LE CONSTAT 00:00 Introduction 00:30 La sécheresse à Saint-Omer 01:54 La désertification à Saint-Louis du Sénégal 02:37 La fonte des glaciers au Kirghizstan 03:56 La hausse du niveau de la mer à Cébu aux Philippines, à Saint-Omer en France et à Saint-Louis au Sénégal. LES CONSEQUENCES 06:19 Diminution de la nappe phréatique de Saint-Omer 07:57 Salinisation de la nappe phréatique des Niayes au Nord de Dakar et dépendance au fleuve Sénégal 08:53 La fonte des glaciers et leurd conséquences sur la population d'An-Oston au Kirghizstan 10:23 Destruction du quartier de Guet Ndar à Saint-Louis 11:38 Inondation des bidonvilles aux Philippines et salinisation des nappes LES SOLUTIONS 13:19 Faire preuve de résilience (Yann Arthus Bertrand) 14:22 Favoriser l'accès à une eau sure et de qualité aux Philippines 15:33 Une adaptation agricole au Khirghizstan 16:28 Economiser l'eau dans les industries, des solutions éxistent 19:00 La restauration de la Nature : la réhabilitation de la mangrove 20:20 Planter des arbres pour sauver les glaciers 20:52 Des solutions politiques portées par François Decoster 21:42 L'action de la coopération internationnale à Saint-Louis 22:26 Faire entendre sa voix 22:57 CONCLUSION
Pour ce qui concerne Saint Louis au Sénégal, quelques petites rectifications concernant l'érosion côtière : le phénomène ne vient pas directement du réchauffement climatique et de la montée des eaux, mais bien d'une erreur humaine locale ( création de la brèche). Cette création a entrainé une énorme érosion côtière tout d'abord vers le Sud et Gandiol ( dont Dounababdieye) en passant en quelques années de 5 mètres de large à presque 6 kilomètres. Ensuite la nature a réagi et tenté de boucher ce trou béant en prélevant du sable quelques kilomètres au Nord et donc à Get n'dar. Ce n'est donc pas une montée des eaux mais bien des départs de sable qui ont entrainé une baisse de niveau des plages océaniques et une avancée de l'océan qui a attaqué les maisons. D'ailleurs aujourd'hui en 2022 le phénomène s'est compensé et les plages se sont naturellement reconstituées avec l'apport quotidien de sable porté par l'océan de la Mauritanie
Oui hélas. C'est tout l'intérêt de ce projet de film, en exposant les difficultés auquelles nous sommes faces, c'est de montrer que des solutions existent afin que nous adaptions. Bien entendu, il reste indispensable de changer de notre manière d'habiter le monde.
LE CONSTAT
00:00 Introduction
00:30 La sécheresse à Saint-Omer
01:54 La désertification à Saint-Louis du Sénégal
02:37 La fonte des glaciers au Kirghizstan
03:56 La hausse du niveau de la mer à Cébu aux Philippines, à Saint-Omer en France et à Saint-Louis au Sénégal.
LES CONSEQUENCES
06:19 Diminution de la nappe phréatique de Saint-Omer
07:57 Salinisation de la nappe phréatique des Niayes au Nord de Dakar et dépendance au fleuve Sénégal
08:53 La fonte des glaciers et leurd conséquences sur la population d'An-Oston au Kirghizstan
10:23 Destruction du quartier de Guet Ndar à Saint-Louis
11:38 Inondation des bidonvilles aux Philippines et salinisation des nappes
LES SOLUTIONS
13:19 Faire preuve de résilience (Yann Arthus Bertrand)
14:22 Favoriser l'accès à une eau sure et de qualité aux Philippines
15:33 Une adaptation agricole au Khirghizstan
16:28 Economiser l'eau dans les industries, des solutions éxistent
19:00 La restauration de la Nature : la réhabilitation de la mangrove
20:20 Planter des arbres pour sauver les glaciers
20:52 Des solutions politiques portées par François Decoster
21:42 L'action de la coopération internationnale à Saint-Louis
22:26 Faire entendre sa voix
22:57 CONCLUSION
Pour ce qui concerne Saint Louis au Sénégal, quelques petites rectifications concernant l'érosion côtière : le phénomène ne vient pas directement du réchauffement climatique et de la montée des eaux, mais bien d'une erreur humaine locale ( création de la brèche). Cette création a entrainé une énorme érosion côtière tout d'abord vers le Sud et Gandiol ( dont Dounababdieye) en passant en quelques années de 5 mètres de large à presque 6 kilomètres. Ensuite la nature a réagi et tenté de boucher ce trou béant en prélevant du sable quelques kilomètres au Nord et donc à Get n'dar. Ce n'est donc pas une montée des eaux mais bien des départs de sable qui ont entrainé une baisse de niveau des plages océaniques et une avancée de l'océan qui a attaqué les maisons. D'ailleurs aujourd'hui en 2022 le phénomène s'est compensé et les plages se sont naturellement reconstituées avec l'apport quotidien de sable porté par l'océan de la Mauritanie
Merci Jean-Marie pour ces précisions. Heureux d'entendre que le problème de la brèche s'estompe.
Bientôt plus d’eaux
Oui hélas. C'est tout l'intérêt de ce projet de film, en exposant les difficultés auquelles nous sommes faces, c'est de montrer que des solutions existent afin que nous adaptions.
Bien entendu, il reste indispensable de changer de notre manière d'habiter le monde.