Ils aiment ma voix, ils aiment ma rime et mes défauts Ma thèse c’est toute ma foi Je suis un sans visage comme Mesrine Rien ne sert de pleurer les défunts Ils disent que des hommes ils existent des vrais, et des faux Des sains et des fous Des seins et un tesson On a fait un joli dessin, juste après un film de Besson On a le cœur sauf mais mesquin, surtout quand nous baisons Faut juste être prudent avec, la vie est une chienne, la nuit est un pitbull Ma réponse à moi peut-être blonde, rousse et puis brune Artiste de nuit, un pitre diurne Les questions m’asphyxient dans ma p’tite bulle Sur des lèvres il faut que je m’appose Ils liront ma prose, leur voix m’apaisent C’est comme ma pause Et je me sens con de causer à un cahier plein de ratures Ma plume casse les codes, a laissé des mots fracturés Je me sens mature et mon cœur leur demande « m’as-tu rêvé ? » Je pense encore à moi alors que le mal tue le reu-fré Le Diable en Prada et le poète l’écrit en Lanvin, souvent en vain De l’avant ou à l’envers, la terre ronde nous amène où l’on veut Ils aiment l’ange, sans savoir ce que l’ange vainc Je sais que la torche qui me guide ne fera pas long feu La magie des mots, un peu de Maupassant, un peu de Langevin On veut parler pour eux, dire « nous » sans vraiment comprendre les règles du jeu J’ai raturé tous mes cahiers d’école Des poèmes d’un gosse avec la tête en l’air Le regard à la fenêtre et la plume décolle J’ai changé le décor et puis l’envers Puis je grandis, j’écris sur l’ange et son décolleté Son regard m’a fait visiter l’Enfer J’ai compris qu’on ne sème que le mal que l’on a récolté C’est souvent comme ça qu’on les nomme : les cœurs en fer Et moi, égocentrique, l’encre me décrit à travers eux Quelle Poésie mascarade J’ai le stylo véreux, le symbole de ma parade Ma plume noircie par son humide mascara J’ai vu ce chat noir au coin de la rue, attendre la faucheuse sous son casque Araï C’est comme ça qu’il m’ait apparu Un sourire plein de larmes pures pleurant des cascades rares Finalement, la vie c’est d’ouvrir la boîte de Pandore L’écriture c’est de tuer le temps à pas d’heure Visiter le pays imaginaire pendant que Peter Pan dort Rendez-vous avec nouvelle qui ressemble à l’autre J’enfile un Arte qu’elle m’a offert, un habit mal plié Je ne suis qu’un vagabond du temps, un déserteur de sablier Ils n’aiment que pour voir leur cœur s’applaudir Plus j’y pense, plus je vois mon esprit s’appauvrir À croire qu’ils ont besoin de ça pour vivre Elle garde le désir plus que solennel même quand sa peau vrille Un riche non ne vaut-il pas mieux qu’un pauvre oui ? Tant pis, je discute avec dans mes rêves Nique sa mère si je ne la vois plus Toutes les nuits j’ai un monologue avec celles qui ont construit ma plume Minuit infini c’est devenu mon monde, je ne suis qu’un Enfant de la Lune Quels souvenirs as-tu de nous que moi j’ai oublié ? Est-ce un trou de mémoire ? Peut-être que les autres ont tout pillés Des rimes sales en échange de doux billets Au fond on est né, condamné à tous briller Alors fouille bien dans tes parages Tu verras peut-être mes yeux, non pas pour te surveiller mais pour te contempler grandir Mes remparts sont devenus mes barrages J’ai pu voir ce « je t’aime » que t’as su mentir
j’ai gâché mon sommeil pour accomplir mes rêves et si j’ai réussi toi aussi tu peut le faire je suis pas meilleur qu’un autre tour ce que j’ai j’le mérite j’ai travailler pour gros j’ai gâcher des heures j reconnais plus mon reflet dans le miroir gros tout les soirs jparle aux anges de la mort de la persévérance y’a que ça qui rend plus fort j’en ai vu beaucoup dire que j’y arriverai pas regarde aujourd’hui ils courent acheter leur places crois en tes rêves et n’écoute pas ses shlags j retourne dans ma ville pour m’aérer l’esprit j’me défile pas même si il sont 10 j’ai les couilles du daron sa fierté son honneur mais j’aimerai mon fils comme il a pas su le faire je veillerais sur lui qu’il n’est pas à souffrir qu’en cas de problème y’aura toujours son père le mien n’est pas la j’ai du devenir un homme porter des fardeaux qu’un enfant ne devrait pas j’ai le cœur qui se brise quais jvois les autres heureux qui bénéfice d’une maman d’un papa en vrai si j’fais du rap c’était pour le rendre fier qu’il voit que son fils est devenue grand et fort qu’il peut changer les choses à la force de ses textes que les gens l’aiment pour son art et ses phrases
sous un couché d’soleil moi j’écoute ces note de piano ça fait longtemps que j’ai arrêté de piailler, que j’ai arrêter pioncé je me suis trop dépensé, j’ai fini dépourvu même si j’ai déprimé, je t’en aurais voulu
Invisible sont Elle mes cicatrices Une visite et la juge est gentille J’ai prémédité Née prématurée C’est du second degré J’y crois pas C’est la d’AS qu’à toqué Dite à papa Que je suis juste à côté À côté de chez woim À côté de chez oit Je me rend compte On a ps le même chemin L’impression d’être dans un autre monde C’est qui le stre-mon Je me régale sur un seul instrument On a perdu des proches Donc il reste des larmes à éponger Ce soir je vais plonger On s’retrouve en haut d’mon apogée
Je sert les dents quand jsui face a moi meme Je crois que jsui mon pire ennemi mon pire poison Chez moi Les excès de joie sont solanel Je m’accroche à elle comme par passion Et trop de mots blessant sorte de ma bouche Jpasse pour un fou mais j’ai mes raisons Trempé de larme comme si je sort de la douche Jsui ma propre maladie et ma guérison
longtemps que j'ai rien gratté , t'es un génie 🤩 merci pour ce poulet
@@itsart408 merci frero 🙏🏽
the piano sounds too good! 💔💔
Ils aiment ma voix, ils aiment ma rime et mes défauts
Ma thèse c’est toute ma foi
Je suis un sans visage comme Mesrine
Rien ne sert de pleurer les défunts
Ils disent que des hommes ils existent des vrais, et des faux
Des sains et des fous
Des seins et un tesson
On a fait un joli dessin, juste après un film de Besson
On a le cœur sauf mais mesquin, surtout quand nous baisons
Faut juste être prudent avec, la vie est une chienne, la nuit est un pitbull
Ma réponse à moi peut-être blonde, rousse et puis brune
Artiste de nuit, un pitre diurne
Les questions m’asphyxient dans ma p’tite bulle
Sur des lèvres il faut que je m’appose
Ils liront ma prose, leur voix m’apaisent
C’est comme ma pause
Et je me sens con de causer à un cahier plein de ratures
Ma plume casse les codes, a laissé des mots fracturés
Je me sens mature et mon cœur leur demande « m’as-tu rêvé ? »
Je pense encore à moi alors que le mal tue le reu-fré
Le Diable en Prada et le poète l’écrit en Lanvin, souvent en vain
De l’avant ou à l’envers, la terre ronde nous amène où l’on veut
Ils aiment l’ange, sans savoir ce que l’ange vainc
Je sais que la torche qui me guide ne fera pas long feu
La magie des mots, un peu de Maupassant, un peu de Langevin
On veut parler pour eux, dire « nous » sans vraiment comprendre les règles du jeu
J’ai raturé tous mes cahiers d’école
Des poèmes d’un gosse avec la tête en l’air
Le regard à la fenêtre et la plume décolle
J’ai changé le décor et puis l’envers
Puis je grandis, j’écris sur l’ange et son décolleté
Son regard m’a fait visiter l’Enfer
J’ai compris qu’on ne sème que le mal que l’on a récolté
C’est souvent comme ça qu’on les nomme : les cœurs en fer
Et moi, égocentrique, l’encre me décrit à travers eux
Quelle Poésie mascarade
J’ai le stylo véreux, le symbole de ma parade
Ma plume noircie par son humide mascara
J’ai vu ce chat noir au coin de la rue, attendre la faucheuse sous son casque Araï
C’est comme ça qu’il m’ait apparu
Un sourire plein de larmes pures pleurant des cascades rares
Finalement, la vie c’est d’ouvrir la boîte de Pandore
L’écriture c’est de tuer le temps à pas d’heure
Visiter le pays imaginaire pendant que Peter Pan dort
Rendez-vous avec nouvelle qui ressemble à l’autre
J’enfile un Arte qu’elle m’a offert, un habit mal plié
Je ne suis qu’un vagabond du temps, un déserteur de sablier
Ils n’aiment que pour voir leur cœur s’applaudir
Plus j’y pense, plus je vois mon esprit s’appauvrir
À croire qu’ils ont besoin de ça pour vivre
Elle garde le désir plus que solennel même quand sa peau vrille
Un riche non ne vaut-il pas mieux qu’un pauvre oui ?
Tant pis, je discute avec dans mes rêves
Nique sa mère si je ne la vois plus
Toutes les nuits j’ai un monologue avec celles qui ont construit ma plume
Minuit infini c’est devenu mon monde, je ne suis qu’un Enfant de la Lune
Quels souvenirs as-tu de nous que moi j’ai oublié ?
Est-ce un trou de mémoire ? Peut-être que les autres ont tout pillés
Des rimes sales en échange de doux billets
Au fond on est né, condamné à tous briller
Alors fouille bien dans tes parages
Tu verras peut-être mes yeux, non pas pour te surveiller mais pour te contempler grandir
Mes remparts sont devenus mes barrages
J’ai pu voir ce « je t’aime » que t’as su mentir
sale 🥶
@@pentagatv 😁😁😇
Magique piano no drums
Un type beat en no drums realisable c'est grand corps malade- retiens les reves
j’ai gâché mon sommeil
pour accomplir mes rêves
et si j’ai réussi
toi aussi tu peut le faire
je suis pas meilleur qu’un autre
tour ce que j’ai j’le mérite
j’ai travailler pour
gros j’ai gâcher des heures
j reconnais plus mon reflet
dans le miroir
gros tout les soirs
jparle aux anges de la mort
de la persévérance
y’a que ça qui rend plus fort
j’en ai vu beaucoup
dire que j’y arriverai pas
regarde aujourd’hui
ils courent acheter leur places
crois en tes rêves
et n’écoute pas ses shlags
j retourne dans ma ville
pour m’aérer l’esprit
j’me défile pas
même si il sont 10
j’ai les couilles du daron
sa fierté son honneur
mais j’aimerai mon fils
comme il a pas su le faire
je veillerais sur lui
qu’il n’est pas à souffrir
qu’en cas de problème
y’aura toujours son père
le mien n’est pas la
j’ai du devenir un homme
porter des fardeaux
qu’un enfant ne devrait pas
j’ai le cœur qui se brise
quais jvois les autres heureux
qui bénéfice
d’une maman d’un papa
en vrai si j’fais du rap
c’était pour le rendre fier
qu’il voit que son fils
est devenue grand et fort
qu’il peut changer les choses
à la force de ses textes
que les gens l’aiment
pour son art et ses phrases
sous un couché d’soleil moi j’écoute ces note de piano
ça fait longtemps que j’ai arrêté de piailler, que j’ai arrêter pioncé
je me suis trop dépensé, j’ai fini dépourvu
même si j’ai déprimé, je t’en aurais voulu
😮❤
Invisible sont Elle mes cicatrices
Une visite et la juge est gentille
J’ai prémédité
Née prématurée
C’est du second degré
J’y crois pas
C’est la d’AS qu’à toqué
Dite à papa
Que je suis juste à côté
À côté de chez woim
À côté de chez oit
Je me rend compte
On a ps le même chemin
L’impression d’être
dans un autre monde
C’est qui le stre-mon
Je me régale
sur un seul instrument
On a perdu des proches
Donc il reste des larmes à éponger
Ce soir je vais plonger
On s’retrouve en haut d’mon apogée
Je sert les dents quand jsui face a moi meme
Je crois que jsui mon pire ennemi mon pire poison
Chez moi Les excès de joie sont solanel
Je m’accroche à elle comme par passion
Et trop de mots blessant sorte de ma bouche
Jpasse pour un fou mais j’ai mes raisons
Trempé de larme comme si je sort de la douche
Jsui ma propre maladie et ma guérison