Bravo a ces hommes de parler à visage découvert et sans langue de bois de leurs problématiques liées aux séquelles, ça rend service aux futures générations qui seront concernées et qui seront ainsi plus éclairées. Pas facile quand cela écorne la virilité, la dignité et la liberté de disposer de soi =( Je l'ai remercie pour cette sincérité et cette humanité. Un jeune homme des années 2020.
Merci pour cette enquête fouillée et objective. La question essentielle, à mon sens, est plus de savoir s'il faut traiter ou non plutôt que d'hésiter à dépister. Encore trop souvent, c'est le médecin qui prend la décision par manque d'information au niveau du patient... C'est témoignages mettent en lumière les difficultés liées à ces situations et permettent d'y voir plus clair.
La mesure du taux de Psa des 50 ans est important avec un suivi tous les 2 ans afin de voir s´il evolue ou s'il stagne. Trop de cas sont decouverts par hasard a des stades metastatiques (1 sur 3) ce qui conduit a des traitements lourds tres invasifs. Prevenir est imperatif pour pour agir tres tot et maitriser la situation au mieux.
Mon mari au hasard d’un depistage à un taux de psa à 9, une irm avec pirads 4 et une biopsie qui a confirmé un cancer localise avec score de gleason 9, donc très agressif...peut devenir metastique... Notre medecin traitant nous a dit qu’autrefois on ne s’occupait pas du cancer de la prostate, la personne finissait avec des douleurs atroces. .. Quand le cancer n’est pas agressif, une surveillance active est proposée.
reportage totalement partial, interview de deux personnes avec des séquelles qui pourrissent leur vie... on ne sait pas si leur cancers étaient agressifs de grade supérieur ou egal a 7 ou non agressif de grade inférieur ou égale a 6, d'après le Score de Gleason, les antécédents familiaux sont importants avec le risque de récidive, surtout a un age jeune... le problème vient de l'urologue, pas du taux de psa, qui lui, demande une attention s'il bondit en une année. le taux de psa est un indicateur, pas une maladie de la prostate...
Totalement d'accord avec vous. Le principal problème vient de l'urologue qui parfois reste "seul maître à bord" et décide seul de la conduite à tenir. Le patient n'a pas toujours tous les éléments pour prendre une décision.
Bravo a ces hommes de parler à visage découvert et sans langue de bois de leurs problématiques liées aux séquelles, ça rend service aux futures générations qui seront concernées et qui seront ainsi plus éclairées. Pas facile quand cela écorne la virilité, la dignité et la liberté de disposer de soi =(
Je l'ai remercie pour cette sincérité et cette humanité.
Un jeune homme des années 2020.
Merci pour cette enquête fouillée et objective. La question essentielle, à mon sens, est plus de savoir s'il faut traiter ou non plutôt que d'hésiter à dépister. Encore trop souvent, c'est le médecin qui prend la décision par manque d'information au niveau du patient... C'est témoignages mettent en lumière les difficultés liées à ces situations et permettent d'y voir plus clair.
Très bne vidéo... Mci infiniment.
Ça permet de faire la part des choses.
La mesure du taux de Psa des 50 ans est important avec un suivi tous les 2 ans afin de voir s´il evolue ou s'il stagne. Trop de cas sont decouverts par hasard a des stades metastatiques (1 sur 3) ce qui conduit a des traitements lourds tres invasifs. Prevenir est imperatif pour pour agir tres tot et maitriser la situation au mieux.
Mon mari au hasard d’un depistage à un taux de psa à 9, une irm avec pirads 4 et une biopsie qui a confirmé un cancer localise avec score de gleason 9, donc très agressif...peut devenir metastique... Notre medecin traitant nous a dit qu’autrefois on ne s’occupait pas du cancer de la prostate, la personne finissait avec des douleurs atroces. .. Quand le cancer n’est pas agressif, une surveillance active est proposée.
Vraiment ces docteurs.. Cmt ne pas bien informer les malades avant de parler d'opération.,d'opération.
La biopsie effectuée sous anesthésie générale n'est absolument pas désagréable ...
reportage totalement partial, interview de deux personnes avec des séquelles qui pourrissent leur vie...
on ne sait pas si leur cancers étaient agressifs de grade supérieur ou egal a 7 ou non agressif de grade inférieur ou égale a 6, d'après le Score de Gleason, les antécédents familiaux sont importants avec le risque de récidive, surtout a un age jeune...
le problème vient de l'urologue, pas du taux de psa, qui lui, demande une attention s'il bondit en une année.
le taux de psa est un indicateur, pas une maladie de la prostate...
Totalement d'accord avec vous. Le principal problème vient de l'urologue qui parfois reste "seul maître à bord" et décide seul de la conduite à tenir. Le patient n'a pas toujours tous les éléments pour prendre une décision.