C'est là que j'ai passé les 25 premières années de ma vie : d'abord rue Auguste Javaux au n° 6 ( de 1946 - ma naissance - et ensuite, de 1952 à 1972, rue Joseph Dejardin au n° 74. Que de fois gravir le Thier de la Chartreuse , que de fois le dévaler. Que de fois gravir le Thier du Bouhay, que de fois le dévaler. Les Petites Soeurs des pauvres au milieu du Thier de la Chartreuse, la grande porte en fer peinte en vert , une petite ouverture comme une boîte aux lettres et cette inscription : " Dieu bénit la main qui dépose une obole ".
Consternant...J'y ai fait mon service militaire en 1979 et 1980. C'est à pleurer. Bon mais il me semble quand même qu'il y avait un bâtiment reconnu pour avoir hébergé Napoléon. N'était-il pas classé aussi ?
Nul besoin de nouveaux logements bourgeois à Liège. Stop à la gentrification! La ville a besoin de logements à prix décents (et à faible consommation énergétique) qui ne soient plus réservés à une élite jeune et friquée. On manque de logements sociaux! La ville s'honorerait de, à la fois préserver une partie du bâtiment (pour le souvenir), construire du neuf /durable / accessible financièrement et garder une bonne part de nature.
On a vu ce que deviennent les logements sociaux. Des dépotoirs, oeuvre de ses occupants. Les zadistes sont juste des parasites qui crache sur l'état mais qui courent ventre à terre chaque mois pour aller encaisser les aides de l'état.
"Liège, ma ville" est une source d'inspiration et d'apprentissage dont je ne me lasse pas. Aujourd'hui j'ai appris un nouveau mot: les zadistes" ! Issu du concept de "Zone A Défendre" est un néologisme qui définit une forme de squat à vocation politique. Polémique intéressante car d'un côté une société Matexi affichant une éthique résolument moderne avec un projet de réhabilitation sérieux, voire luxueux, ce qui ne plait pas à tout le monde et de l'autre nos zadistes qui voudraient pouvoir librement squatter une zone où la nature a repris ses droits; enfin disent-ils car il me semble que la nature a bel et bien réinvestit nos villes. Une chose est sûre : l'endroit est une poubelle à ciel ouvert, les dégradations infligées aux bâtiments irréversibles. C'est, le crépuscule venu, le rendez-vous de tous les junkies. On ne compte plus les seringues jonchant le sol. En un mot un coupe-gorge à éviter. Entre ces deux propositons le monde politique qui joue l'arbitre, ce qui trop souvent débouche sur des copinages véreux trop présents au sein de notre classe politique wallonne et singulièrement du bassin liégeois. Laissons pourrir l'affaire durant quelques temps, les retombées n'en seront que plus juteuses. Mis à part ceci, j'étais persuadé que les colonnes de l'opéra royal provenaient de l'ancienne cathédrale. J'ignorais que les assises de la citadelle hollandaise étaient les pierres de la cathédrale Saint Lambert.
C'est là que j'ai passé les 25 premières années de ma vie : d'abord rue Auguste Javaux au n° 6 ( de 1946 - ma naissance - et ensuite, de 1952 à 1972, rue Joseph Dejardin au n° 74. Que de fois gravir le Thier de la Chartreuse , que de fois le dévaler. Que de fois gravir le Thier du Bouhay, que de fois le dévaler. Les Petites Soeurs des pauvres au milieu du Thier de la Chartreuse, la grande porte en fer peinte en vert , une petite ouverture comme une boîte aux lettres et cette inscription : " Dieu bénit la main qui dépose une obole ".
Consternant...J'y ai fait mon service militaire en 1979 et 1980. C'est à pleurer.
Bon mais il me semble quand même qu'il y avait un bâtiment reconnu pour avoir hébergé Napoléon. N'était-il pas classé aussi ?
Nul besoin de nouveaux logements bourgeois à Liège. Stop à la gentrification!
La ville a besoin de logements à prix décents (et à faible consommation énergétique) qui ne soient plus réservés à une élite jeune et friquée. On manque de logements sociaux!
La ville s'honorerait de, à la fois préserver une partie du bâtiment (pour le souvenir), construire du neuf /durable / accessible financièrement et garder une bonne part de nature.
Vous avez tout dit.
On a vu ce que deviennent les logements sociaux. Des dépotoirs, oeuvre de ses occupants.
Les zadistes sont juste des parasites qui crache sur l'état mais qui courent ventre à terre chaque mois pour aller encaisser les aides de l'état.
"Liège, ma ville" est une source d'inspiration et d'apprentissage dont je ne me lasse pas. Aujourd'hui j'ai appris un nouveau mot: les zadistes" ! Issu du concept de "Zone A Défendre" est un néologisme qui définit une forme de squat à vocation politique. Polémique intéressante car d'un côté une société Matexi affichant une éthique résolument moderne avec un projet de réhabilitation sérieux, voire luxueux, ce qui ne plait pas à tout le monde et de l'autre nos zadistes qui voudraient pouvoir librement squatter une zone où la nature a repris ses droits; enfin disent-ils car il me semble que la nature a bel et bien réinvestit nos villes. Une chose est sûre : l'endroit est une poubelle à ciel ouvert, les dégradations infligées aux bâtiments irréversibles. C'est, le crépuscule venu, le rendez-vous de tous les junkies. On ne compte plus les seringues jonchant le sol. En un mot un coupe-gorge à éviter. Entre ces deux propositons le monde politique qui joue l'arbitre, ce qui trop souvent débouche sur des copinages véreux trop présents au sein de notre classe politique wallonne et singulièrement du bassin liégeois. Laissons pourrir l'affaire durant quelques temps, les retombées n'en seront que plus juteuses. Mis à part ceci, j'étais persuadé que les colonnes de l'opéra royal provenaient de l'ancienne cathédrale. J'ignorais que les assises de la citadelle hollandaise étaient les pierres de la cathédrale Saint Lambert.
Eh oui, on essaie d'en dire le plus... Dans un format court. Pas facile d'intéresser les gens à leur propre histoire.