Ca n'est pas si vieux, et pourtant quel plaisir que ce langage, du beau français, sans mot familier, ce qui est une époque bien révolu maintenant qu'on peut dire "pu...." à tout va à la télé et à la radio.... :-((
La violence...déjà en 1982 et ça n a fait qu empirer depuis 40 ans, il faut voir la triste réalité aujourd'hui. On a le monde qu on mérite il paraît...
Je ne me souviens pas du tout de cet épisode. C'est le personnage de Joëlle Mazart, celui d'une assistante sociale idéaliste, toujours au service des élèves dans un lycée qui nous avait plu. Que voulez vous ? On y croyait encore aux bons sentiments ! Et on ne trouvait pas cela ridicule, bien au contraire ! 😊😊😊
Oui les violences dont parle le réalisateur sont celles de l'été 1981, qui furent extrêmement violentes mais passées sous silence par le pouvoir et donc les médias de l'epoque.
Même si le cinéma ou télévision française a encore du boulot niveau représentation des minorités on revient quand même de loin. Donc à cette époque là pour donner des rôles de délinquant donc en gros négatif à des acteurs français d’origine afro descendants la porte était grande ouverte. Mais par contre quand il s’agissait de sortir un petit peu de ces stéréotypes à deux balles et leurs donner des rôles normaux de monsieur et madame tout le monde bizarrement ça bégayer fort.
1 serie qui collait au plus près de la réalité. Simple efficace.
Series culte vraiment. J’adorais Pause Café quand j’étais enfant.
Ca n'est pas si vieux, et pourtant quel plaisir que ce langage, du beau français, sans mot familier, ce qui est une époque bien révolu maintenant qu'on peut dire "pu...." à tout va à la télé et à la radio.... :-((
La violence...déjà en 1982 et ça n a fait qu empirer depuis 40 ans, il faut voir la triste réalité aujourd'hui. On a le monde qu on mérite il paraît...
J'adore revisionnée les séries lié au personnage de Joëlle Mazart,mais pas que ^^
Très intéressant bien qu'un peu court.
Je ne me souviens pas du tout de cet épisode. C'est le personnage de Joëlle Mazart, celui d'une assistante sociale idéaliste, toujours au service des élèves dans un lycée qui nous avait plu. Que voulez vous ? On y croyait encore aux bons sentiments ! Et on ne trouvait pas cela ridicule, bien au contraire ! 😊😊😊
Deja on parlait de la violence des banlieues.
Oui les violences dont parle le réalisateur sont celles de l'été 1981, qui furent extrêmement violentes mais passées sous silence par le pouvoir et donc les médias de l'epoque.
Même si le cinéma ou télévision française a encore du boulot niveau représentation des minorités on revient quand même de loin. Donc à cette époque là pour donner des rôles de délinquant donc en gros négatif à des acteurs français d’origine afro descendants la porte était grande ouverte. Mais par contre quand il s’agissait de sortir un petit peu de ces stéréotypes à deux balles et leurs donner des rôles normaux de monsieur et madame tout le monde bizarrement ça bégayer fort.