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Les enfants morts - Victor Hugo / Gaël Liardon

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  • เผยแพร่เมื่อ 1 ก.ย. 2023
  • Chaîne de Clara :
    www.youtube.co...

ความคิดเห็น • 15

  • @christophegreen4279
    @christophegreen4279 11 หลายเดือนก่อน

    Quelle voix…quelle harmonie.. bravo

  • @sijosedire
    @sijosedire 11 หลายเดือนก่อน

    Wow, superbe...un grand bravo pour vous deux!

  • @micheldoucet6966
    @micheldoucet6966 4 หลายเดือนก่อน

    Magnifique !

    • @rafbanhi1
      @rafbanhi1  4 หลายเดือนก่อน

      Merci beaucoup !

  • @lecassandre249
    @lecassandre249 3 หลายเดือนก่อน

    Merci pour cette belle interprétations d'un beau texte. Un bel hommage à Gaël qui s'est envolé de la vie en nous laissant sur cette triste terre. Gaël tu étais, es et sera toujours une étoile éblouissante pour moi. Je t'entends toujours dans chaque note, chaque vers. J'ai moins peur de la mort depuis que je sais que tu m'attends là haut. On se revoit bientôt camarade

    • @rafbanhi1
      @rafbanhi1  3 หลายเดือนก่อน

      Merci pour vos encouragements =)

  • @micheldoucet6966
    @micheldoucet6966 4 หลายเดือนก่อน

    Je découvre enfin dans ce champ d'images,
    loin des hurlements d'êtres tapageurs,
    céans quelques bons chanteurs sans dommages
    clamant les beaux vers d'artistes majeurs.

    Je reçois ces chants au creux de l'oreille
    presque à l'unisson par le soin porté
    dans chacun des mots qui moi m'ensoleille,
    vers des jours anciens vont me transporter.

    Ami de la plume en portant ces textes
    tu fais ressurgir en moi le bon Temps,
    Brassens en deux mots y fut sans contexte
    le guide éclairé d'un jeunot d'antan.

    • @rafbanhi1
      @rafbanhi1  4 หลายเดือนก่อน

      Merci pour vos vers =)

  • @arcali6378
    @arcali6378 11 หลายเดือนก่อน +1

    Excellent 😭
    Raphaël fais des concerts bon sang

  • @SD-se2fp
    @SD-se2fp 11 หลายเดือนก่อน

    Superbe 😮😢

  • @claudem9718
    @claudem9718 11 หลายเดือนก่อน

    Magnifique 🤩

  • @arcali6378
    @arcali6378 11 หลายเดือนก่อน +2

    Paroles :
    Ils sont là, près de nous, jouant sur notre route ;
    Ils ne dédaignent pas notre soleil obscur,
    Et derrière eux, et sans que leur candeur s'en doute,
    Leurs ailes font parfois de l'ombre sur le mur.
    Ils viennent sous nos toits ; avec nous ils demeurent ;
    Nous leur disons : Ma fille, ou : Mon fils ; ils sont doux,
    Riants, joyeux, nous font une caresse, et meurent. -
    O mère, ce sont là les anges, voyez-vous !
    C'est une volonté du sort, pour nous sévère,
    Qu'ils rentrent vite au ciel resté pour eux ouvert ;
    Et qu'avant d'avoir mis leur lèvre à notre verre,
    Avant d'avoir rien fait et d'avoir rien souffert,
    Ils partent radieux ; et qu'ignorant l'envie,
    L'erreur, l'orgueil, le mal, la haine, la douleur,
    Tous ces êtres bénis s'envolent de la vie
    A l'âge où la prunelle innocente est en fleur !
    Nous qui sommes démons ou qui sommes apôtres,
    Nous devons travailler, attendre, préparer ;
    Pensifs, nous expions pour nous-même ou pour d'autres ;
    Notre chair doit saigner, nos yeux doivent pleurer.
    Eux, ils sont l'air qui fuit, l'oiseau qui ne se pose
    Qu'un instant, le soupir qui vole, avril vermeil
    Qui brille et passe ; ils sont le parfum de la rose
    Qui va rejoindre aux cieux le rayon du soleil !
    Ils sont l'étoile d'or se couchant dans l'aurore,
    Mourant pour nous, naissant pour l'autre firmament ;
    Car la mort, quand un astre en son sein vient éclore,
    Continue, au delà, l'épanouissement !
    Ils s'en vont ; c'est tantôt l'éclair qui les emporte,
    Tantôt un mal plus fort que nos soins superflus.
    Alors, nous, pâles, froids, l'oeil fixé sur la porte,
    Nous ne savons plus rien, sinon qu'ils ne sont plus.
    Nous disons : - A quoi bon l'âtre sans étincelles ?
    A quoi bon la maison où ne sont plus leurs pas ?
    A quoi bon la ramée où ne sont plus les ailes ?
    Qui donc attendons-nous s'ils ne reviendront pas ? -
    Ils sont partis, pareils au bruit qui sort des lyres.
    Et nous restons là, seuls, près du gouffre où tout fuit,
    Tristes ; et la lueur de leurs charmants sourires
    Parfois nous apparaît vaguement dans la nuit.
    Nous sentons frissonner leurs cheveux dans notre ombre ;
    Nous sentons, lorsqu'ayant la lassitude en nous,
    Nous nous levons après quelque prière sombre,
    Leurs blanches mains toucher doucement nos genoux.
    Ils nous disent tout bas de leur voix la plus tendre :
    "Mon père, encore un peu ! ma mère, encore un jour !
    "M'entends-tu ? je suis là, je reste pour t'attendre
    "Sur l'échelon d'en bas de l'échelle d'amour.
    Quand nous en irons-nous où vous êtes, colombes !
    Où sont les enfants morts et les printemps enfuis,
    Et tous les chers amours dont nous sommes les tombes,
    Et toutes les clartés dont nous sommes les nuits ?
    Quand nous en irons-nous où sont l'aube et la foudre ?
    Quand verrons-nous, déjà libres, hommes encor,
    Notre chair ténébreuse en rayons se dissoudre,
    Et nos pieds faits de nuit éclore en ailes d'or ?

    • @sijosedire
      @sijosedire 11 หลายเดือนก่อน +2

      Merci pour les paroles! 😊

  • @lo-x1510
    @lo-x1510 11 หลายเดือนก่อน

    ❤❤❤

  • @abelroy
    @abelroy 11 หลายเดือนก่อน

    hugo ne voulait pas qu'on mette ses poemes en chanson. quand les volontes sont stupides, elles sont irrespectables. mais, si clara est une de ses descendantes, victor doit se retourner dans sa tombe ! moi, je trouve ça sublime