Berlioz: Les nuits d'été (Summer Nights), de los Ángeles (1955) ベルリオーズ 夏の夜 デ・ロス・アンヘレス

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  • เผยแพร่เมื่อ 5 ก.ค. 2017
  • Louis Hector Berlioz (1803-1869) (poems by Théophile Gautier (1811-1872))
    Les nuits d'été, Op. 7 (Summer Nights)
    (00:05) 1. Villanelle
    (02:23) 2. Le Spectre de la Rose
    (08:51) 3. Sur les lagunes: Lamento
    (15:58) 4. Absence
    (21:09) 5. Au cimetière: Clair de lune
    (27:01) 6. L'île inconnue
    Victoria de los Ángeles (1923-2005), Soprano
    Charles Munch (1891-1968), Conductor
    Boston Symphony Orchestra
    Rec. 12-13 April 1955, at Symphony Hall, in Boston
    ルイ・エクトル・ベルリオーズ (詩:ピエール・ジュール・テオフィル・ゴーティエ)
    夏の夜 作品7
    (00:05) 1. ヴィラネル
    (02:23) 2. ばらの精
    (08:51) 3. 入り江のほとり(哀歌)
    (15:58) 4. 君なくて
    (21:09) 5. 墓地で (月の光)
    (27:01) 6. 未知の島
    ソプラノ:ビクトリア・デ・ロス・アンヘレス
    指揮:シャルル・ミュンシュ
    ボストン交響楽団
    録音:1955年4月12~13日 シンフォニー・ホール (ボストン)
  • เพลง

ความคิดเห็น • 11

  • @lucasdebevec8581
    @lucasdebevec8581 8 หลายเดือนก่อน +3

    Sensacional versión. Comprometida con la obra en todos los sentidos Victoria.
    La dirección orquestal es brillante , intensa, fina y detallada.
    Una versión de referencia total.
    A disfrutarla.

  • @millriv1792
    @millriv1792 4 ปีที่แล้ว +5

    How could ANYONE give a thumbs down on this recording????

  • @jshaers96
    @jshaers96 6 ปีที่แล้ว +8

    This is outstanding in every way. De Los Angeles is hard to equal, let alone beat.

    • @franklinhill4341
      @franklinhill4341 6 ปีที่แล้ว +1

      The video image has it right. The image of Munch symbolizing the entire orchestra, it was all three in a divine ménage à trois. Thank you, Deucalion Project , for posting this.

  • @avcevyll0066
    @avcevyll0066 ปีที่แล้ว

    In my first year in college, we played movements 1, 2, and 6 in orchestra. Now, it's my tradition to listen to those three movements in the summer, at night.

  • @davidrehak3539
    @davidrehak3539 6 ปีที่แล้ว +3

    Hector Berlioz:Nyári éj Op.7
    1. Villanelle (Allegretto) 00:05
    2.A rózsa kísértete (Adagio un poco lento et dolce assai) 02:23
    3.A lagúnákon:Lamento (Andantino) 08:51
    4.Távollét (Adagio) 15:58
    5.A temetőben:holdfény (Andantino non troppo lento) 21:04
    6. Az ismeretlen sziget (Allegro spiritoso) 27:01
    Victoria de los Ángeles-szoprán
    Bostoni Szimfonikus Zenekar
    Vezényel:Charles Munch

  • @corsettipierre-paul5059
    @corsettipierre-paul5059 5 ปีที่แล้ว

    LES NUITS D'ÉTÉ (poèmes de Théophile Gautier)
    1. Villanelle (H 82)
    Date de composition : mars 1840. Orchestration : mars 1856.
    Quand viendra la saison nouvelle,
    Quand auront disparu les froids,
    Tous les deux, nous irons, ma belle,
    Pour cueillir le muguet aux bois ;
    Sous nos pieds égrenant les perles
    Que l'on voit au matin trembler,
    Nous irons écouter les merles
    Siffler.
    Le printemps est venu, ma belle,
    C'est le mois des amants béni,
    Et l'oiseau, satinant son aile,
    Dit des vers au rebord du nid.
    Oh ! viens donc sur ce banc de mousse
    Pour parler de nos beaux amours,
    Et dis-moi de ta voix si douce :
    Toujours !
    Loin, bien loin, égarant nos courses,
    Faisons fuir le lapin caché,
    Et le daim au miroir des sources
    Admirant son grand bois penché ;
    Puis chez nous, tout heureux, tout aises,
    En paniers enlaçant nos doigts,
    Revenons rapportant des fraises
    Des bois.
    2. Le Spectre de la rose (H 83)
    Date de composition : antérieure à novembre 1840. Orchestration : fin de 1855-janvier 1856.
    Soulève ta paupière close
    Qu'effleure un songe virginal,
    Je suis le spectre d'une rose
    Que tu portais hier au bal.
    Tu me pris encore emperlée
    Des pleurs d'argent de l'arrosoir,
    Et parmi la fête étoilée
    Tu me promenas tout le soir.
    Ô toi qui de ma mort fus cause,
    Sans que tu puisses le chasser,
    Toutes les nuits mon spectre rose
    À ton chevet viendra danser.
    Mais ne crains rien, je ne réclame
    Ni messe ni De Profundis ;
    Ce léger parfum est mon âme,
    Et j'arrive du paradis.
    Mon destin fut digne d'envie,
    Et pour avoir un sort si beau,
    Plus d'un aurait donné sa vie,
    Car sur ton sein j'ai mon tombeau,
    Et sur l'albâtre où je repose
    Un poète, avec un baiser,
    Écrivit : Ci-gît une rose
    Que tous les rois vont jalouser.
    3. Sur les lagunes : lamento (H 84)
    Date de composition : antérieure à septembre 1841. Orchestration : mars 1856.
    Ma belle amie est morte,
    Je pleurerai toujours ;
    Sous la tombe elle emporte
    Mon âme et mes amours.
    Dans le ciel, sans m'attendre,
    Elle s'en retourna ;
    L'ange qui l'emmena
    Ne voulut pas me prendre.
    Que mon sort est amer !
    Ah ! sans amour, s'en aller sur la mer !
    La blanche créature
    Est couchée au cercueil ;
    Comme dans la nature
    Tout me paraît en deuil !
    La colombe oubliée
    Pleure et songe à l'absent ;
    Mon âme pleure et sent
    Qu'elle est dépareillée.
    Que mon sort est amer !
    Ah ! sans amour, s'en aller sur la mer !
    Sur moi la nuit immense
    S'étend comme un linceul ;
    Je chante ma romance
    Que le ciel entend seul.
    Ah ! comme elle était belle
    Et comme je l'aimais !
    Je n'aimerai jamais
    Une femme autant qu'elle.
    Que mon sort est amer !
    Ah ! sans amour, s'en aller sur la mer !
    4. Absence (H 85)
    Date de composition : antérieure à novembre 1840. Orchestration : février 1843.
    Reviens, reviens, ma bien-aimée !
    Comme une fleur loin du soleil,
    La fleur de ma vie est fermée
    Loin de ton sourire vermeil.
    Entre nos cœurs quelle distance ;
    Tant d'espace entre nos baisers !
    Ô sort amer ! ô dure absence !
    Ô grands désirs inapaisés !
    Reviens, reviens, ma bien-aimée, etc.
    D'ici là-bas, que de campagnes,
    Que de villes et de hameaux,
    Que de vallons et de montagnes,
    À lasser le pied des chevaux !
    Reviens, reviens, ma bien-aimée, etc.
    5. Au cimetière : clair de lune (H 86)
    Date de composition : antérieure à septembre 1841. Orchestration : mars 1856.
    Connaissez-vous la blanche tombe
    Où flotte avec un son plaintif
    L’ombre d’un if ?
    Sur l’if, une pâle colombe,
    Triste et seule, au soleil couchant,
    Chante son chant ;
    Un air maladivement tendre,
    À la fois charmant et fatal,
    Qui vous fait mal
    Et qu’on voudrait toujours entendre,
    Un air, comme en soupire aux cieux
    L’ange amoureux.
    On dirait que l’âme éveillée
    Pleure sous terre, à l’unisson
    De la chanson,
    Et du malheur d’être oubliée,
    Se plaint dans un roucoulement
    Bien doucement.
    Sur les ailes de la musique
    On sent lentement revenir
    Un souvenir ;
    Une ombre, une forme angélique
    Passe dans un rayon tremblant,
    En voile blanc.
    Les belles de nuit, demi-closes,
    Jettent leur parfum faible et doux
    Autour de vous,
    Et le fantôme aux molles poses
    Murmure en vous tendant les bras :
    Tu reviendras !
    Oh ! jamais plus près de la tombe
    Je n’irai, quand descend le soir
    Au manteau noir,
    Écouter la pâle colombe
    Chanter, sur la pointe de l’if,
    Son chant plaintif !
    6. L'Île inconnue (H 87)
    Date de composition : antérieure à septembre 1841. Orchestration : mars 1856.
    Dites, la jeune belle,
    Où voulez-vous aller ?
    La voile enfle son aile,
    La brise va souffler !
    L'aviron est d'ivoire,
    Le pavillon de moire,
    Le gouvernail d'or fin ;
    J'ai pour lest une orange,
    Pour voile une aile d'ange,
    Pour mousse un séraphin.
    Dites, la jeune belle, etc.
    Est-ce dans la Baltique ?
    Dans la mer Pacifique,
    Dans l'île de Java ?
    Ou bien est-ce en Norvège,
    Cueillir la fleur de neige
    Ou la fleur d'Angsoka ?
    Dites, la jeune belle,
    Où voulez-vous aller ?
    Menez-moi, dit la belle,
    À la rive fidèle
    Où l'on aime toujours.
    - Cette rive, ma chère,
    On ne la connaît guère
    Au pays des amours.
    Où voulez-vous aller ?
    La brise va souffler !

  • @davidjohnson9796
    @davidjohnson9796 2 ปีที่แล้ว +6

    What philistine could possibly give a thumbs down on this. They must be deaf in one ear and can't hear out of the other!

  • @pedromiguel2675
    @pedromiguel2675 6 หลายเดือนก่อน +2

    Réponse à @ millriv1792 et à @davidjohnson9796
    Eh bien qu'est-ce que vous trouvez de répréhensible à cet enregistrement? Victoria était à l'apogée de sa carrière avec une magnifique puissance vocale. Ce qui ne l'empêchait pas de moduler à merveille, recréant cette expressivité si particulière à elle. Grâce à sa claire diction française on pouvait suivre parfaitement les textes. Et puis il y avait là un grand seigneur du podium, Charles Munch. Je ressens en revennant écouter cette version la fidélité des interprètes à la musique si raffinée écrite par Berlioz. Et puis à cette époque (1955) qui d'autre s'aventurait dans un tel répertoire? Il fallait attendre encore sept ans (1962) pour que Régine Crespin et Ernest Ansermet enregistrent l'autre référence définitive de l'oeuvre avec l'Orchestre de la Suisse Romande. Au milieu de ces deux versions référendaires et par la suite il y eût d'autres enregistrements, entre lesquels je retiendrais si j'avais à choisir celui d'Eleanor Steaber, grande cantatrice américaine, grande dame de l'Opéra, qui avait le type de voix tout à fait indiquée pour aborder les magnifiques chansons de Berlioz. Hormis cela, il a toujours les deux références insurpassables : Victoria - Orchestre Symphonique de Boston - Munch (1955) ici présente et Régine - Orchestre de la Suisse Romande - Ansermet (1962). Je vous remercie spécialement le partage. Il est venu combler un grand vide qu'il y avait depuis longtemps par rapport à l'interprétation de l'oeuvre de Berlioz. Combien d'eau est passée sous les ponts, depuis que j'ai écouté pour la première fois cette version à partir d'un ancien disque LP. Donc après cette parenthèse énorme, je reviens écouter enfin la voix fraîche et charismatique et la puissante envolée de Victoria de los Ángeles accompagnée par Charles Munch, qui était aussi à l'époque un des seuls chefs d'orchestre fidèles à Berlioz, qui a beaucoup fait pour la diffusion de la musique du grand maître de la Côte-Saint-André. De même Victoria avait une certaine faiblesse et un penchant spécial pour le répertoire français, qu'elle abordait toujours avec la grâce et la musicalité innée qui lui étaient propres (Manon, Carmen, Marguerite (Faust) et Mélisande entre autres).

    • @davidjohnson9796
      @davidjohnson9796 6 หลายเดือนก่อน

      English please!

    • @pedromiguel2675
      @pedromiguel2675 6 หลายเดือนก่อน

      @@davidjohnson9796Used the traslator system please. I don't written in English. Thanks.