Couplet : J’viens d’là où la lumière brille qu’au fond d’la bouteille, Où les anges se cachent, les démons font le réveil. Regarde la rue, c’est l’jungle, chacun veut sa couronne, Chacun veut sa place, quitte à jouer les bourreaux sans trône. On a des rêves qui s’éteignent, des regards vidés, Des cicatrices pleines d’rage sous les vestes trouées. L’amour, ça coûte cher, ici ça s’compte qu’en dettes, Dans un monde en noir et gris, où tout s’achète en cachette. On s’échange des promesses comme des billets froissés, Mais le respect, frangin, ça finit vite par s’briser. Y a qu’les murs qui m’écoutent, et les bouteilles vides, J’raconte mes erreurs comme des cartes à jouer au pif. On s’élève dans le vide, sans parachute, Le succès, c’est le piège où chacun veut sa chute. Y a des frères qui sont là, d’autres partis trop tôt, J’vois leurs ombres dans les coins, où l’espoir se fait rare et faux. Les regrets dans l’fond d’la tête comme des fantômes, On s’éloigne d’c’qui brille, on finit seuls dans l’syndrome. J’vois l’passé qui m’suit, comme une ombre qui traîne, Mais j’repousse les rumeurs, quitte à briser les chaînes. J’ai trop d’choses en tête, j’me noie dans le silence, J’cherche la paix dans un monde où tout n’est qu’violence. Chaque pas m’éloigne, mais chaque pas m’ramène, À des souvenirs d’cauchemar qui refont surface, m’entraînent. On s’invente des rêves pour combler l’vide d’l’âme, La rue m’a écorché, ici les saints n’ont pas d’charme. C’est chacun pour soi, les alliés sont volatiles, On s’traîne dans des vies où l’espoir s’évapore, si fragile. Les poches vides, l’cœur aussi, mais on rêve de trônes, Les regards glacés, les sourires deviennent les clones. Et si j’écris c’est pour briser le silence épais, Des rues où le respect s’perd et les prières s’achètent en paix. Ici on brille dans l’ombre, la lumière est rare, On grimpe sur nos failles, même si ça laisse des cicatrices noires. Chaque ligne est une plaie, chaque mot une cicatrice, Un reflet d’la rue, là où la paix reste un caprice. Ce texte joue sur la tension, la dureté de la rue et la solitude, dans le style propre à Werenoi.
@@NehziaS c’est des rappeur frero et ils découvrent maintenant qu'ils peuvent acheté une prod en cliquant sur un lien ?? Ahhhh qu'ils aillent se faire soulever par un nain aux yeux bleu
Tu es toujours au top !!!!’n
Papapaaaaa incroyable la melo fro
Tu regales🫶
Ce genre 💯💯
merci bg
C fort 💯🔥
Merci 🫶
C'est grave propre t'es une machine
merci frerot
t'es vraiment trop fort pour ce game
Incroyable
mercii
C’est fort 💪🏾
A quand une autre ven1 type beat ?
j'avoue je vais en faire alors
Couplet :
J’viens d’là où la lumière brille qu’au fond d’la bouteille,
Où les anges se cachent, les démons font le réveil.
Regarde la rue, c’est l’jungle, chacun veut sa couronne,
Chacun veut sa place, quitte à jouer les bourreaux sans trône.
On a des rêves qui s’éteignent, des regards vidés,
Des cicatrices pleines d’rage sous les vestes trouées.
L’amour, ça coûte cher, ici ça s’compte qu’en dettes,
Dans un monde en noir et gris, où tout s’achète en cachette.
On s’échange des promesses comme des billets froissés,
Mais le respect, frangin, ça finit vite par s’briser.
Y a qu’les murs qui m’écoutent, et les bouteilles vides,
J’raconte mes erreurs comme des cartes à jouer au pif.
On s’élève dans le vide, sans parachute,
Le succès, c’est le piège où chacun veut sa chute.
Y a des frères qui sont là, d’autres partis trop tôt,
J’vois leurs ombres dans les coins, où l’espoir se fait rare et faux.
Les regrets dans l’fond d’la tête comme des fantômes,
On s’éloigne d’c’qui brille, on finit seuls dans l’syndrome.
J’vois l’passé qui m’suit, comme une ombre qui traîne,
Mais j’repousse les rumeurs, quitte à briser les chaînes.
J’ai trop d’choses en tête, j’me noie dans le silence,
J’cherche la paix dans un monde où tout n’est qu’violence.
Chaque pas m’éloigne, mais chaque pas m’ramène,
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On s’invente des rêves pour combler l’vide d’l’âme,
La rue m’a écorché, ici les saints n’ont pas d’charme.
C’est chacun pour soi, les alliés sont volatiles,
On s’traîne dans des vies où l’espoir s’évapore, si fragile.
Les poches vides, l’cœur aussi, mais on rêve de trônes,
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Et si j’écris c’est pour briser le silence épais,
Des rues où le respect s’perd et les prières s’achètent en paix.
Ici on brille dans l’ombre, la lumière est rare,
On grimpe sur nos failles, même si ça laisse des cicatrices noires.
Chaque ligne est une plaie, chaque mot une cicatrice,
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Ce texte joue sur la tension, la dureté de la rue et la solitude, dans le style propre à Werenoi.
C’est toi ?
Elle est à combien la prod?
@@aidarakebe9787 va sur le lien d’achat en description
Ça te cassé les couilles de cliquer sur le lien ??
@@9SweetMusic tkt y’en a ils savent pas c’est pas de leurs faute
@@NehziaS c’est des rappeur frero et ils découvrent maintenant qu'ils peuvent acheté une prod en cliquant sur un lien ?? Ahhhh qu'ils aillent se faire soulever par un nain aux yeux bleu
@@9SweetMusic ptdrr t fort 🤣🤣
Chockbar
🩷
N