je suis égoïste, mais tout simplement parce que j'ai aimé boire et que cette maladie s'est installée de manière insidieuse. En quoi madame, quelqu'un qui souffre d'une consommation quelconque serait-elle égoïste ? C'est vous qui êtes égoïste en vous enfermant dans votre schéma de pensée étriqué qui consiste à dire que ceux qui souffrent sont des gens bêtes (Ah bon ? L'alcool n'est pas la solution ? Ben tiens merci, je savais pas !) ou égoïstes ( Et un diabétique de type 2 qui a mangé trop de sucre dans sa vie c'est un sale égoïste ?). A bon entendeur, même si je pense que vous n'y entendrez absolument rien malheureusement.
@@tartagueulealarecre9528 J'ai compris. J'ai suivi bcp d'ateliers là-dessus. Oui c'est un pbm d'egocentrisme... dont l'origine est souvent les traumas ou un bagage génétique. Ça se soigne en cultivant la compassion, la gratitude et bien sûr les traumatismes. Tant que la personne addicted reste isolé dans ses schémas, il ne guérit pas. La guérison est d'abord avant tout une hygiène émotionnelle. Faut aussi introduire la spiritualité. Là vous comprenez?
Mais faut arreter de croire que l alcoolisme c est un problème de mal etre à la.base. L alcool rend très dépendant certaines personnes meme des gens bien dans leurs tetes . C est une des dépendances les pires. Ca fait des trous dans les neurones.
Donc le mec laisse complètement de côté le problème principal, qui est celui de la précarité, de la pauvreté, de toute la violence sociale qui mène à l'alcool, pour dire aux gens : oui bon ben les gens en ont besoin. Ben non, faut dénoncer le problème à la racine au lieu de banaliser le fait de trop boire.
La plupart des alcooliques ne sont pas en détresse psychologiques ou sociale mais l alcool les y entraine. Faut pas résumer l alcoolique a un depressif . C est pas que ce profil.
La méthode de la modération n'a pas fonctionné pour moi. J'ai toutefois eu la chance de travailler avec un très bon intervenant qui m'a aidée dans mes réflexions et mon cheminement. Je suis par contre très heureuse que ça puisse fonctionner pour d'autres, ce que j'aurais bien sûr préféré pour moi aussi 🙂
Houlàlà ! Belle recrue, cette Éloïse Bajou ! Quelle belle émission ! Et quel invité, ce Mathieu Fiolaine ! (je ne suis pas sûr de l'orthographe, vous avez oublié de le nommer dans la description) Qu'est-ce que ça fait du bien à entendre !!! Qu'enfin des voix s'élèvent contre les dogmes normatifs, curetons et bourgeois ! Et fuck off le dry day !!! :-D Je vis dans un HLM de campagne, où la majorité des locataires a été davantage détruite par ces dogmes d'un autre âge que par l'alcool lui-même. Beaucoup sous tutelle, ils sont rongés entre le devoir de vivre avec trois fois rien et le besoin d'alcool. Une belle fabrique de schyzos, qui n'ont plus que le mensonge comme liant social. Bien sûr, c'est un alcoolique qui vous le dit !
L'émission est dédier à l'addiction à l'alcool . L'addiction oui on fait bien d'en parler ! Pouvons nous nous passer de notre portable ? D'internet ? De lire ? De notre désir de rencontrer nos amis ? De vouloir exprimer nos opinions ? Qui souffre de quoi ? Est-ce inoffensif si nous cherchons une raison pour ne pas arrêter ? La vie saine se résume t'elle à être abstinent ? Oui nous pouvons cesser de prendre nos véhicules qui participe à ce réchauffement climatique sans précédant, en se couchant à 22 heure se lever à 6 heure et partir au travail à pied à 8 kms ou bien plus en vélo pour commencer le boulot à 8 heure ! Profiter de l'effort engendré pour la santé et de la dépollution . On préfère se laver, faire la vaisselle, la lessive à l'eau chaude, plus confortable sous notre latitude ! Il est confortable aussi de prendre son portable et appeler un ami tout comme de faire ses courses au supermarché ou mieux commander par internet . Il y a tant à dire sur l'addiction au confort et son apparent bienfait .
Une addiction reste une addiction et elle cache un mal-être. On est d accord qu une personne qui boit tous les jours entraîne de sérieux problèmes. J ai connu une personne addict au sport et a son physique et sa amie vivait au enfer. Mais oui l addictions aux écrans est aussi très nocif, peut être moins visible qu une personne alcoolique. Ayant côtoyé une personne qui ne pouvait s endormir qu avec la télé au pied du lit diffusant les ch'tis à las Vegas je peux affirmer que j aurais préféré qu elle se tombe une bouteille de haut Médoc a la place et qu on rigole lol
très très intéressant comme analyse. Les mentalités changent (trèèès lentement) mais elles changent. Quand on voit le nombre de rechutes des sorties de cures ça fait bien longtemps qu'on aurait du chercher d'autres solutions et d'autres approches. Moi même abstinent, j'ai fait ce choix mais il a été murement refléchi, travaillé si l'on est pas prêt on ne peut que rechuter. La venue de nouveaux traitements comme le baclofène a aussi fait avancer les choses et permis à certains de se stabiliser dans une démarche de réduction des risques et non pas d'abstinence forcée... magnifique reportage je ne manquerais pas de le partager.
Si la modération est la négation de l'abus d'alcool, la négation de la négation de la modération est l'arrêt de boire cette substance qui rends à la fois joyeux et malheureux et pour jouir faut supporter la conséquence souvent désastreuse de cette substance et il n'y a pas de juste milieu.
Avec plaisir..! Et si vous souhaitez plus d'informations relatives aux différentes pratiques professionnelles, le collectif Modus Bibendi est à retrouver par ici: www.modus-bibendi.org/
bravo au media pour ses dernieres emissions c'est discret mais ça sort des sentiers battus de l'info quotidienne j ai hate d assister a vos prochaines emissions un socio
J ai pri toutes les drogues connu ou non ,avec de la volonté j ai tout arrêté même le tabac grâce à la cigarette électronique mais l alcool detruit ma vie tellement c est si facile d en avoir
Pareil que toi, malgré les cures, les rechutes, l'alcool est une drogue dure en vente libre. J'ai essayé toutes les drogues mais l'alcool de part son accessibilité et des drames, violence, accident est la plus dangereuses, sans parler de sa neurotoxicité. Quand Darmanin diabolisé le cannabis il y a peu de temps dans les médias, il n'a pas conscience de l'effet minime que cela entraîne en comparaison des dégâts irrémédiable que peut entraîner la dépendance a l'alcool.
Le cannabis est peut être une solution à votre problème : il est plutot facile à trouver, pas trop trop cher, et a tendance à provoquer un dégout de l'alcool. Il existe de très bons services d'addictologie en France, n'hésitez pas à consulter, ça ne vous coutera rien et ça pourrait complètement changer votre vie.
@@frenchdoctor6432 j ai arrêté le cannabis car Sarkozy a u l idée géniale de contrôler les conducteurs et donc perte de permis et oui avant je fumais etbuvais moins
ah ! ça fait du bien d'entendre un discours comme celui-ci ... j'ai bien remarqué que l'abstinence ne fonctionne pas !! si ce n'est aux prix d'efforts surhumains ! Je bois un peu ... je cherche à réduire, mais en aucun cas à surprîmer complètement l'alcool
Ce monsieur semble omettre que l'alcool est bel et bien une drogue sauf qu'elle est légalisée car cela rapporte beaucoup. On ne se détache pas d'une drogue en en consommant moins. C nocif point . On élimine. Comme le tabac.
Alors, élimine tout ce qui est "nocif' en toi, gros malin! On élimine ? Il est interdit d interdire, ce monsieur est un picologue... Pourquoi cette distanciation ? Ras le bol des distanciations !!!
C'est exactement ça. C'est LA question qui devrait être le point de départ de toute prise en charge, et c'est malheureusement encore trop rarement le cas...
Excellent sujet. Je vous enjoint d'inviter Fabrice Olivet ou d'autre éminents membres de l'association ASUD, lesquels ont grandement contribué à l'émergence de la RDR, au soutien et à l'entraide des personnes vulnérabilisées car usagères de substances.
Merci à Tous les deux, on sent deux personnes humaines, ça fait plaisir de voir qu'il n'y a pas qu'une solution, chaque parcours est différent et chaque personne a besoin d'une solution adaptée à son parcours de vie
c'est toujours pareil !!! les drogues ceci, les drogues cela, en fait, c'est les abus qu'ils faut accuser, réprimander, pas les drogues en elles même... sinon pourquoi nous parlent ils pas du sucre la pire drogue ? Seuls les drogues qui font diverger l'esprit sont incriminées et ca c'est dégueulasse!
Problème avec l'alcool, consommation excessive : Pousser la porte des Alcooliques Anonymes n'a jamais fait de mal à qui que ce soit . Une très grande majorité d'hommes et de femmes se rétablissent et " renaissent " grâce à cette association d'entraide de dimension mondiale .
Il faudra changer le paradigme de l'alcoolisme, il a tout a fait raison la. Le pire, c'est de tomber dans la solitude en buvant. Et le stigma est énorme, alors on continue de boire comme moi avant que de faire son coming-out. Bisous de l'Allemagne, nos problemes sont exactement les mêmes à l'autre coté du Rhin, peut-être la rôle que joue le vin chez vous est celle de la bière ici, mais l'alcool c'est l'alcool.
Je boit depuis mes 14ans et j'en ai 28 maintenant, les seules fois ou j'ai arrêté de boire depuis cet âge là, c'est les 2 fois que j'ai perdu mon permis car j'ai du passer par la fameuse prise de sang et les 2 fois 2 semaines d'abstinence ont étaient un enfer les 5 6 premiers jours .. passer ce cap j'ai eu l'impression d'avoir une forme olympique, prise de sang passée bim on fête ça on descend une bouteille d'1l de whisky et c'est reparti 😓
Comment les personnes peuvent elles évaluer les conséquences de leur consommation lorsque le déni s'en même ? Réduire les risques psycho-sociaux nécessite une volonté politique de prévention et de lutte contre la pauvreté. Cette volonté existe, mais uniquement sur le papier. Sur le terrain il n'y à pratiquement personne. Puisqu'il est impossible de remonter le temps et d'empêcher les premiers comportements addictifs, et vu que pour certaines personnes l'abstinence semble impossible à atteindre ou à maintenir, les soignants se sont adaptés, mais le résultat final sera peu ou prou le même, une plus faible espérance de vie. Quel terrible constat d'échec !
Le "déni" évoqué dans le cadre de troubles des usages de l'alcool est la plupart une dénégation, un mécanisme de défense face à la honte bien plus qu'un réel déni (absence de conscience des troubles) comme on en trouve dans certaines pathologie de type psychotiques. D'où l'interet de considérer la lutte contre les idées reçues et la discrimination afin de faciliter l'accès aux soins et pour lutter contre cette perte d'espérance de vie.
La dépendance dépasse la volonté de la personne . Le " déni" existe pas. L alcoolique est un drogué qui boit par besoin pour pas se sentir mal. Il sait qu il est alcoolique . Le "déni" c est juste pas vouloir ou pouvoir lutter à un moment.
Et bien, chaque personne addict a besoin d'une certaine quantité de son produit, il faut savoir l'écouter, personne ne peut savoir à leur place de quelle quantité ils ont besoin. Pour rappel (ils n'en parlent pas une seconde ici, c'est d'aillleurs curieux), un sevrage d'alcool peut provoquer la mort par délirium tremens. J'en ai déja vu quelques uns, c'est spectaculaire. Et triste, car si personne ne les avait empêché de boire, ils 'nauraient pas fait leur délirium et ne seraient pas morts (enfin pas à ce moment, mais ils seraient morts quand même des conséquences de l'alcool, mais plus tard).
@@frenchdoctor6432 quand tu part en cure on te donne du valium pour éviter ça. C’est comme un traitement de substitution pour la drogue. C’est pour ça qu’on déconseille aux gens de faire un sevrage seul chez eux.
Dans le pays du bon vin 🍷, très compliqué de m’ abstenir et c’est un peu la cata depuis le confinement. Et c’est le cas pour la plus part de mes amis proches.
Vraiment super intéressant j'ai juste un avis différents car je pense que l'alcool devrait pouvoir être remplacé par autre chose socialement et peut-être je de ne suis pas assez " déconstruit " mais quand il s'agit d'une femme en saint je trouve ça un peu limite je connais certains personnes dont la mère ne se souciait pas de ça consommation et je peut vous dire que certains chose ne sont pas la juste pour la déco
Les deux sont mortels. Même en laissant de côté la question de la dangerosité du délirirum tremens causé par un sevrage brutal, les cures de sevrages répétées sont génératrices d'un stress cérébral et d'une destruction des neurones aux conséquences physiologiques et comportementales parfois plus graves que le maintien d'une consommation régulière.
@@elba5923 quand tu fait une cure pour te sevré de l’alcool y’a un traitement pour t’aider. Valium en général pour éviter le manque et les risques de crise cardiaque.
Oui depuis plus longtemps que pour l'alcool. C'est le point soulevé par Gilles Roszypal du Centre d'études et d'information sur les drogues (CEID) dans le petit reportage en fin d'émission. Avec quelques différences de positionnement pratique et historique qu'il développe d'ailleurs.
Consultant... Le business santé n’a pas de limite et profite du soutien public ! : ce que vous représentez et développez si abus (soit au moins pour tout individu non averti) peut nuire gravement à la santé, et si vous touchez le plus grand nombre de crédules, autant qu’une addiction à l’alcool que seule l’abstinence (dont baba au rhum) peut donner du sursis à ceux qui en sont atteints, yc les sobres.
Euh..... je comprends pas : Ce Monsieur conseil à des alcooliques confrontés au diktat "consommer moins c'est mieux" (qui a pour conséquence de les faire souffrir davantage) de boire encore plus ???.??? 🙄Eh ben dites donc Monsieur ! Et juste leur dire : "si vous n'y arrivez pas alors continuez votre dose habituelle" ça c'est pas possible de leur dire ?
Il n'a jamais dit qu'il incitait à boire plus. Il dit juste : vu que l'interdit est contre productif, travaillons avec les alcooliques en les laissant tranquille vis à vis de leur consommation d'alcool. Ca me parait plutot sain.
"Chez Lidl le pack de bière A des pulsions suicidaires" ( La loi du marché - Cyril Mokaiesh ) Sur 1 heure d’émission il y a énormément de raccourcis, la gestion de consommation c’est bien joli, mais ça marche sur les non malades alcooliques, et ça peut être intéressant après le travail médical qui a pour but de garder les gens vivant, malades et entourage des malades, et pour répondre à la journaliste, le mois sans alcool ça permet d’ouvrir les yeux à ceux qui ne pensent pas avoir un problème d’alcool et qui se retrouvent en manque ( psychologique, le manque physique c’est le delirium tremens, potentiellement mortel ) Une personne malade alcoolique qui voudrait se sevrer passera forcément par une phase d’abstinence, histoire de régler les causes qui l’ont amenés à boire et les dégâts occasionnés par cette addiction, ensuite on pourra parler de gestion de la consommation, ça fonctionne, mais c’est long et frustrant, un peu comme si on octrayait une cigarette par jour à un gros fumeur, ça risque de devenir obsessionnel et contre productif, le but étant de faire adhérer un patient à un changement de comportement
Alfred Perdre son travail c’est souvent le début de la consommation d’alcool problématique. Comme il n’y a plus d’obligation, plus peu être une déprime passagère et ptet aussi la solitude qui va avec.
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Bizzarement moi en ce moment je fume plus et l'alcool c'est une cannette par semaine voir moins
J'ai bien écouté ! Très intéressant. Abstinent depuis 10 ans je ne jouerai pas au funambule en tentant une consommation modérée ! Je préfère mourir sobre 👍
Bonsoir, très noble 👍🏻
Vous avez raison ❤
Abstinent depuis 12/2014, nous sommes le 26/05/2022. 24h par 24h . Mais jamais été aussi bien depuis mon abstinence . Courage
Ho bravo 🙏
Bonnes 24 heures 🍀🦋🙏🏽✨
Cet intervenant picologue est vraiment très bien, pragmatique, dans son discours et ses analyses ! merci Le Media pour cet entretien.
Pour un alcoolique , la consommation "contrôlée " ne fonctionne pas ,
il n'y a que l'abstinence qui fonctionne , c'est comme arrêter de fumer
la rechute fait partie du cheminement , en situation d'abstinence , 1 verre est 1 verre de trop .
et pour cesser de boire sans trop de souffrance ,voyez votre docteur , une assistance médical
est souhaitable , ça rend le sevrage plus facile , si tu n'a jamais essayé de cesser de boire avec assistance médicale , fais le ! ça change tout , fais le
merci🙏.
Ça c'est vraiment le vieux paradigme et ça ne marche absolument pas pour l'immense majorité des consommateurs "problématiques" d'alcool.
Merci ! C’est ce que je fais actuellement et j’avoue ça marche avec accompagnement pour sortir de cette merde. Je suis passé d’une bouteille de whisky à une canette de bière maintenant c’est de me débarrasser de cette petite bière tous les soirs mais j’y crois 🫶🙏
Ne commentant jamais, je me lache : n’oublions pas que le « sachant » en addictologie est le plus souvent le patient et que les « savants » devraient être plus à l’écoute des « professionnels de l’alcool « . En tant que pro de la picole je remercie vivement ce picologue et notre chère journaliste toujours aussi pertinente. Bonne soirée à tous.
très instructif , merci "lemédia" et merci au picologue
Ce documentaire fait plaisir aux oreilles mais c'est tout. Personnellement j'ai eu 2 pancreatite et il n'y a que l'abstinence qui peut me sauver. Si je bois un verre alors c'est reparti j'en bois plein. Ce monsieur décrit des gens normaux qui boivent normalement ! Mais attention, danger. Est-ce qu'on arrive à fumer modérément ? C'est impossible du simple fait que le corps s'habitue et qu'on est obligé de consommer plus pour avoir la même sensation
Très intéressant. Le sujet est abordé sous un angle très différent de ce qu’on a l’habitude d’entendre . Un niveau de réflexion très élevé . Merci .
Merci beaucoup 🥰
N'hésitez pas à soutenir Symptômes critiques et les autres émissions du Média si vous en avez les moyens !
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Très très bon cet intervenant
Pareil, je ne le connaissais pas mais je le trouve très bon dans ses analyses.
Excellent oui
Bravo pour cette émission sérieuse sur l'alcool - comme on en voit peu à la TV et comme on en entend peu à la radio. Un sujet de santé publique rarement aussi approfondi. Instructif !
Pour avoir fait plusieurs cures je trouve ce discours juste magnifique et très pertinent.
La réduction des méfaits est un non sens pour moi. Je crois que pour plusieurs alcooliques, dont moi, la tentative de diminuer la quantité ou de changer la substance pour une autre n'a rien donné. Je suis toujours retournée dans la même souffrance, la même situation d'abus et le même risque de mourrir.
un non sens pour vous, précisément.
L'abstinence est la seule solution pour certains.
Comme pour moi.
Ce monsieur est un criminel au service des criminels : les producteurs de cette drogue..c'est simple !
L'intelligence au service du mal !
Tenez bon ! 🎉
@@canardsauvage5332 merci
Ma grand-mère racontait que quand elle avait 7 ans (en 1919...), elle avait reproché à sa mère de donner une pièce à un clochard en répétant une chose qu'elle avait entendue : "Pourquoi tu lui as donné ? Il va aller s'acheter à boire !" et mon arrière grand-mère lui avait répondu : "C'est le seul plaisir qui lui reste et tu voudrais le lui enlever ?" - Elle s'est rappelée de cette leçon toute sa vie - et nous l'a transmise.
Quand quelqu'un me dit ce genre de truc, je réponds il fait bien ce qu'il veut. Dans je donne il y a donner pas passer un contrat. La personne fait bien ce qu'elle veut des qq misérables dons qu'elle est bien souvent forcée de demander parce que la société la mise au ban, la exclue sans ressource.
Ta grand-mère avait bien raison de contrer cette idée à la noix.
Tout à fait d'accord !!!!
❤️
Je viens de donner 10€ a une personne qui me demandait une pièce. Ces 10€ ne m appartiennent plus. Il en fera ce qu il veut.
Tout le monde a connu une personne critiquant une personne vivant dans la rue qui s achète de l alcool avec le peu d argent qu il a. Ce sont souvent les mêmes personnes qui disent avoir l alcool mondain en buvant une demi bouteille de vin par jour après un apéro, en se déculpabilisant car de sont de bons produits. :)
Saint emilion = mondanité. Vieux pape = pochtron. Expérience vécue, boire une bière en bleu de travail, on m a dit que je passais pour le manuel alcolo, après une douche, bien habillé après 4 pintes, j étais un trentenaire fêtard.
Merci a cet homme qui m a aidé grâce à son travail.
Le problème c'est qu'avec l'alcool la personne ne se sortira jamais de la rue, ça va faire qu'aggraver son cas... et si on lui donne de l'argent c'est pour l'aider pas pour l'enfoncer.
Le premier truc qui m'a poussée à freiner ma consommation c'est de me dire "si je suis alcoolique je ne pourrais plus jamais consommer". Aujourd'hui ça me parait insensé de me soumettre à un programme qui me dirais que si je rechute je repars de zéro. J'ai des périodes d'abstinence, j'ai des périodes où je bois, je me concentre sur le fond du problème et j'essaye de mieux contrôler ma consommation. Un avenir sans toucher une goutte d'alcool n'est pas quelque chose que j'envisage pour l'instant. J'ai besoin de savoir que je pourrai consommer modérément et mieux me contrôler un jour.
Je suis complètement dans le même cas que toi. Comment avances tu depuis depuis ces 2 années,tu gères ?
Début de sortie du Moyen-Age et de l'infantilisation généralisée...
Merci pour cet entretien passionnant.
Le corps médical cherchant à réparer les alcooliques comme une machine défectueuse surconsommant ...
Les interdits sont à "consommer" avec modération. Accompagner les personnes en difficulté, ne rien leur imposer, considérer les gens que l'on a en face de nous, sans les condamner systématiquement. l'écoute. Cette personne est vraiment formidable; Merci
2 cures et rechute , mais je tiens , pas d'alcool forts . et pas tout les jours .
Tien bon coco , je connais !
2 ans et 2 mois d abstinence totale. 4 eme autocure. Accroches toi.
Plus de cinq ans d'abstinence générale sauf trois occasions parfaitement maîtrisée, c'est-à-dire vécues sans drame et sans effort.
Je bois une bouittelle de pastis, plus deux bouittelle de vin par jour j ai 44 ans ,parce que je n ai pas pas ou plu le courage de me suicider mais j ai la force de me laisser mourir bref j avais 17 de moyenne à l école comme un bon soldat mais trop de conscience sur ce monde je préfère ecourter ma vie
@@noamdelpech3352 C'est la conscience qui te permet de continuer également. En attendant, bonnes cuites à toi.
Pour info, un litre de ricard (alcool de betterave à sucre et quelques aromates) revient à moins de 2€ à la fabrication. Vendu 20€.
L'état se fait des roupettes en platine sur une substance qui devrait être classée drogue dure. En moyenne 50 000 morts par an.
Bravo à ce reportage qui explique bien qu'il est vite fait de glisser d'un bon verre de vin accompagnant un bon plat à la bouteille de rhum cul sec.
Tâchons de profiter et de ne rien gâcher...
Wouah ! J'ai beaucoup aimé. Le Média aborde toutes sortes de sujets autres que strictement politique. Parfait !
Merci beaucoup 🥰
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Merci le média de nous proposer ce gendre d'émission, sortant des " sentiers battus et parfois rebattus". Passionnant
Non. Abstinent total, j’entend que deux verres, n’est très restrictif. Pour certains, trois à quatre verres, parfois, peut être toléré. Pas pour tout le monde.
MAIS quand on est « obligé » de se bourrer la gueule chaque week end, voire plusieurs soirées par semaine, c’est qu’il y a un gros soucis. C’est bien beau de vouloir amener la « bonne dose qui va bien », mais le tout est de chercher et résoudre l’origine de ces consommations. C’est ce qu’on fait tous les abstinents.
Une fois tous ces problèmes identifiés, on est naturellement en mode « pas besoin de boire pour faire la fête ». Non seulement on le sait, mais on est intimement convaincu de ça.
Depuis que j’ai arrêté, j’ai fait un énorme travail sur moi. Aujourd’hui je suis heureux. Que m’apporterait l’alcool? Rien. Du tout. Alors pourquoi boire ce truc qui rend malade???
Parce que plus la société est corrompue et plus elle nous pousse à boire pour détourner notre attention. Comme le lieutenant Allan dans Tintin et le crabe aux pinces d'or.
sinon, deux verres ou un, le problème c'est quand tu consommes tous les jours, t'es en état d'alcoolisation permanente. si l'alcool met un jour à sortir du sang, pour sortir du cerveau c'est 1 mois
Émission et reportage très intéressant. Avec un sujet réel aborder en profondeur. Bravo Éloïse ainsi qu'à toute l'équipe.
Merci beaucoup ! ✊
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Merci pour ton soutien l'ami..! Et prends bien soin de toi surtout!
La consommation contrôlée ne fonctionne que pour une minorité malheureusement.
Cà dépend ce qu on entend par contrôlé.. je pense que les alcooliques en cures sont les tres gros buveurs ou ceux qui perdent le sens du quotidien . Mais y a aussi une grande partie des alcooliques qui mement une vie " normale" et qui commence a s inquieter quand les problemes de santé arrive.
Et meme une vie complete en ayant picolé toute leur vie.. ca finit mal pour eux mais les gens qu ils ont croisés dans leur vie n auront meme pas pensé qu ils etaient alcoolique juste des bons vivants.
Macron n'a pas souhaité initié en France l'initiative "Janvier sans alcool" et d'autre part un ancien ministre de l'agriculture du gvt Macron a dit que le vin n'était pas un alcool comme un autre ce qui a fait réagir un bon nombre d'addictologues.
Et oui l'alcool est une drogue dure n'en déplaise à certains.
Excellente nouvelle émission, bravo
Je trouve treize intéressante et riche l'approche de réduction des risques, et le notion de choix des méthodes, j'ai appris plein de choses, je suis d'accord avec plein de choses, j'ai bien commencé à réfléchir sur la notion philosophique de l'autonomie je suis content 😛
Un point sur lequel je ne suis pas d'accord : "Quand on a un problème avec la consommation des autres parce qu'on veut que ça ne se voie pas, c'est forcément hypocrite." Si je fais la fête avec deux personnes, que la première est visiblement alcoolisée et ne gâche pas la soirée, que la deuxième est visiblement alcoolisée gâchée la soirée (de tout le monde y compris elle), et que je n'ai un problème qu'avec la deuxième, le problème n'est pas la visibilité de l'alcoolisation et je n'ai aucune hypocrisie quand je dis "Le problème, c'est le comportement de la deuxième personne, qui ne se comporte pas ainsi sobre". (Je prends l'exemple de "gâcher une soirée par exemple en cassant une table", ça fonctionne aussi avec des choses plus graves comme frapper ou violer des gens.) On est bien aussi sur le lien social, et certes sur le comportement, mais si cd comportement arrive systématiquement avec l'alcool et que la personne nie avoir un problème de comportement lié à sa socialisation de l'alcool, que faire ? 🤔
Une question, sur le rapport patient-médecin. Je suis d'accord que c'est positif d'être à l'écoute du patient, qu'il décide son objectif et son traitement, mais articulé comment avec les connaissances et propositions du médecin ? Si quelqu'un piégé par des charlatans sur Doctissimo veut se soigner avec des pierres magiques et rien d'autre, ce n'est pas dogmatique que le médecin dise "Sur ce point, stop". J'utilise un cas caricatural pour exprimer mon idée d'articulation (les sciences fournissent les connaissances complexes et probabilistes, à partir de ça on discute pour choisir), ensuite bien entendu appliquons-le dans la réalité avec ses nuances, par exemple (j'y reviens) : si une personne déclare n'avoir aucun problème avec l'alcool, mais que par exemple il a réellement un problème parce que son épouse (cas classique des personnes mariées) souffre à cause de son comportement alcoolisé, on ne peut pas dire "C'est son problème à elle, rien de médical que du social" car il y a une première étape de lever le déni pour ensuite travailler à gérer la consommation d'alcool avec ses aspects sociaux et médicaux, en ayant le choix éclairé du "panel de choix entre objectifs d'abstinence ou de réduction d'alcool, ou méthode de réduction des risques" 🧐
Encore merci pour cette émission, et bonne continuation 🦄
Vous excusez l'alcoolisme parce qu'il réduit la souffrance, mais c'est justement cela qui fait que ces gens restent dans la rue.
Sans souffrance, point de réveil.
Ils ne boivent pas parce ce qu'ils sont clochards, ils sont clochards parce qu'ils boivent.
Exactement !... Hélas
MAIS, mais MERCI de donner la parole à un anthropologue sur le sujet de l'alcool (et de l'addiction en général, car son discours se transpose très bien aux autres substances) ! Je suis assez sensibilisée au sujet de la RDR mais je ne connaissais pas Mathieu Fieulaine ; je suis refaite !
La relation à l'ivresse est fascinante, "consubstantielle à l'homme, à l'instar de sa chair" disait feu Jean-Marie Pelt. C'est trop simple de la réduire à sa dimension pathologique... Alors que c'est un problème profondément philosophique à mon sens - et je dis pas ça pour dissimuler le côté dramatique de certaines consommations sous un voile d'intellectualisation factice.
Pourquoi ce besoin d'enivrement est-il commun à l'humanité entière ? Pourquoi l'a-t-on dissocié du rituel ? Comment repenser le lien aux substances psychoactives et aux addictions en général ?... Tant de questions qu'il est bon de faire germer dans les esprits.
Encore merci Le Média !
Bienvenue dans le paradoxe du système de santé français 🥂🍻
J'aimerais bien savoir ce que tu proposes ?
Quel plaisir d'entendre tout ça !
Et comme dirait Baudelaire :
"Tu lui verses l'espoir, la jeunesse et la vie !" ☀️
(Le Vin du Solitaire)
Très pertinent ce picologue 👍👌🥃
Encore une fois : merci et bravo ! Continuez vous nous êtes indispensables.
Je ne suis pas d'accord avec le concept de prohibition complète, déjà parce qu'on a bien vu que ça ne fonctionnait pas par le passé, ensuite parce que les produits enivrants (alcool, tabac, drogues) sont à la responsabilité de leurs consommateurs. Un pays où l'alcool est un problème est avant tout un pays où les citoyens ne sont pas heureux. Il y a un problème plus profond dont l'alcoolisme, et l'addiction de manière générale, ne sont qu'un symptôme.
Mais en buvant on ne trouve pas une solution, on aggrave la situation.
Par ailleurs, la toxicomanie n'est qu'un prétexte égoïste.
@@beatricenimbona2530 C'est bien que vous n'avez pas absolument pas compris le concept d'addiction ! J'ai un soucis avec l'alcool, mais ce n'est pas absolument pas parce que je suis triste ou parce que je suis égoïste, mais tout simplement parce que j'ai aimé boire et que cette maladie s'est installée de manière insidieuse. En quoi madame, quelqu'un qui souffre d'une consommation quelconque serait-elle égoïste ? C'est vous qui êtes égoïste en vous enfermant dans votre schéma de pensée étriqué qui consiste à dire que ceux qui souffrent sont des gens bêtes (Ah bon ? L'alcool n'est pas la solution ? Ben tiens merci, je savais pas !) ou égoïstes ( Et un diabétique de type 2 qui a mangé trop de sucre dans sa vie c'est un sale égoïste ?). A bon entendeur, même si je pense que vous n'y entendrez absolument rien malheureusement.
@@tartagueulealarecre9528
J'ai compris. J'ai suivi bcp d'ateliers là-dessus.
Oui c'est un pbm d'egocentrisme... dont l'origine est souvent les traumas ou un bagage génétique.
Ça se soigne en cultivant la compassion, la gratitude et bien sûr les traumatismes.
Tant que la personne addicted reste isolé dans ses schémas, il ne guérit pas.
La guérison est d'abord avant tout une hygiène émotionnelle. Faut aussi introduire la spiritualité.
Là vous comprenez?
Mais faut arreter de croire que l alcoolisme c est un problème de mal etre à la.base.
L alcool rend très dépendant certaines personnes meme des gens bien dans leurs tetes .
C est une des dépendances les pires. Ca fait des trous dans les neurones.
Donc le mec laisse complètement de côté le problème principal, qui est celui de la précarité, de la pauvreté, de toute la violence sociale qui mène à l'alcool, pour dire aux gens : oui bon ben les gens en ont besoin. Ben non, faut dénoncer le problème à la racine au lieu de banaliser le fait de trop boire.
La plupart des alcooliques ne sont pas en détresse psychologiques ou sociale mais l alcool les y entraine.
Faut pas résumer l alcoolique a un depressif . C est pas que ce profil.
Une vidéo qui donne beaucoup à entendre et â comprendre et dont les réflexions peuvent évidemment s'élargir à toutes formes d'adictions.
La méthode de la modération n'a pas fonctionné pour moi. J'ai toutefois eu la chance de travailler avec un très bon intervenant qui m'a aidée dans mes réflexions et mon cheminement. Je suis par contre très heureuse que ça puisse fonctionner pour d'autres, ce que j'aurais bien sûr préféré pour moi aussi 🙂
Merci Monsieur vous avez tout compris ! je désespérais d'entendre un discourt pareil !
J’ai beaucoup appris, un discours très vrai à partir de 51:00
Depuis que j' ai lu que l' alcool ça donnait la misère, j' ai cessé de de lire!
😂👍
C est vrai
Moi pareil.. Depuis, qu'on m'a dit boir ou conduire il faut choisir.... J'ai vendu ma, voiture 🥴😁
Il a bien compris les d’alcool , et en parle très bien , bravo au picologue
Entièrement d’accord avec toi. Très bonne compréhension de ta part. Lis les commentaires ça craint ! Bonne journée.
@@filsdeup7777 ou les alcooliques abstinent !
Mdr vive L'Orthographe
@@valdmdahira3255 de quoi?
@@valdmdahira3255 faute de frappe, très , intéressant votre commentaire sur l’alcool
Excellent! Merci pour cette intervention constructive
Houlàlà ! Belle recrue, cette Éloïse Bajou ! Quelle belle émission ! Et quel invité, ce Mathieu Fiolaine ! (je ne suis pas sûr de l'orthographe, vous avez oublié de le nommer dans la description)
Qu'est-ce que ça fait du bien à entendre !!! Qu'enfin des voix s'élèvent contre les dogmes normatifs, curetons et bourgeois ! Et fuck off le dry day !!! :-D
Je vis dans un HLM de campagne, où la majorité des locataires a été davantage détruite par ces dogmes d'un autre âge que par l'alcool lui-même. Beaucoup sous tutelle, ils sont rongés entre le devoir de vivre avec trois fois rien et le besoin d'alcool. Une belle fabrique de schyzos, qui n'ont plus que le mensonge comme liant social.
Bien sûr, c'est un alcoolique qui vous le dit !
Un grand merci pour cette enquête. Très utile ! Une oeuvre de salubrité publique, véritablement.
Merci, vrai et humain. Documentaire complet juste et pertinent jusqu’à la fin !
Tres belle analyse avec des solutions applicables et faisant appel a l'intelligence et l'humanité. ..bravo !
L'émission est dédier à l'addiction à l'alcool . L'addiction oui on fait bien d'en parler ! Pouvons nous nous passer de notre portable ? D'internet ? De lire ? De notre désir de rencontrer nos amis ? De vouloir exprimer nos opinions ? Qui souffre de quoi ? Est-ce inoffensif si nous cherchons une raison pour ne pas arrêter ? La vie saine se résume t'elle à être abstinent ? Oui nous pouvons cesser de prendre nos véhicules qui participe à ce réchauffement climatique sans précédant, en se couchant à 22 heure se lever à 6 heure et partir au travail à pied à 8 kms ou bien plus en vélo pour commencer le boulot à 8 heure ! Profiter de l'effort engendré pour la santé et de la dépollution . On préfère se laver, faire la vaisselle, la lessive à l'eau chaude, plus confortable sous notre latitude ! Il est confortable aussi de prendre son portable et appeler un ami tout comme de faire ses courses au supermarché ou mieux commander par internet . Il y a tant à dire sur l'addiction au confort et son apparent bienfait .
Une addiction reste une addiction et elle cache un mal-être. On est d accord qu une personne qui boit tous les jours entraîne de sérieux problèmes. J ai connu une personne addict au sport et a son physique et sa amie vivait au enfer. Mais oui l addictions aux écrans est aussi très nocif, peut être moins visible qu une personne alcoolique. Ayant côtoyé une personne qui ne pouvait s endormir qu avec la télé au pied du lit diffusant les ch'tis à las Vegas je peux affirmer que j aurais préféré qu elle se tombe une bouteille de haut Médoc a la place et qu on rigole lol
Très intéressant !
très très intéressant comme analyse. Les mentalités changent (trèèès lentement) mais elles changent. Quand on voit le nombre de rechutes des sorties de cures ça fait bien longtemps qu'on aurait du chercher d'autres solutions et d'autres approches. Moi même abstinent, j'ai fait ce choix mais il a été murement refléchi, travaillé si l'on est pas prêt on ne peut que rechuter. La venue de nouveaux traitements comme le baclofène a aussi fait avancer les choses et permis à certains de se stabiliser dans une démarche de réduction des risques et non pas d'abstinence forcée... magnifique reportage je ne manquerais pas de le partager.
Si la modération est la négation de l'abus d'alcool, la négation de la négation de la modération est l'arrêt de boire cette substance qui rends à la fois joyeux et malheureux et pour jouir faut supporter la conséquence souvent désastreuse de cette substance et il n'y a pas de juste milieu.
Merci de formaliser et d’acter’ un ressenti et une pratique intuitive personnelle
Avec plaisir..! Et si vous souhaitez plus d'informations relatives aux différentes pratiques professionnelles, le collectif Modus Bibendi est à retrouver par ici: www.modus-bibendi.org/
C'était exceptionnel cette émission !
bravo au media pour ses dernieres emissions c'est discret mais ça sort des sentiers battus de l'info quotidienne j ai hate d assister a vos prochaines emissions un socio
Confinement et couvre feu n arrangent pas les choses, quel gouvernement incompétent
...
Matthieu Fieulaine parle de manière très fluide et intelligible.
Merci pour cette émission
J ai pri toutes les drogues connu ou non ,avec de la volonté j ai tout arrêté même le tabac grâce à la cigarette électronique mais l alcool detruit ma vie tellement c est si facile d en avoir
Pareil que toi, malgré les cures, les rechutes, l'alcool est une drogue dure en vente libre. J'ai essayé toutes les drogues mais l'alcool de part son accessibilité et des drames, violence, accident est la plus dangereuses, sans parler de sa neurotoxicité. Quand Darmanin diabolisé le cannabis il y a peu de temps dans les médias, il n'a pas
conscience de l'effet minime que cela entraîne en comparaison des dégâts irrémédiable que peut entraîner la dépendance a l'alcool.
Le cannabis est peut être une solution à votre problème : il est plutot facile à trouver, pas trop trop cher, et a tendance à provoquer un dégout de l'alcool.
Il existe de très bons services d'addictologie en France, n'hésitez pas à consulter, ça ne vous coutera rien et ça pourrait complètement changer votre vie.
@@frenchdoctor6432 j ai arrêté le cannabis car Sarkozy a u l idée géniale de contrôler les conducteurs et donc perte de permis et oui avant je fumais etbuvais moins
J'espère que vous vous en sortirez un jours .
ah ! ça fait du bien d'entendre un discours comme celui-ci ... j'ai bien remarqué que l'abstinence ne fonctionne pas !! si ce n'est aux prix d'efforts surhumains !
Je bois un peu ... je cherche à réduire, mais en aucun cas à surprîmer complètement l'alcool
Ce monsieur semble omettre que l'alcool est bel et bien une drogue sauf qu'elle est légalisée car cela rapporte beaucoup. On ne se détache pas d'une drogue en en consommant moins. C nocif point . On élimine. Comme le tabac.
Alors, élimine tout ce qui est "nocif' en toi, gros malin! On élimine ? Il est interdit d interdire, ce monsieur est un picologue... Pourquoi cette distanciation ? Ras le bol des distanciations !!!
Très compliqué, c'est sur.. implanté depuis des générations, voir culturelle. Mais la question est : pourquoi nous alcoolisons nous?
C'est exactement ça. C'est LA question qui devrait être le point de départ de toute prise en charge, et c'est malheureusement encore trop rarement le cas...
Merci pour cet éclairage. Cela me fait cheminer.. effectivement donnons la parole aux personnes concernées.
Excellent sujet. Je vous enjoint d'inviter Fabrice Olivet ou d'autre éminents membres de l'association ASUD, lesquels ont grandement contribué à l'émergence de la RDR, au soutien et à l'entraide des personnes vulnérabilisées car usagères de substances.
Merci à Tous les deux, on sent deux personnes humaines, ça fait plaisir de voir qu'il n'y a pas qu'une solution, chaque parcours est différent et chaque personne a besoin d'une solution adaptée à son parcours de vie
Plutôt qu’un interdit,un accompagnement
Bravo pour votre analyse
c'est toujours pareil !!! les drogues ceci, les drogues cela, en fait, c'est les abus qu'ils faut accuser, réprimander, pas les drogues en elles même... sinon pourquoi nous parlent ils pas du sucre la pire drogue ? Seuls les drogues qui font diverger l'esprit sont incriminées et ca c'est dégueulasse!
Enfin l'apport des sciences sociales
Vive l'abstinence !
😊 merci pour ce reportage très intelligent, du respect pour les personnes qui souffrent de boire
Cette interview est ÉDIFIANTE !! MERCI À VOUS DEUX POUR CES PROPOS QUI VALENT DE L'OR !!!!!
Très bon picologue.
Moi , j'aime pas être bourrer , mais j'aime bien boire du bon rum et de la bonne bière.
@@bargolyr8660 tout à fait
Tu nous aurais dis que tu aimes la bière a 50cents et l'ivresse ,ça aurait été plus intéressant
@@yohanpepito6928 ah bon?
@@p.p.e.b.3720 ha bon
@@yohanpepito6928 🍻
Énorme…il a tout compris…tout ce que je vis…et ce genre de personne t’aident à rester envie😮
Très bon reportage 👍
Problème avec l'alcool, consommation excessive : Pousser la porte des Alcooliques Anonymes n'a jamais fait de mal à qui que ce soit . Une très grande majorité d'hommes et de femmes se rétablissent et " renaissent " grâce à cette association d'entraide de dimension mondiale .
Minute 24. 24 : "L'effectivité de l'effectivation du droit des personnes" -> kézaco monsieur siouplé ?
Il faudra changer le paradigme de l'alcoolisme, il a tout a fait raison la. Le pire, c'est de tomber dans la solitude en buvant. Et le stigma est énorme, alors on continue de boire comme moi avant que de faire son coming-out. Bisous de l'Allemagne, nos problemes sont exactement les mêmes à l'autre coté du Rhin, peut-être la rôle que joue le vin chez vous est celle de la bière ici, mais l'alcool c'est l'alcool.
Cette personne est très compétente. J'en ai besoin :)
Belle approche, merci !
Très belle analyse
Super intéressante cette vidéo !
Je boit depuis mes 14ans et j'en ai 28 maintenant, les seules fois ou j'ai arrêté de boire depuis cet âge là, c'est les 2 fois que j'ai perdu mon permis car j'ai du passer par la fameuse prise de sang et les 2 fois 2 semaines d'abstinence ont étaient un enfer les 5 6 premiers jours .. passer ce cap j'ai eu l'impression d'avoir une forme olympique, prise de sang passée bim on fête ça on descend une bouteille d'1l de whisky et c'est reparti 😓
A 60 ans tu vas te reveiller avec une fibrose ou une cirrhose.
2 ans après le Media à énormément changer, pas dans la bonne direction, après avoir visionné cette émission de grande qualité, cela est flagrant.
Une vidéo faite pour moi, ce lendemain de veille...
J'apprécie "le media" pour la qualité de ses intervenants, mais présentement entendre autant d'âneries en si peu de temps est surréaliste.
Passionnant ! Merci beaucoup
Comment les personnes peuvent elles évaluer les conséquences de leur consommation lorsque le déni s'en même ?
Réduire les risques psycho-sociaux nécessite une volonté politique de prévention et de lutte contre la pauvreté.
Cette volonté existe, mais uniquement sur le papier. Sur le terrain il n'y à pratiquement personne.
Puisqu'il est impossible de remonter le temps et d'empêcher les premiers comportements addictifs, et vu que pour certaines personnes l'abstinence semble impossible à atteindre ou à maintenir, les soignants se sont adaptés, mais le résultat final sera peu ou prou le même, une plus faible espérance de vie. Quel terrible constat d'échec !
Le "déni" évoqué dans le cadre de troubles des usages de l'alcool est la plupart une dénégation, un mécanisme de défense face à la honte bien plus qu'un réel déni (absence de conscience des troubles) comme on en trouve dans certaines pathologie de type psychotiques. D'où l'interet de considérer la lutte contre les idées reçues et la discrimination afin de faciliter l'accès aux soins et pour lutter contre cette perte d'espérance de vie.
La dépendance dépasse la volonté de la personne . Le " déni" existe pas. L alcoolique est un drogué qui boit par besoin pour pas se sentir mal. Il sait qu il est alcoolique . Le "déni" c est juste pas vouloir ou pouvoir lutter à un moment.
C'est très instructif mais je ne comprends pas quand le monsieur parle de la "quantité nécessaire à la personne"
Et bien, chaque personne addict a besoin d'une certaine quantité de son produit, il faut savoir l'écouter, personne ne peut savoir à leur place de quelle quantité ils ont besoin. Pour rappel (ils n'en parlent pas une seconde ici, c'est d'aillleurs curieux), un sevrage d'alcool peut provoquer la mort par délirium tremens. J'en ai déja vu quelques uns, c'est spectaculaire. Et triste, car si personne ne les avait empêché de boire, ils 'nauraient pas fait leur délirium et ne seraient pas morts (enfin pas à ce moment, mais ils seraient morts quand même des conséquences de l'alcool, mais plus tard).
@@frenchdoctor6432 quand tu part en cure on te donne du valium pour éviter ça. C’est comme un traitement de substitution pour la drogue. C’est pour ça qu’on déconseille aux gens de faire un sevrage seul chez eux.
Dans le pays du bon vin 🍷, très compliqué de m’ abstenir et c’est un peu la cata depuis le confinement. Et c’est le cas pour la plus part de mes amis proches.
vivre tue !!! alors vivez comme vous voulez
Oui mais si on peux vivre plus longtemps ses quand même mieux
Vraiment super intéressant j'ai juste un avis différents car je pense que l'alcool devrait pouvoir être remplacé par autre chose socialement et peut-être je de ne suis pas assez " déconstruit " mais quand il s'agit d'une femme en saint je trouve ça un peu limite je connais certains personnes dont la mère ne se souciait pas de ça consommation et je peut vous dire que certains chose ne sont pas la juste pour la déco
Ce qui est mortel c'est l'alcool pas le sevrage...mais bon c'est une drogue dure produite en France et socialement admise
Les deux sont mortels. Même en laissant de côté la question de la dangerosité du délirirum tremens causé par un sevrage brutal, les cures de sevrages répétées sont génératrices d'un stress cérébral et d'une destruction des neurones aux conséquences physiologiques et comportementales parfois plus graves que le maintien d'une consommation régulière.
@@elba5923 quand tu fait une cure pour te sevré de l’alcool y’a un traitement pour t’aider. Valium en général pour éviter le manque et les risques de crise cardiaque.
@@elba5923 😀👍
étendable aux autres addictions
Merci !
il est bien ce petit gars ... santé !!
Génialissime!
Bonjour, est-ce que cette approche est développée pour d'autres addictions ( stupéfiants)?
Oui depuis plus longtemps que pour l'alcool. C'est le point soulevé par Gilles Roszypal du Centre d'études et d'information sur les drogues (CEID) dans le petit reportage en fin d'émission. Avec quelques différences de positionnement pratique et historique qu'il développe d'ailleurs.
@@elba5923 Merci beaucoup
@@mamanpemalin5840 Avec plaisir..! :-)
Consultant... Le business santé n’a pas de limite et profite du soutien public ! : ce que vous représentez et développez si abus (soit au moins pour tout individu non averti) peut nuire gravement à la santé, et si vous touchez le plus grand nombre de crédules, autant qu’une addiction à l’alcool que seule l’abstinence (dont baba au rhum) peut donner du sursis à ceux qui en sont atteints, yc les sobres.
Euh..... je comprends pas :
Ce Monsieur conseil à des alcooliques confrontés au diktat "consommer moins c'est mieux" (qui a pour conséquence de les faire souffrir davantage) de boire encore plus ???.??? 🙄Eh ben dites donc Monsieur ! Et juste leur dire : "si vous n'y arrivez pas alors continuez votre dose habituelle" ça c'est pas possible de leur dire ?
Il n'a jamais dit qu'il incitait à boire plus. Il dit juste : vu que l'interdit est contre productif, travaillons avec les alcooliques en les laissant tranquille vis à vis de leur consommation d'alcool. Ca me parait plutot sain.
"Chez Lidl le pack de bière
A des pulsions suicidaires" ( La loi du marché - Cyril Mokaiesh )
Sur 1 heure d’émission il y a énormément de raccourcis, la gestion de consommation c’est bien joli, mais ça marche sur les non malades alcooliques, et ça peut être intéressant après le travail médical qui a pour but de garder les gens vivant, malades et entourage des malades, et pour répondre à la journaliste, le mois sans alcool ça permet d’ouvrir les yeux à ceux qui ne pensent pas avoir un problème d’alcool et qui se retrouvent en manque ( psychologique, le manque physique c’est le delirium tremens, potentiellement mortel )
Une personne malade alcoolique qui voudrait se sevrer passera forcément par une phase d’abstinence, histoire de régler les causes qui l’ont amenés à boire et les dégâts occasionnés par cette addiction, ensuite on pourra parler de gestion de la consommation, ça fonctionne, mais c’est long et frustrant, un peu comme si on octrayait une cigarette par jour à un gros fumeur, ça risque de devenir obsessionnel et contre productif, le but étant de faire adhérer un patient à un changement de comportement
J'ai jamais autant picoler qu'avec le confinement et d'avoir perdu mon job au début du covid
Alfred Perdre son travail c’est souvent le début de la consommation d’alcool problématique. Comme il n’y a plus d’obligation, plus peu être une déprime passagère et ptet aussi la solitude qui va avec.
Les bars etaient fermés.