Votre reprise est divine, Mademoiselle. Votre voix, sur le fil de l'émotion, nous touche par sa douceur et sa fragilité. Vous avez sublimé cette superbe chanson de Barbara, lui rendant ainsi un bel hommage dont elle serait fière. Un grand merci à vous.
Un joli texte sur l'égoïsme du cœur humain qui a peur d'aimer et de souffrir les affres de l'amour.A t-elle vraiment aimé celle qui a écrit ce texte? Rien n'est moins sur! Qui aime vraiment se défie de cette élucubration esthétique.
Vous êtes d'une dureté ! C'est sans doute parce qu'elle savait aimer qu'elle a pu écrire une chanson pareille. Une lecture et une écoute à croiser avec cette chanson-là : th-cam.com/video/7ey61JKO2ow/w-d-xo.html
C'est parce que ton épaule à mon épaule Ta bouche à mes cheveux Et ta main sur mon cou C'est parce que dans mes reins Quand ton souffle me frôle C'est parce que tes mains C'est parce que joue à joue C'est parce qu'au matin C'est parce qu'à la nuit Quand tu dis "viens", je viens Tu souris, je souris C'est parce qu'ici ou là Dans un autre pays Pourvu que tu y sois C'est aussi mon pays C'est parce que je t'aime Que je préfère m'en aller Car il faut savoir se quitter Avant que ne meure le temps d'aimer C'est parce que j'ai peur de voir s'endeuille Les minutes, les heures, les secondes passées C'est parce que je sais qu'il faut un presque rien Pour défaire une nuit et se perdre au matin Je ne laisserai pas pencher sur notre lit Ni l'ombre d'un regret, ni l'ombre d'un ennui Je ne laisserai pas mourir au fils de jours Ce qui fut toi et moi, ce qui fut notre amour Il ne sera jamais emporté par le temps Je l'emporte moi-même, il restera vivant Oh laisse-moi, oui je t'aime Mais je préfère m'en aller Car il faut savoir se quitter Avant que ne meure le temps d'aimer J'en ai vu, comme nous, qui allaient à pas lents Et portaient leur amour comme on porte un enfant J'en ai vu, comme nous, qui allaient à pas lents Et tombaient à genoux, dans le soir finissant Je les ai retrouvés, furieux et combattants Comme deux loups blessés, que sont-ils maintenant Ça je ne veux pas, je t'aime Je ne veux pas nous déchirer C'est mieux, crois-moi, de nous quitter Avant que ne meure le temps d'aimer C'est mieux, bien mieux, de nous quitter Avant que ne meure le temps d'aimer
Votre reprise est divine, Mademoiselle. Votre voix, sur le fil de l'émotion, nous touche par sa douceur et sa fragilité. Vous avez sublimé cette superbe chanson de Barbara, lui rendant ainsi un bel hommage dont elle serait fière. Un grand merci à vous.
Mon soleil d'amour
Quel belle chanson sur l’égoïsme du cœur.
Un joli texte sur l'égoïsme du cœur humain qui a peur d'aimer et de souffrir les affres de l'amour.A t-elle vraiment aimé celle qui a écrit ce texte? Rien n'est moins sur! Qui aime vraiment se défie de cette élucubration esthétique.
Vous êtes d'une dureté ! C'est sans doute parce qu'elle savait aimer qu'elle a pu écrire une chanson pareille. Une lecture et une écoute à croiser avec cette chanson-là : th-cam.com/video/7ey61JKO2ow/w-d-xo.html
tu as une voix fantastique doublée d'une prestance unique
barbara sei di ritorno! grazie !daphné
Perfecte! És genial aquesta aportació. Merci!
C'est parce que ton épaule à mon épaule
Ta bouche à mes cheveux
Et ta main sur mon cou
C'est parce que dans mes reins
Quand ton souffle me frôle
C'est parce que tes mains
C'est parce que joue à joue
C'est parce qu'au matin
C'est parce qu'à la nuit
Quand tu dis "viens", je viens
Tu souris, je souris
C'est parce qu'ici ou là
Dans un autre pays
Pourvu que tu y sois
C'est aussi mon pays
C'est parce que je t'aime
Que je préfère m'en aller
Car il faut savoir se quitter
Avant que ne meure le temps d'aimer
C'est parce que j'ai peur de voir s'endeuille
Les minutes, les heures, les secondes passées
C'est parce que je sais qu'il faut un presque rien
Pour défaire une nuit et se perdre au matin
Je ne laisserai pas pencher sur notre lit
Ni l'ombre d'un regret, ni l'ombre d'un ennui
Je ne laisserai pas mourir au fils de jours
Ce qui fut toi et moi, ce qui fut notre amour
Il ne sera jamais emporté par le temps
Je l'emporte moi-même, il restera vivant
Oh laisse-moi, oui je t'aime
Mais je préfère m'en aller
Car il faut savoir se quitter
Avant que ne meure le temps d'aimer
J'en ai vu, comme nous, qui allaient à pas lents
Et portaient leur amour comme on porte un enfant
J'en ai vu, comme nous, qui allaient à pas lents
Et tombaient à genoux, dans le soir finissant
Je les ai retrouvés, furieux et combattants
Comme deux loups blessés, que sont-ils maintenant
Ça je ne veux pas, je t'aime
Je ne veux pas nous déchirer
C'est mieux, crois-moi, de nous quitter
Avant que ne meure le temps d'aimer
C'est mieux, bien mieux, de nous quitter
Avant que ne meure le temps d'aimer
Aie, aie aie...
manque de profondeur...