Je peux remercier l'algorithme TH-cam de me faire découvrir cet entretien avec le fils de Pierre Falardeau, quelques jours après avoir partagé pour la énième fois avec des amis cette pépite qu'est Le Temps des bouffons. Je suis français, graphiste à Paris. J'avais découvert le film chez le journaliste Pierre Rimbert (qui a rejoint un peu plus tard le Monde diplomatique) au début des années 2000, et je l'ai régulièrement fait découvrir à des amis au fil des années. C'est un brûlot politique jubilatoire, l'un des meilleurs films anticapitalistes que j'ai vu... J'avais découvert il y a quelques années un entretien avec P. Falardeau qui en racontait la genèse, cet entretien me permet d'en savoir encore un peu plus, merci !
J'm'ennuie de ce grand homme qui m'a ouvert les yeux sur ma réalité d'ouvrier québecois francophone. J'étais un adolescent mêlé, parfaitement bilingue et fier de l'être. 40 plus tard, je ne parle presque plus dans cette langue de marde dont les mots roulent et tournent sous ma langue tel un minable morceau de foie infecte qui m'est impossible d'avaler.
Je peux remercier l'algorithme TH-cam de me faire découvrir cet entretien avec le fils de Pierre Falardeau, quelques jours après avoir partagé pour la énième fois avec des amis cette pépite qu'est Le Temps des bouffons. Je suis français, graphiste à Paris. J'avais découvert le film chez le journaliste Pierre Rimbert (qui a rejoint un peu plus tard le Monde diplomatique) au début des années 2000, et je l'ai régulièrement fait découvrir à des amis au fil des années. C'est un brûlot politique jubilatoire, l'un des meilleurs films anticapitalistes que j'ai vu... J'avais découvert il y a quelques années un entretien avec P. Falardeau qui en racontait la genèse, cet entretien me permet d'en savoir encore un peu plus, merci !
J'm'ennuie de ce grand homme qui m'a ouvert les yeux sur ma réalité d'ouvrier québecois francophone. J'étais un adolescent mêlé, parfaitement bilingue et fier de l'être. 40 plus tard, je ne parle presque plus dans cette langue de marde dont les mots roulent et tournent sous ma langue tel un minable morceau de foie infecte qui m'est impossible d'avaler.
Le temps des bouffons toujours aussi pertinent des décennies plus tard
On voit Robert Miller dans ce film. Je dis ça de même.
Bracelet jaune