Un ancien gendarme, a pu démontrer que Patrick Dils avait été innocenté du double meurtre de Montigny-lès-Metz, car il avait été constaté que le mode opératoire correspondait à celui de Francis H… : pantalon baissé d’une des deux victimes sans une trace de viol (c’est la signature la plus flagrante de Francis H.). Il avait déjà tué quelqu’un à coups de pierres avant d’assassiner les deux jeunes enfants, à Montigny, de la même façon. Francis H., a décrit les lieux du crime avec précision, tout en indiquant un chemin qui conduit aux corps des deux victimes et que nul n’avait vraiment décrit jusqu’alors (l’ancien gendarme Jean-François Abgrall. Dans la tête du tueur, éd Albin Michel 2002). Francis H., a vu les deux cadavres de Montigny, il a avoué aussi avoir bougé un corps, avant de se rétracter. Aux procès de Francis H… le colonel de la gendarmerie Virolet, a affirmé que, de manière informelle, Francis H… lui avait avoué avoir tué deux enfants à coups de pierres avant de se rétracter (www.ledauphine.com france-monde du 12 mai 2017, idem dans le journal du Dauphiné Libéré : article écrit en entier le 12/05/2017). Dans ce même compte rendu, un compagnon de cellule déclare avoir eu des confidences de Francis H… avec lettre à l’appui. Le journal en a retranscrit un extrait. L’écriture est enfantine et mal orthographiée. Francis H., reconnaît bien avoir écrit cette lettre concernant l’affaire de Montigny. Ce courrier émane de lui, c'est certain puisque l’autre détenu se trouvait dans une autre prison, souligne M. Steffanusque. Pour moi, il est probable que ce sont des aveux. Compte rendu du procès de Francis H. (republicain-lorrain-fr/actualité /2017/05/17), du 17 mai 2017 : un autre codétenu explique que, Francis H., lui a confié : j’ai baissé le froc du plus grand. Ce détail qui existe, n’était jamais paru dans la presse. Pour moi, cela veut dire que ces propos ne sont probablement pas mensongers. Toujours dans l’affaire de Montigny, un autre gendarme est venu témoigner que des excréments avaient été retrouvés près des deux petits corps. Les scellés ne sont plus là. Dans une autre affaire, Francis H… avait fait ses besoins à côté de sa victime (10 éléments de la signature du tueur. Par Stéphane Durand-Souffland, publié le 10 mai 2017, www.lefigaro.fr) : compte rendu du procès. La maman du petit Cyril reconnaît aujourd’hui, que Francis H., est bien coupable dans la terrible affaire de Montigny. Pour elle, il est l’assassin de son fils. Sur une des deux victimes de Montigny, une cordelette a bien été retrouvée, entre les jambes de l’enfant : une légère marque a été retrouvée sur son cou. Francis H… avait souvent des cordelettes sur lui et il a commis des étranglements. Francis H… travaillait à 400 mètres des lieux du crime et le jour du drame, il a été vu avec le visage plein de sang par deux pêcheurs. À l’époque, les 2 hommes n’avaient pas fait de lien avec le crime, car ils ne connaissaient pas le parcours de Francis H… Le tueur a reconnu que les pêcheurs l’ont vu avec du sang, sur le visage, tout en prétextant qu’il s’était blessé à la tête en tombant. Patrick Dils n’a pas pu imiter la façon de tuer de Francis H., puisqu’à l’époque ce mode opératoire n’était pas connu du public. Le temps a été trop court pour que Dils puisse commettre le double meurtre par rapport au lieu où il était plusieurs minutes auparavant. Dans des cas similaires, des personnes ont été innocentées malgré des aveux de culpabilité au préalable (voir à titre, les exemples des pages 105, 106, 107 de mon livre). Après avoir fait quinze ans de prison, Patrick Dils a été innocenté à juste titre, et Francis H… condamné pour le double meurtre de Montigny-lèsMetz et cela a été confirmé en appel. Dans le 1er crime, Francis H… affirme qu’un homme nommé Henri L, l’avait consolé. Dans l’affaire de Montignylès-Metz on trouve également un Henri L, qui avait avoué le crime avant de se rétracter et être mis hors de cause. Francis H., donne toujours des éléments supplémentaires en se référant à une autre affaire où il est également impliqué. Francis H., affirme que les deux victimes de Montigny, jetaient des pierres sur les passants : une greffière explique à Jean François Abdgrall, qu’il y a des témoignages qui l’évoquent. Les gendarmes et les policiers de la dernière enquête, sont d’accord sur ce point : Francis H., est coupable dans l’affaire de Montigny-lès-Metz. C’est également l’avis d’une très grande majorité de français. À la fin de son livre, Jean François Abgral affiche les détails expliquant en quoi Francis H., a failli échapper à la justice : manque d’informatique pouvant relier les modes opératoires entre différents crimes commis en France (contrairement à d’autres pays). Manque de formation sur l'appréciation des similitudes pouvant exister dans le mode opératoire de crimes différents. Mais la situation s’améliore,
Bravo pour ce commentaire et tous les détails bien connus de l affaire. Donc c'est clair et net. Je ne comprends pas comment douter que ce n'est pas lui. Ne tient pas compte du commentaire de Gilessa, qui apparemment ne connait rien et ne sait pas écrire.
Un ancien gendarme, a pu démontrer que Patrick Dils avait été innocenté du double meurtre de Montigny-lès-Metz, car il avait été constaté que le mode opératoire correspondait à celui de Francis H… : pantalon baissé d’une des deux victimes sans une trace de viol (c’est la signature la plus flagrante de Francis H.). Il avait déjà tué quelqu’un à coups de pierres avant d’assassiner les deux jeunes enfants, à Montigny, de la même façon. Francis H., a décrit les lieux du crime avec précision, tout en indiquant un chemin qui conduit aux corps des deux victimes et que nul n’avait vraiment décrit jusqu’alors (l’ancien gendarme Jean-François Abgrall. Dans la tête du tueur, éd Albin Michel 2002). Francis H., a vu les deux cadavres de Montigny, il a avoué aussi avoir bougé un corps, avant de se rétracter. Aux procès de Francis H… le colonel de la gendarmerie Virolet, a affirmé que, de manière informelle, Francis H… lui avait avoué avoir tué deux enfants à coups de pierres avant de se rétracter (www.ledauphine.com france-monde du 12 mai 2017, idem dans le journal du Dauphiné Libéré : article écrit en entier le 12/05/2017). Dans ce même compte rendu, un compagnon de cellule déclare avoir eu des confidences de Francis H… avec lettre à l’appui. Le journal en a retranscrit un extrait. L’écriture est enfantine et mal orthographiée. Francis H., reconnaît bien avoir écrit cette lettre concernant l’affaire de Montigny. Ce courrier émane de lui, c'est certain puisque l’autre détenu se trouvait dans une autre prison, souligne M. Steffanusque. Pour moi, il est probable que ce sont des aveux. Compte rendu du procès de Francis H. (republicain-lorrain-fr/actualité /2017/05/17), du 17 mai 2017 : un autre codétenu explique que, Francis H., lui a confié : j’ai baissé le froc du plus grand. Ce détail qui existe, n’était jamais paru dans la presse. Pour moi, cela veut dire que ces propos ne sont probablement pas mensongers. Toujours dans l’affaire de Montigny, un autre gendarme est venu témoigner que des excréments avaient été retrouvés près des deux petits corps. Les scellés ne sont plus là. Dans une autre affaire, Francis H… avait fait ses besoins à côté de sa victime (10 éléments de la signature du tueur. Par Stéphane Durand-Souffland, publié le 10 mai 2017, www.lefigaro.fr) : compte rendu du procès. La maman du petit Cyril reconnaît aujourd’hui, que Francis H., est bien coupable dans la terrible affaire de Montigny. Pour elle, il est l’assassin de son fils. Sur une des deux victimes de Montigny, une cordelette a bien été retrouvée, entre les jambes de l’enfant : une légère marque a été retrouvée sur son cou. Francis H… avait souvent des cordelettes sur lui et il a commis des étranglements. Francis H… travaillait à 400 mètres des lieux du crime et le jour du drame, il a été vu avec le visage plein de sang par deux pêcheurs. À l’époque, les 2 hommes n’avaient pas fait de lien avec le crime, car ils ne connaissaient pas le parcours de Francis H… Le tueur a reconnu que les pêcheurs l’ont vu avec du sang, sur le visage, tout en prétextant qu’il s’était blessé à la tête en tombant. Patrick Dils n’a pas pu imiter la façon de tuer de Francis H., puisqu’à l’époque ce mode opératoire n’était pas connu du public. Le temps a été trop court pour que Dils puisse commettre le double meurtre par rapport au lieu où il était plusieurs minutes auparavant. Dans des cas similaires, des personnes ont été innocentées malgré des aveux de culpabilité au préalable (voir à titre, les exemples des pages 105, 106, 107 de mon livre). Après avoir fait quinze ans de prison, Patrick Dils a été innocenté à juste titre, et Francis H… condamné pour le double meurtre de Montigny-lès Metz et cela a été confirmé en appel. Dans le 1er crime, Francis H… affirme qu’un homme nommé Henri L, l’avait consolé. Dans l’affaire de Montigny lès-Metz on trouve également un Henri L, qui avait avoué le crime avant de se rétracter et être mis hors de cause. Francis H., donne toujours des éléments supplémentaires en se référant à une autre affaire où il est également impliqué. Francis H., affirme que les deux victimes de Montigny, jetaient des pierres sur les passants : une greffière explique à Jean François Abdgrall, qu’il y a des témoignages qui l’évoquent. Les gendarmes et les policiers de la dernière enquête, sont d’accord sur ce point : Francis H., est coupable dans l’affaire de Montigny-lès-Metz. C’est également l’avis d’une très grande majorité de français. À la fin de son livre, Jean François Abgral affiche les détails expliquant en quoi Francis H., a failli échapper à la justice : manque d’informatique pouvant relier les modes opératoires entre différents crimes commis en France (contrairement à d’autres pays). Manque de formation sur l'appréciation des similitudes pouvant exister dans le mode opératoire de crimes différents. Mais la situation s’améliore,
Moralité il faut se méfier des idiots de village certain pourait être des tueur en série déguisé...Et puis aussi les tueurs en série parfois peuve passer à côté du meurte de quelqu'un d'autre y a cette possibilité..... Parfois c'est compliqué de savoir la vairité quand y a plusieur possiblité et plusieur suspect.
Un ancien gendarme, a pu démontrer que Patrick Dils avait été innocenté du double meurtre de Montigny-lès-Metz, car il avait été constaté que le mode opératoire correspondait à celui de Francis H… : pantalon baissé d’une des deux victimes sans une trace de viol (c’est la signature la plus flagrante de Francis H.). Il avait déjà tué quelqu’un à coups de pierres avant d’assassiner les deux jeunes enfants, à Montigny, de la même façon. Francis H., a décrit les lieux du crime avec précision, tout en indiquant un chemin qui conduit aux corps des deux victimes et que nul n’avait vraiment décrit jusqu’alors (l’ancien gendarme Jean-François Abgrall. Dans la tête du tueur, éd Albin Michel 2002). Francis H., a vu les deux cadavres de Montigny, il a avoué aussi avoir bougé un corps, avant de se rétracter. Aux procès de Francis H… le colonel de la gendarmerie Virolet, a affirmé que, de manière informelle, Francis H… lui avait avoué avoir tué deux enfants à coups de pierres avant de se rétracter (www.ledauphine.com france-monde du 12 mai 2017, idem dans le journal du Dauphiné Libéré : article écrit en entier le 12/05/2017). Dans ce même compte rendu, un compagnon de cellule déclare avoir eu des confidences de Francis H… avec lettre à l’appui. Le journal en a retranscrit un extrait. L’écriture est enfantine et mal orthographiée. Francis H., reconnaît bien avoir écrit cette lettre concernant l’affaire de Montigny. Ce courrier émane de lui, c'est certain puisque l’autre détenu se trouvait dans une autre prison, souligne M. Steffanusque. Pour moi, il est probable que ce sont des aveux. Compte rendu du procès de Francis H. (republicain-lorrain-fr/actualité /2017/05/17), du 17 mai 2017 : un autre codétenu explique que, Francis H., lui a confié : j’ai baissé le froc du plus grand. Ce détail qui existe, n’était jamais paru dans la presse. Pour moi, cela veut dire que ces propos ne sont probablement pas mensongers. Toujours dans l’affaire de Montigny, un autre gendarme est venu témoigner que des excréments avaient été retrouvés près des deux petits corps. Les scellés ne sont plus là. Dans une autre affaire, Francis H… avait fait ses besoins à côté de sa victime (10 éléments de la signature du tueur. Par Stéphane Durand-Souffland, publié le 10 mai 2017, www.lefigaro.fr) : compte rendu du procès. La maman du petit Cyril reconnaît aujourd’hui, que Francis H., est bien coupable dans la terrible affaire de Montigny. Pour elle, il est l’assassin de son fils. Sur une des deux victimes de Montigny, une cordelette a bien été retrouvée, entre les jambes de l’enfant : une légère marque a été retrouvée sur son cou. Francis H… avait souvent des cordelettes sur lui et il a commis des étranglements. Francis H… travaillait à 400 mètres des lieux du crime et le jour du drame, il a été vu avec le visage plein de sang par deux pêcheurs. À l’époque, les 2 hommes n’avaient pas fait de lien avec le crime, car ils ne connaissaient pas le parcours de Francis H… Le tueur a reconnu que les pêcheurs l’ont vu avec du sang, sur le visage, tout en prétextant qu’il s’était blessé à la tête en tombant. Patrick Dils n’a pas pu imiter la façon de tuer de Francis H., puisqu’à l’époque ce mode opératoire n’était pas connu du public. Le temps a été trop court pour que Dils puisse commettre le double meurtre par rapport au lieu où il était plusieurs minutes auparavant. Dans des cas similaires, des personnes ont été innocentées malgré des aveux de culpabilité au préalable (voir à titre, les exemples des pages 105, 106, 107 de mon livre). Après avoir fait quinze ans de prison, Patrick Dils a été innocenté à juste titre, et Francis H… condamné pour le double meurtre de Montigny-lès Metz et cela a été confirmé en appel. Dans le 1er crime, Francis H… affirme qu’un homme nommé Henri L, l’avait consolé. Dans l’affaire de Montigny lès-Metz on trouve également un Henri L, qui avait avoué le crime avant de se rétracter et être mis hors de cause. Francis H., donne toujours des éléments supplémentaires en se référant à une autre affaire où il est également impliqué. Francis H., affirme que les deux victimes de Montigny, jetaient des pierres sur les passants : une greffière explique à Jean François Abdgrall, qu’il y a des témoignages qui l’évoquent. Les gendarmes et les policiers de la dernière enquête, sont d’accord sur ce point : Francis H., est coupable dans l’affaire de Montigny-lès-Metz. C’est également l’avis d’une très grande majorité de français. À la fin de son livre, Jean François Abgral affiche les détails expliquant en quoi Francis H., a failli échapper à la justice : manque d’informatique pouvant relier les modes opératoires entre différents crimes commis en France (contrairement à d’autres pays). Manque de formation sur l'appréciation des similitudes pouvant exister dans le mode opératoire de crimes différents. Mais la situation s’améliore,
Il aurait témoigner plus tôt, un innocent n aurait pas fait des années de prison , vue la violence des crimes et le pantalon baissé c est le mode opératoire de Heaume
Un ancien gendarme, a pu démontrer que Patrick Dils avait été innocenté du double meurtre de Montigny-lès-Metz, car il avait été constaté que le mode opératoire correspondait à celui de Francis H… : pantalon baissé d’une des deux victimes sans une trace de viol (c’est la signature la plus flagrante de Francis H.). Il avait déjà tué quelqu’un à coups de pierres avant d’assassiner les deux jeunes enfants, à Montigny, de la même façon. Francis H., a décrit les lieux du crime avec précision, tout en indiquant un chemin qui conduit aux corps des deux victimes et que nul n’avait vraiment décrit jusqu’alors (l’ancien gendarme Jean-François Abgrall. Dans la tête du tueur, éd Albin Michel 2002). Francis H., a vu les deux cadavres de Montigny, il a avoué aussi avoir bougé un corps, avant de se rétracter. Aux procès de Francis H… le colonel de la gendarmerie Virolet, a affirmé que, de manière informelle, Francis H… lui avait avoué avoir tué deux enfants à coups de pierres avant de se rétracter (www.ledauphine.com france-monde du 12 mai 2017, idem dans le journal du Dauphiné Libéré : article écrit en entier le 12/05/2017). Dans ce même compte rendu, un compagnon de cellule déclare avoir eu des confidences de Francis H… avec lettre à l’appui. Le journal en a retranscrit un extrait. L’écriture est enfantine et mal orthographiée. Francis H., reconnaît bien avoir écrit cette lettre concernant l’affaire de Montigny. Ce courrier émane de lui, c'est certain puisque l’autre détenu se trouvait dans une autre prison, souligne M. Steffanusque. Pour moi, il est probable que ce sont des aveux. Compte rendu du procès de Francis H. (republicain-lorrain-fr/actualité /2017/05/17), du 17 mai 2017 : un autre codétenu explique que, Francis H., lui a confié : j’ai baissé le froc du plus grand. Ce détail qui existe, n’était jamais paru dans la presse. Pour moi, cela veut dire que ces propos ne sont probablement pas mensongers. Toujours dans l’affaire de Montigny, un autre gendarme est venu témoigner que des excréments avaient été retrouvés près des deux petits corps. Les scellés ne sont plus là. Dans une autre affaire, Francis H… avait fait ses besoins à côté de sa victime (10 éléments de la signature du tueur. Par Stéphane Durand-Souffland, publié le 10 mai 2017, www.lefigaro.fr) : compte rendu du procès. La maman du petit Cyril reconnaît aujourd’hui, que Francis H., est bien coupable dans la terrible affaire de Montigny. Pour elle, il est l’assassin de son fils. Sur une des deux victimes de Montigny, une cordelette a bien été retrouvée, entre les jambes de l’enfant : une légère marque a été retrouvée sur son cou. Francis H… avait souvent des cordelettes sur lui et il a commis des étranglements. Francis H… travaillait à 400 mètres des lieux du crime et le jour du drame, il a été vu avec le visage plein de sang par deux pêcheurs. À l’époque, les 2 hommes n’avaient pas fait de lien avec le crime, car ils ne connaissaient pas le parcours de Francis H… Le tueur a reconnu que les pêcheurs l’ont vu avec du sang, sur le visage, tout en prétextant qu’il s’était blessé à la tête en tombant. Patrick Dils n’a pas pu imiter la façon de tuer de Francis H., puisqu’à l’époque ce mode opératoire n’était pas connu du public. Le temps a été trop court pour que Dils puisse commettre le double meurtre par rapport au lieu où il était plusieurs minutes auparavant. Dans des cas similaires, des personnes ont été innocentées malgré des aveux de culpabilité au préalable (voir à titre, les exemples des pages 105, 106, 107 de mon livre). Après avoir fait quinze ans de prison, Patrick Dils a été innocenté à juste titre, et Francis H… condamné pour le double meurtre de Montigny-lès Metz et cela a été confirmé en appel. Dans le 1er crime, Francis H… affirme qu’un homme nommé Henri L, l’avait consolé. Dans l’affaire de Montigny lès-Metz on trouve également un Henri L, qui avait avoué le crime avant de se rétracter et être mis hors de cause. Francis H., donne toujours des éléments supplémentaires en se référant à une autre affaire où il est également impliqué. Francis H., affirme que les deux victimes de Montigny, jetaient des pierres sur les passants : une greffière explique à Jean François Abdgrall, qu’il y a des témoignages qui l’évoquent. Les gendarmes et les policiers de la dernière enquête, sont d’accord sur ce point : Francis H., est coupable dans l’affaire de Montigny-lès-Metz. C’est également l’avis d’une très grande majorité de français. À la fin de son livre, Jean François Abgral affiche les détails expliquant en quoi Francis H., a failli échapper à la justice : manque d’informatique pouvant relier les modes opératoires entre différents crimes commis en France (contrairement à d’autres pays). Manque de formation sur l'appréciation des similitudes pouvant exister dans le mode opératoire de crimes différents. Mais la situation s’améliore,
Un ancien gendarme, a pu démontrer que Patrick Dils avait été innocenté du double meurtre de Montigny-lès-Metz, car il avait été constaté que le mode opératoire correspondait à celui de Francis H… : pantalon baissé d’une des deux victimes sans une trace de viol (c’est la signature la plus flagrante de Francis H.). Il avait déjà tué quelqu’un à coups de pierres avant d’assassiner les deux jeunes enfants, à Montigny, de la même façon. Francis H., a décrit les lieux du crime avec précision, tout en indiquant un chemin qui conduit aux corps des deux victimes et que nul n’avait vraiment décrit jusqu’alors (l’ancien gendarme Jean-François Abgrall. Dans la tête du tueur, éd Albin Michel 2002). Francis H., a vu les deux cadavres de Montigny, il a avoué aussi avoir bougé un corps, avant de se rétracter. Aux procès de Francis H… le colonel de la gendarmerie Virolet, a affirmé que, de manière informelle, Francis H… lui avait avoué avoir tué deux enfants à coups de pierres avant de se rétracter (www.ledauphine.com france-monde du 12 mai 2017, idem dans le journal du Dauphiné Libéré : article écrit en entier le 12/05/2017). Dans ce même compte rendu, un compagnon de cellule déclare avoir eu des confidences de Francis H… avec lettre à l’appui. Le journal en a retranscrit un extrait. L’écriture est enfantine et mal orthographiée. Francis H., reconnaît bien avoir écrit cette lettre concernant l’affaire de Montigny. Ce courrier émane de lui, c'est certain puisque l’autre détenu se trouvait dans une autre prison, souligne M. Steffanusque. Pour moi, il est probable que ce sont des aveux. Compte rendu du procès de Francis H. (republicain-lorrain-fr/actualité /2017/05/17), du 17 mai 2017 : un autre codétenu explique que, Francis H., lui a confié : j’ai baissé le froc du plus grand. Ce détail qui existe, n’était jamais paru dans la presse. Pour moi, cela veut dire que ces propos ne sont probablement pas mensongers. Toujours dans l’affaire de Montigny, un autre gendarme est venu témoigner que des excréments avaient été retrouvés près des deux petits corps. Les scellés ne sont plus là. Dans une autre affaire, Francis H… avait fait ses besoins à côté de sa victime (10 éléments de la signature du tueur. Par Stéphane Durand-Souffland, publié le 10 mai 2017, www.lefigaro.fr) : compte rendu du procès. La maman du petit Cyril reconnaît aujourd’hui, que Francis H., est bien coupable dans la terrible affaire de Montigny. Pour elle, il est l’assassin de son fils. Sur une des deux victimes de Montigny, une cordelette a bien été retrouvée, entre les jambes de l’enfant : une légère marque a été retrouvée sur son cou. Francis H… avait souvent des cordelettes sur lui et il a commis des étranglements. Francis H… travaillait à 400 mètres des lieux du crime et le jour du drame, il a été vu avec le visage plein de sang par deux pêcheurs. À l’époque, les 2 hommes n’avaient pas fait de lien avec le crime, car ils ne connaissaient pas le parcours de Francis H… Le tueur a reconnu que les pêcheurs l’ont vu avec du sang, sur le visage, tout en prétextant qu’il s’était blessé à la tête en tombant. Patrick Dils n’a pas pu imiter la façon de tuer de Francis H., puisqu’à l’époque ce mode opératoire n’était pas connu du public. Le temps a été trop court pour que Dils puisse commettre le double meurtre par rapport au lieu où il était plusieurs minutes auparavant. Dans des cas similaires, des personnes ont été innocentées malgré des aveux de culpabilité au préalable (voir à titre, les exemples des pages 105, 106, 107 de mon livre). Après avoir fait quinze ans de prison, Patrick Dils a été innocenté à juste titre, et Francis H… condamné pour le double meurtre de Montigny-lès Metz et cela a été confirmé en appel. Dans le 1er crime, Francis H… affirme qu’un homme nommé Henri L, l’avait consolé. Dans l’affaire de Montigny lès-Metz on trouve également un Henri L, qui avait avoué le crime avant de se rétracter et être mis hors de cause. Francis H., donne toujours des éléments supplémentaires en se référant à une autre affaire où il est également impliqué. Francis H., affirme que les deux victimes de Montigny, jetaient des pierres sur les passants : une greffière explique à Jean François Abdgrall, qu’il y a des témoignages qui l’évoquent. Les gendarmes et les policiers de la dernière enquête, sont d’accord sur ce point : Francis H., est coupable dans l’affaire de Montigny-lès-Metz. C’est également l’avis d’une très grande majorité de français. À la fin de son livre, Jean François Abgral affiche les détails expliquant en quoi Francis H., a failli échapper à la justice : manque d’informatique pouvant relier les modes opératoires entre différents crimes commis en France (contrairement à d’autres pays). Manque de formation sur l'appréciation des similitudes pouvant exister dans le mode opératoire de crimes différents. Mais la situation s’améliore,
Un ancien gendarme, a pu démontrer que Patrick Dils avait été innocenté du double meurtre de Montigny-lès-Metz, car il avait été constaté que le mode opératoire correspondait à celui de Francis H… : pantalon baissé d’une des deux victimes sans une trace de viol (c’est la signature la plus flagrante de Francis H.). Il avait déjà tué quelqu’un à coups de pierres avant d’assassiner les deux jeunes enfants, à Montigny, de la même façon. Francis H., a décrit les lieux du crime avec précision, tout en indiquant un chemin qui conduit aux corps des deux victimes et que nul n’avait vraiment décrit jusqu’alors (l’ancien gendarme Jean-François Abgrall. Dans la tête du tueur, éd Albin Michel 2002). Francis H., a vu les deux cadavres de Montigny, il a avoué aussi avoir bougé un corps, avant de se rétracter. Aux procès de Francis H… le colonel de la gendarmerie Virolet, a affirmé que, de manière informelle, Francis H… lui avait avoué avoir tué deux enfants à coups de pierres avant de se rétracter (www.ledauphine.com france-monde du 12 mai 2017, idem dans le journal du Dauphiné Libéré : article écrit en entier le 12/05/2017). Dans ce même compte rendu, un compagnon de cellule déclare avoir eu des confidences de Francis H… avec lettre à l’appui. Le journal en a retranscrit un extrait. L’écriture est enfantine et mal orthographiée. Francis H., reconnaît bien avoir écrit cette lettre concernant l’affaire de Montigny. Ce courrier émane de lui, c'est certain puisque l’autre détenu se trouvait dans une autre prison, souligne M. Steffanusque. Pour moi, il est probable que ce sont des aveux. Compte rendu du procès de Francis H. (republicain-lorrain-fr/actualité /2017/05/17), du 17 mai 2017 : un autre codétenu explique que, Francis H., lui a confié : j’ai baissé le froc du plus grand. Ce détail qui existe, n’était jamais paru dans la presse. Pour moi, cela veut dire que ces propos ne sont probablement pas mensongers. Toujours dans l’affaire de Montigny, un autre gendarme est venu témoigner que des excréments avaient été retrouvés près des deux petits corps. Les scellés ne sont plus là. Dans une autre affaire, Francis H… avait fait ses besoins à côté de sa victime (10 éléments de la signature du tueur. Par Stéphane Durand-Souffland, publié le 10 mai 2017, www.lefigaro.fr) : compte rendu du procès. La maman du petit Cyril reconnaît aujourd’hui, que Francis H., est bien coupable dans la terrible affaire de Montigny. Pour elle, il est l’assassin de son fils. Sur une des deux victimes de Montigny, une cordelette a bien été retrouvée, entre les jambes de l’enfant : une légère marque a été retrouvée sur son cou. Francis H… avait souvent des cordelettes sur lui et il a commis des étranglements. Francis H… travaillait à 400 mètres des lieux du crime et le jour du drame, il a été vu avec le visage plein de sang par deux pêcheurs. À l’époque, les 2 hommes n’avaient pas fait de lien avec le crime, car ils ne connaissaient pas le parcours de Francis H… Le tueur a reconnu que les pêcheurs l’ont vu avec du sang, sur le visage, tout en prétextant qu’il s’était blessé à la tête en tombant. Patrick Dils n’a pas pu imiter la façon de tuer de Francis H., puisqu’à l’époque ce mode opératoire n’était pas connu du public. Le temps a été trop court pour que Dils puisse commettre le double meurtre par rapport au lieu où il était plusieurs minutes auparavant. Dans des cas similaires, des personnes ont été innocentées malgré des aveux de culpabilité au préalable (voir à titre, les exemples des pages 105, 106, 107 de mon livre). Après avoir fait quinze ans de prison, Patrick Dils a été innocenté à juste titre, et Francis H… condamné pour le double meurtre de Montigny-lès Metz et cela a été confirmé en appel. Dans le 1er crime, Francis H… affirme qu’un homme nommé Henri L, l’avait consolé. Dans l’affaire de Montigny lès-Metz on trouve également un Henri L, qui avait avoué le crime avant de se rétracter et être mis hors de cause. Francis H., donne toujours des éléments supplémentaires en se référant à une autre affaire où il est également impliqué. Francis H., affirme que les deux victimes de Montigny, jetaient des pierres sur les passants : une greffière explique à Jean François Abdgrall, qu’il y a des témoignages qui l’évoquent. Les gendarmes et les policiers de la dernière enquête, sont d’accord sur ce point : Francis H., est coupable dans l’affaire de Montigny-lès-Metz. C’est également l’avis d’une très grande majorité de français. À la fin de son livre, Jean François Abgral affiche les détails expliquant en quoi Francis H., a failli échapper à la justice : manque d’informatique pouvant relier les modes opératoires entre différents crimes commis en France (contrairement à d’autres pays). Manque de formation sur l'appréciation des similitudes pouvant exister dans le mode opératoire de crimes différents. Mais la situation s’améliore,
Beaucoup de conneries vous savez rien moi je connais très bien les dils et j'étais a l'école avec haulmes jen ai discuté des heures et des heures avec Chantal (paix a son ame quel repose en paix) alors si vous savez pas fermer la
Un ancien gendarme, a pu démontrer que Patrick Dils avait été innocenté du double meurtre de Montigny-lès-Metz, car il avait été constaté que le mode opératoire correspondait à celui de Francis H… : pantalon baissé d’une des deux victimes sans une trace de viol (c’est la signature la plus flagrante de Francis H.). Il avait déjà tué quelqu’un à coups de pierres avant d’assassiner les deux jeunes enfants, à Montigny, de la même façon. Francis H., a décrit les lieux du crime avec précision, tout en indiquant un chemin qui conduit aux corps des deux victimes et que nul n’avait vraiment décrit jusqu’alors (l’ancien gendarme Jean-François Abgrall. Dans la tête du tueur, éd Albin Michel 2002). Francis H., a vu les deux cadavres de Montigny, il a avoué aussi avoir bougé un corps, avant de se rétracter. Aux procès de Francis H… le colonel de la gendarmerie Virolet, a affirmé que, de manière informelle, Francis H… lui avait avoué avoir tué deux enfants à coups de pierres avant de se rétracter (www.ledauphine.com france-monde du 12 mai 2017, idem dans le journal du Dauphiné Libéré : article écrit en entier le 12/05/2017). Dans ce même compte rendu, un compagnon de cellule déclare avoir eu des confidences de Francis H… avec lettre à l’appui. Le journal en a retranscrit un extrait. L’écriture est enfantine et mal orthographiée. Francis H., reconnaît bien avoir écrit cette lettre concernant l’affaire de Montigny. Ce courrier émane de lui, c'est certain puisque l’autre détenu se trouvait dans une autre prison, souligne M. Steffanusque. Pour moi, il est probable que ce sont des aveux. Compte rendu du procès de Francis H. (republicain-lorrain-fr/actualité /2017/05/17), du 17 mai 2017 : un autre codétenu explique que, Francis H., lui a confié : j’ai baissé le froc du plus grand. Ce détail qui existe, n’était jamais paru dans la presse. Pour moi, cela veut dire que ces propos ne sont probablement pas mensongers. Toujours dans l’affaire de Montigny, un autre gendarme est venu témoigner que des excréments avaient été retrouvés près des deux petits corps. Les scellés ne sont plus là. Dans une autre affaire, Francis H… avait fait ses besoins à côté de sa victime (10 éléments de la signature du tueur. Par Stéphane Durand-Souffland, publié le 10 mai 2017, www.lefigaro.fr) : compte rendu du procès. La maman du petit Cyril reconnaît aujourd’hui, que Francis H., est bien coupable dans la terrible affaire de Montigny. Pour elle, il est l’assassin de son fils. Sur une des deux victimes de Montigny, une cordelette a bien été retrouvée, entre les jambes de l’enfant : une légère marque a été retrouvée sur son cou. Francis H… avait souvent des cordelettes sur lui et il a commis des étranglements. Francis H… travaillait à 400 mètres des lieux du crime et le jour du drame, il a été vu avec le visage plein de sang par deux pêcheurs. À l’époque, les 2 hommes n’avaient pas fait de lien avec le crime, car ils ne connaissaient pas le parcours de Francis H… Le tueur a reconnu que les pêcheurs l’ont vu avec du sang, sur le visage, tout en prétextant qu’il s’était blessé à la tête en tombant. Patrick Dils n’a pas pu imiter la façon de tuer de Francis H., puisqu’à l’époque ce mode opératoire n’était pas connu du public. Le temps a été trop court pour que Dils puisse commettre le double meurtre par rapport au lieu où il était plusieurs minutes auparavant. Dans des cas similaires, des personnes ont été innocentées malgré des aveux de culpabilité au préalable (voir à titre, les exemples des pages 105, 106, 107 de mon livre). Après avoir fait quinze ans de prison, Patrick Dils a été innocenté à juste titre, et Francis H… condamné pour le double meurtre de Montigny-lès Metz et cela a été confirmé en appel. Dans le 1er crime, Francis H… affirme qu’un homme nommé Henri L, l’avait consolé. Dans l’affaire de Montigny lès-Metz on trouve également un Henri L, qui avait avoué le crime avant de se rétracter et être mis hors de cause. Francis H., donne toujours des éléments supplémentaires en se référant à une autre affaire où il est également impliqué. Francis H., affirme que les deux victimes de Montigny, jetaient des pierres sur les passants : une greffière explique à Jean François Abdgrall, qu’il y a des témoignages qui l’évoquent. Les gendarmes et les policiers de la dernière enquête, sont d’accord sur ce point : Francis H., est coupable dans l’affaire de Montigny-lès-Metz. C’est également l’avis d’une très grande majorité de français. À la fin de son livre, Jean François Abgral affiche les détails expliquant en quoi Francis H., a failli échapper à la justice : manque d’informatique pouvant relier les modes opératoires entre différents crimes commis en France (contrairement à d’autres pays). Manque de formation sur l'appréciation des similitudes pouvant exister dans le mode opératoire de crimes différents. Mais la situation s’améliore,
Un ancien gendarme, a pu démontrer que Patrick Dils avait été innocenté du double meurtre de Montigny-lès-Metz, car il avait été constaté que le mode opératoire correspondait à celui de Francis H… : pantalon baissé d’une des deux victimes sans une trace de viol (c’est la signature la plus flagrante de Francis H.). Il avait déjà tué quelqu’un à coups de pierres avant d’assassiner les deux jeunes enfants, à Montigny, de la même façon. Francis H., a décrit les lieux du crime avec précision, tout en indiquant un chemin qui conduit aux corps des deux victimes et que nul n’avait vraiment décrit jusqu’alors (l’ancien gendarme Jean-François Abgrall. Dans la tête du tueur, éd Albin Michel 2002). Francis H., a vu les deux cadavres de Montigny, il a avoué aussi avoir bougé un corps, avant de se rétracter. Aux procès de Francis H… le colonel de la gendarmerie Virolet, a affirmé que, de manière informelle, Francis H… lui avait avoué avoir tué deux enfants à coups de pierres avant de se rétracter (www.ledauphine.com france-monde du 12 mai 2017, idem dans le journal du Dauphiné Libéré : article écrit en entier le 12/05/2017). Dans ce même compte rendu, un compagnon de cellule déclare avoir eu des confidences de Francis H… avec lettre à l’appui. Le journal en a retranscrit un extrait. L’écriture est enfantine et mal orthographiée. Francis H., reconnaît bien avoir écrit cette lettre concernant l’affaire de Montigny. Ce courrier émane de lui, c'est certain puisque l’autre détenu se trouvait dans une autre prison, souligne M. Steffanusque. Pour moi, il est probable que ce sont des aveux. Compte rendu du procès de Francis H. (republicain-lorrain-fr/actualité /2017/05/17), du 17 mai 2017 : un autre codétenu explique que, Francis H., lui a confié : j’ai baissé le froc du plus grand. Ce détail qui existe, n’était jamais paru dans la presse. Pour moi, cela veut dire que ces propos ne sont probablement pas mensongers. Toujours dans l’affaire de Montigny, un autre gendarme est venu témoigner que des excréments avaient été retrouvés près des deux petits corps. Les scellés ne sont plus là. Dans une autre affaire, Francis H… avait fait ses besoins à côté de sa victime (10 éléments de la signature du tueur. Par Stéphane Durand-Souffland, publié le 10 mai 2017, www.lefigaro.fr) : compte rendu du procès. La maman du petit Cyril reconnaît aujourd’hui, que Francis H., est bien coupable dans la terrible affaire de Montigny. Pour elle, il est l’assassin de son fils. Sur une des deux victimes de Montigny, une cordelette a bien été retrouvée, entre les jambes de l’enfant : une légère marque a été retrouvée sur son cou. Francis H… avait souvent des cordelettes sur lui et il a commis des étranglements. Francis H… travaillait à 400 mètres des lieux du crime et le jour du drame, il a été vu avec le visage plein de sang par deux pêcheurs. À l’époque, les 2 hommes n’avaient pas fait de lien avec le crime, car ils ne connaissaient pas le parcours de Francis H… Le tueur a reconnu que les pêcheurs l’ont vu avec du sang, sur le visage, tout en prétextant qu’il s’était blessé à la tête en tombant. Patrick Dils n’a pas pu imiter la façon de tuer de Francis H., puisqu’à l’époque ce mode opératoire n’était pas connu du public. Le temps a été trop court pour que Dils puisse commettre le double meurtre par rapport au lieu où il était plusieurs minutes auparavant. Dans des cas similaires, des personnes ont été innocentées malgré des aveux de culpabilité au préalable (voir à titre, les exemples des pages 105, 106, 107 de mon livre). Après avoir fait quinze ans de prison, Patrick Dils a été innocenté à juste titre, et Francis H… condamné pour le double meurtre de Montigny-lès Metz et cela a été confirmé en appel. Dans le 1er crime, Francis H… affirme qu’un homme nommé Henri L, l’avait consolé. Dans l’affaire de Montigny lès-Metz on trouve également un Henri L, qui avait avoué le crime avant de se rétracter et être mis hors de cause. Francis H., donne toujours des éléments supplémentaires en se référant à une autre affaire où il est également impliqué. Francis H., affirme que les deux victimes de Montigny, jetaient des pierres sur les passants : une greffière explique à Jean François Abdgrall, qu’il y a des témoignages qui l’évoquent. Les gendarmes et les policiers de la dernière enquête, sont d’accord sur ce point : Francis H., est coupable dans l’affaire de Montigny-lès-Metz. C’est également l’avis d’une très grande majorité de français. À la fin de son livre, Jean François Abgral affiche les détails expliquant en quoi Francis H., a failli échapper à la justice : manque d’informatique pouvant relier les modes opératoires entre différents crimes commis en France (contrairement à d’autres pays). Manque de formation sur l'appréciation des similitudes pouvant exister dans le mode opératoire de crimes différents. Mais la situation s’améliore,
Un ancien gendarme, a pu démontrer que Patrick
Dils avait été innocenté du double meurtre de
Montigny-lès-Metz, car il avait été constaté que le
mode opératoire correspondait à celui de Francis
H… : pantalon baissé d’une des deux victimes sans
une trace de viol (c’est la signature la plus flagrante
de Francis H.). Il avait déjà tué quelqu’un à coups de
pierres avant d’assassiner les deux jeunes enfants, à
Montigny, de la même façon. Francis H., a décrit les
lieux du crime avec précision, tout en indiquant un
chemin qui conduit aux corps des deux victimes et
que nul n’avait vraiment décrit jusqu’alors (l’ancien
gendarme Jean-François Abgrall. Dans la tête du
tueur, éd Albin Michel 2002). Francis H., a vu les
deux cadavres de Montigny, il a avoué aussi avoir
bougé un corps, avant de se rétracter.
Aux procès de Francis H… le
colonel de la gendarmerie Virolet, a affirmé que, de
manière informelle, Francis H… lui avait avoué
avoir tué deux enfants à coups de pierres avant de se
rétracter (www.ledauphine.com france-monde du 12
mai 2017, idem dans le journal du Dauphiné
Libéré : article écrit en entier le 12/05/2017). Dans
ce même compte rendu, un compagnon de cellule
déclare avoir eu des confidences de Francis H…
avec lettre à l’appui. Le journal en a retranscrit un
extrait. L’écriture est enfantine et mal orthographiée.
Francis H., reconnaît bien avoir écrit cette lettre
concernant l’affaire de Montigny. Ce courrier émane
de lui, c'est certain puisque l’autre détenu se trouvait
dans une autre prison, souligne M. Steffanusque.
Pour moi, il est probable que ce sont des aveux.
Compte rendu du procès de Francis H.
(republicain-lorrain-fr/actualité /2017/05/17), du 17
mai 2017 : un autre codétenu explique que, Francis
H., lui a confié : j’ai baissé le froc du plus grand. Ce
détail qui existe, n’était jamais paru dans la presse.
Pour moi, cela veut dire que ces propos ne sont
probablement pas mensongers.
Toujours dans l’affaire de Montigny, un autre
gendarme est venu témoigner que des excréments
avaient été retrouvés près des deux petits corps. Les
scellés ne sont plus là. Dans une autre affaire,
Francis H… avait fait ses besoins à côté de sa
victime (10 éléments de la signature du tueur. Par
Stéphane Durand-Souffland, publié le 10 mai 2017,
www.lefigaro.fr) : compte rendu du procès.
La maman du petit Cyril reconnaît aujourd’hui, que
Francis H., est bien coupable dans la terrible affaire
de Montigny. Pour elle, il est l’assassin de son fils.
Sur une des deux victimes de Montigny, une
cordelette a bien été retrouvée, entre les jambes de
l’enfant : une légère marque a été retrouvée sur son
cou. Francis H… avait souvent des cordelettes sur
lui et il a commis des étranglements. Francis H…
travaillait à 400 mètres des lieux du crime et le jour
du drame, il a été vu avec le visage plein de sang par
deux pêcheurs. À l’époque, les 2 hommes n’avaient
pas fait de lien avec le crime, car ils ne connaissaient
pas le parcours de Francis H…
Le tueur a reconnu que les pêcheurs l’ont vu avec
du sang, sur le visage, tout en prétextant qu’il s’était
blessé à la tête en tombant. Patrick Dils n’a pas pu
imiter la façon de tuer de Francis H., puisqu’à
l’époque ce mode opératoire n’était pas connu du
public. Le temps a été trop court pour que Dils
puisse commettre le double meurtre par rapport au
lieu où il était plusieurs minutes auparavant. Dans
des cas similaires, des personnes ont été innocentées
malgré des aveux de culpabilité au préalable (voir à
titre, les exemples des pages 105, 106, 107 de mon
livre). Après avoir fait quinze ans de prison, Patrick
Dils a été innocenté à juste titre, et Francis H…
condamné pour le double meurtre de Montigny-lèsMetz et cela a été confirmé en appel. Dans le 1er
crime, Francis H… affirme qu’un homme nommé
Henri L, l’avait consolé. Dans l’affaire de Montignylès-Metz on trouve également un Henri L, qui avait
avoué le crime avant de se rétracter et être mis hors
de cause. Francis H., donne toujours des éléments
supplémentaires en se référant à une autre affaire où
il est également impliqué. Francis H., affirme que les
deux victimes de Montigny, jetaient des pierres sur
les passants : une greffière explique à Jean François
Abdgrall, qu’il y a des témoignages qui l’évoquent.
Les gendarmes et les policiers de la dernière
enquête, sont d’accord sur ce point : Francis H., est
coupable dans l’affaire de Montigny-lès-Metz. C’est
également l’avis d’une très grande majorité de
français.
À la fin de son livre, Jean François Abgral
affiche les détails expliquant en quoi Francis H., a
failli échapper à la justice : manque d’informatique
pouvant relier les modes opératoires entre différents
crimes commis en France (contrairement à d’autres
pays). Manque de formation sur l'appréciation des
similitudes pouvant exister dans le mode opératoire
de crimes différents. Mais la situation s’améliore,
Tu connais tout toi mou ça fait 61 an que je suis à Montigny alors tes conneries tu en c'est quoi
Bravo pour ce commentaire et tous les détails bien connus de l affaire. Donc c'est clair et net. Je ne comprends pas comment douter que ce n'est pas lui. Ne tient pas compte du commentaire de Gilessa, qui apparemment ne connait rien et ne sait pas écrire.
@@jeeco57 déjà apprend a écrire mon prénom baltringue
@@gillessa7600Jean François Abgral n’est pas de Montigny et c’est pourtant lui qui a totalement relancé l’affaire …
Je suis sur est certain que c'est bien Heaulme qui est l'auteur du double meurtre.
Bonjour et merci pour ce reportage, cas très intéressant. Pouvez-vous corrkiger le "accusé à tord" en "accusé à tort" ? Merci
Un ancien gendarme, a pu démontrer que Patrick
Dils avait été innocenté du double meurtre de
Montigny-lès-Metz, car il avait été constaté que le
mode opératoire correspondait à celui de Francis
H… : pantalon baissé d’une des deux victimes sans
une trace de viol (c’est la signature la plus flagrante
de Francis H.). Il avait déjà tué quelqu’un à coups de
pierres avant d’assassiner les deux jeunes enfants, à
Montigny, de la même façon. Francis H., a décrit les
lieux du crime avec précision, tout en indiquant un
chemin qui conduit aux corps des deux victimes et
que nul n’avait vraiment décrit jusqu’alors (l’ancien
gendarme Jean-François Abgrall. Dans la tête du
tueur, éd Albin Michel 2002). Francis H., a vu les
deux cadavres de Montigny, il a avoué aussi avoir
bougé un corps, avant de se rétracter.
Aux procès de Francis H… le
colonel de la gendarmerie Virolet, a affirmé que, de
manière informelle, Francis H… lui avait avoué
avoir tué deux enfants à coups de pierres avant de se
rétracter (www.ledauphine.com france-monde du 12
mai 2017, idem dans le journal du Dauphiné
Libéré : article écrit en entier le 12/05/2017). Dans
ce même compte rendu, un compagnon de cellule
déclare avoir eu des confidences de Francis H…
avec lettre à l’appui. Le journal en a retranscrit un
extrait. L’écriture est enfantine et mal orthographiée.
Francis H., reconnaît bien avoir écrit cette lettre
concernant l’affaire de Montigny. Ce courrier émane
de lui, c'est certain puisque l’autre détenu se trouvait
dans une autre prison, souligne M. Steffanusque.
Pour moi, il est probable que ce sont des aveux.
Compte rendu du procès de Francis H.
(republicain-lorrain-fr/actualité /2017/05/17), du 17
mai 2017 : un autre codétenu explique que, Francis
H., lui a confié : j’ai baissé le froc du plus grand. Ce
détail qui existe, n’était jamais paru dans la presse.
Pour moi, cela veut dire que ces propos ne sont
probablement pas mensongers.
Toujours dans l’affaire de Montigny, un autre
gendarme est venu témoigner que des excréments
avaient été retrouvés près des deux petits corps. Les
scellés ne sont plus là. Dans une autre affaire,
Francis H… avait fait ses besoins à côté de sa
victime (10 éléments de la signature du tueur. Par
Stéphane Durand-Souffland, publié le 10 mai 2017,
www.lefigaro.fr) : compte rendu du procès.
La maman du petit Cyril reconnaît aujourd’hui, que
Francis H., est bien coupable dans la terrible affaire
de Montigny. Pour elle, il est l’assassin de son fils.
Sur une des deux victimes de Montigny, une
cordelette a bien été retrouvée, entre les jambes de
l’enfant : une légère marque a été retrouvée sur son
cou. Francis H… avait souvent des cordelettes sur
lui et il a commis des étranglements. Francis H…
travaillait à 400 mètres des lieux du crime et le jour
du drame, il a été vu avec le visage plein de sang par
deux pêcheurs. À l’époque, les 2 hommes n’avaient
pas fait de lien avec le crime, car ils ne connaissaient
pas le parcours de Francis H…
Le tueur a reconnu que les pêcheurs l’ont vu avec
du sang, sur le visage, tout en prétextant qu’il s’était
blessé à la tête en tombant. Patrick Dils n’a pas pu
imiter la façon de tuer de Francis H., puisqu’à
l’époque ce mode opératoire n’était pas connu du
public. Le temps a été trop court pour que Dils
puisse commettre le double meurtre par rapport au
lieu où il était plusieurs minutes auparavant. Dans
des cas similaires, des personnes ont été innocentées
malgré des aveux de culpabilité au préalable (voir à
titre, les exemples des pages 105, 106, 107 de mon
livre). Après avoir fait quinze ans de prison, Patrick
Dils a été innocenté à juste titre, et Francis H…
condamné pour le double meurtre de Montigny-lès Metz et cela a été confirmé en appel. Dans le 1er
crime, Francis H… affirme qu’un homme nommé
Henri L, l’avait consolé. Dans l’affaire de Montigny lès-Metz on trouve également un Henri L, qui avait
avoué le crime avant de se rétracter et être mis hors
de cause. Francis H., donne toujours des éléments
supplémentaires en se référant à une autre affaire où
il est également impliqué. Francis H., affirme que les
deux victimes de Montigny, jetaient des pierres sur
les passants : une greffière explique à Jean François
Abdgrall, qu’il y a des témoignages qui l’évoquent.
Les gendarmes et les policiers de la dernière
enquête, sont d’accord sur ce point : Francis H., est
coupable dans l’affaire de Montigny-lès-Metz. C’est
également l’avis d’une très grande majorité de
français.
À la fin de son livre, Jean François Abgral
affiche les détails expliquant en quoi Francis H., a
failli échapper à la justice : manque d’informatique
pouvant relier les modes opératoires entre différents
crimes commis en France (contrairement à d’autres
pays). Manque de formation sur l'appréciation des
similitudes pouvant exister dans le mode opératoire
de crimes différents. Mais la situation s’améliore,
Oui ça fait mal à regarder 😂
Personne ne seras qui est vraiment coupable
Moralité il faut se méfier des idiots de village certain pourait être des tueur en série déguisé...Et puis aussi les tueurs en série parfois peuve passer à côté du meurte de quelqu'un d'autre y a cette possibilité..... Parfois c'est compliqué de savoir la vairité quand y a plusieur possiblité et plusieur suspect.
Un ancien gendarme, a pu démontrer que Patrick
Dils avait été innocenté du double meurtre de
Montigny-lès-Metz, car il avait été constaté que le
mode opératoire correspondait à celui de Francis
H… : pantalon baissé d’une des deux victimes sans
une trace de viol (c’est la signature la plus flagrante
de Francis H.). Il avait déjà tué quelqu’un à coups de
pierres avant d’assassiner les deux jeunes enfants, à
Montigny, de la même façon. Francis H., a décrit les
lieux du crime avec précision, tout en indiquant un
chemin qui conduit aux corps des deux victimes et
que nul n’avait vraiment décrit jusqu’alors (l’ancien
gendarme Jean-François Abgrall. Dans la tête du
tueur, éd Albin Michel 2002). Francis H., a vu les
deux cadavres de Montigny, il a avoué aussi avoir
bougé un corps, avant de se rétracter.
Aux procès de Francis H… le
colonel de la gendarmerie Virolet, a affirmé que, de
manière informelle, Francis H… lui avait avoué
avoir tué deux enfants à coups de pierres avant de se
rétracter (www.ledauphine.com france-monde du 12
mai 2017, idem dans le journal du Dauphiné
Libéré : article écrit en entier le 12/05/2017). Dans
ce même compte rendu, un compagnon de cellule
déclare avoir eu des confidences de Francis H…
avec lettre à l’appui. Le journal en a retranscrit un
extrait. L’écriture est enfantine et mal orthographiée.
Francis H., reconnaît bien avoir écrit cette lettre
concernant l’affaire de Montigny. Ce courrier émane
de lui, c'est certain puisque l’autre détenu se trouvait
dans une autre prison, souligne M. Steffanusque.
Pour moi, il est probable que ce sont des aveux.
Compte rendu du procès de Francis H.
(republicain-lorrain-fr/actualité /2017/05/17), du 17
mai 2017 : un autre codétenu explique que, Francis
H., lui a confié : j’ai baissé le froc du plus grand. Ce
détail qui existe, n’était jamais paru dans la presse.
Pour moi, cela veut dire que ces propos ne sont
probablement pas mensongers.
Toujours dans l’affaire de Montigny, un autre
gendarme est venu témoigner que des excréments
avaient été retrouvés près des deux petits corps. Les
scellés ne sont plus là. Dans une autre affaire,
Francis H… avait fait ses besoins à côté de sa
victime (10 éléments de la signature du tueur. Par
Stéphane Durand-Souffland, publié le 10 mai 2017,
www.lefigaro.fr) : compte rendu du procès.
La maman du petit Cyril reconnaît aujourd’hui, que
Francis H., est bien coupable dans la terrible affaire
de Montigny. Pour elle, il est l’assassin de son fils.
Sur une des deux victimes de Montigny, une
cordelette a bien été retrouvée, entre les jambes de
l’enfant : une légère marque a été retrouvée sur son
cou. Francis H… avait souvent des cordelettes sur
lui et il a commis des étranglements. Francis H…
travaillait à 400 mètres des lieux du crime et le jour
du drame, il a été vu avec le visage plein de sang par
deux pêcheurs. À l’époque, les 2 hommes n’avaient
pas fait de lien avec le crime, car ils ne connaissaient
pas le parcours de Francis H…
Le tueur a reconnu que les pêcheurs l’ont vu avec
du sang, sur le visage, tout en prétextant qu’il s’était
blessé à la tête en tombant. Patrick Dils n’a pas pu
imiter la façon de tuer de Francis H., puisqu’à
l’époque ce mode opératoire n’était pas connu du
public. Le temps a été trop court pour que Dils
puisse commettre le double meurtre par rapport au
lieu où il était plusieurs minutes auparavant. Dans
des cas similaires, des personnes ont été innocentées
malgré des aveux de culpabilité au préalable (voir à
titre, les exemples des pages 105, 106, 107 de mon
livre). Après avoir fait quinze ans de prison, Patrick
Dils a été innocenté à juste titre, et Francis H…
condamné pour le double meurtre de Montigny-lès Metz et cela a été confirmé en appel. Dans le 1er
crime, Francis H… affirme qu’un homme nommé
Henri L, l’avait consolé. Dans l’affaire de Montigny lès-Metz on trouve également un Henri L, qui avait
avoué le crime avant de se rétracter et être mis hors
de cause. Francis H., donne toujours des éléments
supplémentaires en se référant à une autre affaire où
il est également impliqué. Francis H., affirme que les
deux victimes de Montigny, jetaient des pierres sur
les passants : une greffière explique à Jean François
Abdgrall, qu’il y a des témoignages qui l’évoquent.
Les gendarmes et les policiers de la dernière
enquête, sont d’accord sur ce point : Francis H., est
coupable dans l’affaire de Montigny-lès-Metz. C’est
également l’avis d’une très grande majorité de
français.
À la fin de son livre, Jean François Abgral
affiche les détails expliquant en quoi Francis H., a
failli échapper à la justice : manque d’informatique
pouvant relier les modes opératoires entre différents
crimes commis en France (contrairement à d’autres
pays). Manque de formation sur l'appréciation des
similitudes pouvant exister dans le mode opératoire
de crimes différents. Mais la situation s’améliore,
Origine de francis ?
Tu parles de Abdel ton cousin?
Français de souche
Française
@@tsiporah8395 non Rachid. Ton sang
Félix le chat😢 il bouffer des boites pour chat😢 le pauvre😮
Une faute d'orthographe dans le titre de la vidéo prête déjà à sourire.
Il aurait témoigner plus tôt, un innocent n aurait pas fait des années de prison , vue la violence des crimes et le pantalon baissé c est le mode opératoire de Heaume
Heaulme. Ne nous invente pas encore un autre criminel.
Un ancien gendarme, a pu démontrer que Patrick
Dils avait été innocenté du double meurtre de
Montigny-lès-Metz, car il avait été constaté que le
mode opératoire correspondait à celui de Francis
H… : pantalon baissé d’une des deux victimes sans
une trace de viol (c’est la signature la plus flagrante
de Francis H.). Il avait déjà tué quelqu’un à coups de
pierres avant d’assassiner les deux jeunes enfants, à
Montigny, de la même façon. Francis H., a décrit les
lieux du crime avec précision, tout en indiquant un
chemin qui conduit aux corps des deux victimes et
que nul n’avait vraiment décrit jusqu’alors (l’ancien
gendarme Jean-François Abgrall. Dans la tête du
tueur, éd Albin Michel 2002). Francis H., a vu les
deux cadavres de Montigny, il a avoué aussi avoir
bougé un corps, avant de se rétracter.
Aux procès de Francis H… le
colonel de la gendarmerie Virolet, a affirmé que, de
manière informelle, Francis H… lui avait avoué
avoir tué deux enfants à coups de pierres avant de se
rétracter (www.ledauphine.com france-monde du 12
mai 2017, idem dans le journal du Dauphiné
Libéré : article écrit en entier le 12/05/2017). Dans
ce même compte rendu, un compagnon de cellule
déclare avoir eu des confidences de Francis H…
avec lettre à l’appui. Le journal en a retranscrit un
extrait. L’écriture est enfantine et mal orthographiée.
Francis H., reconnaît bien avoir écrit cette lettre
concernant l’affaire de Montigny. Ce courrier émane
de lui, c'est certain puisque l’autre détenu se trouvait
dans une autre prison, souligne M. Steffanusque.
Pour moi, il est probable que ce sont des aveux.
Compte rendu du procès de Francis H.
(republicain-lorrain-fr/actualité /2017/05/17), du 17
mai 2017 : un autre codétenu explique que, Francis
H., lui a confié : j’ai baissé le froc du plus grand. Ce
détail qui existe, n’était jamais paru dans la presse.
Pour moi, cela veut dire que ces propos ne sont
probablement pas mensongers.
Toujours dans l’affaire de Montigny, un autre
gendarme est venu témoigner que des excréments
avaient été retrouvés près des deux petits corps. Les
scellés ne sont plus là. Dans une autre affaire,
Francis H… avait fait ses besoins à côté de sa
victime (10 éléments de la signature du tueur. Par
Stéphane Durand-Souffland, publié le 10 mai 2017,
www.lefigaro.fr) : compte rendu du procès.
La maman du petit Cyril reconnaît aujourd’hui, que
Francis H., est bien coupable dans la terrible affaire
de Montigny. Pour elle, il est l’assassin de son fils.
Sur une des deux victimes de Montigny, une
cordelette a bien été retrouvée, entre les jambes de
l’enfant : une légère marque a été retrouvée sur son
cou. Francis H… avait souvent des cordelettes sur
lui et il a commis des étranglements. Francis H…
travaillait à 400 mètres des lieux du crime et le jour
du drame, il a été vu avec le visage plein de sang par
deux pêcheurs. À l’époque, les 2 hommes n’avaient
pas fait de lien avec le crime, car ils ne connaissaient
pas le parcours de Francis H…
Le tueur a reconnu que les pêcheurs l’ont vu avec
du sang, sur le visage, tout en prétextant qu’il s’était
blessé à la tête en tombant. Patrick Dils n’a pas pu
imiter la façon de tuer de Francis H., puisqu’à
l’époque ce mode opératoire n’était pas connu du
public. Le temps a été trop court pour que Dils
puisse commettre le double meurtre par rapport au
lieu où il était plusieurs minutes auparavant. Dans
des cas similaires, des personnes ont été innocentées
malgré des aveux de culpabilité au préalable (voir à
titre, les exemples des pages 105, 106, 107 de mon
livre). Après avoir fait quinze ans de prison, Patrick
Dils a été innocenté à juste titre, et Francis H…
condamné pour le double meurtre de Montigny-lès Metz et cela a été confirmé en appel. Dans le 1er
crime, Francis H… affirme qu’un homme nommé
Henri L, l’avait consolé. Dans l’affaire de Montigny lès-Metz on trouve également un Henri L, qui avait
avoué le crime avant de se rétracter et être mis hors
de cause. Francis H., donne toujours des éléments
supplémentaires en se référant à une autre affaire où
il est également impliqué. Francis H., affirme que les
deux victimes de Montigny, jetaient des pierres sur
les passants : une greffière explique à Jean François
Abdgrall, qu’il y a des témoignages qui l’évoquent.
Les gendarmes et les policiers de la dernière
enquête, sont d’accord sur ce point : Francis H., est
coupable dans l’affaire de Montigny-lès-Metz. C’est
également l’avis d’une très grande majorité de
français.
À la fin de son livre, Jean François Abgral
affiche les détails expliquant en quoi Francis H., a
failli échapper à la justice : manque d’informatique
pouvant relier les modes opératoires entre différents
crimes commis en France (contrairement à d’autres
pays). Manque de formation sur l'appréciation des
similitudes pouvant exister dans le mode opératoire
de crimes différents. Mais la situation s’améliore,
Le torT tue !!!!
Super document merci
Un ancien gendarme, a pu démontrer que Patrick
Dils avait été innocenté du double meurtre de
Montigny-lès-Metz, car il avait été constaté que le
mode opératoire correspondait à celui de Francis
H… : pantalon baissé d’une des deux victimes sans
une trace de viol (c’est la signature la plus flagrante
de Francis H.). Il avait déjà tué quelqu’un à coups de
pierres avant d’assassiner les deux jeunes enfants, à
Montigny, de la même façon. Francis H., a décrit les
lieux du crime avec précision, tout en indiquant un
chemin qui conduit aux corps des deux victimes et
que nul n’avait vraiment décrit jusqu’alors (l’ancien
gendarme Jean-François Abgrall. Dans la tête du
tueur, éd Albin Michel 2002). Francis H., a vu les
deux cadavres de Montigny, il a avoué aussi avoir
bougé un corps, avant de se rétracter.
Aux procès de Francis H… le
colonel de la gendarmerie Virolet, a affirmé que, de
manière informelle, Francis H… lui avait avoué
avoir tué deux enfants à coups de pierres avant de se
rétracter (www.ledauphine.com france-monde du 12
mai 2017, idem dans le journal du Dauphiné
Libéré : article écrit en entier le 12/05/2017). Dans
ce même compte rendu, un compagnon de cellule
déclare avoir eu des confidences de Francis H…
avec lettre à l’appui. Le journal en a retranscrit un
extrait. L’écriture est enfantine et mal orthographiée.
Francis H., reconnaît bien avoir écrit cette lettre
concernant l’affaire de Montigny. Ce courrier émane
de lui, c'est certain puisque l’autre détenu se trouvait
dans une autre prison, souligne M. Steffanusque.
Pour moi, il est probable que ce sont des aveux.
Compte rendu du procès de Francis H.
(republicain-lorrain-fr/actualité /2017/05/17), du 17
mai 2017 : un autre codétenu explique que, Francis
H., lui a confié : j’ai baissé le froc du plus grand. Ce
détail qui existe, n’était jamais paru dans la presse.
Pour moi, cela veut dire que ces propos ne sont
probablement pas mensongers.
Toujours dans l’affaire de Montigny, un autre
gendarme est venu témoigner que des excréments
avaient été retrouvés près des deux petits corps. Les
scellés ne sont plus là. Dans une autre affaire,
Francis H… avait fait ses besoins à côté de sa
victime (10 éléments de la signature du tueur. Par
Stéphane Durand-Souffland, publié le 10 mai 2017,
www.lefigaro.fr) : compte rendu du procès.
La maman du petit Cyril reconnaît aujourd’hui, que
Francis H., est bien coupable dans la terrible affaire
de Montigny. Pour elle, il est l’assassin de son fils.
Sur une des deux victimes de Montigny, une
cordelette a bien été retrouvée, entre les jambes de
l’enfant : une légère marque a été retrouvée sur son
cou. Francis H… avait souvent des cordelettes sur
lui et il a commis des étranglements. Francis H…
travaillait à 400 mètres des lieux du crime et le jour
du drame, il a été vu avec le visage plein de sang par
deux pêcheurs. À l’époque, les 2 hommes n’avaient
pas fait de lien avec le crime, car ils ne connaissaient
pas le parcours de Francis H…
Le tueur a reconnu que les pêcheurs l’ont vu avec
du sang, sur le visage, tout en prétextant qu’il s’était
blessé à la tête en tombant. Patrick Dils n’a pas pu
imiter la façon de tuer de Francis H., puisqu’à
l’époque ce mode opératoire n’était pas connu du
public. Le temps a été trop court pour que Dils
puisse commettre le double meurtre par rapport au
lieu où il était plusieurs minutes auparavant. Dans
des cas similaires, des personnes ont été innocentées
malgré des aveux de culpabilité au préalable (voir à
titre, les exemples des pages 105, 106, 107 de mon
livre). Après avoir fait quinze ans de prison, Patrick
Dils a été innocenté à juste titre, et Francis H…
condamné pour le double meurtre de Montigny-lès Metz et cela a été confirmé en appel. Dans le 1er
crime, Francis H… affirme qu’un homme nommé
Henri L, l’avait consolé. Dans l’affaire de Montigny lès-Metz on trouve également un Henri L, qui avait
avoué le crime avant de se rétracter et être mis hors
de cause. Francis H., donne toujours des éléments
supplémentaires en se référant à une autre affaire où
il est également impliqué. Francis H., affirme que les
deux victimes de Montigny, jetaient des pierres sur
les passants : une greffière explique à Jean François
Abdgrall, qu’il y a des témoignages qui l’évoquent.
Les gendarmes et les policiers de la dernière
enquête, sont d’accord sur ce point : Francis H., est
coupable dans l’affaire de Montigny-lès-Metz. C’est
également l’avis d’une très grande majorité de
français.
À la fin de son livre, Jean François Abgral
affiche les détails expliquant en quoi Francis H., a
failli échapper à la justice : manque d’informatique
pouvant relier les modes opératoires entre différents
crimes commis en France (contrairement à d’autres
pays). Manque de formation sur l'appréciation des
similitudes pouvant exister dans le mode opératoire
de crimes différents. Mais la situation s’améliore,
Un militaire ouais ok mais il parle que maintenant.le pauvre et sa période trouble.rien de nouveau dans cette affaire.Dils a trinqué des années.
Un ancien gendarme, a pu démontrer que Patrick
Dils avait été innocenté du double meurtre de
Montigny-lès-Metz, car il avait été constaté que le
mode opératoire correspondait à celui de Francis
H… : pantalon baissé d’une des deux victimes sans
une trace de viol (c’est la signature la plus flagrante
de Francis H.). Il avait déjà tué quelqu’un à coups de
pierres avant d’assassiner les deux jeunes enfants, à
Montigny, de la même façon. Francis H., a décrit les
lieux du crime avec précision, tout en indiquant un
chemin qui conduit aux corps des deux victimes et
que nul n’avait vraiment décrit jusqu’alors (l’ancien
gendarme Jean-François Abgrall. Dans la tête du
tueur, éd Albin Michel 2002). Francis H., a vu les
deux cadavres de Montigny, il a avoué aussi avoir
bougé un corps, avant de se rétracter.
Aux procès de Francis H… le
colonel de la gendarmerie Virolet, a affirmé que, de
manière informelle, Francis H… lui avait avoué
avoir tué deux enfants à coups de pierres avant de se
rétracter (www.ledauphine.com france-monde du 12
mai 2017, idem dans le journal du Dauphiné
Libéré : article écrit en entier le 12/05/2017). Dans
ce même compte rendu, un compagnon de cellule
déclare avoir eu des confidences de Francis H…
avec lettre à l’appui. Le journal en a retranscrit un
extrait. L’écriture est enfantine et mal orthographiée.
Francis H., reconnaît bien avoir écrit cette lettre
concernant l’affaire de Montigny. Ce courrier émane
de lui, c'est certain puisque l’autre détenu se trouvait
dans une autre prison, souligne M. Steffanusque.
Pour moi, il est probable que ce sont des aveux.
Compte rendu du procès de Francis H.
(republicain-lorrain-fr/actualité /2017/05/17), du 17
mai 2017 : un autre codétenu explique que, Francis
H., lui a confié : j’ai baissé le froc du plus grand. Ce
détail qui existe, n’était jamais paru dans la presse.
Pour moi, cela veut dire que ces propos ne sont
probablement pas mensongers.
Toujours dans l’affaire de Montigny, un autre
gendarme est venu témoigner que des excréments
avaient été retrouvés près des deux petits corps. Les
scellés ne sont plus là. Dans une autre affaire,
Francis H… avait fait ses besoins à côté de sa
victime (10 éléments de la signature du tueur. Par
Stéphane Durand-Souffland, publié le 10 mai 2017,
www.lefigaro.fr) : compte rendu du procès.
La maman du petit Cyril reconnaît aujourd’hui, que
Francis H., est bien coupable dans la terrible affaire
de Montigny. Pour elle, il est l’assassin de son fils.
Sur une des deux victimes de Montigny, une
cordelette a bien été retrouvée, entre les jambes de
l’enfant : une légère marque a été retrouvée sur son
cou. Francis H… avait souvent des cordelettes sur
lui et il a commis des étranglements. Francis H…
travaillait à 400 mètres des lieux du crime et le jour
du drame, il a été vu avec le visage plein de sang par
deux pêcheurs. À l’époque, les 2 hommes n’avaient
pas fait de lien avec le crime, car ils ne connaissaient
pas le parcours de Francis H…
Le tueur a reconnu que les pêcheurs l’ont vu avec
du sang, sur le visage, tout en prétextant qu’il s’était
blessé à la tête en tombant. Patrick Dils n’a pas pu
imiter la façon de tuer de Francis H., puisqu’à
l’époque ce mode opératoire n’était pas connu du
public. Le temps a été trop court pour que Dils
puisse commettre le double meurtre par rapport au
lieu où il était plusieurs minutes auparavant. Dans
des cas similaires, des personnes ont été innocentées
malgré des aveux de culpabilité au préalable (voir à
titre, les exemples des pages 105, 106, 107 de mon
livre). Après avoir fait quinze ans de prison, Patrick
Dils a été innocenté à juste titre, et Francis H…
condamné pour le double meurtre de Montigny-lès Metz et cela a été confirmé en appel. Dans le 1er
crime, Francis H… affirme qu’un homme nommé
Henri L, l’avait consolé. Dans l’affaire de Montigny lès-Metz on trouve également un Henri L, qui avait
avoué le crime avant de se rétracter et être mis hors
de cause. Francis H., donne toujours des éléments
supplémentaires en se référant à une autre affaire où
il est également impliqué. Francis H., affirme que les
deux victimes de Montigny, jetaient des pierres sur
les passants : une greffière explique à Jean François
Abdgrall, qu’il y a des témoignages qui l’évoquent.
Les gendarmes et les policiers de la dernière
enquête, sont d’accord sur ce point : Francis H., est
coupable dans l’affaire de Montigny-lès-Metz. C’est
également l’avis d’une très grande majorité de
français.
À la fin de son livre, Jean François Abgral
affiche les détails expliquant en quoi Francis H., a
failli échapper à la justice : manque d’informatique
pouvant relier les modes opératoires entre différents
crimes commis en France (contrairement à d’autres
pays). Manque de formation sur l'appréciation des
similitudes pouvant exister dans le mode opératoire
de crimes différents. Mais la situation s’améliore,
Beaucoup de conneries vous savez rien moi je connais très bien les dils et j'étais a l'école avec haulmes jen ai discuté des heures et des heures avec Chantal (paix a son ame quel repose en paix) alors si vous savez pas fermer la
tu vas écrire un livre?
@@sidlamali c'est déjà fait
On tiens le deuxième idiot du village! Alors frustré d être deuxième et pas premier l idiot?
@@Alilapointe-n3r reste Poli petite frappe
@@gillessa7600 tg grosse m…e
Cette affaire a été bidonnée volontairement dès le départ pour écarter un des coupables de la partie civile.
Un ancien gendarme, a pu démontrer que Patrick
Dils avait été innocenté du double meurtre de
Montigny-lès-Metz, car il avait été constaté que le
mode opératoire correspondait à celui de Francis
H… : pantalon baissé d’une des deux victimes sans
une trace de viol (c’est la signature la plus flagrante
de Francis H.). Il avait déjà tué quelqu’un à coups de
pierres avant d’assassiner les deux jeunes enfants, à
Montigny, de la même façon. Francis H., a décrit les
lieux du crime avec précision, tout en indiquant un
chemin qui conduit aux corps des deux victimes et
que nul n’avait vraiment décrit jusqu’alors (l’ancien
gendarme Jean-François Abgrall. Dans la tête du
tueur, éd Albin Michel 2002). Francis H., a vu les
deux cadavres de Montigny, il a avoué aussi avoir
bougé un corps, avant de se rétracter.
Aux procès de Francis H… le
colonel de la gendarmerie Virolet, a affirmé que, de
manière informelle, Francis H… lui avait avoué
avoir tué deux enfants à coups de pierres avant de se
rétracter (www.ledauphine.com france-monde du 12
mai 2017, idem dans le journal du Dauphiné
Libéré : article écrit en entier le 12/05/2017). Dans
ce même compte rendu, un compagnon de cellule
déclare avoir eu des confidences de Francis H…
avec lettre à l’appui. Le journal en a retranscrit un
extrait. L’écriture est enfantine et mal orthographiée.
Francis H., reconnaît bien avoir écrit cette lettre
concernant l’affaire de Montigny. Ce courrier émane
de lui, c'est certain puisque l’autre détenu se trouvait
dans une autre prison, souligne M. Steffanusque.
Pour moi, il est probable que ce sont des aveux.
Compte rendu du procès de Francis H.
(republicain-lorrain-fr/actualité /2017/05/17), du 17
mai 2017 : un autre codétenu explique que, Francis
H., lui a confié : j’ai baissé le froc du plus grand. Ce
détail qui existe, n’était jamais paru dans la presse.
Pour moi, cela veut dire que ces propos ne sont
probablement pas mensongers.
Toujours dans l’affaire de Montigny, un autre
gendarme est venu témoigner que des excréments
avaient été retrouvés près des deux petits corps. Les
scellés ne sont plus là. Dans une autre affaire,
Francis H… avait fait ses besoins à côté de sa
victime (10 éléments de la signature du tueur. Par
Stéphane Durand-Souffland, publié le 10 mai 2017,
www.lefigaro.fr) : compte rendu du procès.
La maman du petit Cyril reconnaît aujourd’hui, que
Francis H., est bien coupable dans la terrible affaire
de Montigny. Pour elle, il est l’assassin de son fils.
Sur une des deux victimes de Montigny, une
cordelette a bien été retrouvée, entre les jambes de
l’enfant : une légère marque a été retrouvée sur son
cou. Francis H… avait souvent des cordelettes sur
lui et il a commis des étranglements. Francis H…
travaillait à 400 mètres des lieux du crime et le jour
du drame, il a été vu avec le visage plein de sang par
deux pêcheurs. À l’époque, les 2 hommes n’avaient
pas fait de lien avec le crime, car ils ne connaissaient
pas le parcours de Francis H…
Le tueur a reconnu que les pêcheurs l’ont vu avec
du sang, sur le visage, tout en prétextant qu’il s’était
blessé à la tête en tombant. Patrick Dils n’a pas pu
imiter la façon de tuer de Francis H., puisqu’à
l’époque ce mode opératoire n’était pas connu du
public. Le temps a été trop court pour que Dils
puisse commettre le double meurtre par rapport au
lieu où il était plusieurs minutes auparavant. Dans
des cas similaires, des personnes ont été innocentées
malgré des aveux de culpabilité au préalable (voir à
titre, les exemples des pages 105, 106, 107 de mon
livre). Après avoir fait quinze ans de prison, Patrick
Dils a été innocenté à juste titre, et Francis H…
condamné pour le double meurtre de Montigny-lès Metz et cela a été confirmé en appel. Dans le 1er
crime, Francis H… affirme qu’un homme nommé
Henri L, l’avait consolé. Dans l’affaire de Montigny lès-Metz on trouve également un Henri L, qui avait
avoué le crime avant de se rétracter et être mis hors
de cause. Francis H., donne toujours des éléments
supplémentaires en se référant à une autre affaire où
il est également impliqué. Francis H., affirme que les
deux victimes de Montigny, jetaient des pierres sur
les passants : une greffière explique à Jean François
Abdgrall, qu’il y a des témoignages qui l’évoquent.
Les gendarmes et les policiers de la dernière
enquête, sont d’accord sur ce point : Francis H., est
coupable dans l’affaire de Montigny-lès-Metz. C’est
également l’avis d’une très grande majorité de
français.
À la fin de son livre, Jean François Abgral
affiche les détails expliquant en quoi Francis H., a
failli échapper à la justice : manque d’informatique
pouvant relier les modes opératoires entre différents
crimes commis en France (contrairement à d’autres
pays). Manque de formation sur l'appréciation des
similitudes pouvant exister dans le mode opératoire
de crimes différents. Mais la situation s’améliore,
C'est heaulme
Un ancien gendarme, a pu démontrer que Patrick
Dils avait été innocenté du double meurtre de
Montigny-lès-Metz, car il avait été constaté que le
mode opératoire correspondait à celui de Francis
H… : pantalon baissé d’une des deux victimes sans
une trace de viol (c’est la signature la plus flagrante
de Francis H.). Il avait déjà tué quelqu’un à coups de
pierres avant d’assassiner les deux jeunes enfants, à
Montigny, de la même façon. Francis H., a décrit les
lieux du crime avec précision, tout en indiquant un
chemin qui conduit aux corps des deux victimes et
que nul n’avait vraiment décrit jusqu’alors (l’ancien
gendarme Jean-François Abgrall. Dans la tête du
tueur, éd Albin Michel 2002). Francis H., a vu les
deux cadavres de Montigny, il a avoué aussi avoir
bougé un corps, avant de se rétracter.
Aux procès de Francis H… le
colonel de la gendarmerie Virolet, a affirmé que, de
manière informelle, Francis H… lui avait avoué
avoir tué deux enfants à coups de pierres avant de se
rétracter (www.ledauphine.com france-monde du 12
mai 2017, idem dans le journal du Dauphiné
Libéré : article écrit en entier le 12/05/2017). Dans
ce même compte rendu, un compagnon de cellule
déclare avoir eu des confidences de Francis H…
avec lettre à l’appui. Le journal en a retranscrit un
extrait. L’écriture est enfantine et mal orthographiée.
Francis H., reconnaît bien avoir écrit cette lettre
concernant l’affaire de Montigny. Ce courrier émane
de lui, c'est certain puisque l’autre détenu se trouvait
dans une autre prison, souligne M. Steffanusque.
Pour moi, il est probable que ce sont des aveux.
Compte rendu du procès de Francis H.
(republicain-lorrain-fr/actualité /2017/05/17), du 17
mai 2017 : un autre codétenu explique que, Francis
H., lui a confié : j’ai baissé le froc du plus grand. Ce
détail qui existe, n’était jamais paru dans la presse.
Pour moi, cela veut dire que ces propos ne sont
probablement pas mensongers.
Toujours dans l’affaire de Montigny, un autre
gendarme est venu témoigner que des excréments
avaient été retrouvés près des deux petits corps. Les
scellés ne sont plus là. Dans une autre affaire,
Francis H… avait fait ses besoins à côté de sa
victime (10 éléments de la signature du tueur. Par
Stéphane Durand-Souffland, publié le 10 mai 2017,
www.lefigaro.fr) : compte rendu du procès.
La maman du petit Cyril reconnaît aujourd’hui, que
Francis H., est bien coupable dans la terrible affaire
de Montigny. Pour elle, il est l’assassin de son fils.
Sur une des deux victimes de Montigny, une
cordelette a bien été retrouvée, entre les jambes de
l’enfant : une légère marque a été retrouvée sur son
cou. Francis H… avait souvent des cordelettes sur
lui et il a commis des étranglements. Francis H…
travaillait à 400 mètres des lieux du crime et le jour
du drame, il a été vu avec le visage plein de sang par
deux pêcheurs. À l’époque, les 2 hommes n’avaient
pas fait de lien avec le crime, car ils ne connaissaient
pas le parcours de Francis H…
Le tueur a reconnu que les pêcheurs l’ont vu avec
du sang, sur le visage, tout en prétextant qu’il s’était
blessé à la tête en tombant. Patrick Dils n’a pas pu
imiter la façon de tuer de Francis H., puisqu’à
l’époque ce mode opératoire n’était pas connu du
public. Le temps a été trop court pour que Dils
puisse commettre le double meurtre par rapport au
lieu où il était plusieurs minutes auparavant. Dans
des cas similaires, des personnes ont été innocentées
malgré des aveux de culpabilité au préalable (voir à
titre, les exemples des pages 105, 106, 107 de mon
livre). Après avoir fait quinze ans de prison, Patrick
Dils a été innocenté à juste titre, et Francis H…
condamné pour le double meurtre de Montigny-lès Metz et cela a été confirmé en appel. Dans le 1er
crime, Francis H… affirme qu’un homme nommé
Henri L, l’avait consolé. Dans l’affaire de Montigny lès-Metz on trouve également un Henri L, qui avait
avoué le crime avant de se rétracter et être mis hors
de cause. Francis H., donne toujours des éléments
supplémentaires en se référant à une autre affaire où
il est également impliqué. Francis H., affirme que les
deux victimes de Montigny, jetaient des pierres sur
les passants : une greffière explique à Jean François
Abdgrall, qu’il y a des témoignages qui l’évoquent.
Les gendarmes et les policiers de la dernière
enquête, sont d’accord sur ce point : Francis H., est
coupable dans l’affaire de Montigny-lès-Metz. C’est
également l’avis d’une très grande majorité de
français.
À la fin de son livre, Jean François Abgral
affiche les détails expliquant en quoi Francis H., a
failli échapper à la justice : manque d’informatique
pouvant relier les modes opératoires entre différents
crimes commis en France (contrairement à d’autres
pays). Manque de formation sur l'appréciation des
similitudes pouvant exister dans le mode opératoire
de crimes différents. Mais la situation s’améliore,
Ferme là tu saoules avec ton commentaire partout