Merci Lilian, pour cette reflexion très détaillée qui a dû demander un gros travail personnel d observation sur plusieurs années. Merci pour cette aide à reflechir , pour se trouver un peu " moins désarmé dans la tête" le jour J. - Tu as aussi un don pour expliquer , de façon a ce que ce soit accessible a tous. A bientôt avec plaisir , pour le suivi de tes videos . Annie Aix en Provence
Bonjour Annie, Merci pour ton commentaire. À lire ton message, l'objectif de la vidéo est atteint, j'en suis vraiment content. Comme tu l'as dit, je fais une analyse des faits et des stratégies de façon à ce que chacun puisse construire sa stratégie selon son contexte et ses affinités. À bientôt, Lilian 😀
Salut Hervé, Merci pour ton commentaire. Effectivement, il y a matière. L'objectif c'est vraiment que chacun puisse construire sa propre stratégie. À bientôt, Lilian 😀
Excellents conseils, tu es le roi de l'analyse et de la synthèse, cher Lilian. Tout est compréhensible et applicable. Perso, je suis anti-arme, et j'espère qu'on peut "prévenir" ce genre d'évènement. Merci pour les conseils sécurité, plan d'action etc. A bientôt et bonne mer...
Salut Alain, Merci pour ton commentaire, ça fait vraiment plaisir. La matrice que je développe dans la vidéo est pour moi un bon outil pour personnaliser ta stratégie. À bientôt, Lilian 😀
Merci ce sont des super conseils 👌 Je retiendrai le portefeuille sacrificiel pour ma part ainsi que la navigation tous feux et instruments éteints en cas de nécessité Dommage de ne pas avoir parlé de pistolets d'alarme balle à blanc et lanceur de balles de défense qui peuvent dissuader à distance ! Son avantage est aussi d'être en vente libre et de minimiser un potentiel problème avec les douanes en cas de contrôle. C'est ce que j'ai à bord ainsi qu'une bombe lacrymogène pour du plus rapproché 😉
@@voilierdjaksparo tout dépend de l'équipement des personnes en face effectivement mais un tir en l'air entraînera un tir en l'air de l'autre côté et à ce moment on sait à qui on à affaire et on range le joujou
Merci Lilian pour cette vidéo très instructive. Une remarque sur les armes : avoir une arme à bord implique d’être déterminé à tuer. Pas à se d »fendre, pas à intimider, pas à tirer en l’air, mais bien à tuer. Peu de monde en est capable, à l’avance. À défaut, détenir une arme ou la sortir en cas d’intrusion est un risque majeur d’être tué… Je vais préparer une petite liste de choses à faire et à préparer en m’inspirant de ta vidéo. À très bientôt 😘
Salut Stéph et Béa, Merci pour votre commentaire ça me fait plaisir. Avoir une arme, et notamment une arme à feu, à bord a beaucoup d'implications dont celle de voir cette arme retournée contre son propriétaire. C'est une décision qui doit être bien réfléchie et prise en ayant bien pesé le pour et le contre au regard de son contexte personnel. Pour rebondir sur le fait d'être prêt à tuer je te rejoins. Je pense qu'à froid c'est très loin de beaucoup d'entre nous, cependant lorsque sa vie ou celle de ceux que l'on aime est réellement menacée, l'instinct de survie peut prendre le pas. Un peu comme le réflexe de plongée peut se déclencher chez quelqu'un qui tombe dans un lac glacé. D'un autre côté, je ne minimise pas la notion d'intimidation. Un ami qui a transaté quelques années avant nous, sur un monocoque de 35 pieds avec deux équipiers, a été suivi de jour durant de longues heures entre les Canaries et le Cap Vert. Après différentes tentatives pout changer la donne, ils se sont résolu à monter tous les trois (hommes de 50 ans) sur le pont, ostentatoirement armés de fusils (2). Ce n'est qu'à ce moment que le bateau suiveur s'est détourné d'eux. Toutes propositions gardées, une arme à feu c'est au final un peu comme au poker. Il faut savoir bluffer, et parfois cela suffit mais aussi être prêt à faire tapis avec tous les risques que cela comporte. À côté des armes à feu il existe aussi tout un éventail d'armes de défense non létales. Dans tous les cas de figure, la question de l'armement reste un élément d'une stratégie globale. Et la question de la sécurité en voilier ne peut pas se résumer au choix d'être ou non armé. La matrice que je propose : jour-nuit/à bord ou non, versus étapes de piraterie (approche, personnes qui montent à bord, vol avec ou sans effraction, agression physique ou non) permet d'imaginer des protocoles spécifiques pour chacunes des configurations possibles. En tout cas, si cette vidéo vous a mis en réflexion j'en suis ravi et j'ai hâte de partager avec vous le fruit de celle-ci. Pour tout ceux qui souhaiteraient mieux connaître Stéph et Béa, vous pouvez les retrouver sur notre vidéo : "Ils ont changé de vie": th-cam.com/video/yE94FvxySnE/w-d-xo.htmlsi=djDpEjObx3_RlJvb Ou bien sur leur chaîne TH-cam : youtube.com/@stephetbeaenmer?si=Z4fUE94pWuyy4gYx À bientôt, Lilian 😀
Une annexe est un engin de plage si on ne dépasse pas 300m donc immatriculation non obligatoire…le fil à coudre en zigzag sur le pont avec une clochette au bout …
Bonjour François, Merci pour ton commentaire. L'annexe n'a pas besoin d'une immatriculation spécifique. Cependant, elle est considérée comme une servitude de son bateau porteur, soit pour nous le voilier. Théoriquement, elle est censée rester à une distance de 300m du navire porteur et doit comporter l'immatriculation ou le nom du navire porteur précédé de : AXE Sous certaines conditions, une annexe pourrait être immatriculée. Pour ceux qui ont le sommeil léger les clochettes pourraient suffire, de mon côté je dors comme une masse, il me faudrait plutôt une sirène 😁 À bientôt, Lilian 😀
Dommage d avoir autant de côté négatifs de votre beau voyage. Nous on est partis il y a 4 ans d espagne avec 1.5 années au antille avec beaucoup de rencontres super et aussi quelques con mais très peux et en plus en bateau les cons on peut les zapper et après new york ou un pay avec beaucoup de problème du au capitalisme mais de superbe rencontres individuelles et panama bien sur cher mais 4000 personnes y travaille donc un prix et transpacifique à 2 un véritable délire on a pleurer en arrivant après 24 jours à fatu hiva 9u les bateau au mouillage nous on corner et applaudit et les indigènes nous on DONNER des fruits. Maintenant on est encore au Marquise ou tout les mouillage sont gratuits et eau aussi les otoctone sont super sympa, il faut seulement leur demander et il vous donne beaucoup parfois contre troc et tuamotu aussi donc les droidevan espère que vous aurez une image plus positive dans le futur de votre beau voyage Jean-luc et caro du bateau droidevan
Bonjour Droidevan, Merci pour ton commentaire. Nous n'avons absolument pas de vision négative de notre voyage, nous avons rencontré et continuons à le faire des personnes incroyables, nous avons noué des amitiés fortes dans tous les pays dans lesquels nous avons passé du temps. La question n'est pas là. J'ai eu plusieurs demandes de mes abonnés pour traiter ce sujet en particulier. Il ne s'agit pas d'un regard sur le voyage ou sur les personnes mais du développement d'une analyse sur un point spécifique. À bientôt, Lilian 😀
Bonjour Mr Marcel, Merci d'être abonné et merci pour ton commentaire. Effectivement, ça refroidit. Je garde à l'esprit qu'il s'agit d'une situation exceptionnelle et non de la règle. Vivre en voilier ressemble fortement à ces vies à terre en sites isolés. Tels les paysans, agriculteurs ou habitants à la campagne ou montagne dont le premier voisin est extrêmement éloigné. La difficulté supplémentaire réside dans le fait que sur l'eau, par définition, il n'y a pas de route 😁, donc l'accès des secours n'en est pas facilité . C'est pour moi une raison supplémentaire pour mettre en place des stratégies d'intervention avant le départ, ou d'affiner ses protocoles en cours de voyage. À bientôt, Lilian 😀
Je vais réfléchir à tout ça. Ça me fait penser de plus en plus au bouquin d’Henri de Monfreid Les Secrets de la Mer Rouge, C’est peut être pour ça qu’on navigue, pour être vivant! Bon, Cet été je pars pour la Corse… c’est hostile la Corse non?! 😂
Bonjour Laura, Merci pour ton commentaire. Ce qui est particulier en mer et en grande croisière, c'est l'isolement. Je ne parle pas de solitude, on développe des amitiés, des liens forts et pas uniquement avec des plaisanciers, mais soit en navigation, soit au mouillage on va souvent se retrouver seul. La question de l'alerte, de l'arrivée des secours et de la gestion du moment se pose de façon totalement différentes qu'à terre. À bientôt, Lilian 😀
Merci Lilian, pour cette reflexion très détaillée qui a dû demander un gros travail personnel d observation sur plusieurs années. Merci pour cette aide à reflechir , pour se trouver un peu " moins désarmé dans la tête" le jour J. - Tu as aussi un don pour expliquer , de façon a ce que ce soit accessible a tous. A bientôt avec plaisir , pour le suivi de tes videos . Annie Aix en Provence
Bonjour Annie,
Merci pour ton commentaire.
À lire ton message, l'objectif de la vidéo est atteint, j'en suis vraiment content.
Comme tu l'as dit, je fais une analyse des faits et des stratégies de façon à ce que chacun puisse construire sa stratégie selon son contexte et ses affinités.
À bientôt,
Lilian 😀
Merci beaucoup pour ce gros travail de recherche !
Salut Voilier Vakunu,
Merci pour ton commentaire.
À bientôt,
Lilian 😀
👍
Salut Fabrice,
Merci de nous suivre.
À bientôt,
Lilian 😀
Merci , beaucoup de contenu et de travail c’est compact 😊
Salut Hervé,
Merci pour ton commentaire.
Effectivement, il y a matière. L'objectif c'est vraiment que chacun puisse construire sa propre stratégie.
À bientôt,
Lilian 😀
Excellents conseils, tu es le roi de l'analyse et de la synthèse, cher Lilian. Tout est compréhensible et applicable. Perso, je suis anti-arme, et j'espère qu'on peut "prévenir" ce genre d'évènement. Merci pour les conseils sécurité, plan d'action etc. A bientôt et bonne mer...
Salut Alain,
Merci pour ton commentaire, ça fait vraiment plaisir.
La matrice que je développe dans la vidéo est pour moi un bon outil pour personnaliser ta stratégie.
À bientôt,
Lilian 😀
Des sujets toujours très intéressants. Merci. Bonne nave.⛵️⛵️⛵️
Salut Solitario,
Merci pour ton commentaire.
À bientôt,
Lilian 😀
Merci pour cette vidéo très instructive
Bonjour Catamaran Smile,
Merci d'être abonné et merci pour ton commentaire.
À bientôt,
Lilian 😀
Merci ce sont des super conseils 👌
Je retiendrai le portefeuille sacrificiel pour ma part ainsi que la navigation tous feux et instruments éteints en cas de nécessité
Dommage de ne pas avoir parlé de pistolets d'alarme balle à blanc et lanceur de balles de défense qui peuvent dissuader à distance ! Son avantage est aussi d'être en vente libre et de minimiser un potentiel problème avec les douanes en cas de contrôle.
C'est ce que j'ai à bord ainsi qu'une bombe lacrymogène pour du plus rapproché 😉
Salut Destination Ailleurs,
Merci pour ton commentaire et pour ton partage d'expérience.
À bientôt,
Lilian 😀
Le pistolet "à blanc" risque d'entraîner une réponse équivalente de la part de la "partie adverse", et pas avec des balles à blanc...
@@voilierdjaksparo tout dépend de l'équipement des personnes en face effectivement mais un tir en l'air entraînera un tir en l'air de l'autre côté et à ce moment on sait à qui on à affaire et on range le joujou
Merci Lilian pour cette vidéo très instructive.
Une remarque sur les armes : avoir une arme à bord implique d’être déterminé à tuer. Pas à se d »fendre, pas à intimider, pas à tirer en l’air, mais bien à tuer. Peu de monde en est capable, à l’avance. À défaut, détenir une arme ou la sortir en cas d’intrusion est un risque majeur d’être tué…
Je vais préparer une petite liste de choses à faire et à préparer en m’inspirant de ta vidéo.
À très bientôt 😘
Salut Stéph et Béa,
Merci pour votre commentaire ça me fait plaisir.
Avoir une arme, et notamment une arme à feu, à bord a beaucoup d'implications dont celle de voir cette arme retournée contre son propriétaire.
C'est une décision qui doit être bien réfléchie et prise en ayant bien pesé le pour et le contre au regard de son contexte personnel.
Pour rebondir sur le fait d'être prêt à tuer je te rejoins. Je pense qu'à froid c'est très loin de beaucoup d'entre nous, cependant lorsque sa vie ou celle de ceux que l'on aime est réellement menacée, l'instinct de survie peut prendre le pas. Un peu comme le réflexe de plongée peut se déclencher chez quelqu'un qui tombe dans un lac glacé.
D'un autre côté, je ne minimise pas la notion d'intimidation.
Un ami qui a transaté quelques années avant nous, sur un monocoque de 35 pieds avec deux équipiers, a été suivi de jour durant de longues heures entre les Canaries et le Cap Vert. Après différentes tentatives pout changer la donne, ils se sont résolu à monter tous les trois (hommes de 50 ans) sur le pont, ostentatoirement armés de fusils (2). Ce n'est qu'à ce moment que le bateau suiveur s'est détourné d'eux.
Toutes propositions gardées, une arme à feu c'est au final un peu comme au poker. Il faut savoir bluffer, et parfois cela suffit mais aussi être prêt à faire tapis avec tous les risques que cela comporte.
À côté des armes à feu il existe aussi tout un éventail d'armes de défense non létales.
Dans tous les cas de figure, la question de l'armement reste un élément d'une stratégie globale. Et la question de la sécurité en voilier ne peut pas se résumer au choix d'être ou non armé.
La matrice que je propose :
jour-nuit/à bord ou non, versus étapes de piraterie (approche, personnes qui montent à bord, vol avec ou sans effraction, agression physique ou non) permet d'imaginer des protocoles spécifiques pour chacunes des configurations possibles.
En tout cas, si cette vidéo vous a mis en réflexion j'en suis ravi et j'ai hâte de partager avec vous le fruit de celle-ci.
Pour tout ceux qui souhaiteraient mieux connaître Stéph et Béa, vous pouvez les retrouver sur notre vidéo :
"Ils ont changé de vie":
th-cam.com/video/yE94FvxySnE/w-d-xo.htmlsi=djDpEjObx3_RlJvb
Ou bien sur leur chaîne TH-cam :
youtube.com/@stephetbeaenmer?si=Z4fUE94pWuyy4gYx
À bientôt,
Lilian 😀
Une annexe est un engin de plage si on ne dépasse pas 300m donc immatriculation non obligatoire…le fil à coudre en zigzag sur le pont avec une clochette au bout …
Bonjour François,
Merci pour ton commentaire.
L'annexe n'a pas besoin d'une immatriculation spécifique. Cependant, elle est considérée comme une servitude de son bateau porteur, soit pour nous le voilier.
Théoriquement, elle est censée rester à une distance de 300m du navire porteur et doit comporter l'immatriculation ou le nom du navire porteur précédé de : AXE
Sous certaines conditions, une annexe pourrait être immatriculée.
Pour ceux qui ont le sommeil léger les clochettes pourraient suffire, de mon côté je dors comme une masse, il me faudrait plutôt une sirène 😁
À bientôt,
Lilian 😀
Dommage d avoir autant de côté négatifs de votre beau voyage. Nous on est partis il y a 4 ans d espagne avec 1.5 années au antille avec beaucoup de rencontres super et aussi quelques con mais très peux et en plus en bateau les cons on peut les zapper et après new york ou un pay avec beaucoup de problème du au capitalisme mais de superbe rencontres individuelles et panama bien sur cher mais 4000 personnes y travaille donc un prix et transpacifique à 2 un véritable délire on a pleurer en arrivant après 24 jours à fatu hiva 9u les bateau au mouillage nous on corner et applaudit et les indigènes nous on DONNER des fruits. Maintenant on est encore au Marquise ou tout les mouillage sont gratuits et eau aussi les otoctone sont super sympa, il faut seulement leur demander et il vous donne beaucoup parfois contre troc et tuamotu aussi donc les droidevan espère que vous aurez une image plus positive dans le futur de votre beau voyage
Jean-luc et caro du bateau droidevan
Bonjour Droidevan,
Merci pour ton commentaire.
Nous n'avons absolument pas de vision négative de notre voyage, nous avons rencontré et continuons à le faire des personnes incroyables, nous avons noué des amitiés fortes dans tous les pays dans lesquels nous avons passé du temps.
La question n'est pas là. J'ai eu plusieurs demandes de mes abonnés pour traiter ce sujet en particulier. Il ne s'agit pas d'un regard sur le voyage ou sur les personnes mais du développement d'une analyse sur un point spécifique.
À bientôt,
Lilian 😀
Évidemment... Sauf que ça n arrive pas qu aux autres.. Donc....
Ça refroidit les ardeurs tout ça.
Bonjour Mr Marcel,
Merci d'être abonné et merci pour ton commentaire.
Effectivement, ça refroidit. Je garde à l'esprit qu'il s'agit d'une situation exceptionnelle et non de la règle.
Vivre en voilier ressemble fortement à ces vies à terre en sites isolés. Tels les paysans, agriculteurs ou habitants à la campagne ou montagne dont le premier voisin est extrêmement éloigné.
La difficulté supplémentaire réside dans le fait que sur l'eau, par définition, il n'y a pas de route 😁, donc l'accès des secours n'en est pas facilité .
C'est pour moi une raison supplémentaire pour mettre en place des stratégies d'intervention avant le départ, ou d'affiner ses protocoles en cours de voyage.
À bientôt,
Lilian 😀
Je vais réfléchir à tout ça. Ça me fait penser de plus en plus au bouquin d’Henri de Monfreid Les Secrets de la Mer Rouge, C’est peut être pour ça qu’on navigue, pour être vivant! Bon, Cet été je pars pour la Corse… c’est hostile la Corse non?! 😂
🤣🤣🤣
de toute façon on n'est plus tranquille nulle part, sur terre comme en mer, les voyous sont partout
Bonjour Laura,
Merci pour ton commentaire.
Ce qui est particulier en mer et en grande croisière, c'est l'isolement.
Je ne parle pas de solitude, on développe des amitiés, des liens forts et pas uniquement avec des plaisanciers, mais soit en navigation, soit au mouillage on va souvent se retrouver seul. La question de l'alerte, de l'arrivée des secours et de la gestion du moment se pose de façon totalement différentes qu'à terre.
À bientôt,
Lilian 😀