Gounods melodies are just so delightful. He was asked one day by a student " maestro what is the secret to our art" His reply " Melody, Melody is the secret to our art" How true that is. 🎼🎻
Escuchar preciosas voces acompañadas de una deliciosa música y un ambiente propicio para hacer vivir una historia, es siempre un maravilloso regalo, y por lo tanto, un verdadero placer que sólo puede agradecerse en su completo. GRACIAS por compartirlo y hacer así posible gran disfrute. 🍀
Some memories when that production was performed in Paris in 1975, Rolf Liebermann was the director of the Opera and had to face a series of strikes by the stagehands of the house. He decided to resist the problem and whether the sets would be installed or not performances would be given. 6 performances were sheduled between May 31 and June 17 1975. I think only one was given with the sets all the others were staged on bare stage with some planks to create Faust's desk, a rope with bed sheets suspended ; one could see the security firemen in the wings above the huge empty stage. I can't say I like this opera but to please my mother in law we had invited her for one of the performances booking of course quite in advance and not forecasting what would happen. As the curtain rose on the first scene when Faust says 'Rien (nothing)" the whole auditorium burst with laughter! At one time Faust and Margueritte were playing unvoluntarily hide and seek trying to catch a view of each other behind the sheets hanging on the rope, and the worst happened when Faust singing the famous "Salut demeure chaste et pure" went up a few steps facing the left wing and unvoluntarily addressing so to the fireman in post some feet above the stage! This performance was really a replay of the Marx Brothers A night at the opera and I have never so much laughed attending a performance!
Many thanks for your anecdote - my parents were present at one of those unexpectedly minimalist performances and used to fall about laughing telling me about it. But they were quick to add that the audience was won over and in the end it was a triumph. I'd forgot all about this story until I read your posting, so once more - many thanks.
@@douglasmilton2805 You're welcome; there have been some memorable performances of the kind a the Paris opera which I attended. At a Trovatore performance, Royer Soyer performing Ferrando"s part at the first scene, begun singing something looking like Alban Berg's work! Giovaninetti the conductor stopped the orchestra ant they begun again but this time the orchestra did not understand the maestro and part of the musicians took to the first bar while the rest went on after the interruption the whole making a superb cacophony! But one of my most memorable souvenir is with Tosca. The great Gabriel Bacquier was Scarpia and Hana Yanku Tosca; on stage was a large sofa set on the right side of the stage near the wings. When Scarpia finished to write the safe-conduct for Tosca and Cavaradossi, he came to Tosca with the famous phrase: "Tosca alfin e mia" and they both sat on the sofa. We heard a sonorous "crack" and saw Bacquier and Yanku take a splendid lift off directly into the wings while the sofa collapsed! They stopped the performance for a few minutes and later resumed the scene! But it was difficult to stay in the mood of the tragedy afterwards. If you can find it buy the book "great operatic disasters" published in the early 80s by Harry Vickers with an introduction by Peter Ustinov.
Souvenir d'une première avec les débuts de Freni dans un contexte de snobisme, le public de l'Opéra sifflant pour contester le choeur des soldats non triomphant. Mais une réelle réussite de qualité dans l'interprétation/ Renée Auphan entre autre
Heureusement de nos jours le public est plus mélomane et moins snob ! J’ai vu la dernière production du Faust à l’opéra et ils ont eu un triomphe, et perso j’ai trouvé la production sublime , sur tout l’aria final , une métaphore avec la montée au ciel de marguerite ...
@@luciole15 Je ne suis pas certain que le public soit ni plus ni moins snob encore moins certain de ce qu'il soit mélomane car si c'était le cas: 1/ Il ne tolérerait pas les mises en scènes délirantes qu'on nous impose. Olivier Py faisant du grand prêtre d'Aida, le Pape et donnant des mitrailleuses aux soldats; le même dans Mathis le Peintre de Hindemith fourrant des officiers SS et des chars d'assaut dans un opéra qui traite des guerres de religions au XVIe siècle. Le crétin de Florence changeant la fin de Carmen car considérant que la fin avait une connotation macho et donc faisant assassiner Don José par Carmen! et ne parlons pas de la récente Bohème se déroulant dans une station spatiale à Bastille! 2/Par ailleurs le public français n'a aucune curiosité musicale; on doit voir et revoir cent fois les Bohèmes, Tosca, Carmen et autres "tubes" alors qu'il y a tant d'oeuvres qui mériteraient d'être montées. Un vrai mélomane ne se limite pas aux oeuvres bateaux, il essaie de découvrir et d'étendre ses connaissances. Tentez cela en France et vous aurez une salle quasi vide. C'est vrai aussi pour les concerts. Je me souviens d'un soir au TCE avec une salle a moitié vide car on donnait une oeuvre de Busoni et une version peu connue d'une des symphonies de Bruckner et c'était pourtant le Philharmonique de Vienne qui jouait ce soir là! Pour Cardillac de Hindemith à Bastille la salle était loin d'être pleine. j'ai eu des fauteuils d'orchestre à la dernière minute avant le spectacle sans avoir à faire la queue. S'il était mélomane il commencerait par ne pas applaudir avant la fin de la dernière note de musique et quand on a été vraiment pris par une oeuvre et son interprétation on est dans une sorte de brouillard qui fait que vous ne réalisez même pas que le spectacle a pris fin.
@@jvdesuit1ahlala le grand « Opéra de Paris » qui se doit de prétendre toujours être à la pointe de la modernité et de l’innovation à cause de cette étiquette « Paris »…Résultat : catastrophe sur catastrophe. Public d’ignorant applaudissant en effet avant la fin de la musique (on n’est plus dans les années 60-70 les chanteurs peuvent, eux, finir sans qu’on commence à applaudir…), gâchant le plaisir de cette expérience qu’est l’opéra. Pour ce qui est des mises en scène, véritable fléau délabrant cet art de nos jours, il ne faut plus s’en étonner, depuis que les metteurs en scène sont élevés au rang de génie providentiel ayant pour mission de sauver l’opéra d’une prétendue décrépitude comment voulez vous qu’il en soit autrement ! En découle ces non-sens effarant tant le décalage entre l’œuvre originale et la restitution est grand, que vous dénoncez dans votre commentaire. Le mélomane éclairé saura tout de même éviter ces mascarades qui s’annoncent à chaque fois en grande pompe, car le tact et la justesse ne sont ,en effet, pas leurs points forts ! Ceci étant, une curiosité fatale vous pousse parfois dans le piège et alors un véritable cauchemar commence, je pense ici à cet honteux Figaro à la sauce féministe vu à Garnier l’année dernière. Qui donc sauvera l’opéra ?
@@Commanderfoxenjoyer Nous sommes totalement en phase. On vient de massacrer Lohengrin avec des danseuses, des soldats, et le tout dans un asile psychiatrique! Le problême et l'on me taxera de réac, c'est que tout ce petit monde aujourd'hui se targue d'être de gauche; ils oublient d'ajouter "caviar" ce qui fait que DG, chanteurs, chef, décorateur, machinistes sont tous complices, aidés en cela par les médias dans leur grande majorité qui plébiscitent ces monstruosités avec en prime un mélange de snobs membres de certaines assoc leur offrant en salon privé une coupe de champagne et petits fours, et spectateurs incultes qui sont là sans savoir pourquoi. La chaine Medicis vient d'envoyer à ses lecteurs ou abonnés un message pour regarder ce massacre du chef d'oeuvre de Wagner. Sur une chaine en replay on a un p"tit jeunot qui se prend pour un mélomane doublé d'un spectateur d'opéra incapable de voir que la captation de Don Juan qu'il présente a lieu à Garnier et non Bastille! Pauvre Charles à qui on attribue ainsi l'hôpital des quinze vingt transformé en salle de spectacles! Et comme chante le choeur d''Offenbach: " Et pif, et pif, et pif, et paf. Oui, voilà la vie parisienne, Du plaisir à perdre l’haleine, Oui voilà la vie parisienne ! "😄😄😄 Le plaisir ça c'est une autre histoire, en tous cas couteuse au prix des places exigés!
Ce ne sont pas les débuts de Fréni à Garnier; elle fit ses débuts en 1973 (le 30Mars très exactement) au Château de Versailles dans le rôle de Suzanne des Noces dans la production inoubliable de Strehler, décors et costumes de Frigerio dirigé par le grand Solti qui doit se retourner avec ses partenaires dans sa tombe devant les horreurs actuelles! C'était le début de la fabuleuse ére Liebermann insurpassée à ce jour. 7 années de pur bonheur; on se demande ce qu'attend l'INA pour faire restaurer les captations et les mettre sur le marché pour enfin éduquer le public actuel et lui montrer ce que beauté et opéras veulent dire. J'ai encore dans ma bibliothèque le programme réalisé en 1972 pour cette première saison Mars 1973-Juillet 1974.
Not my favourite performance of Faust, but I still like it. The singing part, at least. The theatrical part is very lacking, however, and often doesn't make sense if you do not already know the details of what is supposed to be happening but isn't. For example : Faust and later Mephisto singing about the cup of poison he is holding... but the singer doesn't have any cup, just a vial on the table. Same for the parchment. But worse was the last scene at the bar between the soldiers and Mephisto ("Puisque tu brises nos fers, regarde!"), when the soldiers repel Mephisto after he broke their swords, which doesn't make any sense if you don't know that they are supposed to pick up their broken swords to make crosses with them : you just see them holding swords and singing about broken swords and crosses. And too many other examples like that to count.
Студенти - 24:34; Солдати - 25:37; Городяни - 26:20; Заключний хор - 28:00. «Всі сюди, всі сюди швидше!» - 02:05:36; «Боже, мій!... Він умирає за неї!» - 02:06:51; «Який жорстокий він у годину смерті!-...» - 02:09:16; «Прийми Господь його, і зглянься ти над ним» - 02:11:07.
Didn’t see it . But I went to France with my parents and my brother. Should have seen it if I heard something about it ! Dang it! Do they have it released on video? So I can see it at home during the pandemic?
35:58 Aria O złotym cielcu (Kuplety Mefista). - is there a version by Boris Gmyria?Aria: Złoty Cielec. Faust. Gunod 1.) На земле весь род людской Чтит один кумир священный, Он царит над всей вселенной, Тот кумир - телец златой! В умилении сердечном Прославляя истукан Люди разных каст и стран Пляшут в круге бесконечном Окружая пьедестал, Окружая пьедестал!
Tom Krause is probably the worst Valentin on TH-cam. He sang lots of different parts sometimes as a bass and sometimes as a baritone. He was probably a bass-baritone but not right for the big Wagnerian parts. Here Krause loses focus on the top notes. He sings the rest of the aria fine but everyone else also sings it well and has better top notes. This is an easy aria. I'm a bass but I used to warm up with this. I would never sing it on stage because my top G's are like Krause's - strained and thin.
Gounods melodies are just so delightful. He was asked one day by a student " maestro what is the secret to our art" His reply " Melody, Melody is the secret to our art" How true that is. 🎼🎻
Gedda and Freni: Out of this world singing. In the final trio, Freni surpassed them all with passion and intensity of voice. RIP all of them
Nicolai Gedda is the best Faust ever.His French was excellent and his interpretation really outstanding.
Escuchar preciosas voces acompañadas de una deliciosa música y un ambiente propicio para hacer vivir una historia, es siempre un maravilloso regalo, y por lo tanto, un verdadero placer que sólo puede agradecerse en su completo. GRACIAS por compartirlo y hacer así posible gran disfrute. 🍀
This is wonderful. I heard several versions over the years, this just blows them all away.
Great cast(Freni, Gedda, Krause, etc.)! This is an opera that requires five first-rate singers.
Some memories when that production was performed in Paris in 1975, Rolf Liebermann was the director of the Opera and had to face a series of strikes by the stagehands of the house. He decided to resist the problem and whether the sets would be installed or not performances would be given. 6 performances were sheduled between May 31 and June 17 1975. I think only one was given with the sets all the others were staged on bare stage with some planks to create Faust's desk, a rope with bed sheets suspended ; one could see the security firemen in the wings above the huge empty stage. I can't say I like this opera but to please my mother in law we had invited her for one of the performances booking of course quite in advance and not forecasting what would happen.
As the curtain rose on the first scene when Faust says 'Rien (nothing)" the whole auditorium burst with laughter! At one time Faust and Margueritte were playing unvoluntarily hide and seek trying to catch a view of each other behind the sheets hanging on the rope, and the worst happened when Faust singing the famous "Salut demeure chaste et pure" went up a few steps facing the left wing and unvoluntarily addressing so to the fireman in post some feet above the stage! This performance was really a replay of the Marx Brothers A night at the opera and I have never so much laughed attending a performance!
Many thanks for your anecdote - my parents were present at one of those unexpectedly minimalist performances and used to fall about laughing telling me about it. But they were quick to add that the audience was won over and in the end it was a triumph. I'd forgot all about this story until I read your posting, so once more - many thanks.
@@douglasmilton2805 You're welcome; there have been some memorable performances of the kind a the Paris opera which I attended.
At a Trovatore performance, Royer Soyer performing Ferrando"s part at the first scene, begun singing something looking like Alban Berg's work! Giovaninetti the conductor stopped the orchestra ant they begun again but this time the orchestra did not understand the maestro and part of the musicians took to the first bar while the rest went on after the interruption the whole making a superb cacophony!
But one of my most memorable souvenir is with Tosca. The great Gabriel Bacquier was Scarpia and Hana Yanku Tosca; on stage was a large sofa set on the right side of the stage near the wings. When Scarpia finished to write the safe-conduct for Tosca and Cavaradossi, he came to Tosca with the famous phrase: "Tosca alfin e mia" and they both sat on the sofa. We heard a sonorous "crack" and saw Bacquier and Yanku take a splendid lift off directly into the wings while the sofa collapsed! They stopped the performance for a few minutes and later resumed the scene! But it was difficult to stay in the mood of the tragedy afterwards.
If you can find it buy the book "great operatic disasters" published in the early 80s by Harry Vickers with an introduction by Peter Ustinov.
DIEU🎶💒🎶 ACCUEILLEZ DÉSORMAIS🧸💮💐⛑ DANS VOTRE PARADIS🍋🌺🪅 L'ÂME IMMENSÉMENT CATHOLIQUE🇻🇦🍋🪢🍋🇻🇦 de Charles GOUNOD ❤🌺🌸🌿🌿🥰🎶🇻🇦💒🇨🇵✒📃📚🎶🍋🌸💐🎶🦁🪅⛑✒📚✝️🌸🙋♂️!!!
Souvenir d'une première avec les débuts de Freni dans un contexte de snobisme, le public de l'Opéra sifflant pour contester le choeur des soldats non triomphant. Mais une réelle réussite de qualité dans l'interprétation/ Renée Auphan entre autre
Heureusement de nos jours le public est plus mélomane et moins snob ! J’ai vu la dernière production du Faust à l’opéra et ils ont eu un triomphe, et perso j’ai trouvé la production sublime , sur tout l’aria final , une métaphore avec la montée au ciel de marguerite ...
@@luciole15 Je ne suis pas certain que le public soit ni plus ni moins snob encore moins certain de ce qu'il soit mélomane car si c'était le cas:
1/ Il ne tolérerait pas les mises en scènes délirantes qu'on nous impose. Olivier Py faisant du grand prêtre d'Aida, le Pape et donnant des mitrailleuses aux soldats; le même dans Mathis le Peintre de Hindemith fourrant des officiers SS et des chars d'assaut dans un opéra qui traite des guerres de religions au XVIe siècle. Le crétin de Florence changeant la fin de Carmen car considérant que la fin avait une connotation macho et donc faisant assassiner Don José par Carmen! et ne parlons pas de la récente Bohème se déroulant dans une station spatiale à Bastille!
2/Par ailleurs le public français n'a aucune curiosité musicale; on doit voir et revoir cent fois les Bohèmes, Tosca, Carmen et autres "tubes" alors qu'il y a tant d'oeuvres qui mériteraient d'être montées. Un vrai mélomane ne se limite pas aux oeuvres bateaux, il essaie de découvrir et d'étendre ses connaissances. Tentez cela en France et vous aurez une salle quasi vide. C'est vrai aussi pour les concerts. Je me souviens d'un soir au TCE avec une salle a moitié vide car on donnait une oeuvre de Busoni et une version peu connue d'une des symphonies de Bruckner et c'était pourtant le Philharmonique de Vienne qui jouait ce soir là! Pour Cardillac de Hindemith à Bastille la salle était loin d'être pleine. j'ai eu des fauteuils d'orchestre à la dernière minute avant le spectacle sans avoir à faire la queue.
S'il était mélomane il commencerait par ne pas applaudir avant la fin de la dernière note de musique et quand on a été vraiment pris par une oeuvre et son interprétation on est dans une sorte de brouillard qui fait que vous ne réalisez même pas que le spectacle a pris fin.
@@jvdesuit1ahlala le grand « Opéra de Paris » qui se doit de prétendre toujours être à la pointe de la modernité et de l’innovation à cause de cette étiquette « Paris »…Résultat : catastrophe sur catastrophe. Public d’ignorant applaudissant en effet avant la fin de la musique (on n’est plus dans les années 60-70 les chanteurs peuvent, eux, finir sans qu’on commence à applaudir…), gâchant le plaisir de cette expérience qu’est l’opéra. Pour ce qui est des mises en scène, véritable fléau délabrant cet art de nos jours, il ne faut plus s’en étonner, depuis que les metteurs en scène sont élevés au rang de génie providentiel ayant pour mission de sauver l’opéra d’une prétendue décrépitude comment voulez vous qu’il en soit autrement ! En découle ces non-sens effarant tant le décalage entre l’œuvre originale et la restitution est grand, que vous dénoncez dans votre commentaire. Le mélomane éclairé saura tout de même éviter ces mascarades qui s’annoncent à chaque fois en grande pompe, car le tact et la justesse ne sont ,en effet, pas leurs points forts ! Ceci étant, une curiosité fatale vous pousse parfois dans le piège et alors un véritable cauchemar commence, je pense ici à cet honteux Figaro à la sauce féministe vu à Garnier l’année dernière. Qui donc sauvera l’opéra ?
@@Commanderfoxenjoyer Nous sommes totalement en phase. On vient de massacrer Lohengrin avec des danseuses, des soldats, et le tout dans un asile psychiatrique! Le problême et l'on me taxera de réac, c'est que tout ce petit monde aujourd'hui se targue d'être de gauche; ils oublient d'ajouter "caviar" ce qui fait que DG, chanteurs, chef, décorateur, machinistes sont tous complices, aidés en cela par les médias dans leur grande majorité qui plébiscitent ces monstruosités avec en prime un mélange de snobs membres de certaines assoc leur offrant en salon privé une coupe de champagne et petits fours, et spectateurs incultes qui sont là sans savoir pourquoi. La chaine Medicis vient d'envoyer à ses lecteurs ou abonnés un message pour regarder ce massacre du chef d'oeuvre de Wagner. Sur une chaine en replay on a un p"tit jeunot qui se prend pour un mélomane doublé d'un spectateur d'opéra incapable de voir que la captation de Don Juan qu'il présente a lieu à Garnier et non Bastille! Pauvre Charles à qui on attribue ainsi l'hôpital des quinze vingt transformé en salle de spectacles! Et comme chante le choeur d''Offenbach: "
Et pif, et pif, et pif, et paf.
Oui, voilà la vie parisienne,
Du plaisir à perdre l’haleine,
Oui voilà la vie parisienne ! "😄😄😄 Le plaisir ça c'est une autre histoire, en tous cas couteuse au prix des places exigés!
Ce ne sont pas les débuts de Fréni à Garnier; elle fit ses débuts en 1973 (le 30Mars très exactement) au Château de Versailles dans le rôle de Suzanne des Noces dans la production inoubliable de Strehler, décors et costumes de Frigerio dirigé par le grand Solti qui doit se retourner avec ses partenaires dans sa tombe devant les horreurs actuelles! C'était le début de la fabuleuse ére Liebermann insurpassée à ce jour. 7 années de pur bonheur; on se demande ce qu'attend l'INA pour faire restaurer les captations et les mettre sur le marché pour enfin éduquer le public actuel et lui montrer ce que beauté et opéras veulent dire. J'ai encore dans ma bibliothèque le programme réalisé en 1972 pour cette première saison Mars 1973-Juillet 1974.
J'aime beaucoup Nicolai Gedda dans ce rôle difficile.
Bravo super music opera genial fantastic grandiose
I totally agree. I think that this Opera is underrated considering it’s beautiful music. It should be on the “A” list of performances.
Quel bel opéra français !
Amazing, thank you for downloading
Not my favourite performance of Faust, but I still like it. The singing part, at least. The theatrical part is very lacking, however, and often doesn't make sense if you do not already know the details of what is supposed to be happening but isn't. For example : Faust and later Mephisto singing about the cup of poison he is holding... but the singer doesn't have any cup, just a vial on the table. Same for the parchment. But worse was the last scene at the bar between the soldiers and Mephisto ("Puisque tu brises nos fers, regarde!"), when the soldiers repel Mephisto after he broke their swords, which doesn't make any sense if you don't know that they are supposed to pick up their broken swords to make crosses with them : you just see them holding swords and singing about broken swords and crosses. And too many other examples like that to count.
Rather ridiculous criticisms of an innovative staging, allowing the opera to break out of its conventional shackles ...
@Pierre-Henri VINAY breaking conventional in the eyes of some, lazy production for others. It's a matter of opinion and taste.
Don't get upset. It's just chest thumping. The writer wants to impress us with his familiarity of the opera. @@pierre-henrivinay438
Hermosa obra maestra de C. Gounod
Porqué razón en la mayoría de las representaciones se omite la noche de wualpurgis?
(...) ἐξὸν ποὺ εἶναι ἔξοχη ὄπερα, ἀποτελεῖ καὶ σπουδαία ἐκτέλεση. Μοῦ θυμίζει καὶ τὰ χρόνια πού, μετὰ τὴν Δραματικὴ Σχολή, ἔτρεχα στὸ σπίτι νὰ προλάβω τὴν Ὄπερα στὸ Γ΄ καὶ νὰ τὴν ἀντιγράψω σὲ κασέτα. Θεέ μου, τί θησαυροὺς μάζεψα καὶ ἄκουσα ἀπὸ τὸ ἀγαπημένο Γ΄, τὸν μόνο σταθμὸ ποὺ ἔχουν γνωρίσει τὰ ραδιόφωνά μου!...(...).
Студенти - 24:34;
Солдати - 25:37;
Городяни - 26:20;
Заключний хор - 28:00.
«Всі сюди, всі сюди швидше!» - 02:05:36;
«Боже, мій!... Він умирає за неї!» - 02:06:51;
«Який жорстокий він у годину смерті!-...» - 02:09:16;
«Прийми Господь його, і зглянься ти над ним» - 02:11:07.
Amazing Opera!😃❤👍
from PERSIA with Passion
Didn’t see it . But I went to France with my parents and my brother. Should have seen it if I heard something about it ! Dang it! Do they have it released on video? So I can see it at home during the pandemic?
ugh too late it was airing tonight on channel 5 maybe there is replay
Theme taken by 'Lassie" in early seasons of the 50s TV show. Everything old is new again.
35:58 Aria O złotym cielcu (Kuplety Mefista). - is there a version by Boris Gmyria?Aria: Złoty Cielec. Faust. Gunod
1.)
На земле весь род людской
Чтит один кумир священный,
Он царит над всей вселенной,
Тот кумир - телец златой!
В умилении сердечном
Прославляя истукан
Люди разных каст и стран
Пляшут в круге бесконечном
Окружая пьедестал,
Окружая пьедестал!
Un chef d'oeuvre de grandiloquence poussiéreuse; mais ça vaut au moins pour la musique et la prestation des artistes😜
C'est Jean-Louis Soumagnas
1:51:10
That moment when Valentin puts our more sound than Mephistopheles.
I don't understand . . . why is there a girl playing hopscotch in the last scene?
In France in the hopscotch game you go from earth to heaven. That's the symbol of the Marguerite soul going to paradise
Minute 57.00 Salutè
Tom Krause is probably the worst Valentin on TH-cam. He sang lots of different parts sometimes as a bass and sometimes as a baritone. He was probably a bass-baritone but not right for the big Wagnerian parts.
Here Krause loses focus on the top notes. He sings the rest of the aria fine but everyone else also sings it well and has better top notes. This is an easy aria. I'm a bass but I used to warm up with this. I would never sing it on stage because my top G's are like Krause's - strained and thin.
Big guy, you need to see an ear doctor or a shrink.
TOO Fuzzy NOT watchable!
Mort de Valentin 02:05:35
52:35
Terrible orchestra and chorus, terrible Soyer. Freni and Gedda pretty good, Krause excellent.
Affreuse production