Air de Lia - L’enfant prodigue - Debussy - Iris Hendrickx - Patrick Fournillier - La Verdi

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  • เผยแพร่เมื่อ 25 พ.ย. 2024
  • Aria of Lia from L' enfant prodigue (Debussy)
    Soprano: Iris Hendrickx
    Conductor: Patrick Fournillier
    Orchestra sinfonica di Milano Giuseppe Verdi
    Auditorium Milano
    Centaur Records
    Film by Motormusic
    From L’enfant prodigue (1884)
    Scène lyrique (cantata) in 1 act
    Score: Claude Debussy (1862-1918)
    Libretto: Édouard Guinand (1838-1909?)
    Premiere: 27 June 1884, Académie des Beaux Arts, Paris
    Lia: Rose Caron (1857-1930)

ความคิดเห็น • 2

  • @Acoustic-Rabbit-Hole
    @Acoustic-Rabbit-Hole 8 วันที่ผ่านมา

    It's so orchestral. Like for a film score. Parts of it seemed like Prokofiev. The year was 1884, and it's amazing how Debussy was getting this sound at the tender age of 22. He had not yet written his ground-breaking "Prelude to the afternoon of a faun." Sergei Prokofiev would move to Paris in 1922 not long after Debussy's death. Debussy's revolution changed the mindset of composers. But I seems like this is the direct explanation how Prokofiev often extreme sound. As if pushing the boundaries at all times.

  • @Danielasun731
    @Danielasun731 9 หลายเดือนก่อน

    L'année en vain chasse l'année!
    A chaque saison ramenée,
    Leurs jeux et leurs ébats m'attristent malgré moi:
    Ils rouvrent ma blessure et mon chagrin s'accroît...
    Je viens chercher la grève solitaire...
    Douleur involontaire!
    Efforts superflus!
    Lia pleure toujours l'enfant qu'elle n'a plus!...
    Azaël! Azaël! Pourquoi m'as-tu quittée?...
    En mon coeur maternel ton image est restée.
    Azaël! Azaël! Pourquoi m'as-tu quittée?...
    Cependant les soirs étaient doux,
    Dans la plaine d'ormes plantée,
    Quand, sous la charge récoltée,
    On ramenait les grands boeufs roux.
    Lorsque la tâche était finie,
    Enfants, vieillards et serviteurs,
    Ouvriers des champs ou pasteurs,
    Louaient, de Dieu la main bénie;
    Ainsi les jours suivaient les jours
    Et dans la pieuse famille,
    Le jeune homme et la jeune fille
    Echangeaient leurs chastes amours.
    D'autres ne sentent pas le poids de la vieillesse, -
    Heureux dans leurs enfants,
    Ils voient couler les ans,
    Sans regret comme sans tristesse...
    Aux coeurs inconsolés que les temps sont pesants!...
    Azaël! Pourquoi m'as-tu quittée?...