Personne n'est plus détesté que celui qui dit la vérité

แชร์
ฝัง
  • เผยแพร่เมื่อ 22 ม.ค. 2025

ความคิดเห็น • 17

  • @Staygrim
    @Staygrim ปีที่แล้ว +1

    Ahhhhh, c’est pour ça 😮😊

  • @regisleport8210
    @regisleport8210 ปีที่แล้ว +2

    1 sans fautes!!✊🤙✊

    • @LeGrimoireytb
      @LeGrimoireytb  ปีที่แล้ว +3

      Merci pour ce mensonge très encourageant !

  • @fabricemori2136
    @fabricemori2136 ปีที่แล้ว

    Normal, la vérité n'existe pas, il y a que des représentations, du réel.

  • @Ch0w-
    @Ch0w- ปีที่แล้ว +1

    Ptit Filou,
    Je ne sais si j’ai compris quoique ce soit à cette belle capsule, néanmoins ça me donne envie de raconter cette ptite blagounette :
    Il était une fois un curé et son perroquet dans leur église cependant le dit oiseau répondait aux paroissiens du curé avec des petits noms d’oiseaux ; ce langage trop fleuri mettait l’homme d’église dans une grande colère et pour la énième fois menaçait le perroquet de le clouer par chacune de ses ailes au fond de l’église s’il continuait à proférer de telles insanités.
    Malgré tout, une fois de plus cet animal volant proféra de gros mots à l’encontre d’une paroissienne.
    N’y tenant plus, le curé mit sa menace à exécution et cloua le perroquet au fond de l’église, celui-ci levant la tête voit Jésus cloué sur sa croix et lui demande :
    - ça fait combien de temps tu es cloué, l’autre de répondre
    - ça fait plus de 2000 ans…
    - t’as dû en dire de gros mots !!!

    • @LeGrimoireytb
      @LeGrimoireytb  ปีที่แล้ว

      Elle est incroyable cette blague ! Déjà je me serais fait un plaisir d'avoir un tel perroquet chez moi... Par contre, je réfléchirais bien davantage à l'éventualité d'une tête de Jésus clouée... Où l'avez-vous entendue ? Peut-être que Jésus souffrait du syndrome de Gilles de la Tourette allez savoir, ça serait très cocasse et amusant, de quoi dérider certains prêtres !

  • @djclayton01
    @djclayton01 ปีที่แล้ว

    "Il n'y a qu'un seul monde et il est faux, cruel, contradictoire, séduisant et dépourvu de sens. Un monde ainsi constitué est le monde réel. Nous avons besoin de mensonges pour conquérir cette réalité. Nietzsche
    "Ce que tu nies te soumet, ce que tu acceptes te transforme." Carl Gustav Jung

    • @LeGrimoireytb
      @LeGrimoireytb  ปีที่แล้ว +1

      Edit : vraiment étrange mais je vous avais répondu et mon commentaire a disparu...
      Je vous disais que j'appréciais beaucoup vos deux citations !
      Dans la première Nietzsche déboulonne notre besoin de vérité, celui qui culmine chez nombre de scientifiques, de philosophes etc, un besoin qui se révèle obsédant et qui donc n'est pas sans être suspect. C'est qu'il cache des intentions, des attentes, des sentiments qui se sont mussés... Aujourd'hui on parlerait volontiers de biais cognitifs. Nietzsche préfère un monde mensonger mais qui est tangible, au sol "sûr", plutôt que de miser sur une vérité érigée dans le bastion fantasmatique des hommes, qui fonde de toutes pièces des arrières-mondes comme les Idées platoniciennes ou encore le Paradis/L'Enfer chrétien... De tels paradis artificiels laissent entendre un refus (un effroi) de ce monde dans sa laideur, ses mensonges, sa nudité effroyable mais dont le consentement le rend soudainement plus beau, plus vrai. Si le concept de vérité est sapé dans ses fondements, alors mêmes certains "mensonges" seront plus vrais que de supposées vérités au moyen desquelles se déguisent des peurs et des attentes bien humaines. Magnifique citation je le répète !
      Combien on ne parle pas assez de Carl Gustav Jung... Freud lui a dérobé jusqu'à son ombre ! Il reste qu'il souligne si justement combien ce que l'on dénie si férocement nous poursuit jusqu'à nous soumettre, comme un ricochet, un retour de bâton qui n'en finit pas. En consentant à notre "ombre" (un de ses concepts cardinaux) ces fantômes se rajoutent à notre force. Être libre, ce n'est pas choisir entre A et B, sachant que l'on entrevoit bien les déterminismes qui se cachent derrière ce supposé choix, c'est d'avoir la force de consentir à nos déterminismes. C'est une libération autant qu'un gain de liberté. Un paradoxe édifiant qui résonne aussi bien aussi chez un Spinoza ou un Nietzsche.
      Merci encore de partager ces deux perles, je vous dis à bientôt !

    • @djclayton01
      @djclayton01 ปีที่แล้ว

      @@LeGrimoireytb C'est en effet rageant les messages qui disparraissent. Merci d'avoir pris le courage de nous gratifier par deux fois d'une réponse aussi approfondie. La citation de Nietzsche m'est apparut comme un écho à votre video. Puis celle de Jung comme une réponse à la précédente. L'un et l'autre ont developpé chacun ces idées/concepts au travers de leur travail et d'autres aphorismes plus connues tel que: "La force d'un homme se mesure à la quantité de vérité qu'il est capable de supporter" Nietzsche ou "Tant que vous n'aurez pas rendu l'inconscient conscient il dirigera votre vie et vous l'appellerez destin" Jung. Je suis au passage fasciné par les ponts que font parfois la psycho avec la philo et la socio.
      Bel été, bonne vacances et à bientôt.

    • @LeGrimoireytb
      @LeGrimoireytb  ปีที่แล้ว

      Vos citations complètent et enrichissent très bien les vidéos ! Celle que vous avez nommé montre un Nietzsche qui semble aller plus loin que le geste socratique/platonicien dans l’incarnation des grands idéaux philosophiques (douter, s'étonner, mettre en branle ses certitudes, quel qu'en soit le prix) parce qu'il semble se confronter à des perspectives désagréables, qui incommodent (la religion sécurisante fracassée, nos petites consolations traquées, l'homme dupe de lui-même et j'en passe !), plutôt que de se rasséréner par des biais de confirmation.
      Les systèmes philosophiques peuvent être considérés comme des consolations pour parer au non-sens du monde, c'est en tout cas mon point de vue. Ils ont au moins l'immense mérite de proposer une création, un cristal de sublimation à l'effroi que cela peut occasionner.
      Cette citation de Jung que vous amenez dans votre dernier message me plait énormément aussi dans sa façon de montrer combien l'homme peut être fataliste alors qu'il dispose en lui de ce système qu'il peut dénouer pour se libérer et trouver des horizons de liberté. Sublime ! Encore une perspective qui déboulonne nos croyances limitantes. Oui c'est confondant que de tels ponts existent, et on ne peut qu'en être émerveillés, et là ils sont tout à fait dans notre propos tant Nietzsche se disait psychologue/physiologiste (les deux sont coextensifs pour lui) de civilisation. Freud a avancé des thèses qui se rapprochent immensément de celles du philosophe.
      Merci encore pour votre partage; je vous souhaite également un très bel été (la prochaine vidéo portera sur le ressentiment 2ème volet; nous y voilà enfin !). A bientôt !

    • @djclayton01
      @djclayton01 ปีที่แล้ว

      @@LeGrimoireytb
      J'espère ne pas vous faire regretter vos louanges :) . Voici une autre citation qui condense selon moi les deux autres dans ce qu'elles ont en commun sur la conscience, la réalité, la vérité et la psychologie humaine: "'L'humanité est une suite discontinue d'hommes libres qu'isole irrémédiablement leur subjectivité" Simone de Beauvoir.
      Je m'éloigne un peu de la dissonance cognitive entre "ce que je veux" et "ce qui est" et les moyens que met l'humain pour y remédier (Nietzsche et Jung). Mais cette autre citation: "Les autres ne sont pas notre enfer parce qu'ils sont autres. Ils créent notre enfer lorsqu'ils n'acceptent pas d'entrer en relation avec nous." A.Jacquard. Soulève au de la de la question de la communication. La recherche qui se cache derrière la communication car chez l'homme la forme de communication est aussi importante que le fond. Je crois que nous cherchons dans l'altérité la similarité quand elle nous rassure et la complémentarité quand elle nous fait progresser. Et qu'en dehors de ça c'est l'ego qui rejette (désir de reconnaissance Hegel ou l'enfer Sartrien?). Qu'en pensez vous?

    • @LeGrimoireytb
      @LeGrimoireytb  ปีที่แล้ว

      Que cela fait du bien de lire Simone de Beauvoir dans un autre aspect que le féminisme, qui d'ailleurs la réduit souvent à cette facette-là de sa vie, alors qu'elle a réalisé des livres passionnants qu'on oublie comme Pour une morale de l’ambiguïté que je vous conseille absolument !
      Vos présentes citations pointent effectivement toutes du doigt le mur irréductible qui sépare chacune des individualités humaines. C'est là toute la difficile problématique de l'altérité : l'enfant pense que chacun des êtres humains lui ressemblent de façon criante, ou encore qu'ils sont une extension de lui-même et il aura à apprendre toute sa vie que ce sont de tendres illusions, qu'à chaque fois l'altérité le soumettra aux incontournables problèmes de communication, de compréhension, que cette même altérité fera insensiblement office de butée infranchissable entre lui et les autres. La culture et l'éducation sont souvent entendues par la psychanalyse comme ayant à transmettre aux homme cette leçon de l'altérité, bien plus qu'à son espoir de diminution. Des choses comme la littérature entendent toutefois tout à la fois consentir à cette donnée et à l'amoindrir, ce que je trouve passionnant !
      Je vous rejoins tout à fait dans votre sentiment que nous cherchons de l'altérité quand elle nous "arrange", et que la plupart du temps nous cherchons de la similitude avec autrui. Quand nous sommes à la recherche de l'altérité, c'est peut-être que nous trouvons assez de similitude avec cet autre pour accepter ce qu'il y a d'étrange et de différent en lui. Il faudrait une capacité de décentrement radical et une sagesse considérable pour accepter l'altérité telle qu'elle est et partir à sa recherche, ce serait une drôle d'abnégation pour beaucoup et surtout à notre époque. Comme vous le dites l'ego rejette : il va rejeter ce qui lui fait mal (l'altérité fait mal : elle pousse à se remettre en question, à essuyer le refus, la contrainte, la contradiction) et donc préférer le consentement invincible à ses croyances et donc chercher des êtres qui conforteront ses lubies, si je devais résumer à très grand trait.
      La plupart des malheurs au sein des relations humaines vient sans doute de là : vouloir aveuglément forcer ce mur entre soi et autrui, forcer l'autre à devenir comme soi en le poussant à adopter ses mimiques, ses opinions, ses obsessions, ses façons de faire etc. Beaucoup d'êtres humains rêvent en secret ou même sans le savoir d'un monde où tout devient unité. C'est l'ambition caricature des "grands méchants" telle qu'on la retrouve dans les séries, les jeux vidéo etc, parce que la recherche d'unité réduirait la tristesse occasionnée par l'inévitable incompréhension mutuelle.
      A ce titre on peut tout à fait s’inspirer de vos deux références, mais aussi de celles de l’École de Francfort, la psychanalyse en ruisselle également.
      Très belle journée/soirée !

  • @Pellija4321
    @Pellija4321 ปีที่แล้ว

    Les victimes de viol dérangent même dans leur famille
    Les victimes d’incestes
    Les femmes battues
    Bref la vérité dérange