On vous croit mesdames. Non, vous n'êtes pas "des cas isolés." De tout cœur avec vous et vos demandes. C'est tout un système et un rapport entre la société et les jeunes femmes qui est en question. Courage. En 1905 un des établissements avait déjà été condamné et pourtant l'Etat n'y mettait pas plus le nez pour inspecter vos conditions de vie. 💪🏼💪🏼 La congrégation comme l'état tous responsables.
Elle est écœurante cette bonne soeur de dire que c'était des cas isolés (les isolements en cas de fautes, le travail forcé, les brimades, les humiliations, une scolarité déplorable etc... etc.Je pense que certaines prisons sont plus douces que les bons pasteurs. J'ai 76 ans et j'en souffre encore ( j'ai été dans cette prison pour enfant de 1961 à 1965 à Angers) Raymonde
La bonne soeur qui vient nier les sévices, c'est une vraie tête à claque. C'est elle qui devrait être en "maison de correction". Mesdames, on vous croit.
J ai passé 1an et demi au bon pasteur d annonay ,j avais 10 ans et demi,maman qui avait été au bon pasteur pendant la guerre, elle est restée de 12 ans à 21 ans, maman était très appréciée,elle m a mise au bon pasteur ,car j etais sotte a l ecole,je n en garde pas un mauvais souvenir,je n y suis restée qu un an et demi ,ce système ne me convenait pas.une sœur m a dit que je ne ressemblais pas a ma mère,car j etais trop sotte ,et je suis retournée chez moi
Quand est il de la congrégation du Bon Pasteur d'Orléans ? Que j'ai bien connu ...dans mon quartier..le quartier St Marc ..Amitiés à tous. Bien à vous. Jean d'Orléans
Je suis d'Orléans et je me souviens où c'était. Ma mère a été placée dans les années 30 par sa belle mère, après le certificat d'études, au Bon Pasteur de Bourges. Elle en parlait peu sauf pour dire qu'elle y avait été mise en "pension" pour se débarrasser d'elle, elle ne disait jamais "maison de correction" . Il a fallu qu'elle fasse des pieds et des mains malgré la guerre pour arriver à retrouver sa liberté à 23 ans, en 42. Elle en est restée marquée par l'injustice de cet emprisonnement . Elle était en fait juive et a dû faire disparaître tous ses papiers administratifs à Paris pendant la guerre. Je retrouve avec une grande tristesse dans ces témoignages qui émergent maintenant un pan quasi clandestin de la vie de ma mère: j'aurais aimé en parler plus avec elle mais je comprends son quasi mutisme que je n'ai pas voulu, ni moi ni mes frères, interroger.
Oui. Dans un premier temps, séparations d'un milieu considere hostile pour moi, plusieurs tentatives de viols de mon beau-père, j'avais 12 ans. J'aurai aimé en parler à mes enfants. Je dois tout au Bon Notre Dame de Charité du MANS. Bien sûr il y avait des exactions auparavant, j'en avais connaissance mais pas des pires decrites dans ce reportage. Si je suis CE que je suis c'est grâce aux Mésanges de Notre-Dame Dame de Charité, 30 rue de la Blanchisserie au Mans.
On vous croit mesdames. Non, vous n'êtes pas "des cas isolés." De tout cœur avec vous et vos demandes. C'est tout un système et un rapport entre la société et les jeunes femmes qui est en question. Courage. En 1905 un des établissements avait déjà été condamné et pourtant l'Etat n'y mettait pas plus le nez pour inspecter vos conditions de vie.
💪🏼💪🏼 La congrégation comme l'état tous responsables.
Bravo pour votre témoignage 🙏 vous êtes courageuses 💕💕💕
Elle est écœurante cette bonne soeur de dire que c'était des cas isolés (les isolements en cas de fautes, le travail forcé, les brimades, les humiliations, une scolarité déplorable etc... etc.Je pense que certaines prisons sont plus douces que les bons pasteurs. J'ai 76 ans et j'en souffre encore ( j'ai été dans cette prison pour enfant de 1961 à 1965 à Angers) Raymonde
Bonjour, je suis une ancienne du Bon Pasteur d'Angers en 1965 , donc j'avais 15 ans....Maison de correction et de rééducation....Oui nous y étions...
C'est pas normal et c'est quand même grave. Les filles n'avaient pas à subir cela !
Les pauvres ! Comment s'en remettre ?
La bonne soeur qui vient nier les sévices, c'est une vraie tête à claque. C'est elle qui devrait être en "maison de correction". Mesdames, on vous croit.
Plutôt sympa moi je trouve la mamie bonne soeur...
Sado tu es @@Majoto51
J ai passé 1an et demi au bon pasteur d annonay ,j avais 10 ans et demi,maman qui avait été au bon pasteur pendant la guerre, elle est restée de 12 ans à 21 ans, maman était très appréciée,elle m a mise au bon pasteur ,car j etais sotte a l ecole,je n en garde pas un mauvais souvenir,je n y suis restée qu un an et demi ,ce système ne me convenait pas.une sœur m a dit que je ne ressemblais pas a ma mère,car j etais trop sotte ,et je suis retournée chez moi
j'ai connu une personne qui s'appelait Michel Bourasset et qui est décédé maintenant et qui aurait pu témoigner
Quand est il de la congrégation du Bon Pasteur d'Orléans ? Que j'ai bien connu ...dans mon quartier..le quartier St Marc ..Amitiés à tous. Bien à vous. Jean d'Orléans
Je suis d'Orléans et je me souviens où c'était. Ma mère a été placée dans les années 30 par sa belle mère, après le certificat d'études, au Bon Pasteur de Bourges. Elle en parlait peu sauf pour dire qu'elle y avait été mise en "pension" pour se débarrasser d'elle, elle ne disait jamais "maison de correction" . Il a fallu qu'elle fasse des pieds et des mains malgré la guerre pour arriver à retrouver sa liberté à 23 ans, en 42. Elle en est restée marquée par l'injustice de cet emprisonnement . Elle était en fait juive et a dû faire disparaître tous ses papiers administratifs à Paris pendant la guerre. Je retrouve avec une grande tristesse dans ces témoignages qui émergent maintenant un pan quasi clandestin de la vie de ma mère: j'aurais aimé en parler plus avec elle mais je comprends son quasi mutisme que je n'ai pas voulu, ni moi ni mes frères, interroger.
Oui. Dans un premier temps, séparations d'un milieu considere hostile pour moi, plusieurs tentatives de viols de mon beau-père, j'avais 12 ans. J'aurai aimé en parler à mes enfants. Je dois tout au Bon Notre Dame de Charité du MANS. Bien sûr il y avait des exactions auparavant, j'en avais connaissance mais pas des pires decrites dans ce reportage. Si je suis CE que je suis c'est grâce aux Mésanges de Notre-Dame Dame de Charité, 30 rue de la Blanchisserie au Mans.
moi je nais jamais parler jetait a la adresse que vous